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et puis comparer la situation de maintenant avec celle de 1945, il y a tellement de paramètres qui ont variés, en plus de l'espérance de vie ...... que ca fait bien rire.
et pourquoi pas comparer à 1930 tant qu' on y est.
Modérateurs : Rod, Modérateurs
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Donc les retraités sont le problème de la croissance économique et du bien-être des actifs?
De tout temps les ''vieux'' doivent être aidés/supportés par les plus jeunes.
clairement oui, mais évidemment ce n'est pas le seul critère de l'humanité, on peut dire aussi la même chose des handicapés ou des psychotiques....Mais c'est pas un secret que les personnes âgées dépendantes peuvent être un vrai fardeau pour leur entourage.
Tout à fait. Et quand on a une assurance maladie fixe et non proportionnelle à un revenu (c'est genre 400€ par mois en Suisse), je ne me dis pas que ça aiderait l'économie si les malades mourraient plus vite et que ces charges aideraient les biens portants. Il y a de gros problèmes dans notre système, en particulier les charges fixes pour les revenus faibles sont intenables.energy_isere a écrit : ↑25 sept. 2023, 22:05De tout temps les ''vieux'' doivent être aidés/supportés par les plus jeunes.
Dans ma famille c'est au tour de ma génération d'aider ma mère (retraitée depuis longtemps) qui a été au plus mal ces derniers temps. En plus de la société (hopital) qui donne les soins de maladie et des aides à domicile.
Mais je ne vais évidemment pas dire tout haut que c'est un problème économique ....... Je peux même pas le dire tout bas. On est des humains, pas des robots ou des machines économiques.
La retraite, c'est pas le CNR, c'est Pétain https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/194 ... epartitionenergy_isere a écrit : ↑25 sept. 2023, 19:42+1
et puis comparer la situation de maintenant avec celle de 1945, il y a tellement de paramètres qui ont variés, en plus de l'espérance de vie ...... que ca fait bien rire.
et pourquoi pas comparer à 1930 tant qu' on y est.
En Grèce, d'ailleurs, depuis 2008, d'ailleurs, le jeu consiste à garder le vieux retraité à la maison, plutôt qu'à la maison de retraite, s'enfiler sa pension, souvent supérieure à des salaires en chute libre, et au bout du compte, oublier de déclarer son décès.