https://www.connaissancedesenergies.org ... ere-211026De nouveaux EPR en France ? Le calendrier s'accélère
AFP parue le 26 oct. 2021
Une décision prise "rapidement" et probablement d'ici la fin de l'année : l'exécutif accélère sur le choix de construire ou non de nouveaux réacteurs EPR, au lendemain de la publication du rapport du gestionnaire du réseau électrique RTE soulignant l'avantage économique du nucléaire.
"RTE nous dit qu'il faut agir vite, donc la décision va être prise et rapidement", a confirmé mardi la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, lors d'une conférence de presse. "Le président s'exprimera très probablement avant la fin de l'année pour donner sa préférence et son orientation sur les scénarios", a-t-elle précisé.
RTE a présenté lundi un rapport très attendu avec six scénarios de production possibles, allant de 100% renouvelables en 2050 à un développement "volontariste" du nucléaire avec la construction de 14 EPR ainsi que des petits réacteurs. Le gestionnaire du réseau à haute tension, qui a aussi souligné le développement indispensable des renouvelables, a insisté sur la nécessité de prendre des décisions rapides.
Une urgence qui conduit donc à accélérer le calendrier de l'exécutif, qui voulait attendre jusqu'à présent le démarrage de l'EPR de Flamanville (Manche) fin 2022 - donc lors du prochain quinquennat - pour une décision sur l'option de construire six réacteurs de nouvelle génération supplémentaires.
Emmanuel Macron n'a cessé dernièrement de souligner les avantages de l'énergie nucléaire, notamment dans la lutte contre le changement climatique. Le 12 octobre, lors de la présentation du plan "France 2030", il avait annoncé un investissement d'un milliard d'euros dans le nucléaire pour développer des "technologies de rupture", notamment des petits réacteurs. "J'aurai l'occasion de revenir dans les semaines qui viennent sur l'opportunité de construire de nouveaux réacteurs", avait-il indiqué.
« Impératif incontournable »
Si aucune décision n'a donc été prise dans l'immédiat, le rapport de RTE ne peut que conforter les pro-nucléaires en pleine pré-campagne électorale très clivée sur le sujet. Certains candidats prônent une sortie plus ou moins rapide du nucléaire (écologistes ou gauche radicale par exemple) tandis que d'autres (notamment à droite mais aussi au parti communiste) défendent cette énergie. "Construire de nouveaux réacteurs nucléaires est pertinent" du point de vue économique, a en effet conclu RTE.
Un scénario avec 14 nouveaux EPR d'ici 2050 est chiffré à quelque 61 milliards d'euros par an pour l'ensemble du système électrique, soit 10 à près de 20 milliards de moins que des options sans nouveaux réacteurs. "Le but du président de la République et de son gouvernement est clair : justifier à n'importe quel prix la relance du nucléaire", a critiqué le candidat écologiste Yannick Jadot. Il a dénoncé une "manipulation" consistant à occulter une possible maîtrise plus importante de la consommation.
Sur de possibles nouveaux EPR, "le débat présidentiel pourra se tenir sur ces questions-là puisqu'un processus comme celui-là est très long", a fait valoir Mme Pompili. Le président doit annoncer "un choix, une orientation, qui après nécessiterait du temps de mise en oeuvre, qui n'aboutirait pas à des décisions dans le dur avant la quinquennat suivant", a-t-elle précisé.
En attendant, le gouvernement reprend à son compte des conclusions sans ambiguïté du rapport, notamment la nécessaire efficacité énergétique, le besoin d'électrification pour sortir des énergies fossiles et le développement indispensable des renouvelables.
"Les énergies renouvelables vont inéluctablement devenir majoritaires dans le mix électrique dans les décennies à venir", a souligné Mme Pompili, alors que le bouquet français est encore dominé à 70% par le nucléaire. "L'impératif incontournable est donc de développer de manière très volontariste toutes les énergies renouvelables".
Selon les scénarios, la capacité des éoliennes terrestres installées devra être multipliée au moins par 2,5 et jusqu'à 4 fois. Un objectif qui devrait heurter certains candidats de droite ou d'extrême-droite hostiles aux éoliennes, que Marine Le Pen envisage par exemple de "démonter" si elle arrive à l'Élysée.
Politique energétique mandat de E.Macron
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https://www.connaissancedesenergies.org ... urs-211109Nucléaire: Macron annonce la construction de nouveaux réacteurs
AFP parue le 09 nov. 2021
Le président Emmanuel Macron a annoncé mardi que la France allait construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur son sol, soulignant les avantages de cette énergie, notamment du point de vue climatique.
"Nous allons, pour la première fois depuis des décennies, relancer la construction de réacteurs nucléaires dans notre pays et continuer de développer les énergies renouvelables", a-t-il dit dans une allocution télévisée, sans donner plus de détail à ce stade.
Cela "pour garantir l'indépendance énergétique de la France, pour garantir l'approvisionnement électrique de notre pays et atteindre nos objectifs, en particulier la neutralité carbone en 2050", a-t-il fait valoir.
La France, qui tire la majorité de son électricité du nucléaire, ne construit actuellement qu'un seul réacteur nucléaire de nouvelle génération, l'EPR de Flamanville (EDF), dont le chantier entrepris en 2007 n'est toujours pas achevé.
La France envisage de construire six EPR supplémentaires et EDF avait remis au printemps un dossier au gouvernement sur la faisabilité et les conditions d'un tel programme. Le président Macron a aussi annoncé récemment des investissements dans un projet de futur petit réacteur (SMR).
"Si nous voulons payer notre énergie à des tarifs raisonnables et ne pas dépendre de l'étranger, il nous faut tout à la fois continuer d'économiser l'énergie et d'investir dans la production d'énergies décarbonées sur notre sol", a déclaré Emmanuel Macron, qui a déjà souligné les avantages de l'énergie nucléaire ces derniers mois, notamment du point de vue climatique.
"Ces investissements nous permettront d'être à la hauteur de nos engagements au moment où nous allons clôturer la COP 26 à Glasgow", a-t-il assuré.
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https://www.connaissancedesenergies.org ... ses-220120Électricité: le gouvernement estime que l'intervention de l'État a évité la fermeture de 150 entreprises
AFPparue le 20 janv. 2022
Sans intervention du gouvernement pour obliger EDF à fournir de l'électricité à des prix plus bas, 150 entreprises françaises auraient pu fermer en raison de la flambée des prix de l'électricité, et 45.000 emplois auraient été menacés, a estimé le ministère de l'Industrie jeudi.
"Pour les consommateurs industriels d'électricité, l'enjeu était existentiel, sans intervention du gouvernement, 150 entreprises électro-intensives auraient pu fermer", menaçant ainsi directement quelque "45.000 emplois", sans compter tous ceux des entreprises clientes en aval de la chaîne, a affirmé un conseiller au cabinet de la ministre déléguée à l'Industrie, lors d'un briefing avec la presse.
Agnès Pannier-Runacher doit se rendre vendredi sur le site d'Aluminium Dunkerque, plus gros site industriel de France consommateur d'électricité, qui utilise l'équivalent de la consommation d'une ville de 850.000 ménages, pour évoquer ces mesures.
Face à la flambée historique des prix du gaz et de l'électricité en Europe en 2021, le Premier ministre Jean Castex avait annoncé en septembre un bouclier tarifaire pour limiter à 4% l'augmentation des tarifs réglementés de l'électricité en 2022. Alors que la hausse mécanique aurait frôlé les +45% le 1er février, selon le régulateur, sur la base des prix du marché.
Pour y parvenir, le gouvernement a annoncé le 14 janvier une augmentation de 20 terawattheures (TWh) du volume d'électricité nucléaire vendu à prix réduit par EDF cette année au bénéfice des industriels comme des particuliers, un mécanisme appelé Arenh (pour "accès régulé à l'électricité nucléaire historique"). Ce qui a déclenché la grogne d'EDF, direction et syndicats compris.
Les sites industriels les plus menacés par la conjoncture étaient ceux qui consomment beaucoup d'électricité, comme les usines d'aluminium, de ferro-alliages, de plastique PVC "qui sont des matériaux courants vendus à d'autres industriels de l'automobile ou de l'aéronautique notamment, qui eux aussi auraient pu subir en cascade un effet domino", a indiqué le conseiller de Bercy.
Alors que le dispositif Arenh, autorisé par la Commission européenne jusqu'en 2025, doit de toute façon s'éteindre, une mission d'expertise a été confiée par la ministre à Philippe Darmayan, l'ancien patron du sidérurgiste ArcelorMittal France, mais aussi ancien patron de l'UIMM et de France Industrie, a indiqué le cabinet.
"Il va réfléchir sur l'établissement de contrats à long terme" pour les industriels désireux de s'approvisionner en électricité, indique-t-on de même source. Sa mission est prévue pour 6 mois, avec un point d'étape fin mars, selon une source industrielle.
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Alors qu'il suffirait de rétablir le quasi monopole d'EDF et tout ces problèmes n'existeraient pas.
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https://www.connaissancedesenergies.org ... que-220125Carburants: coup de pouce du gouvernement à l'indemnité kilométrique
AFP le 25 janv. 2022
Le gouvernement a annoncé mardi un coup de pouce aux travailleurs de la classe moyenne, en revalorisant de 10% le barême de l'indemnité kilométrique pour les ménages imposés déclarant leurs frais professionnels afin de les aider face aux prix à la pompe.
Avec ce dispositif, qui permettra une réduction moyenne annuelle d'impôt de 150 euros selon Bercy, l'exécutif a choisi de s'adresser à "ceux de nos concitoyens qui roulent beaucoup, c'est-à-dire ceux pour qui le véhicule est finalement un moyen de travail ou de recherche d'emploi", a expliqué devant l'Assemblée nationale Jean Castex, citant les "infirmières" ou "aides à domicile" en milieu rural.
Une manière aussi pour le gouvernement de combler un angle mort, puisqu'une partie des Français n'étaient pas concernés par l'indemnité inflation de 100 euros en cours de versement, ou le chèque énergie supplémentaire.
Ce "dispositif complémentaire", expliquent les services de Bercy, permet de toucher les "déciles de revenus 4 à 7", "le coeur de classe moyenne".
Chaque calcul dépendra de la tranche d'imposition, de la cylindrée, ou de la distance parcourue.
"Vous ne parlez qu'aux Français qui sont imposables", a dans la foulée regretté la patronne des députés socialistes Valérie Rabault. "Vous ne parlez absolument pas à ceux qui gagnent moins de 1.295 euros nets par mois", a-t-elle insisté, évoquant les "17 millions de Français qui prennent chaque jour la voiture pour aller travailler".
Au total, cette réévaluation du barême devrait concerner 4,3 millions de foyers (5,6 millions de personnes) déclarant leurs frais réels, dont 2,5 millions sont effectivement imposés, de source gouvernementale.
"L'effet sera rapide et direct dès leur déclaration d'impôt sur les revenus 2021 ou les bénéfices de l'année dernière", a assuré M. Castex.
Ce relèvement devrait être officialisé "dès cette semaine" par un arrêté, a encore précisé le Premier ministre.
Selon lui, "cette revalorisation a vocation également à servir de référence, et donc potentiellement à se répercuter, sur les indemnités kilométriques directement versées par les employeurs à leurs salariés qui utilisent leur véhicule personnel".
- Plus de 15 milliards -
Les prix des carburants volent de record en record, poussés par la hausse des cours du brut, et le gouvernement phosphorait depuis plusieurs jours pour répondre à cette situation qui ampute le pouvoir d'achat des Français à dix semaines de la présidentielle.
L'exécutif a déjà sorti plusieurs fois le carnet de chèques ces derniers mois face à l'inflation, versant notamment une prime de 100 euros à 38 millions de personnes.
"20 millions de Français l'ont d'ores et déjà reçue", a dit mardi M. Castex.
"Les agents publics qui sont éligibles recevront leur indemnité sur la paie de fin janvier. Et fin février, s'ajouteront 12 millions de nos concitoyens retraités, qui la percevront via leurs caisses de retraite", a-t-il précisé.
A cela, s'est ajouté en décembre un versement supplémentaire exceptionnel de 100 euros pour six millions de ménages bénéficiaires du chèque énergie. Le gouvernement a aussi bloqué les prix du gaz et limité à 4% la hausse des prix de l'électricité, mettant EDF à contribution pour y parvenir.
En tout, 15 milliards ont donc déjà été mis sur la table pour tenter d'amortir l'inflation. S'y ajoutent donc 400 millions d'euros pour le relèvement du barême de l'indemnité kilométrique. "Un effort inédit, responsable, juste et nécessaire", a vanté mardi M. Castex.
Le chef du gouvernement, dans le sillage du ministre de l'Economie Bruno Le Maire, a en revanche écarté tout abaissement de la TVA sur les carburants à 5,5%.
Ce "n'est pas la solution" car cette mesure "n'est pas ciblée sur ceux qui en ont le plus besoin", et elle "coûte des milliards avec le risque qu'elle soit immédiatement effacée si le cours du baril grimpe encore", a plaidé M. Castex.
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Re: Politique energétique mandat de E.Macron
https://www.connaissancedesenergies.org ... t-220312-1Le gouvernement financera une remise de 15 centimes par litre de carburant
AFP le 12 mars 2022
Face à l'envolée des prix du carburant, et à moins d'un mois de la présidentielle, le Premier ministre Jean Castex a annoncé une "remise à la pompe de 15 centimes par litre" de carburant, à partir du 1er avril et pendant quatre mois.
Cette mesure, qui coûtera environ 2 milliards d'euros à l'État, concerne les ménages comme les entreprises et sera "valable sur tous les carburants", a précisé le Premier ministre dans une interview au journal Le Parisien.
Les prix de tous les carburants, et notamment du diesel, augmentent en continu depuis plus de deux mois, en France comme dans le reste de l'Europe et ailleurs, en faisant l'un des sujets importants de la campagne électorale, avec l'inflation en général. La hausse a été causée par une production de pétrole qui n'arrive pas à suivre le rythme de la forte reprise économique mondiale, et qui a été encore accélérée par l'invasion russe de l'Ukraine.
En France, en moyenne, le litre de gazole valait 1,8831 euro la première semaine de mars, mais les prix dépassent aujourd'hui largement 2 euros dans de très nombreuses stations-services.
La remise s'effectuera au moment du paiement, en caisse ou par carte bancaire à la pompe, et ne sera donc pas visible d'emblée sur les prix affichés, a détaillé le chef du gouvernement.
Si l'État "remboursera" ensuite les distributeurs, Jean Castex les a appelés, tout comme les "pétroliers", à faire eux-mêmes "un geste complémentaire". Des "discussions" sur ce point sont en cours, a précisé Matignon qui a décelé "des signaux positifs".
"Comment les Français comprendraient qu'ils payent un plein de gasoil à 2 euros, pendant qu'au même moment les pétroliers dégagent toujours de gros bénéfices", s'est-il interrogé.
L'annonce a fait réagir les prétendants à l'Elysée: insuffisante pour Marine Le Pen, pour qui "le gouvernement se moque de nous en baissant le prix de 15 centimes" dix jours avant le premier tour du 10 avril.
Le candidat communiste Fabien Roussel a demandé d'aller plus loin et de bloquer les prix à 1,70 euro le litre.
Point de clientélisme, s'est défendu Jean Castex: "Me voyez-vous leur dire +circulez, il n'y a rien à voir !+ parce qu'il y a une élection dans moins de trente jours? Ce n'est pas ma conception de ma responsabilité".
- Plus de 22 milliards d'euros -
Jean-Yves Mano, président de l'association de défense des consommateurs CLCV, a dit à l'AFP y voir une "réponse concrète" mais regrette qu'il faille attendre le 1er avril pour sa mise en place.
Pour Pierre Chasseray, délégué général de 40 millions d'automobilistes, le geste est "juste normal" puisque "l'Etat engrange actuellement des recettes de TVA qui dépassent le budget prévu".
Matignon se défend en rappelant que le gouvernement a déjà pris une batterie de mesures pour tenter d'endiguer les effets de la hausse continue des prix de l'énergie depuis des mois, aggravée par l'invasion de l'Ukraine: blocage du prix du gaz jusqu'à la fin de l'année 2022, limitation à 4% de la hausse du prix de l'électricité, chèque énergie exceptionnel, indemnité inflation pour 38 millions de personnes, ou encore hausse du barème des indemnités kilométriques.
La facture totale des mesures énergétiques avait même été chiffrée à quelque 22 milliards d'euros par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, dont 10 milliards d'euros pour le gel des prix du gaz et 8 milliards d'euros pour le plafonnement des tarifs de l'électricité.
Avec les secousses mondiales sur les marchés de l'énergie, les cours du pétrole ont fluctué cette semaine. Michel-Edouard Leclerc, le président du comité stratégique des magasins E.Leclerc, anticipait même vendredi sur BFMTV que les prix allaient baisser dès lundi.
Pas de quoi remettre en cause la mesure selon Matignon, qui la réexaminera en cas de chute des prix, un scénario cependant "peu probable" étant donné que les cours du pétrole étaient déjà élevés avant la crise russo-ukrainienne.
M. Castex doit en outre dévoiler la semaine prochaine "un plan de résilience" économique et social face aux conséquences de la guerre, qui complètera cette mesure de remise.
Il a aussi promis pour les pêcheurs "des mesures permettant un abaissement de leurs charges sociales et portuaires".
c'est bon, mon dernier plein devrait me faire tenir jusqu'au 1er avril.
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Re: Politique energétique mandat de E.Macron
Moi aussi, largement, j'avais complété à 1.729 le 03-03, normalement je tiens jusqu'au 10-04
Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72.
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Re: Politique energétique mandat de E.Macron
https://www.connaissancedesenergies.org ... l-220316-0L'aide de 15 centimes au carburant étendue au gaz naturel véhicule et au GPL
AFP le 16 mars 2022
La remise à la pompe de 15 centimes par litre de carburant, accordée par le gouvernement à partir d'avril pour quatre mois, va être étendue au gaz naturel véhicule (GNV) et au gaz de pétrole liquéfié (GPL), selon le Premier ministre Jean Castex.
La remise sur les carburants "concernera tous les Français, sur le territoire métropolitain et dans les Outre-mers, les particuliers comme tous les professionnels", a déclaré mercredi M. Castex en présentant à la presse un "plan de résilience économique et social" pour faire face aux conséquences du conflit en Ukraine.
"Pourront notamment bénéficier de la mesure les routiers, les taxis et les transporteurs sanitaires, les agriculteurs, les acteurs des travaux publics et les pêcheurs, mais aussi toutes les professions qui utilisent beaucoup leur véhicule, telles que les aides à domicile", a dit M. Castex en annonçant "que ce dispositif sera étendu au gaz naturel véhicule et au GPL".
Le Premier ministre, qui avait appelé dimanche les "pétroliers" à faire "un geste complémentaire", a signalé que le groupe TotalEnergies avait "déjà donné son accord de principe pour aller au-delà de l'effort de l'Etat".
"Face à la hausse des prix du pétrole, nous étendons l'action de solidarité sur les carburants routiers que nous avions décidée mi-février", a tweeté le PDG de TotalEnergies, Patrick Pouyanné.
"Au 1er avril, notre remise en caisse de 10 cts/l sera donc appliquée dans toutes les stations-service TotalEnergies en France", et non seulement en zone rurale comme annoncé en février, a-t-il ajouté. Cette remise s'ajoutera donc à celle du gouvernement.
Les prix des carburants ont grimpé pendant des semaines, volant de record en record dans le sillage des prix du pétrole brut, et dépassant les 2 euros en moyenne la semaine dernière.
En France, le litre de gazole valait 2,1407 euros en moyenne, soit une hausse d'environ 40 centimes en deux semaines, selon les derniers chiffres officiels hebdomadaires arrêtés à vendredi.
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Re: Politique energétique mandat de E.Macron
suite des posts au dessus.
https://www.connaissancedesenergies.org ... edi-220329La remise d'au moins 15 centimes à la pompe entre en vigueur vendredi
AFPparue le 29 mars 2022
Promise par le gouvernement face à la flambée des prix, la remise d'au moins 15 centimes à la pompe entre en vigueur à partir de vendredi pour soulager le budget des automobilistes et devrait être bien appliquée, selon les professionnels.
Face à des prix du carburant qui ont récemment passé la barre des 2 euros, le Premier ministre Jean Castex avait annoncé à la mi-mars cette remise à la pompe, à partir du 1er avril - soit à une dizaine de jours du premier tour de la présidentielle - et pendant quatre mois.
La ristourne promise de 15 centimes montera en réalité jusqu'à 18 centimes TTC par litre de carburant pour les consommateurs de Métropole continentale, une différence qui s'explique par le montant de la TVA appliquée dans les différents territoires français.
Elle sera d'environ 17 centimes en Corse où la TVA est moindre et de 15 centimes en Outre-mer, où il n'y a pas de TVA sur les produits pétroliers.
Certains réseaux de distributeurs ajoutent en plus leur propres promotions à la mesure du gouvernement, qui va y consacrer trois milliards d'euros.
Le prix affiché à la pompe inclura la ristourne, alors qu'initialement le gouvernement avait dit que la réduction ne serait pas affichée sur les totems des stations et serait appliquée en caisse. Les distributeurs bénéficient eux-mêmes en amont de la remise, au niveau des centrales d'achat, depuis dimanche, ce qui devrait permettre au dispositif d'être fluide au moment de son entrée en vigueur.
Le gouvernement a aussi prévu une avance pour les petites stations-service indépendantes, souvent situées à la campagne, qui parfois ne renouvellent leur cuve que tous les 10 voire 20 jours, afin qu'elles puissent appliquer la remise dès le 1er avril.
"Tout est mis en oeuvre pour que ça aille le plus vite possible", juge Francis Pousse, de Mobilians, organisation patronale du secteur automobile, qui avait poussé pour cette dernière mesure.
Selon lui, les stations seront sous pression pour proposer la ristourne dès vendredi: "vu le contexte concurrentiel, quand les autres autour de vous vont baisser de 18 centimes, vous avez intérêt plutôt à pouvoir suivre".
Il note toutefois que tous les grossistes n'avaient pas encore mis en place la réduction en début de semaine. "Ça veut dire que les stations dépendantes de grossistes qui tardent un peu vont être entre guillemets pénalisées", souligne M. Pousse.
La mesure profitera aux particuliers mais aussi aux professionnels: agriculteurs, pêcheurs, transporteurs routiers, taxis, professions du BTP.
Mécontents des annonces du gouvernement, certains professionnels avaient toutefois rejoint la semaine dernière des barrages filtrants, blocages de dépôts pétroliers et de raffineries dans toute la France.
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Re: Politique energétique mandat de E.Macron
https://www.connaissancedesenergies.org ... ent-220329Les conditions ne sont "plus réunies" pour une hausse du GNR au 1er janvier 2023, juge le gouvernement
AFP le 29 mars 2022
Le gouvernement a indiqué mardi que les conditions n'étaient "plus réunies" pour mettre en oeuvre la hausse du gazole non routier (GNR) qui devait intervenir au 1er janvier 2023 pour les entreprises du bâtiment et des travaux publics, compte tenu de la hausse des prix actuelle.
"La guerre en Ukraine a des conséquences économiques sur l'activité des entreprises du secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP), dues notamment à l'importante volatilité du prix des matériaux de construction et au niveau élevé des prix des carburants", écrit le ministère de l'Économie et des Finances dans un communiqué.
Une hausse du gazole non routier - via la suppression d'un avantage fiscal - devait intervenir au 1er janvier 2023. Initialement envisagée de façon progressive, puis en une seule fois, pour application au 1er juillet 2021, le gouvernement avait finalement décidé de repousser cette réforme en 2023.
Mardi, "le gouvernement prend acte de la demande des professionnels de reporter la réforme supprimant l'avantage fiscal sur le GNR, qui doit en principe entrer en vigueur au 1er janvier 2023", indique le ministère.
"À ce stade, les conditions ne sont pas réunies pour ouvrir ce sujet, qui nécessite une loi de finance", estime Bercy. "Compte tenu de l'augmentation des prix, le gouvernement reconnaît toutefois que les conditions de mise en oeuvre de cette réforme ne sont plus réunies et qu'il appartiendra au Parlement d'établir un calendrier lors de la prochaine loi de finances", ajoute le ministère.
Dans un communiqué, l'organisation CNATP (artisans des travaux publics et du paysage) a salué cette annonce.
"Le gouvernement sans pouvoir annuler ou reporter la suppression du GNR au 1er janvier 2023 durant cette période électorale, reconnait néanmoins le bien-fondé de revoir la suppression du GNR dans la loi de Finances rectificative de juillet prochain", a-t-elle commenté.
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https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 1af1ea325bLa remise à la pompe financée par l'Etat entre en vigueur
AFP•01/04/2022
A neuf jours de l'élection présidentielle, la ristourne gouvernementale d'au moins 15 centimes par litre de carburant sera effective vendredi partout en France, de quoi soulager quelque peu des automobilistes confrontés à la flambée des prix à la pompe depuis des mois.
Face à des prix qui ont passé la barre des 2 euros par litre en moyenne, et parmi d'autres mesures contre l'inflation, le Premier ministre Jean Castex avait annoncé mi-mars cette remise pour le 1er avril, et pendant quatre mois.
Certains prétendants à l'Elysée avaient alors jugé cette annonce "électoraliste" ou insuffisante, voire "dérisoire", à l'image de Valérie Pécresse qui a jugé "la ficelle un peu grosse", si près du scrutin.
La ristourne sera "disponible dans toutes les stations-service de France", en métropole comme dans les territoires ultra-marins, a assuré le gouvernement jeudi, et pour les particuliers comme pour les professionnels.
"On s'attend à un coup de bélier pendant les premiers jours d'avril", indique Frédéric Plan, délégué général de la Fédération française des combustibles, carburants et chauffage (FF3C), qui représente notamment des stations-services indépendantes.
Selon lui, les automobilistes avaient attendu ces derniers temps pour faire le plein, "parce que tant qu'à réapprovisionner votre réservoir, vous attendez l'ouverture de la mesure".
"C'est un point de vigilance", a confirmé le gouvernement, qui "n'exclut pas que de-ci, de-là, il y ait des situations avec des stations qui soient temporairement à sec".
La ristourne montera en réalité jusqu'à 18 centimes TTC par litre en métropole continentale, une différence qui s'explique par le montant de la TVA appliquée dans les différents territoires français.
Elle sera d'environ 17 centimes en Corse où la TVA est moindre et de 15 centimes en Outre-mer, où il n'y a pas de TVA sur les produits pétroliers.
Certains réseaux de distributeurs ajoutent en plus leur propres promotions à la mesure du gouvernement, qui va y consacrer trois milliards d'euros.
- La remise affichée -
Le prix affiché à la pompe inclura la ristourne, alors qu'initialement le gouvernement avait dit que la réduction ne serait pas affichée sur les totems des stations et serait appliquée en caisse. Les distributeurs bénéficient eux-mêmes en amont de la remise, au niveau des centrales d'achat, depuis dimanche, ce qui devrait permettre au dispositif d'être fluide au moment de son entrée en vigueur.
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Re: Politique energétique mandat de E.Macron
https://www.connaissancedesenergies.org ... tes-220401Cafés, bars, restaurants: les terrasses chauffées ou climatisées désormais interdites
AFP le 01 avr. 2022
Les terrasses des cafés, bars ou restaurant ne peuvent plus être chauffées ni climatisées, depuis le 31 mars, aux termes d'un décret paru au Journal officiel, en application de la loi portant lutte contre le dérèglement climatique.
Ce décret d'application immédiate, paru jeudi matin, est la traduction d'une proposition de la Convention citoyenne pour le climat, transposée dans l'article 181 de la loi du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets.
Désormais "l'utilisation sur le domaine public de systèmes de chauffage ou de climatisation consommant de l'énergie et fonctionnant en extérieur est interdite", y compris ceux utilisant une énergie verte. Certaines municipalités avaient déjà pris des arrêtés dans ce sens.
Quatre exceptions ne sont toutefois pas concernés par cette interdiction: les "chapiteaux fermés des cirques et des activités foraines", les "installations mobiles couvertes et fermées des manifestations culturelles, sportives ou festives temporaires" ; les "zones d'attente dans les gares, ports et aéroports", et enfin "les bars, cafés, restaurants dont les terrasses sont entièrement couvertes et fermées sur leurs faces latérales par des parois solides reliées par une jointure étanche à l'air à la paroi supérieure", précise le décret.
Les maires restent toutefois libres de fixer une interdiction générale à tous les types de terrasses sur le domaine public.
A compter du 30 juin 2022, une amende de 5ème classe -allant jusqu'à 1.500 euros, le double en cas de récidive, pour les personnes physiques et jusqu'à 7.500 euros ou 30.000 euros en cas de récidive pour les personnes morales-, réprimera la violation de cette disposition, aux termes du décret.
"La fin des terrasses chauffées sur l'espace publique apparait malheureusement comme inévitable, issue de la convention citoyenne pour le climat de fin 2019", commente vendredi l'Umih, principal syndicat patronal du secteur des cafés, hôtels et restaurants (CHR), dans un communiqué.
"Pourtant, l'aménagement des terrasses a représenté un investissement important pour les CHR et venait compenser l'interdiction de fumer à l'intérieur de l'établissement", poursuit l'organisation, rappelant que les professionnels avaient obtenu que l'application de cette mesure soit reportée d'un an.
Les terrasses situées sur le domaine privé ne sont pas concernées par cette interdiction.
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Re: Politique energétique mandat de E.Macron
E Macron trompe les personnes sur l'écologie,... :
- Il dit que les résultats sont meilleur après 2018, se qui est logique avec les confinements qui ont bloqué les personnes et donc ont fait que 2021 et surtout 2020 les émissions de CO2 ont été moins important et donc ce n'est pas suite à l'action de E Macron contrairement à se qu'il tente de nous faire croire mais un coup de hasard avec un problème de santé. Par contre des personnes du gouvernement ont bp émis de CO2, voir en peu de temps, quand ont voit que Jean Castex a fait en 24 h un aller-retour avec un jet privé en Falcon, de Paris Perpignan puis Perpignan Paris seulement que pour aller voter et ceci en dépensant sur notre dos environ 10.000 euros et en émettant 4460 Kg de CO2....
- Puis les 4 centrales à charbon qui devaient être fermée à la fin de son quinquennat suivant sa promesse en 2017 n'ont pas était fermée suite à la fermeture de la centrale nucléaire Fessenheim en 2020 avant même que celle en construction soit finie. De plus en 2017-2018 il annonçait que 14 réacteurs nucléaires seraient arrêtés d'ici 2035, dont quatre à six d'ici 2030 et maintenant il nous dit tout l'inverse, à croire qu'il ne sait plus se qu'il faut faire pour l'écologie.
- Puis regardez, c'est la première fois qu'un ministre de l'écologie, N Hulot, est partie du fait que le président de la république ne l'écoutait pas.
- Et il faut aussi voir que E Macron n'a rien fait contre la chasse aux animaux en voit d’extinction, quand on voit que même lors de la chasse 2022/2023 il va y avoir une fois de plus le Grand-Tétras (Coq de bruyère),... qui vont être chassables malgré que ces oiseaux ou... sont en voit extinction depuis 50 ans.
Voici plus d'infos de 20 Minutes nous prouvant que E Macron n'a pas tenu ses promesses écologiques : https://www.20minutes.fr/elections/pres ... s-ecologie
Après cela il nous dit :
Williams
- Il dit que les résultats sont meilleur après 2018, se qui est logique avec les confinements qui ont bloqué les personnes et donc ont fait que 2021 et surtout 2020 les émissions de CO2 ont été moins important et donc ce n'est pas suite à l'action de E Macron contrairement à se qu'il tente de nous faire croire mais un coup de hasard avec un problème de santé. Par contre des personnes du gouvernement ont bp émis de CO2, voir en peu de temps, quand ont voit que Jean Castex a fait en 24 h un aller-retour avec un jet privé en Falcon, de Paris Perpignan puis Perpignan Paris seulement que pour aller voter et ceci en dépensant sur notre dos environ 10.000 euros et en émettant 4460 Kg de CO2....
- Puis les 4 centrales à charbon qui devaient être fermée à la fin de son quinquennat suivant sa promesse en 2017 n'ont pas était fermée suite à la fermeture de la centrale nucléaire Fessenheim en 2020 avant même que celle en construction soit finie. De plus en 2017-2018 il annonçait que 14 réacteurs nucléaires seraient arrêtés d'ici 2035, dont quatre à six d'ici 2030 et maintenant il nous dit tout l'inverse, à croire qu'il ne sait plus se qu'il faut faire pour l'écologie.
- Puis regardez, c'est la première fois qu'un ministre de l'écologie, N Hulot, est partie du fait que le président de la république ne l'écoutait pas.
- Et il faut aussi voir que E Macron n'a rien fait contre la chasse aux animaux en voit d’extinction, quand on voit que même lors de la chasse 2022/2023 il va y avoir une fois de plus le Grand-Tétras (Coq de bruyère),... qui vont être chassables malgré que ces oiseaux ou... sont en voit extinction depuis 50 ans.
Voici plus d'infos de 20 Minutes nous prouvant que E Macron n'a pas tenu ses promesses écologiques : https://www.20minutes.fr/elections/pres ... s-ecologie
Après cela il nous dit :
Williams
voici mes sites :
- http://naturescience.free.fr/
- http://la.climatologie.free.fr/
- http://www.flickr.com/photos/113385579@N08/ (plein de photos de la nature)
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Re: Politique energétique mandat de E.Macron
J'ai l'impression que, peu importe le mandat, d'après ce que j'ai pu lire dans cet article https://www.monpetitforfait.com/energie ... regulateur, la France déclare clairement que la guerre en Russie met en avant les contradictions et "bases" fragiles de l'énergie.
Si on s'éloigne un peu politique Macron, malgré le fait que tous les arguments cités dans ce topic sont très intéressants, j'ai l'impression que quoi qu'il arrive, le parc nucléaire tend à s'arrêter au niveau national et c'est assez effrayant. Est-ce que la situation s'améliorera avec un nouveau mandat, différent ou radicalement optimisé... À l’heure actuelle en tout cas, la politique énergétique est dangereusement remise en cause d'après l'article.
Si on s'éloigne un peu politique Macron, malgré le fait que tous les arguments cités dans ce topic sont très intéressants, j'ai l'impression que quoi qu'il arrive, le parc nucléaire tend à s'arrêter au niveau national et c'est assez effrayant. Est-ce que la situation s'améliorera avec un nouveau mandat, différent ou radicalement optimisé... À l’heure actuelle en tout cas, la politique énergétique est dangereusement remise en cause d'après l'article.
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- Hydrogène
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Re: Politique energétique mandat de E.Macron
On a le droit de se tromper et de revenir sur ses erreurs ! L'erreur la plus grave a été la fermeture de Fessenheim. Il s'en est rendu compte trop tard aveuglé par les pseudo écologistes qui veulent arrêter le nucléaire. Il suffit de voir les allemands totalement accrocs au gaz russe qui pensent que l'éolien et le PV peuvent permettre de se passer du nucléaire...williams a écrit : ↑19 avr. 2022, 10:53- Puis les 4 centrales à charbon qui devaient être fermée à la fin de son quinquennat suivant sa promesse en 2017 n'ont pas était fermée suite à la fermeture de la centrale nucléaire Fessenheim en 2020 avant même que celle en construction soit finie. De plus en 2017-2018 il annonçait que 14 réacteurs nucléaires seraient arrêtés d'ici 2035, dont quatre à six d'ici 2030 et maintenant il nous dit tout l'inverse, à croire qu'il ne sait plus se qu'il faut faire pour l'écologie.
Ne pas oublier que l'énergie la plus écologique est justement le nucléaire. C'est la seule qui va nous permettre de trouver notre indépendance énergétique.