Mercino-voiture a écrit :Un grand bravo à marcel 2x15km/jour ! Je sais pas si j'aurais le courage pour en faire autant.
[Vélo] Un vélo ? ...couché !
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marcel
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je comprend pas non plus !vipere mazoutee a écrit :bon, faut pas s'enerver comme ca
Au passage, du VTT en velo urbain ou coursier c'est aussi innadapte que le VC!
Un VTT c'est peut étre un peu moins roulant qu' un vélo normal, certes, mais c'est tellement agrable avec la suspension, et les pneus épais pour prendre les bordures sans tout casser.
J' ai un VTT.
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Le vtt est inadapté en ville si l'on ne maitrise pas les techniques vtt (sauts...).
Perso, j'aime bien que mon vélo ait du répondant, je déteste forcer et faire du sur place. Donc pour moi, exit les vtt suspendus et les vélos villes tous mous. Le manque de rigidité bouffe bcp trop d'énergie.
En ville, pour aller au taff, j'ai un vieux vtc aux pneux lisses, c'est parfait. Sinon, pour faire du sport, j'ai un pseudo vélo route à guidon droit. Le jour où je déciderais d'acheter un bon vélo, je crois que j'achèterais un vc, vu que les prix sont équivalents aux vd de qualité.
Perso, j'aime bien que mon vélo ait du répondant, je déteste forcer et faire du sur place. Donc pour moi, exit les vtt suspendus et les vélos villes tous mous. Le manque de rigidité bouffe bcp trop d'énergie.
En ville, pour aller au taff, j'ai un vieux vtc aux pneux lisses, c'est parfait. Sinon, pour faire du sport, j'ai un pseudo vélo route à guidon droit. Le jour où je déciderais d'acheter un bon vélo, je crois que j'achèterais un vc, vu que les prix sont équivalents aux vd de qualité.
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Oula, attention, faut pas trop te vanter de ton énorme VTT qui émet plus de 500g de CO2 au km, les brigades anti 4x4 vont te crever les pneusenergy_isere a écrit :Un VTT c'est peut étre un peu moins roulant qu' un vélo normal, certes, mais c'est tellement agrable avec la suspension, et les pneus épais pour prendre les bordures sans tout casser.
J' ai un VTT.
(j'ai calculé rapidement, avec 15kg de VTT en plus de 70kg, on émet au alentour de 500g de CO2 par km... de dénivelé
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Je suis pas sûr que les adeptes de vélo couchés soit bien avisé de commencer une polémique sur le ton de "il a l'air con sur son engin".... Enfin moi je dis ça je dis tout.bufo_72 a écrit :[Ironie ON]
Si vous voulez mon avis, Jean (..) est un adepte du vélod roit, il se promène avec toute la panoplie de la Discovery Channel (cuissard, maillot, casquette, bidon, ...) et un jour, il s'est fait fumé par un vc qui l'a laissé sur place. Depuis, il voue une haine tenace au vc
[Ironie OFF]
Oui c'est vrai que si j'avais eu une bonne expérience.... Non mais c'est quoi cet argument stupide. Si j'étais d'accord on serait même pas là à discuter.bufo_72 a écrit : Sérieusement, je trouve dommage que tes analyses soient faites suite à une mauvaise expérience sur un vc.
Ha très interessant, si les cyclistes pratiquant n'ont même pas les moyens de déplacer ton char d'assautbufo_72 a écrit : De l'avis de tous les bentriders (excusez le terme : bent=vc en anglais), il faut au moins 1000 km pour que les bons muscles se développent en vc.
Idem au dessus.bufo_72 a écrit : C'était une de mes grandes surprises mais les cuisses travaillent beaucoup plus en vc qu'en vd.
Je vois pas ce que tu faisais avec un vélo monté en 52. Enfin il devait au minimum avoir un 42. N'importe qui peut rouler avec du 42. Jamais vu de course avec un seul plateau. Je capte pas trop là.bufo_72 a écrit : Donc, u jour, tu as loué un vc (on ne sait toujours pas quel modèle, quelle taille de roue, ...), tu as un peu roulé avec et tu as trouvé ça nul. Soit.
Un jour, j'ai essayé un vélo de route de compétition pendant 1 h.
La selle était très fine et très dure, les plateaux énormes.
Je te comprends forcer comme un boeuf.bufo_72 a écrit : Je n'ai jamais été à l'aise (mon fondement non plus), bref, c'est de la merde le vd.
Si on veut être objectif et crédible, on ne peut pas raisonner comme ça.
Mais si mais si ç afait circuler le saang c'est l'échauffementvipere mazoutee a écrit :bon, faut pas s'enerver comme ca
Euh les bombonnes de Gaz sont intedites chez moi, je dois pas être le seul. Accessoirement c'est utopique que chacun fabrique son vélo, et très énergivore.vipere mazoutee a écrit : PS: mon velo perso coute tres peu: fabrique a partir de recup. sauf les roues!
Par ce qu'on roule sur la route pas sur le troitoirmarcel a écrit : Pourquoi le VTT est-il inadapté au milieu urbain?
Enfin j'ai du mal l'interêt de saute au milieu de la route.Mathieu G. a écrit :Le vtt est inadapté en ville si l'on ne maitrise pas les techniques vtt (sauts...).
Mouais mieux vaut chercher sur le marché de l'occasion tu peux trouver des superbe vélo (titane ou acier) par cherMathieu G. a écrit : Perso, j'aime bien que mon vélo ait du répondant, je déteste forcer et faire du sur place. Donc pour moi, exit les vtt suspendus et les vélos villes tous mous. Le manque de rigidité bouffe bcp trop d'énergie.
En ville, pour aller au taff, j'ai un vieux vtc aux pneux lisses, c'est parfait. Sinon, pour faire du sport, j'ai un pseudo vélo route à guidon droit. Le jour où je déciderais d'acheter un bon vélo, je crois que j'achèterais un vc, vu que les prix sont équivalents aux vd de qualité.
Beaucoup moins roulant qu'un vélo normal. Sinon mets toi au cyclo crossenergy_isere a écrit :Un VTT c'est peut étre un peu moins roulant qu' un vélo normal, certes, mais c'est tellement agrable avec la suspension, et les pneus épais pour prendre les bordures sans tout casser.
J' ai un VTT.
Dénivelé? à 10%? à 0.000000000000000001%?Glycogène a écrit : Oula, attention, faut pas trop te vanter de ton énorme VTT qui émet plus de 500g de CO2 au km, les brigades anti 4x4 vont te crever les pneus)
(j'ai calculé rapidement, avec 15kg de VTT en plus de 70kg, on émet au alentour de 500g de CO2 par km... de dénivelé)
Sinon j'aimerait bien savoir à partir de quoi tu as calculé....
- bufo_72
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Jean chie raque, t'as raison. voila, c'est dit.
Concernant le vélo en ville, j'ai aussi une préférence pour le vtt (semi rigide). Idéal pour se faufiler, escalader les trottoirs d'un saut, descendre les escaliers...
Mais bon, à Metz, les vélos sont interdits dans le centre ville (réservé aux piétons), donc, c'est bof bof.
Vipère mazoutée : tu ne serais pas "noire" dans d'autres forums ?
Concernant le vélo en ville, j'ai aussi une préférence pour le vtt (semi rigide). Idéal pour se faufiler, escalader les trottoirs d'un saut, descendre les escaliers...
Mais bon, à Metz, les vélos sont interdits dans le centre ville (réservé aux piétons), donc, c'est bof bof.
Vipère mazoutée : tu ne serais pas "noire" dans d'autres forums ?
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jc
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Pour donner une suite un peu plus constructive à ces derniers échanges de points de vue, je poste à nouveau ici le témoignage perso que j'avais donné dans ce même sujet il y a un peu moins d'un an :
Permettez-moi un témoignage personnel à ce sujet.
Durant près de 10 ans, j'ai parcouru mon trajet domicile-travail en voiture. 12 à 15 km aller, en fonction du parcours ; je ne me posais pas de questions. Et puis les embouteillages sont devenus plus fréquents et j'ai commencé à prendre mon VTT une à deux fois par semaine. Résultat ? J'arrivais épuisé au boulot car je devais presque chaque jour lutter contre le vent de face (les brises thermiques des vallées grenobloises, toujours désavantageuses quand on vient de la banlieue nord pour aller en ville...), le c... tanné, mal aux poignets et aux épaules, bref, gain de temps et d'énergie mais inconfort notoire et grosse fatigue.
J'ai alors regardé ce qui existait comme solution pour "électrifier" mon vélo. J'ai monté un kit ZAP avec un moteur de 400 W entraînant un galet sur le pneu arrière. Tout à coup la fatigue s'est estompée... Je roulais à 30 km/h de croisière, le vent ne me gênait plus. Mais subsistaient les douleurs diverses et variées.
Un jour, alors que je roulais à 30 à l'heure sur la piste cyclable avec mon vélo électrique, j'étais doublé par un drôle d'engin à ras de terre. Un gars allongé sur son drôle de vélo, le pédalier devant, il roulait facile, 5 km/h plus vite que moi, en dégageant une sensation de facilité et de confort qui m'a estomaqué. Je me suis dit alors "ce truc-là c'est pour moi !".
Il y a un peu plus de deux ans, après avoir épluché internet sur ces fameux vélos couchés, puis essayé un pour la première fois, j'ai franchi le pas, cassé la tirelire et acquis l'engin. Depuis, ce n'est que du bonheur ! Le vent je m'en fiche ; je roule entre 35 et 40 km/h sur mon parcours quotidien, je mets 15 mn de moins qu'en voiture, 35 mn de moins qu'en transport en commun, je m'amuse, j'en rajoute pour le plaisir (oups, j'ai raté le tournant pour aller à la maison, tant pis... ), je rigole tout seul sur cette machine fabuleuse, le meilleur moyen qui existe pour se déplacer rapidement à l'énergie humaine.
La preuve que même pour un parcours de 26 km aller-retour domicile-travail, le vélo couché, ça le fait !
Vivement que ça se démocratise ! On verrait plus de sourires sur le visage des cyclistes !
Le VC n'est pas la solution-miracle en ville. Cela dépend évidemment du type de parcours que l'on emprunte. Mais pour mon parcours, il n'y a pas photo : c'est de très loin la meilleure solution à vélo. Et je parle d'expérience pour avoir essayé les principales solutions : du VTT au vélo de course, en passant par le VTC et le vélo électrifié.
Permettez-moi un témoignage personnel à ce sujet.
Durant près de 10 ans, j'ai parcouru mon trajet domicile-travail en voiture. 12 à 15 km aller, en fonction du parcours ; je ne me posais pas de questions. Et puis les embouteillages sont devenus plus fréquents et j'ai commencé à prendre mon VTT une à deux fois par semaine. Résultat ? J'arrivais épuisé au boulot car je devais presque chaque jour lutter contre le vent de face (les brises thermiques des vallées grenobloises, toujours désavantageuses quand on vient de la banlieue nord pour aller en ville...), le c... tanné, mal aux poignets et aux épaules, bref, gain de temps et d'énergie mais inconfort notoire et grosse fatigue.
J'ai alors regardé ce qui existait comme solution pour "électrifier" mon vélo. J'ai monté un kit ZAP avec un moteur de 400 W entraînant un galet sur le pneu arrière. Tout à coup la fatigue s'est estompée... Je roulais à 30 km/h de croisière, le vent ne me gênait plus. Mais subsistaient les douleurs diverses et variées.
Un jour, alors que je roulais à 30 à l'heure sur la piste cyclable avec mon vélo électrique, j'étais doublé par un drôle d'engin à ras de terre. Un gars allongé sur son drôle de vélo, le pédalier devant, il roulait facile, 5 km/h plus vite que moi, en dégageant une sensation de facilité et de confort qui m'a estomaqué. Je me suis dit alors "ce truc-là c'est pour moi !".
Il y a un peu plus de deux ans, après avoir épluché internet sur ces fameux vélos couchés, puis essayé un pour la première fois, j'ai franchi le pas, cassé la tirelire et acquis l'engin. Depuis, ce n'est que du bonheur ! Le vent je m'en fiche ; je roule entre 35 et 40 km/h sur mon parcours quotidien, je mets 15 mn de moins qu'en voiture, 35 mn de moins qu'en transport en commun, je m'amuse, j'en rajoute pour le plaisir (oups, j'ai raté le tournant pour aller à la maison, tant pis... ), je rigole tout seul sur cette machine fabuleuse, le meilleur moyen qui existe pour se déplacer rapidement à l'énergie humaine.
La preuve que même pour un parcours de 26 km aller-retour domicile-travail, le vélo couché, ça le fait !
Vivement que ça se démocratise ! On verrait plus de sourires sur le visage des cyclistes !
Le VC n'est pas la solution-miracle en ville. Cela dépend évidemment du type de parcours que l'on emprunte. Mais pour mon parcours, il n'y a pas photo : c'est de très loin la meilleure solution à vélo. Et je parle d'expérience pour avoir essayé les principales solutions : du VTT au vélo de course, en passant par le VTC et le vélo électrifié.
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C'est clair qu'en ville le VTT n'est pas adapté; à tel point que pour la ville j'ai dû abandonner mon VTT pour un vélo de course avec guidon VTT. En plus un VTT avec des gros pneus à crampon ça ralentit un max; bref on se traine en VTT; mon VTT je le garde uniquement pour rouler sous la neige et faire des ballades en forêt.J' ai un VTT. Wink
Beaucoup moins roulant qu'un vélo normal. Sinon mets toi au cyclo cross
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marcel
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rico a écrit : C'est clair qu'en ville le VTT n'est pas adapté; à tel point que pour la ville j'ai dû abandonner mon VTT pour un vélo de course avec guidon VTT. En plus un VTT avec des gros pneus à crampon ça ralentit un max; bref on se traine en VTT; mon VTT je le garde uniquement pour rouler sous la neige et faire des ballades en forêt.
Tout ça dépend du parcours. J'ai aussi un vélo de course et je ne le prend pas pour mon parcours parce que je ne peux pas passer aux même endroits et que je dois mettre les chaussures spéciales. Quand je disais VTT je pensais essentiellement cadre VTT. J'ai bien précisé que je n'utilisais pas les pneus cramponnés de cross (J'ai deux paires de roues) et je n'ai pas de suspensions. Les pneus intermédiaires sont lisses mais suffisamment épais pour conserver du confort et de la résistance aux contraintes.j'ean chie raque a écrit : marcel a écrit:
Pourquoi le VTT est-il inadapté au milieu urbain?
Par ce qu'on roule sur la route pas sur le trottoir
Chaque vélo et chaque type de monte pneu correspondra à un profil de cycliste et à un parcours précis.
En ville, je roule sur la route (pas sur les trottoirs sauf un ou deux racourcis), mais le cadre VTT offre une maniabilité supérieure... je ne passe pas par de grandes avenues mais par de petites et tortueuses ruelles moyennageuses... toutes les villes ne se ressemblent pas. Il y a des zones pavées parfois ou autres allées tordues pour lesquelles il vaut mieux être sur un VTT. Autre facteur, je dois porter un sac à dos avec mes affaires pour le boulot et je suis beaucoup plus à l'aise avec le VTT puisque mon dos est plus redressé.
Question performances, j'ai un copain qui avait fait le triathlon d'embrun avec ses 180 km en montagne sur un VTT équipé de pneus slicks... 20eme à l'arrivée bien loin devant des tas de guignols avec des avions à réaction !!! de 7kg à 5000€ l'unité.
Faut pédaler c'est tout. Après on adapte son matos à ses besoins et aux spécificités des trajets.
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On a le maire qu'on mérite je suis tenté de dire. Rausch correspond très bien à la mentalité locale. Et franchement les vélos n'ont rien à foutre sur les espaces pietons, pas plus que les voitures.bufo_72 a écrit :Jean chie raque, t'as raison. voila, c'est dit.
Concernant le vélo en ville, j'ai aussi une préférence pour le vtt (semi rigide). Idéal pour se faufiler, escalader les trottoirs d'un saut, descendre les escaliers...
Mais bon, à Metz, les vélos sont interdits dans le centre ville (réservé aux piétons), donc, c'est bof bof.
Vipère mazoutée : tu ne serais pas "noire" dans d'autres forums ?
jc a écrit :Pour donner une suite un peu plus constructive à ces derniers échanges de points de vue, je poste à nouveau ici le témoignage perso que j'avais donné dans ce même sujet il y a un peu moins d'un an :
Permettez-moi un témoignage personnel à ce sujet.
j'ai déjà lu la page deux.
Mais bon le téléachat doit rester à sa place c'est à dire sur rtl9.
marcel a écrit : Tout ça dépend du parcours. J'ai aussi un vélo de course et je ne le prend pas pour mon parcours parce que je ne peux pas passer aux même endroits et que je dois mettre les chaussures spéciales. Quand je disais VTT je pensais essentiellement cadre VTT. J'ai bien précisé que je n'utilisais pas les pneus cramponnés de cross (J'ai deux paires de roues) et je n'ai pas de suspensions. Les pneus intermédiaires sont lisses mais suffisamment épais pour conserver du confort et de la résistance aux contraintes.
Chaque vélo et chaque type de monte pneu correspondra à un profil de cycliste et à un parcours précis.
En ville, je roule sur la route (pas sur les trottoirs sauf un ou deux racourcis), mais le cadre VTT offre une maniabilité supérieure... je ne passe pas par de grandes avenues mais par de petites et tortueuses ruelles moyennageuses... toutes les villes ne se ressemblent pas. Il y a des zones pavées parfois ou autres allées tordues pour lesquelles il vaut mieux être sur un VTT. Autre facteur, je dois porter un sac à dos avec mes affaires pour le boulot et je suis beaucoup plus à l'aise avec le VTT puisque mon dos est plus redressé.
Comme dit précedement les 4*4 n'ont rien à faire sur les troitoirs et les camions n'emprunte pas les couloir bus, bref les vélos n'ont rien à foutre sur le troitoir, ou alors on pose pied à terre.
Achète toi un porte bagage, ça coute moins cher qu'une bonne paire de roue.
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ça c'est de l'injonction!!! Dois-je obtempérer sur le champ ?J'ean Chie raque a écrit : Comme dit précedement les 4*4 n'ont rien à faire sur les troitoirs et les camions n'emprunte pas les couloir bus, bref les vélos n'ont rien à foutre sur le troitoir, ou alors on pose pied à terre.
Achète toi un porte bagage, ça coute moins cher qu'une bonne paire de roue.
Excuse moi, je ne voulais pas heurter ta sensibilité. Je ferais attention sur le seul trottoir que j'emprunte sur mon parcours et qui n'est en fait qu'une piste cyclable tracée à la va vite par une municipalité dont ce n'est pas la priorité. (pour ta susceptibilité, ce n'est pas ma commune et je n'ai aucune influence sur le choix de ce maire...!)
Sympa l'idée du porte bagage. C'est vrai que comme je suis débile, je vais jeter les roues que j'ai accumulées chez moi depuis trente ans et mon premier vélo...pour acheter un bout de féraille à coller sur l'arrière de mon vélo et qu'il me faudra dévisser à chaque sortie VTT pure. J'ai eu le malheur de faire des compèt de VTT, de route et de triathlon, ce qui fait que j'ai du stock. Ce n'est pas un problème pour moi. Par contre le porte bagage a deux inconvénients en ce qui me concerne : les dossiers qui sont tordus à l'arrivée ou dans le cas d'un coffre (j'en ai un aussi) le manque de place ou le bruit des objets qui s'entrechoquent tout du long. et toujours la gène du fait que mon vélo est multi usages, que je n'ai pas envie de changer les pédales, le porte bagage, le garde boue, la pare chaine, le phare, le gling gling, la hauteur de selle, et le porte-bagage à chaque sortie.
Enfin je suis surpris du ton agressif et méprisant de tes propos, moi qui voulais simplement tenir un discours de compréhension et de raison.
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