
La moyenne est quasiment plate : ce qui augmente, c'est la pointe d'hiver (chauffage résidentiel et tertiaire). Voilà le marché que vise tous ceux qui ont investi dans de la centrale à gaz.










Cela dit, le pic d'hiver est plus marqué. Mais la progression du pic d'été est plus forte. D'autant plus que d'autres solutions (que le recours à l'électricité) est possible. Le bâtiment reste assurément une mine de négawatts. Et pas qu'à Dallas !Le développement de l'immobilier, qu'il soit résidentiel ou tertiaire (dont tourisme), provoque des pointes de plus en plus marquées l'hiver (chauffage) et l'été (clim').




faut reconnaitre que c'est difficile à mettre en place dans les immeubles de 10 étages....qui sont pourtant plus économes que des maisons individuelles. La maison bioclimatique reste un luxe pour riche!Schlumpf a écrit :ce serait encore mieux de n'autoriser que des systèmes de climatisations passifs... (puits provencal, climatisation solaires, etc...)

Oui. C'est théoriquement exact. Mais pratiquement faux... Les immeubles du tertiaire au global consomment davantage d'énergie que certaines maisons individuelles. Il serait plus que temps que le tertiaire prenne consience des enjeux et réduise ses consommations. Au moins au niveau du résidentiel...les immeubles de 10 étages....qui sont pourtant plus économes que des maisons individuelles.


