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par GillesH38 » il y a 24 minutes
par supert » Aujourd’hui, 15:25
par tita » Hier, 21:43
par Jeuf » 11 déc. 2025, 15:48
kercoz a écrit : ↑10 déc. 2025, 17:21 Mon propos est aussi de dire qu' un rajout de cercle concentrique supplémentaire ne pourra s'obtenir qu'en ponctionnant les gains de productivité du modèle initial ..... et que le modèle est des plus fragile et peu résilient du fait que tous les cercles qui se sont empilés a un moment, et qui dépendent donc du noyau initial, ..tous ces cercle improductifs aux productions peu claires et tres éloignées des productions essentielles ...ont une inertie telle que c'est le noyau primaire qui doit s'adapter aux traumatismes endogènes et exogènes du modèle global.....les autres se contenteront de crier misère et de réclamer des cellules de dégrisement.
par supert » 11 déc. 2025, 13:51
par energy_isere » 10 déc. 2025, 20:26
Airbus décroche un contrat pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros pour intégrer l’IA dans les systèmes militaires français Pas de temps à perdre pour la transformation des armées. La stratégie ministérielle sur l’IA de défense initiée en mars 2024 se concrétise aujourd’hui avec un contrat de taille passé auprès d’Airbus Defence and Space. Célia Séramour le 10 décembre 2025 Embarquement immédiat. Airbus, ou plutôt sa branche Defence and Space, vient de récupérer un contrat-cadre de taille après un appel d’offres lancé par la Direction générale de l’armement (DGA). Pouvant atteindre 50 millions d’euros, il se concentre sur l’intégration de composants d’intelligence artificielle dans les systèmes d’armes, d’information, de communication et de cybersécurité utilisés par les forces armées françaises. Renforcer en premier lieu les capacités du système français de surveillance maritime Le contrat couvre les systèmes d’information fournis par Airbus Defence and Space et Airbus Helicopters, explique l’industriel. La première étape du contrat consistera à renforcer les capacités de Spationav, le système français de surveillance maritime, grâce à des éléments d’IA permettant la fusion automatisée des données de surveillance issues des systèmes satellitaires et de Spationav. D’autres applications potentielles sont ou seront explorées, notamment dans les domaines du renseignement, de la cybersécurité et de la connectivité, est-il précisé, comme l’assistance en temps réel à la gestion et à l’optimisation des réseaux de télécommunications militaires. L’IA au secours des volumes données toujours plus importants Face à la prolifération de capteurs (satellites, radars, drones, smartphones, réseaux sociaux) et des volumes de données qu’ils génèrent, l’IA s’avère une solution adaptée pour les traiter efficacement et rapidement. Dans le cas présent, l’objectif est de faire gagner du temps aux humains dans les tâches qu’ils accomplissent déjà, et d’exécuter celles qui leur sont impossibles en raison de l’urgence ou de la quantité excessive de données à analyser. Soutenir la stratégie ministérielle sur l’IA de défense A noter que cette initiative s’inscrit dans la stratégie ministérielle sur l’intelligence artificielle de défense, qui vise à répondre au défi de la souveraineté dans ce domaine et à développer l’usage de l’IA pour les opérations militaires. Officiellement lancée le 8 mars 2024 par Sébastien Lecornu, alors ministre des Armées, cette stratégie repose sur un pilier essentiel qu’est l’Agence ministérielle pour l’IA de défense (AMIAD) créée en mai 2024. Récemment, elle s’est fait remarquer avec l’installation de son nouveau supercalculateur classifié pour ses projets d’IA appliqués à la défense. Dans le cadre du contrat entre Airbus et la DGA, elle participera aux différents projets. Cette stratégie nationale bénéficie par ailleurs d’un fort investissement : la loi de finances 2024 consacrait 130 millions d’euros à l’IA de défense, et ce budget doit être doublé dans le cadre de la loi de programmation militaire 2024–2030, pour atteindre jusqu’à 2 milliards d’euros.
par kercoz » 10 déc. 2025, 17:21
par kercoz » 10 déc. 2025, 15:36
energy_isere a écrit : ↑10 déc. 2025, 15:12 Supertomate qui à un peu de difficulté à comprendre les métier de services.
par energy_isere » 10 déc. 2025, 15:12
par supert » 10 déc. 2025, 13:49
On pensait que l'IA allait aider l'homme, pas qu'elle allait le remplacer
Elle créait des supports de communication pour les entreprises mais elle a perdu ses clients bichette
par energy_isere » 09 déc. 2025, 20:17
"On pensait que l'IA allait nous aider, pas nous remplacer": mis au chômage par l'IA, ils témoignent Victor Joanin avec Guillaume Descours 09 dec 2025 L'Intelligence artificielle va-t-elle tous nous mettre au chômage? Certaines grandes entreprises américaines ont annoncé des vagues de licenciement. En France, le phénomène est pour l'instant moins visible et pourtant, il existe déjà. Certains métiers en ont déjà fait l'amère expérience. Des grandes entreprises américaines ont annoncé ces derniers jours des vagues de licenciements pour remplacer une partie de leurs salariés par de l’intelligence artificielle: 12.000 postes en moins chez Accenture, entre 4.000 et 6.000 chez HP, 200 chez McKinsey... Pour l’instant, les effets de l’IA sur l’emploi sont assez peu visibles en France. Pour le moment, l'impact de l’IA se fait surtout sentir chez les indépendants, les freelances, qui ont de plus en plus de mal à remplir leurs carnets de commandes… Rédacteurs, graphistes, traducteurs… C’est le cas d’Emmanuelle. Elle créait des supports de communication pour les entreprises, mais elle a perdu d'un seul coup tous ses clients. “Je n'ai pas vu la chose arriver, c'est en 2023 que tout s'est arrêté. Une cliente m'a clairement dit ‘moi j'utilise ChatGPT, parce que ça va plus vite. Ok il n'y a pas ta patte et je dois retravailler derrière, mais ça me fait gagner du temps’. C'est un peu choquant au bout de trois ans de relation. J'aime rédiger et donc me faire remplacer par un robot n'est pas très agréable. Je ne suis pas la première ni la dernière, mais ça a été brutal quand même", appuie-t-elle. Un sujet encore tabou en France Imaginez que vous venez au bureau comme tous les matins et soudain vous apprenez que la quasi-totalité des salariés de votre entreprise va être licenciée pour être remplacée par un programme informatique, une intelligence artificielle. C’est ce qui est arrivé à Sylvain Le Quéré. Il travaillait à Onclusive, une entreprise qui fournit des revues de presse pour les entreprises et les collectivités. "Pour le coup, ça a été assez violent. On pensait que l'IA allait aider l'homme, pas qu'elle allait le remplacer. C'est David contre Goliath. On n'est pas contre l'IA non plus, elle est là, il va falloir anticiper ça. Le fait de se re-former c'est compliqué. Pouvoir changer de secteur d’un secteur à un autre en France, c'est assez difficile. Il faut que la France fasse un effort sinon ça va être compliqué", estime-t-il. En France, les plans de licenciement massifs liés à l'IA sont encore rares. C'est un sujet presque tabou. Par exemple, le Crédit commercial de France, une banque en plein plan social avec plus de 1.200 départs. Officiellement rien à voir avec l’IA, mais il y a quelques jours, un aveu étonnant, en direct sur BFM Business de son patron Niccolo Ubertalli. "Qu'est-ce que ça apporte au client? Un processus beaucoup plus rapide, un crédit immobilier en une journée, pas en deux mois. Mais c'est vrai, c'est des suppressions de postes... Ça, ça va continuer, ça va avancer, mais ce à quoi je tiens beaucoup, c'est que la discussion avec le client va être faite par une personne, pas avec un algorithme", a-t-il appuyé. Quels sont les métiers menacés? L'IA devient incontournable dans les entreprises, mais dans la plupart des cas, ce n'est pas pour remplacer les salariés, c'est pour améliorer leur productivité, pour les rendre plus efficaces… Ce qui peut bouleverser les façons de travailler, comme l’explique le sociologue Yann Ferguson, un des meilleurs spécialistes du sujet. "L'IA générative a tendance à écraser l'activité et à réduire le travail humain à une tâche de passage de commande et de vérification d'un résultat", explique-t-il. "Par exemple, les traducteurs, on leur demande toujours du travail, mais on leur demande moins de traduire que de vérifier et de prendre la responsabilité d'une traduction faite par l'IA. Ce qui est souvent moins rémunérateur et moins porteur de sens pour le traducteur", précise-t-il. Le solde entre recrutements liés à l'IA et mises à l'écart sera-t-il positif ou négatif? Ce qui est sûr, c'est que l’IA va détruire des métiers comme des comptables ou juristes. Mais elle va aussi en créer: le champion français Mistral recrute à tour de bras. Impossible de dire si au final si le solde sera positif, les études se contredisent… Une théorie aujourd'hui admise, c’est que l’IA crée des emplois dans les entreprises qui l’utilisent puisque qu'elles sont plus efficaces que leurs concurrentes et donc elle gagnent des parts de marché et elles embauchent pour se développer. À l'inverse, l'IA en supprime chez les entreprises qui ne l’utilisent pas et qui sont donc dépassées. C’est pourquoi beaucoup de grands patrons foncent tête baissée pour ne pas louper le train technologique.
par energy_isere » 05 déc. 2025, 17:01
supert a écrit : ↑04 déc. 2025, 12:43 Supertomate qui vit depuis un demi-siècle dans un pays en crise.
par supert » 04 déc. 2025, 12:43
par energy_isere » 03 déc. 2025, 16:45
par supert » 03 déc. 2025, 16:35
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