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par mahiahi » 01 août 2025, 16:54
par energy_isere » 30 juil. 2025, 22:46
France: La croissance du PIB accélère à 0,3% au T2 Reuters •30/07/2025 L'économie française a accéléré sa progression au deuxième trimestre portée notamment par un rebond de la consommation des ménages, montre la première estimation publiée mercredi par l'Insee. Le produit intérieur brut (PIB) de la France a progressé de 0,3% sur les trois premiers mois de l'année, alors que les économistes interrogés par Reuters attendaient une progression de 0,1%, comme celle enregistrée au premier trimestre 2025. "C'est vraiment une bonne nouvelle", s'est félicité mercredi le ministre de l'Economie Eric Lombard au micro de RTL. "Ça veut dire que depuis le début de l'année, on a une croissance de 0,5%. Je rappelle que notre cible pour l'année, c'est 0,7%. Donc on est en bonne voie". "L'investissement se tient, l'emploi se tient et maintenant qu'on y voit plus clair, puisque sur les tarifs [douaniers] on va arriver à un règlement, la voie est dégagée", a-t-il ajouté. Dimanche, Bruxelles et Washington ont conclu un accord instaurant des surtaxes de 15% sur les exportations européennes vers les Etats-Unis, permettant de lever l'incertitude entourant les échanges commerciaux entre les deux partenaires mais actant des droits de douane plus élevés pour une grande partie des entreprises du bloc européen. Lors du deuxième trimestre, la contribution du commerce extérieur à la croissance française a été négative (-0,2 point) avec un léger rebond des exportations (+0,2%) et une accélération des importations (+0,8%), a détaillé l'Insee. Les dépenses des ménages en biens ont pour leur part progressé de 0,1%, porté par un fort rebond de la consommation alimentaire y compris tabac (+1,7%). Ce redressement peut s’expliquer notamment du fait du positionnement des fêtes de Pâques en avril et d’une météo favorable en avril et mai, selon l'Insee.
par mobar » 16 juil. 2025, 14:20
par kercoz » 16 juil. 2025, 08:29
par energy_isere » 16 juil. 2025, 08:26
Impôt des retraités : l’abattement de 10 % remplacé par un forfait de 2 000 € dès 2026 Boursorama avec Media Services •16/07/2025 Dans le cadre du grand plan d'économies annoncé par François Bayrou, mardi, Bercy va modifier le calcul fiscal des pensions : les retraités modestes paieront moins, les plus aisés un peu plus. L'abattement de 10% pour frais professionnels dont bénéficient actuellement les retraités dans le calcul de l'impôt sur le revenu sera remplacé en 2026 par un forfait de 2 000 euros par an, a annoncé mardi 15 juillet le ministre de l'Economie Eric Lombard. "On va transformer la déduction de 10% des revenus en une déduction de 2 000 euros pour tout le monde" , a déclaré Eric Lombard sur France 2. "Justice sociale" "Pour tous les retraités qui sont au début de l'échelle des impôts (...), leur fiscalité va baisser. Et effectivement en compensation, la fiscalité des retraités qui gagnent plus de 20 000 euros par an sera légèrement augmentée , c'est une mesure de justice sociale", a-t-il ajouté, sans pouvoir préciser le nombre de retraités qui seront concernés par cette hausse. Le Premier ministre François Bayrou a présenté mardi une cure budgétaire draconienne de 43,8 milliards d'euros pour 2026 , avec la suppression de deux jours fériés et le gel des prestations sociales et des retraites. Ces annonces ont été immédiatement décriée par les oppositions qui le menacent de censure. ....................................
par energy_isere » 15 juil. 2025, 23:46
Les principales annonces de François Bayrou sur le budget AFP •15/07/2025 Le Premier ministre François Bayrou a annoncé mardi des mesures drastiques pour réduire le déficit public et faire 43,8 milliards d'euros d'économies en 2026. Voici les principales annonces. - Suppression de deux jours fériés - Le chef du gouvernement a proposé la suppression de deux jours fériés, citant comme exemples le "lundi de Pâques" et "le 8-Mai" tout en se disant "prêt à en accepter ou en examiner d'autres". "Le lundi de Pâques n'a aucune signification religieuse", a relevé le chef du gouvernement, alors que cette date est fériée dans plus d'une centaine de pays dans le monde. Quant au mois de mai, il est "devenu un véritable gruyère, où l'on saute de ponts en viaducs de congés". - Gel des dépenses de l'Etat - Les dépenses de l'Etat seront gelées en 2026 au niveau de 2025, hors défense et charge de la dette. L'Etat va réduire le nombre d'emplois publics de 3.000 postes dès 2026. Certaines agences de l'Etat vont être supprimées, d'autres vont voir leurs effectifs baisser pour un total de 1.000 à 1.500 suppression de postes. François Bayrou veut aussi instaurer "une règle de non-remplacement d'un fonctionnaire sur trois partant à la retraite (...) pour les années qui viennent". - Année blanche - Il a également annoncé un gel du barème des impôts, des prestations sociales et des retraites en 2026 afin de limiter la progression des dépenses de "sept milliards d'euros". "On aura exactement le même montant des retraites pour chaque pensionné que celles qu'on avait en 2025", a-t-il indiqué. "L'ensemble des prestations sociales seront maintenues en 2026 à leur niveau de 2025 et il n'y aura pas d'exception", a-t-il ajouté. - Fiscalité - Le Premier ministre a annoncé la création d'une "contribution de solidarité" pour les Français "les plus fortunés". Elle "devra faire participer à l'effort national les plus hauts revenus", a-t-il dit, en rappelant aussi sa volonté de "lutter contre l'optimisation abusive des patrimoines non productifs". "Nous ferons la chasse aux niches fiscales inutiles, inefficaces", a-t-il ajouté. François Bayrou entend également réformer l'exemption fiscale pour frais professionnels des retraités. Ils bénéficient actuellement d'un abattement de 10%, qui sera transformé en forfait annuel dans le but de mettre à contribution les retraites les plus importantes. Un projet de loi sera déposé "à l'automne" contre la fraude sociale et fiscale. - 5,3 mds d'euros d'économies pour les collectivités - L'Etat va demander 5,3 milliards d'euros d'économies aux collectivités en 2026, selon un document transmis par Matignon à la presse. Ces 5,3 milliards d'économies, "c'est 13% de l'effort global", a précisé à la presse François Rebsamen, ministre de l'Aménagement du territoire. - Négociations avec les partenaires sociaux - Six mois après la dernière loi sur l’assurance chômage, le Premier ministre a annoncé son intention de vouloir à nouveau réformer et débattre avec les partenaires sociaux sur les indemnisations des demandeurs d’emploi. Il va aussi leur proposer d'ouvrir des négociations sur le droit du travail afin notamment de "faciliter les recrutements" et augmenter les offres d'emploi. - Médicaments et affection longue durée - Il a annoncé le doublement à 100 euros de la franchise annuelle sur les remboursements de médicaments, dans le cadre d'un plan de réduction de 5 milliards d'euros des dépenses sociales annuelles. Parmi les autres mesures d'économie figure également une révision du statut des affections longue durée, avec un déremboursement des médicaments "sans lien" avec la maladie et la "sortie du statut" dans certains cas qui ne sont plus justifiés. - Allocation sociale unifiée - François Bayrou va proposer avant la fin de l'année un projet de loi pour créer "une allocation sociale unifiée". Le versement social unique, qui fusionnerait plusieurs prestations sociales (RSA, prime d'activité...), est une ancienne promesse de campagne d'Emmanuel Macron pour faciliter le recours à certaines de ces aides.
par mobar » 11 juil. 2025, 06:27
kercoz a écrit : ↑09 juil. 2025, 15:30 https://www.mediapart.fr/journal/econom ... -publiques 211 milliards d’euros par an : les entreprises gavées aux aides publiques
par kercoz » 09 juil. 2025, 15:30
par energy_isere » 09 juil. 2025, 01:47
France: Le déficit commercial s'établit à 7,8 milliards d'euros fin mai Reuters •08/07/2025 Le déficit commercial de la France s'est établi à 7,8 milliards à fin mai, montrent les données publiées mardi par le bureau des Douanes françaises. À la fin avril, le déficit s'élevait à 7,6 milliards d'euros.
par kercoz » 08 juil. 2025, 08:18
energy_isere a écrit : ↑08 juil. 2025, 02:27 Redressement des comptes publics : "La France va vivre sa première cure d'austérité" depuis les années 1980, selon le patron de Bpifrance Boursorama avec Media Services •07/07/2025 https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 4f69237f72
Redressement des comptes publics : "La France va vivre sa première cure d'austérité" depuis les années 1980, selon le patron de Bpifrance Boursorama avec Media Services •07/07/2025
par energy_isere » 08 juil. 2025, 02:27
par energy_isere » 05 juil. 2025, 23:19
« La France emprunte désormais plus cher que l’Italie », annonce le ministre de l’Économie Article de Patrice MOYON. ouestfrance C’est un nouvel avertissement. Après celui de la Cour des comptes, il vient cette fois des marchés financiers. Emprunter coûte de plus en plus cher aux finances publiques. La nouvelle aurait pu passer inaperçue. Le ministre de l’Économie a préféré la rendre publique. Une façon de prendre les Français à témoin. Depuis vendredi soir, « la France emprunte à des taux plus élevés que l’Italie ». La concurrence joue aussi sur ce sujet. Et d’autres pays sont désormais considérés comme moins risqués. Le fardeau est surtout de plus en plus lourd à porter pour l’État. Cette année, « il faudra consacrer 67 milliards d’euros au remboursement de la dette. C’est plus que le budget de la Défense », insiste Éric Lombard. « Dans trois ans, ce sera 100 milliards d’euros », ajoute-t-il. D’où l’urgence de stabiliser le niveau de la dépense publique qui représente « 57 % du PIB, soit dix points de plus que la moyenne des pays européens ». Pas d’annonce ou pas encore sur les arbitrages qui seront rendus dans le cadre du budget 2026. Les premières orientations seront présentées le 15 juillet par le Premier ministre. Elles feront ensuite le jeu d’âpres négociations, de compromis. Dans le parc Jourdan, à Aix-en-Provence, sous un barnum écrasé par la chaleur, alors qu’on entend le chant des cigales, la France fait désormais profil bas. Le parti de la fourmi n’est plus une option mais une nécessité. À condition de ne pas buter sur une motion de censure. L’heure est donc au déminage et à la pédagogie avec les présidents de groupes des différents partis. Le ministre de l’Économie les reçoit tour à tour. À Bercy, on se dit serein sur l’exercice 2025 qui est « dans les clous ». .....................
par mobar » 27 juin 2025, 19:32
par kercoz » 27 juin 2025, 15:20
par energy_isere » 27 juin 2025, 13:47
3 345,8 milliards d'euros de dette publique : la France face au défi budgétaire La dette publique de la France a atteint un nouveau record historique au premier trimestre 2025, avec une augmentation de 40,5 milliards d’euros en seulement trois mois, propulsant le ratio dette/PIB à 114%. L’État et la Sécurité sociale sont les principaux contributeurs de cette flambée, tandis que l’exécutif peine à maîtriser ses comptes publics. Publié le 26/06/25 latribune.fr La France s'enfonce toujours plus dans la dette publique : celle-ci a franchi un nouveau seuil historique, atteignant la somme de 3 345,8 milliards d'euros à la fin du premier trimestre 2025. Cette flambée de 40,5 milliards d'euros en seulement trois mois catapulte le ratio dette/PIB à 114 %, marquant une aggravation notable par rapport aux 113,2 % du trimestre précédent. Ces chiffres alarmants, révélés ce jeudi par l'Insee, surviennent alors que l'exécutif se débat pour redresser des comptes publics en perdition, pris entre les turbulences politiques et l'impératif de réduction d'un déficit chronique. Cette augmentation s'accompagne d'une diminution de 11,4 milliards d'euros de la trésorerie des administrations publiques, ainsi que, dans une moindre mesure, d'autres actifs. En conséquence, la dette nette a progressé de 52,6 milliards d'euros, s'établissant à 106,1 % du PIB. Cette situation met en lumière la complexité de l'équation budgétaire française, qui cherche à concilier des engagements de dépenses importants avec la nécessité de consolider les finances publiques. La contribution de l'État et de la sécurité sociale en forte hausse L'État est le principal contributeur à cette augmentation de la dette publique au premier trimestre 2025, sa contribution ayant progressé de 36,7 milliards d'euros. Cette hausse est principalement due à l'augmentation de 42,6 milliards d'euros des titres négociables de long terme émis par l'État, malgré une diminution des titres de court terme (-3,0 milliards d'euros) et des dépôts (-2,9 milliards d'euros). La trésorerie de l'État a également diminué de 5,8 milliards d'euros, ce qui a entraîné une augmentation de la dette nette de l'État plus marquée que sa dette brute (+43,2 milliards d'euros). Parallèlement, la contribution des administrations de sécurité sociale (Asso) à la dette publique a augmenté de 3,3 milliards d'euros. Cette hausse est imputable à l'Urssaf Caisse nationale (+1,5 milliard d'euros), l'Unedic (+1,5 milliard d'euros) et la Cades (+0,7 milliard d'euros), tandis que la dette de la Cnaf a légèrement diminué (-0,7 milliard d'euros). L'essentiel de cette progression des Asso provient de l'accroissement de leurs titres négociables à court terme (+2,2 milliards d'euros) et à long terme (+1,4 milliard d'euros). La diminution de la trésorerie des Asso, notamment celle de l'Urssaf Caisse Nationale (-7,1 milliards d'euros), a également contribué à l'augmentation de leur dette nette (+8,9 milliards d'euros). Les collectivités locales, de manière plus modérée ...........................
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