Economie agricole dans le monde

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Re: Economie agricole dans le monde

par kercoz » Aujourd’hui, 14:14

La noisette c'est surtout un pb de traitement phyto interdit......mes dernieres balades grimpe en Espagne, je m'étonnais de voir se multiplier les surfaces de noisetier avec les amandiers ...apparemment pas soiffard ...Le noisetier est aussi cité comme un des premier arbre pionnier apres une période glaciaire.

Re: Economie agricole dans le monde

par energy_isere » Aujourd’hui, 13:39

La noisette, devenue trop chère, au cœur d'une bataille entre la Turquie et Ferrero, le producteur de Nutella
Le précieux fruit à coque, dont la Turquie est le premier fournisseur mondial, est nécessaire à l'élaboration du Nutella, mais
sa production a chuté entraînant une hausse des prix que Ferrero refuse de payer.

Marie-Pierre Vérot Radio France Publié le 06/11/2025

Les noisettes de la discorde. Un bras de fer oppose deux géants, le groupe italien Ferrero, qui commercialise Nutella et absorbe un quart de la production mondiale de noisettes, et le premier producteur mondial, la Turquie. Après une succession de calamités, la production turque est en chute libre, de 700 000 à 450 000 voire 300 000 tonnes, en 2025. Les négociants ont quasiment doublé leurs prix. Alors que Ferrero n'entend pas céder et a rayé le pays de ses commandes, l'autorité de la concurrence turque s'insurge et les producteurs sont dans l'attente.

Les cultivateurs turcs étranglés par les négociants

La famille de Bari, qui produit depuis toujours des noisettes dans la région de Bafra en mer Noire, au nord de la Turquie, est plongée dans une guerre qui la dépasse. Comme si la grêle puis une punaise ravageuse, qui ont fait chuter sa production d'un tiers, ne suffisaient pas, la voilà étranglée par les négociants. "Les grossistes proposent des sommes très basses, à 300 ou 320 livres [turques] le kilo [entre 6 et 6,5 euros le kilo]. Les gens dans le besoin vendent à ce prix, au moins pour rembourser le coût de la main-d’œuvre, les engrais et payer leurs dettes. Les autres attendent que les prix augmentent et stockent les noisettes dans leurs dépôts", explique Bari.

Entre juin et septembre, le prix de la tonne est passé de 9 000 à 18 000 dollars, soit plus du double que ce qui est payé au producteur. "Chaque année, c'est le même cirque. L'État n'achète pas les noisettes et nous dirige vers des grossistes qui achètent à des prix très bas, puis qui revendent aux multinationales à des prix très élevés", se désole le producteur.

Ferrero attend que les négociants reviennent à davantage de raison et gèle ses achats. Le groupe puise dans ses réserves et se tourne vers le Chili ou les États-Unis. Mais Bari veut croire que tout rentrera dans l'ordre : "Il y a d'autres entreprises qui sont preneuses de nos noisettes. Il y en a bien une qui va les acheter." L'Inde, par exemple, est intéressée. Et, surtout, les noisettes turques ont une qualité particulière, assure le producteur de la mer Noire, plus grasses que les autres, elles sont très appréciées en confiserie.
https://www.franceinfo.fr/economie/comm ... 99002.html

Re: Economie agricole dans le monde

par GillesH38 » Hier, 21:32

que des trucs faits avec des fossiles quoi ... :roll:

Re: Economie agricole dans le monde

par energy_isere » Hier, 21:07

GillesH38 a écrit :
Hier, 20:11
surement l'effet du changement climatique...
Engrais, mécanisation, nouvelles terres issues de déforestation (Brésil), pesticides .... toussa.

Re: Economie agricole dans le monde

par GillesH38 » Hier, 20:11

surement l'effet du changement climatique...

Re: Economie agricole dans le monde

par energy_isere » Hier, 19:10

Les prix alimentaires mondiaux refluent, sauf pour les huiles végétales

Boursorama avec AFP •07/11/2025

Le prix global des denrées alimentaires dans le monde a reflué en octobre du fait de stocks importants, seules les huiles végétales montrant une tendance inverse, a indiqué vendredi l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).

L'indice FAO des prix alimentaires, qui suit l’évolution des prix internationaux d’un ensemble de denrées, a reculé de 1,6% sur un mois.

Les huiles végétales, elles seules, ont vu leur prix croître, augmentant de 0,9% en octobre et grimpant à leur plus haut niveau depuis juillet 2022, du fait de commandes de biocarburants et de retards de récoltes dans la région de la mer Noire.

L'indice du sucre en particulier a décliné de 5,3%, pour retrouver son niveau le plus bas depuis décembre 2020, en raison de fortes perspectives de production au Brésil ainsi que d'une production plus importante que prévu en Thaïlande et en Inde.

La baisse des cours du pétrole joue aussi sur le cours du sucre, en réduisant la demande de biocarburants des matières premières du sucre.

En octobre, les produits laitiers ont aussi vu leur prix FAO reculer, de 3,4% sur un mois, qu'il s'agisse des cours du beurre (du fait d'une importante disponibilité de produits européens et néo-zélandais) ou du lait en poudre.

L'indice de la viande est lui à -2%, avec un repli pour le porc comme la volaille. Le cours de la viande bovine reste cependant en hausse, du fait d'une forte demande.

Pour ce qui est des céréales, le prix a reculé de 1,3%, sur l'ensemble des grains, du blé jusqu'au riz.

Au vu des récoltes en cours, la FAO a par ailleurs relevé vendredi sa prévision de production céréalière pour 2025, attendue à 2.990 millions de tonnes, soit +4,4% par rapport à la récolte 2024.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 8894470388

Re: Economie agricole dans le monde

par energy_isere » 01 nov. 2025, 11:56

Les cours du sucre brut atteignent leur plus bas depuis 5 ans

Agence Ecofin 31 oct 2025

Le sucre est l’une des matières premières les plus échangées au monde. Sur ce marché, les évolutions de la production et des exportations en Inde et au Brésil sont scrutées par les acteurs.

Dans la journée du jeudi 30 octobre, la livre (0,45 kg) de sucre brut a atteint 14,07 cents sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de New York. Il s’agit du niveau le plus bas depuis octobre 2020 et de la 4ème séance consécutive de baisse de la denrée. En l’intervalle de deux ans, les prix du Sucre brut n°11 (contrat de référence mondial) auront baissé de près d’un tiers.

Ce nouveau plancher s’inscrit dans un contexte d’inquiétudes croissantes sur une potentielle surabondance dans les prochains mois. D’après les données du cabinet de conseil Datagro, le marché pourrait enregistrer un surplus de 1,98 million de tonnes en 2025/26, contre un déficit de 5 millions de tonnes précédemment alors que de son côté.

Aussi bien au Brésil qu’en Inde, les principaux fournisseurs du marché, l’offre en sucre est attendue pour atteindre des niveaux confortables. Dans le premier pays, le dernier rapport publié par le groupe industriel UNICA sur l’état de la campagne de la denrée dans le Centre-Sud avait indiqué une production cumulée en légère hausse au 1er octobre dernier.

En Inde, les autorités anticipent une production de sucre de 30 millions de tonnes contre 26,1 millions de tonnes l’an dernier. Les autorités locales avaient d’ailleurs fait savoir que le pays pourrait faire son grand retour sur le marché à l’export durant ladite campagne.

Pour de nombreux observateurs, l’évolution des prix du sucre restera encore à suivre dans les prochains mois notamment avec la fluctuation des prix du pétrole et les conditions météorologiques au Brésil.

Le repli des contrats à terme sur le pétrole brut rend en effet la canne à sucre moins attractive comme matière première pour la production de bioéthanol au Brésil profitant aux sucreries alors qu’au contraire, la hausse des prix de l’or noir favorise la conversion des tiges vers la production de biocarburant.
https://www.agenceecofin.com/actualites ... puis-5-ans

Re: Economie agricole dans le monde

par mobar » 30 oct. 2025, 07:07

energy_isere a écrit :
19 oct. 2025, 15:42
Il n'y a pas que le Bordelais qui a du soucis, les vignobles Californiens aussi :
A la peine, les viticulteurs californiens abandonnent leurs vignes

AFP •19/10/2025
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 8f38e0e837
C'est le lot de toutes les activités qui ont eu une croissance continue depuis des années , des décennies voire des siècles quand elles sont confrontées à des changements de modes de vie

Produire du vin pour espérer le vendre à l'autre bout du monde quand il est possible d'en produire presque partout a trouvé ses limites, et c'est très bien comme ça

Ce sera désormais la qualité produite près de chez soi qui résistera et continuera à se vendre en quantité compatible avec la demande locale

Re: Economie agricole dans le monde

par GillesH38 » 29 oct. 2025, 10:13

encore un effet délétère du changement climatique sur l'agriculture :evil:

Re: Economie agricole dans le monde

par energy_isere » 29 oct. 2025, 10:07

Production en hausse, prix en berne: la Belgique inquiète pour ses patates
AFP •29/10/2025
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 70e96d1280

Re: Economie agricole dans le monde

par energy_isere » 19 oct. 2025, 15:42

Il n'y a pas que le Bordelais qui a du soucis, les vignobles Californiens aussi :
A la peine, les viticulteurs californiens abandonnent leurs vignes

AFP •19/10/2025
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 8f38e0e837

Re: Economie agricole dans le monde

par energy_isere » 17 oct. 2025, 21:46

Les cours mondiaux du cacao atteignent un plus bas depuis vingt mois

RFI le : 16/10/2025

La folle ascension des cours du cacao est-elle terminée ? La baisse, constatée cette année, s'est accélérée depuis la mi-août. Les cours ont atteint ces derniers jours leur plus bas depuis février 2024, soit depuis vingt mois. Le cacao new-yorkais se négociait en début de semaine à moins de 6 000 dollars la tonne contre un pic en décembre 2024 à 12 000 dollars la tonne.


La baisse des prix s'explique par les nouvelles rassurantes venues d'Afrique de l'Ouest. Les pluies du mois dernier ont été bonnes, et le risque que la nouvelle récolte soit mauvaise s'éloigne. Les cours s'expliquent aussi par un recul de la demande. Les prix records, qualifiés d'intenables à long terme par certains analystes, ont fini par devenir un frein pour les industriels qui ont imaginé d'autres recettes, et pour les consommateurs qui ont appris à manger moins de chocolat.

Les fonds spéculatifs participent également à alimenter cette tendance : sentant la baisse se profiler, ils ont liquidé leur position, c'est-à-dire revendu leurs contrats, ce qui donne l'impression que l'offre est plus abondante sur le marché, même si c'est artificiel.

Fin de la hausse des prix ?

La baisse des cours qui dure depuis plusieurs mois acte un renversement de tendance, au moins à court terme. Elle ne se traduira, en effet, pas immédiatement sur les prix, il y a toujours dans le secteur du cacao un décalage d'au moins six mois, voire plus, ce qui veut dire que la consommation pourrait encore rester tiède. L'hypothèse d'une nouvelle année excédentaire n'est pas exclue : la production mondiale pourrait dépasser la consommation d'environ 186 000 tonnes au cours de la saison 2025-26, soit plus du double de l'excédent de l'année précédente, selon une enquête de l'agence Bloomberg réalisée auprès de plus d'une dizaine de traders et d'analystes en septembre.

Ce décalage entre l'offre et la demande, s'il se confirme, ne devrait pas pour autant faire baisser les prix jusqu'aux niveaux d'avant 2023, époque où le cacao s'échangeait entre 2 000 et 3 000 dollars la tonne, relève le Financial Times. Structurellement, la production d'Afrique de l'Ouest reste sous pression, en raison du vieillissement des plantations, de la prévalence de la maladie du swollen shoot et du changement climatique.

Baisse structurelle de la production

Le relèvement des prix payés aux planteurs en Côte d'Ivoire et au Ghana, pour la campagne cacaoyère 2025-26, ne semble pas en mesure d'enrayer la baisse structurelle de la production. Si selon Rabobank, ces prix encourageront les agriculteurs à livrer plus de fèves aux transformateurs, pour François Ruf, économiste de la filière, cela ne permettra probablement que de ralentir la baisse de la production, pas à inverser la tendance.

C'est en particulier vrai au Ghana où la concurrence de l'orpaillage a déjà fait perdre du terrain à la filière. Le pays pourrait d'ailleurs perdre à court terme sa place de deuxième producteur mondial, au profit de l'Équateur.
https://www.rfi.fr/fr/podcasts/chroniqu ... is-20-mois

Re: Economie agricole dans le monde

par energy_isere » 11 oct. 2025, 15:47

Tunisie : cap sur l’Asie et l’Amérique du Sud pour booster l’exportation d’huile d’olive

Agence Ecofin 07 oct 2025 La Tunisie est le 3ème exportateur mondiale d’huile d’olive derrière l’Espagne et l’Italie. Alors que des perspectives de production et d’exportation record sont attendues pour la campagne 2025/2026, le gouvernement encourage un élargissement des débouchés sur le marché international.

De nombreux pays en Asie et en Amérique du Sud ont exprimé leur volonté d’importer l’huile d’olive tunisienne. C’est ce qu’a déclaré le président Kaïs Saïed lors d’une rencontre qui s’est tenue le 6 octobre dernier avec Ezzeddine Ben Cheikh, ministre de l’Agriculture, en marge des préparatifs de la campagne de commercialisation 2025/2026.

Selon les informations relayées par le quotidien La Presse de Tunisie, il s’agit d’un appel à diversifier les exportations de la filière oléicole en dehors de ses marchés traditionnels, notamment l’Union européenne et les USA, d’autant plus que les perspectives de production locale d’huile d’olive sont prometteuses.

D’après les observateurs, la production d’huile d’olive en Tunisie devrait atteindre 500 000 tonnes cette année. Cette prévision, si elle est confirmée, signerait une hausse de 47 % par rapport à la campagne précédente (340 000 tonnes) et un nouveau record pour la filière. Parallèlement, le volume consacré à l’exportation devrait croître davantage d’une année sur l’autre.

L’enjeu de diversifier les débouchés est aussi de réduire la dépendance et les impacts de la perte de compétitivité attendue sur le marché des USA où, depuis août 2025, Washington impose des taxes supplémentaires de 25 % sur les importations depuis la Tunisie. Si, pour l’heure, les pays ciblés en Asie et en Amérique du Sud dans le cadre de la diversification des exportations n’ont pas encore été clairement identifiés, il faut noter qu’il existe une grande marge de progression pour les exportateurs dans ces deux régions.

En 2024, la filière tunisienne a par exemple exporté seulement vers six pays d’Asie et d’Amérique du Sud, soit l’Arabie saoudite, Oman, le Vietnam, l’Inde, le Japon, et l’Argentine, selon les données compilées sur la plateforme Trade Map. Le flux des exportations révèle que ces six pays ne représentaient que 1,4 % des 1,68 milliard $ de recettes d’exportations engrangées par la filière tunisienne sur l’ensemble de l’année.
https://www.agenceecofin.com/actualites ... le-d-olive

Re: Economie agricole dans le monde

par energy_isere » 30 sept. 2025, 23:36

L’huile de tournesol reste chère après une récolte qui s’annonce encore maigre

RFI le : 30/09/2025 - 00:06

L’Ukraine est le plus grand exportateur mondial d’huile de tournesol et la France, le premier producteur de l’Union européenne. Les prix de l’huile de tournesol restent élevés, alors que la récolte de cette année s’annonce une fois de plus réduite.


Les prévisions ne sont pas bonnes. Et ce aussi bien dans l’Union européenne qu’en Ukraine, alors que les récoltes de tournesols se poursuivent jusqu’à la fin septembre. Après un été chaud et sec qui a entravé le développement des graines, les cultivateurs français, mais aussi roumains, hongrois ou encore bulgares, s’attendent à une production limitée. Elle est néanmoins un peu plus généreuse que l’an passé.

La troisième pire récolte de cette décennie

Cela pourrait à nouveau être une des pires récoltes de tournesol que l’UE ait connue ces dix dernières années. En effet, 8,6 millions de tonnes d’huile de tournesol devraient être produites, cette année, selon Argus Media, à peine mieux qu’en 2024 (8,3 millions de tonnes). Alors qu’en 2020 la production européenne a atteint 9,8 millions de tonnes.

« Les prix de l’huile de tournesol sont bien plus élevés qu’il y a dix ans. Et comme les récoltes n’ont que très légèrement augmenté, les prix restent à un haut niveau. Une tonne d’huile de tournesol vaut actuellement autour de 1 109 euros, alors que l’hiver dernier, elle valait 1 200 euros la tonne », précise Sébastien Poncelet, analyste chez Argus Media France. Rien à voir cependant avec le pic à 2 700 euros la tonne, après l’agression russe de l’Ukraine, en février 2022. À titre de comparaison : en 2020, à Rotterdam qui est la place de la cotation des huiles, l’huile de tournesol valait en moyenne 700 euros la tonne.

L’impact de la guerre en Ukraine

Quant à l’Ukraine, les zones de conflit couvrent souvent les zones agricoles, ce qui n’arrange pas les choses. On s’attend à une récolte de 12,9 millions de tonnes, une production là-aussi un peu supérieure à celle de l’année passée (12,3 millions de tonnes, en 2024), d’après les chiffres d’Argus Media. Alors qu’avant la guerre, l’Ukraine produisait jusqu’à 15 millions de tonnes. « Le marché d’huile de tournesol ukrainien reste malgré tout soutenu », note l’expert. Les prix évoluent à des niveaux comparables à ceux de l’UE.

La diminution de l’offre d’oléagineux, l’an dernier, comme l’huile de palme ou celle de colza, a également alimenté cette hausse des prix. Cette année, la faible récolte de tournesol devrait être partiellement remplacée par son concurrent, le colza, dont la production s’annonce très bonne. Reste à savoir quel effet cela aura sur les prix.
https://www.rfi.fr/fr/podcasts/chroniqu ... ore-maigre

Re: Economie agricole dans le monde

par kercoz » 21 sept. 2025, 09:02

J'ai qqs palmiers ds mon jardin....C'est une plante "couteau suisse"...elle a tout inventé: des fruits ...le tissage ( si l'on examine sa bourre, elle est tissée), les tiges de palme sont de véritable scies dangereuses et les palmes servent facilement de couverture de toiture.

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