Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
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par phyvette » Hier, 20:05
Sept raffineries touchées Aucun chiffre n'est officiellement disponible sur leur ampleur, mais selon plusieurs experts cités dans la presse russe exilée et la presse occidentale, la Russie aurait perdu environ 13 % de sa capacité de raffinage de pétrole, et cela rien que depuis le début du mois d'août.
les prix dans les stations-service changent presque toutes les heures pour refléter l'aggravation des pénuries.
par phyvette » Hier, 08:52
AI-92 et AI-95, les deux mélanges de carburant les plus populaires en Russie, se négociaient à 72,663 et 81,342 roubles par tonne (environ 774 et 866 euros), proches de leurs records, selon des données de la bourse de Saint-Pétersbourg.
par energy_isere » 21 août 2025, 22:27
Russie : le prix de l'essence explose après des attaques ukrainiennes contre des raffineries Boursorama avec Media Services •21/08/2025 Pour tenter de calmer les prix, la Russie, l'un des plus grands producteurs mondiaux de pétrole, a suspendu le mois dernier ses exportations d'essence, une mesure qui semble avoir eu peu d'effet. Après une série d'attaques des forces ukrainiennes contre des raffineries, les prix du carburant approchaient des niveaux record jeudi 21 août en Russie, selon les données de la bourse. L'Ukraine cible régulièrement les raffineries et les dépôts de pétrole russes pour entraver leur capacité à financer l'offensive lancée contre son territoire en 2022. Les dernières attaques surviennent en pleine saison des vacances estivales. AI-92 et AI-95, les deux mélanges de carburant les plus populaires en Russie, se négociaient à 72,663 et 81,342 roubles par tonne (environ 774 et 866 euros), proches de leurs records, selon des données de la bourse de Saint-Pétersbourg. Le courtier russe BKS a expliqué cette hausse par "la haute saison, les réparations et de nouveaux accidents dans les raffineries", notant une demande accrue de carburant car les gens ont tendance à conduire davantage pendant l'été. Moscou invoque la "haute demande saisonnière et les travaux agricoles" Les attaques ukrainiennes ont également perturbé les voyages aériens et ferroviaires, contribuant encore à cette augmentation, selon le courtier. La situation a pu être aggravé par "les perturbations récentes dans les raffineries d'Afipsky, Riazan et Saratov", d'après cette même source. L'Ukraine a dit avoir frappé ces trois infrastructures en août, mais la Russie n'a pas officiellement confirmé de dégâts ou de mise à l'arrêt . Le ministère russe de l'Énergie a lui attribué les prix élevés à "la haute demande saisonnière et les travaux agricoles", sans mentionner les attaques ukrainiennes. Il a soutenu l'idée de prolonger la suspension des exportations de carburant pour le mois de septembre. La pénurie de carburant touche particulièrement le sud et l'Extrême-Orient russe ainsi que les territoires ukrainiens occupés, selon les autorités locales.
par kercoz » 26 juil. 2025, 10:33
alain2908 a écrit : ↑26 juil. 2025, 10:22 kercoz a écrit : ↑25 juil. 2025, 16:16 Les jugements que nous portons sur les problèmes économiques Russes sont faussés. La Russie est un Empire un patchwork de centaines de cultures restées tres agraires ...80% de la popu est des plus résiliente et les difficultés économiques connectées sur l'occident ne devrait pauser problème qu'a la part urbaine-occidentalisée ...dont justement, poutine aimerait se débarrasser. sauf qu'avec une population rurale en diminution accélérée et un retard technologique important en terme d'automatisation, ça va pas être simple de garder le même niveau de puissance.
kercoz a écrit : ↑25 juil. 2025, 16:16 Les jugements que nous portons sur les problèmes économiques Russes sont faussés. La Russie est un Empire un patchwork de centaines de cultures restées tres agraires ...80% de la popu est des plus résiliente et les difficultés économiques connectées sur l'occident ne devrait pauser problème qu'a la part urbaine-occidentalisée ...dont justement, poutine aimerait se débarrasser.
par alain2908 » 26 juil. 2025, 10:22
par alain2908 » 26 juil. 2025, 10:21
par kercoz » 25 juil. 2025, 16:16
par energy_isere » 25 juil. 2025, 15:08
Les primes de recrutement de l'armée russe sont en train de miner l'économie du pays Émilie Staeger – 23 juillet 2025 En misant tout sur l'économie de guerre, le Kremlin compromet l'avenir financier du pays. Les primes attirent des soldats, mais laissent les civils et l'État exsangues. L'enlisement du conflit en Ukraine –et son coût humain et matériel élevé– obligent le Kremlin à redoubler d'efforts pour renouveler ses troupes. Pour ce faire, Vladimir Poutine mise gros sur l'attractivité financière: À l'été 2023, il a ainsi doublé la prime standard d'engagement, la faisant passer de 195.000 à 400.000 roubles (environ de 2.100 à 4.300 euros). Un montant astronomique, près de cinq fois supérieur au salaire mensuel moyen en Russie, rapporte le média en ligne Business Insider. Cette flambée des primes ne concerne pas que les poches des nouveaux soldats: le secteur la Défense rivalise désormais avec les industries civiles pour attirer des travailleurs, créant ainsi une hausse générale des salaires et du coût de la vie, surtout dans les services. Le coût humain du conflit est exorbitant. Selon le Center for Strategic and International Studies, la Russie compterait déjà plus de 950.000 morts et blessés depuis le début la guerre en février 2022. Selon l'Institute for the Study of War (ISW), la Russie ne pourra pas éternellement soutenir de tels efforts financiers ni remplacer ses effectifs sans recourir à une mobilisation forcée –une option que Poutine semble vouloir éviter à tout prix. La situation est d'autant plus préoccupante que Moscou mène une politique de croissance alimentée par des dépenses de guerre massives, alors même que la banque centrale resserre les vis pour éviter la surchauffe. Résultat: le rouble s'affaiblit, le pouvoir d'achat s'effrite et l'économie tangue. L'illusion de la croissance entretenue par la guerre La stratégie des primes a porté ses fruits à court terme: l'économie russe a semblé afficher une santé insolente en 2023 et 2024, portée par l'expansion du secteur militaire et une consommation stimulée par cet argent magique. Mais tout cela n'est qu'une illusion et le soufflé retombe est vite retombé. Dès la mi-2023, l'économie russe montrait des signes de surchauffe, contraignant la Banque de Russie à relever ses taux d'intérêt. La parade? Diriger le crédit vers le complexe militaro-industriel, compartimentant ainsi l'économie en deux mondes. Celui de la guerre, encore protégé, et le reste, de plus en plus fragilisé. À y regarder de plus près, le colosse économico-militaire a des jambes d'argile. L'industrie de la Défense a commencé à montrer des signes d'essoufflement fin 2024 et le reste de l'économie se retrouve sous pression. La Russie paie cher ses choix: baisse des exportations d'armement, difficultés croissantes liées aux sanctions et politique du travail peu efficace. Si la guerre a permis à l'économie de ne pas s'écrouler, elle en souligne surtout les faiblesses chroniques, difficilement réparables par la seule distribution de primes. Les primes d'enrôlement font illusion, mais risquent, à terme, d'entraîner définitivement l'économie russe dans une spirale négative, entre inflation, dévaluation du rouble et contraction des secteurs civils.
par energy_isere » 25 juil. 2025, 14:50
Russie: la Banque centrale abaisse son taux directeur à 18% Boursorama avec AFP •25/07/2025 La Banque centrale russe (BCR) a abaissé vendredi à 18% son taux directeur, de deux points, sa baisse la plus marquée depuis 2022, face à des craintes grandissantes d'un ralentissement de l'économie du pays. "Les pressions inflationnistes actuelles, y compris les pressions sous-jacentes (celles des prix les plus volatils, ndlr), diminuent plus rapidement que prévu. La croissance de la demande intérieure ralentit", a indiqué la BCR dans un communiqué annonçant sa décision. L'institution a toutefois estimé que "l'économie continue de revenir à une trajectoire de croissance équilibrée". L'économie russe traverse des turbulences depuis le début de l'assaut contre l'Ukraine en 2022 et les multiples sanctions occidentales qui ont suivi. La BCR avait relevé son taux directeur à un très haut niveau, à 21%, en octobre dernier pour lutter contre l'inflation et l'avait maintenu à ce niveau jusqu'au mois dernier, lorsqu'elle l'avait ramené à 20%. Les taux d'intérêt exorbitants ont durement touché les entreprises sur fond de pénuries de main d'oeuvre. Certains des plus grands chefs d'entreprises du pays font pression sur la Banque centrale pour qu'elle assouplisse sa politique monétaire. Le régulateur prévoit toutefois que les taux d'intérêts resteront élevés en 2025, ne prévoyant une baisse de l'inflation à son objectif de 4% qu'à partir de 2026. "La politique monétaire restera restrictive pendant une longue période", a averti la BCR. En dépit des sanctions occidentales la visant, la Russie a affiché une forte croissance économique en 2024, principalement grâce aux dépenses massives de l'État en matière de défense, qui devraient encore augmenter de près de 30% en 2025. La BCR a dit vendredi prévoir une "croissance modérée de l'activité économique", tout en disant voir les signes d'une meilleure situation sur le marché du travail face aux pénuries de main d'oeuvre.
par energy_isere » 14 juil. 2025, 10:12
Guerre en Ukraine: Poutine rattrapé par la dégradation de l'économie russe? Inflation, ralentissement de la croissance... Le ministre russe de l’Economie a déclaré jeudi 19 juin que la Russie était au « bord de la récession ». Pour Julien Vercueil, professeur d'économie à l’Inalco, Moscou se heurte à la dure réalité des sanctions internationales Publié le 11 juillet 2025 Jérémy Bouillard
par energy_isere » 20 juin 2025, 13:03
Ralentissement de l'économie russe : la tension monte à Moscou entre gouvernement et Banque centrale Boursorama avec Media Services •20/06/2025 Si la Présidente de la Banque centrale russe répète sa volonté de conserver des taux élevés pour lutter contre l'inflation, plusieurs membres de l'équipe gouvernementale proches des milieux économiques plaident au contraire pour un "réchauffement d'une économie" désormais "au bord" de la récession. Après deux années 2023 et 2024 marquée par une résilience inattendue face aux sanctions prises par les Occidentaux depuis 2022 en représailles à l'invasion de l'Ukraine, l'économie de la Russie marque désormais le pas. Dans ce contexte, le gouvernement russe et la Banque centrale (BCR) ont affiché leurs divergences dans le cadre du forum économique de Saint-Pétersbourg, à propos des moyens à mettre en place pour dynamiser l'activité, en plein ralentissement de la croissance après deux années de surchauffe. Les lourds investissements publics dans le complexe militaro-industriel pour soutenir l'armée russe ne permettent plus de stimuler l'économie. Et pour plusieurs acteurs économiques de poids, la responsable est toute trouvée: la patronne de la Banque centrale, Elvira Nabioullina, qui mène une politique monétaire très stricte, avec un taux directeur très élevé, à 20% (abaissé d'un point début juin), pour lutter à tout prix contre l'inflation. Cette orientation est contestée sans détours par le patronat et certains ministres du bloc économique. "Les indicateurs montrent qu'il est nécessaire de baisser les taux d'intérêt, qu'il faut passer d'un refroidissement contrôlé à un réchauffement de l'économie", a tonné le vice-Premier ministre, Alexandre Novak, en charge au sein du gouvernement de l'important dossier de l'énergie. "Il est l'heure de baisser" le taux directeur, a-t-il appuyé, mettant en garde contre le risque de "rater le moment opportun", alors qu'il a qualifié la conjoncture actuelle de "douloureuse". Un traitement de choc "épuisé" ? La croissance a ralenti au premier trimestre à 1,4%, son niveau le plus faible depuis les trois premiers mois de 2023, selon des chiffres officiels, et les perspectives sont moins bonnes que l'an passé. Jeudi, le ministre de l'Economie, Maxime Rechetnikov, avait de son côté averti à Saint-Pétersbourg que l'économie russe était "au bord" de la récession et que sa capacité de rebond dépendait "des décisions" prises par l'Etat russe et la Banque centrale, notamment concernant les taux. Deux jours plus tôt, le conseiller économique de Vladimir Poutine, Maxime Orechkine, avait, quant à lui, estimé que le modèle de croissance russe, mis en place en urgence depuis 2022 pour encaisser le choc des sanctions, était "épuisé" et devait être repensé. Malgré ces critiques publiques, la Banque centrale semble vouloir maintenir sa politique limitant les crédits, au moment où l'inflation atteint toujours près de 10%. "Une simple baisse rapide du taux directeur ne changera probablement pas grand-chose à court terme, si ce n'est le niveau des prix et leur augmentation", a répondu à Saint-Pétersbourg Andreï Gangan, directeur du département de la politique monétaire de la BCR. Dans ce contexte de divergences étalées sur la place publique, le président Vladimir Poutine doit s'exprimer vendredi après-midi lors de la session plénière du forum économique.
par energy_isere » 20 juin 2025, 03:17
Russie: le ministre de l'Economie dit que le pays est "au bord" de la récession AFP •19/06/2025 Le ministre russe de l'Economie, Maxime Rechetnikov, a estimé jeudi que le pays était "au bord" de la récession si l'Etat ne prenait pas les bonnes "décisions" dans les prochaines semaines, en plein ralentissement de la croissance après deux années de surchauffe. Si l'économie russe avait fait preuve en 2023 et 2024 d'une résilience inattendue face aux sanctions prises par les Occidentaux depuis 2022 en représailles à l'offensive russe en Ukraine, la conjoncture a changé depuis quelques mois. Les lourds investissements dans le complexe militaro-industriel pour soutenir l'armée russe ne permettent plus de tirer l'économie russe, ralentie notamment, selon certains observateurs, par la politique monétaire très stricte menée par la Banque centrale (BCR). Celle-ci veut absolument lutter contre l'inflation qui tourne à 10%. Dans ce contexte, plusieurs acteurs économiques de poids, dont le ministre Maxime Rechetnikov, poussent en privé ou publiquement pour un abaissement du taux directeur, aujourd'hui à 20%, un moyen d'encourager les dépenses. "D'après les chiffres, il y a un ralentissement", a-t-il reconnu au forum économique de Saint-Pétersbourg, alertant même que "nous sommes déjà au bord de la récession" avec un nombre "en hausse" d'entreprises en difficulté financière, notamment à cause de prêts contractés à des taux très élevés. C'est la première fois que le ministre russe de l'Economie tire autant la sonnette d'alarme publiquement, malgré des indicateurs en berne depuis plusieurs mois. La croissance a ralenti au premier trimestre à 1,4%, son niveau le plus faible depuis les trois premiers mois de 2023, selon des chiffres officiels. "Je n'ai pas prédit (la récession), j'ai dit que nous étions au bord", a nuancé Maxime Rechetnikov un peu plus tard, assurant que cela dépendrait, selon lui, "des décisions" prises par l'Etat russe. "Je pense que si tout est fait correctement, nous n'y serons pas confrontés", a encore dit M. Rechetnikov devant des journalistes et des décideurs économiques, semblant mettre la pression sur la présidente de la Banque centrale, Elvira Nabioullina, pour une baisse du taux directeur. Le ministre russe a précisé qu'il ferait "une évaluation" de la situation économique "en août, lorsque la plupart des décisions auront été prises et que l'impact des décisions précédentes sera clair".
par energy_isere » 12 juin 2025, 09:21
Les Moscovites inquiets des prix "délirants", après plus de trois ans d'offensive en Ukraine AFP •11/06/2025 Au marché de Préobrajenski à Moscou, fraises, cerises et autres fruits de saison font de l'oeil sur les étals, sous un beau soleil estival. Mais pour Roman Paltievitch, difficile d'en acheter ici en raison de l'inflation élevée: "Les prix sont délirants !" Après plus de trois ans d'offensive russe en Ukraine et de sanctions occidentales en représailles, la hausse des prix, stabilisée depuis plusieurs mois autour de 10%, reste un caillou dans la chaussure du Kremlin, qui n'arrive pas à la faire baisser fortement. Selon l'agence nationale des statistiques Rosstat, le taux d'inflation s'est établi à 9,88% en mai sur un an, en légère baisse par rapport à avril. "Je n'achète ici ni pommes de terre, ni cerises", lance Roman Paltievitch, un retraité de 84 ans. "Cette année, les prix ont fortement augmenté !" Il dit venir faire ses courses sur ce marché depuis son enfance, passée sous l'URSS, mais préfère désormais aller "dans une petite épicerie", ailleurs en ville, pour faire une grande partie de ses achats. "C'est moins cher là-bas", justifie-t-il. Au moment d'évoquer les causes de l'inflation, l'octogénaire pèse soigneusement ses mots pour s'éviter des ennuis avec la justice, toute critique étant sévèrement réprimée par les autorités. C'est pourtant bien l'attaque de l'armée russe contre son voisin ukrainien depuis février 2022 qui a engendré l'explosion des prix alimentaires: les sanctions occidentales ont tiré les prix à la hausse, Moscou dépensant en parallèle massivement dans le complexe militaro-industriel pour soutenir l'armée, ce qui a poussé les salaires vers le haut et, en cascade, les produits du quotidien. A côté de Roman, sa femme, Tatiana, tient religieusement dans ses mains une petite barquette de fraises, comme un petit objet précieux de 400 roubles (4,50 euros) auquel il faut faire très attention. Au vue de leur prix devenu à leurs yeux prohibitifs, les fraises seront uniquement pour leurs petits-enfants, dit-elle. - "Remplir son frigo" - Ailleurs dans les allées du marché de Préobrajenski, nombreux sont ceux rencontrés par l'AFP qui évoquent les mêmes problèmes pour remplir le panier, alors même que la Banque centrale de Russie s'est félicitée publiquement vendredi du "ralentissement" de la hausse des prix. "Je n'achète plus rien dans les grands supermarchés", explique Nikolaï Koutcherov, un artiste indépendant de 62 ans, venu ici se procurer du poulet pour sa jeune petite-fille. "Il faut oublier les voyages. Depuis trois, quatre ans, on ne pense plus qu'à remplir son frigo", reconnaît-il, un brin amer. Comme lui, de nombreux Russes restent profondément marqués par la grave crise économique des années 1990, quand l'économie nationale, au sortir de 70 ans de communisme et de planification étatique, s'était retrouvée largement ébranlée. Une partie de la population avait même perdu ses économies. Un quart de siècle plus tard, le choc de l'ouverture du marché à la concurrence a été remplacé par celui de l'assaut des troupes russes en Ukraine, une décision prise par le président Vladimir Poutine, qui assure pourtant que son pays est devenu "plus souverain" depuis 2022. Dans ce contexte de restructuration à marche forcée de l'économie, le maître du Kremlin vante également la hausse des salaires réels, qui a bénéficié à plusieurs centaines de milliers de Russes, principalement ceux travaillant dans l'industrie de défense. "Les salaires augmentent, donc cela revient à peu près au même", assure à l'AFP Konstantin Zelenkov, un ingénieur de 38 ans. Mais tous ne partagent pas son point de vue, comme Irina Iakovleva, une ancienne comptable de 68 ans, selon qui "tout augmente sans cesse". Avant de résumer le sentiment général: "Nous devons tout simplement nous restreindre."
par energy_isere » 06 juin 2025, 14:39
La banque centrale russe baisse légèrement son taux directeur, à 20% Boursorama avec AFP •06/06/2025
par energy_isere » 11 mai 2025, 22:46
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