Le Cuivre

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suite de ce post du 09 aout 2025 : http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 2#p2415352

Marimaca Copper’s oxide project passes environmental hurdle

Staff Writer | November 12, 2025 |

Marimaca Copper (TSX: MARI, ASX: MC2) says it has received formal environmental approval for the development of its flagship oxide project located in the low coastal cordillera of Chile’s Antofagasta region, placing it closer to construction-ready status.


The Marimaca oxide deposit (MOD) represents an open-pit, heap-leach operation that aims to produce approximately 50,000 tonnes of copper cathodes annually over 13 years. The mine design centres around a conventional yet optimized processing method (solvent extraction and electrowinning), with minimal environmental footprint through the use of recycled seawater from the Bay of Mejillones.

In December, Marimaca submitted its environmental impact statement with Chilean authorities, and has since successfully addressed questions surrounding the project’s potential effects on local communities.

The formal approval of EIS, says the Canadian copper developer, was issued “following a rigorous preparation and engagement process, including multiple years of baseline environmental studies, social and archaeological information collection, multiple voluntary stakeholder engagement programs, and various technical and project engineering studies.”

Closer to construction

The approval, it adds, marks another strategic step closer to the start of construction at MOD, which it plans to begin in the second half of 2026. The company is now moving ahead with acquiring the auxiliary permits for the project, after which it will make a final investment decision.

“Developing our assets in Chile to the highest possible environmental and social standards is a core objective of Marimaca,” managing director Jose Antonio Merino said in a news release.

BMO Capital Markets said in a Tuesday note that this milestone represents another “derisking event” for MOD, while mentioning the project was approved within “an impressive timeline” of under 12 months.

Shares of Marimaca Copper closed Wednesday’s session 6.3% higher at C$11.65 apiece, after hitting a one-month high of $11.90 earlier in the day. The company has a market capitalization of C$1.38 billion ($980 million).

Pampa Medina drilling

Separately, Marimaca also provided the final batch of drill results from the Pampa Medina satellite deposit, which is located approximately 28 kms to the east and is expected to form part of the company’s hub-and-spoke strategy centred around MOD.

In a press release, Marimaca said the new set of intersections — such as 16 metres of 2.29% copper from 464 metres and 6 metres of 3.17% copper from 334 metres — demonstrated the continuity of high-grade sedimentary horizon in the south, about 900 metres from the previously announced drilling.

“Exploration efforts at Pampa Medina continue, and we are increasingly confident in our long-term growth strategy beyond the 50,000-tonne-per-annum of copper production contemplated in our definitive feasibility study,” CEO Hayden Locke said.

BMO, in a separate note, said it views Pampa Medina as a “core component of growth” to offer a material uplift to Marimaca’s future production profile.

https://www.mining.com/marimaca-coppers ... al-hurdle/

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suite de ce post du 08 sept 2024 : http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 8#p2398238

Cuivre : feu vert du sud-africain Harmony pour sa mine de 1,7 milliard $ en Australie


Agence Ecofin24 nov 2025

En 2022, Harmony Gold a acquis en Australie le projet Eva Copper, capable de livrer annuellement 60 000 tonnes de cuivre par an sur 15 ans. La compagnie sud-africaine a depuis acquis dans le même pays une mine de cuivre déjà en activité, afin de se diversifier au-delà de la production d’or.

Le conseil d’administration de Harmony Gold Mining a pris la décision finale d’investissement pour le développement du projet Eva Copper dans le Queensland, en Australie. C’est l’annonce faite lundi 24 novembre par la compagnie minière sud-africaine qui précise que l’investissement nécessaire pour construire cette mine de cuivre se situe entre 1,55 et 1,75 milliard USD.

Les fonds seront mobilisés grâce à une combinaison de flux de trésorerie interne générés par les opérations actuelles de la compagnie et de la dette. Le projet dispose déjà de toutes les autorisations nécessaires au début des travaux de construction, sous réserve des modifications apportées par les autorités environnementales. La mise en service de la mine est prévue pour le deuxième semestre 2026.

Acquis en octobre 2022 auprès de Copper Mountain, le projet Eva Copper est détenu à 100 % par Harmony. Il s’inscrit dans la stratégie de diversification de la compagnie qui veut ajouter la production de cuivre à ses opérations aurifères actuelles. Eva Copper peut en effet livrer 60 000 tonnes de cuivre en moyenne par an sur 15 ans au moins.

Avec l’acquisition récente de la société MAC Copper pour 1 milliard USD, Harmony dispose d’une mine australienne déjà en activité (CSA) et vise à terme une production de 100 000 tonnes de cuivre par an.

Avec le feu vert du conseil d’administration pour débloquer les fonds nécessaires au projet, la direction de la compagnie doit désormais nommer un entrepreneur chargé de l’ingénierie, de l’approvisionnement et de la construction. Harmony Gold Mining espère mobiliser les différentes équipes de construction sur le site au cours du troisième trimestre de son exercice financier 2026, ce qui correspond au premier trimestre de l’année prochaine. Pour ce même exercice, la compagnie veut produire 1,4 à 1,5 million d’onces d’or.

https://www.agenceecofin.com/actualites ... -australie

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Les prix du cuivre en augmentation de près de 25% cette année

RFI le : 28/11/2025

Jusqu'où iront les prix du cuivre ? Et jusqu'à quand seront-ils supportables pour les acheteurs ? Ce sont les questions qu'on se pose dans la chronique des matières premières. Cette année, les prix du cuivre ont augmenté de près de 25% et les prévisions pour 2026 confirment cette tendance à la hausse.

Après deux années d'excédent sur le marché, on entend à nouveau parler de pénurie. Le Groupe international d'étude du cuivre, a confirmé jeudi lors de la conférence mondiale du secteur qui se déroule à Shanghai, qu'au niveau mondial en 2026, la production de métal rouge augmenterait de 0,9% soit moins vite que cette année. Conséquence, le marché du cuivre pourrait connaître un déficit de 150 000 tonnes l'année prochaine.

Les prix, toujours proches de 11 000 dollars la tonne, leur pic de fin octobre, devraient rester en hausse jusqu'en 2030, selon la Commission nationale chilienne du cuivre qui constate que cette année la production nationale ne progressera presque pas. Au-delà des restrictions de l'offre minière globale, d'autres facteurs jouent sur les prix. C'est le cas de la baisse attendue des taux d'intérêt de la Réserve fédérale américaine (FED) en décembre. Cette baisse serait favorable à une reprise économique et donc à la demande en cuivre, symbole par excellence de la bonne santé industrielle d'un pays.

Prime sur le cuivre chilien

Cette hausse des prix s'illustre par la prime que demandent les opérateurs chiliens. Concrètement, pour les contrats de l'année prochaine, Codelco, le plus grand producteur mondial, propose son cuivre bien au-dessus du prix du LME, la bourse aux métaux de Londres : soit environ 300 à 350 dollars de plus par tonne. Cette année, Codelco a vendu son cuivre avec une prime de 89 dollars.

Avec de tels prix, l'opérateur chilien fait comprendre à ses acheteurs que l'offre sera encore insuffisante l'année prochaine, et qu'il faudra payer plus pour avoir du cuivre. Et ce dans un contexte où les États-Unis ont aspiré d'énormes volumes depuis le début de l'année pour anticiper la mise en place de taxes. Cette démarche a asséché le marché et a fait grimper les stocks du Comex, la bourse aux métaux de New York à un niveau record de plus de 400 000 tonnes pendant que ceux du LME baissaient cette année de plus de 40%. Ils s'affichent désormais à moins de 157 000 tonnes.

Des prix dissuasifs ?

À de tels niveaux, les prix pèsent sur les acheteurs chinois, les premiers consommateurs de cuivre au monde. Certains d'entre eux seraient réticents à souscrire des contrats d'approvisionnement pour l'année prochaine.

Les acheteurs sont des fonderies et raffineries chinoises qui ont déjà vu ces derniers mois leurs revenus s'effondrer, jusqu'à afficher des marges négatives de l'ordre de 60 dollars pour transformer le concentré de cuivre acheté à la mine, en cathodes de cuivre métal utilisables par l'industrie. Une situation de plus en plus intenable.

https://www.rfi.fr/fr/podcasts/chroniqu ... ann%C3%A9e

[kercoz]

UN peu HS : je remarquais que si l'un des modèles cata écono-bio-climato énergético ....) survenait, avec une baisse drastique de la popu .....ne serait ce que de 20 à 30 % ....les circuits de recyclage actuellement insuffisants , ...deviendrait dominants et fiables pour une civilisation taille basse...qui pourrait se rattraper aux branches.

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suite de ce post du 6 juillet 2025 : http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 6#p2413866

Panama to release first Cobre Panama audit results in December

Cecilia Jamasmie | November 27, 2025

https://www.mining.com/panama-to-releas ... -december/

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RDC : le cap des 500 000 tonnes de cuivre reporté à l’horizon 2027 à Kamoa-Kakula

Agence Ecofin 04 dec 2025

Grâce au lancement d’une troisième usine, Ivanhoe tablait initialement sur une production de plus de 500 000 t de cuivre à Kamoa-Kakula en 2025, ce qui s’annonçait comme une première depuis l’inauguration de la mine en 2021. Un objectif désormais compromis par un incident sismique survenu en mai.

En République démocratique du Congo, la mine de cuivre Kamoa-Kakula ne devrait finalement atteindre le cap symbolique des 500 000 tonnes de cuivre qu’à l’horizon 2027. C’est du moins ce qui ressort des prévisions de production annuelle dévoilées mercredi 3 décembre par son opérateur Ivanhoe Mines qui indique poursuivre les travaux de redressement du complexe minier après l’incident sismique survenu en mai.

Depuis sa mise en service en 2021, la production de Kamoa-Kakula connaît une montée en puissance continue, passant de 333 500 tonnes lors de sa première année complète en 2022 à un record de 437 061 tonnes en 2024. Ivanhoe Mines comptait prolonger cette dynamique en 2025 avec la mise en service d’une troisième usine de traitement, qui devait contribuer à porter la production entre 520 000 et 580 000 tonnes.

Cet objectif a toutefois été revu à la baisse après l’incident évoqué plus haut, lequel a principalement affecté la mine souterraine de Kakula. La production de Kamoa-Kakula est désormais attendue à 420 000 tonnes au maximum en 2025, un plafond que l’opérateur anticipe également pour 2026, avant une remontée à environ 540 000 tonnes en 2027.

Ces prévisions reposent sur une amélioration progressive des taux d’extraction et de traitement, au fur et à mesure de l’avancement des travaux de remise en état de Kakula. Une actualisation du plan global d’exploitation de Kamoa-Kakula est également en cours.

Plus grande mine de cuivre de la RDC et l’une des plus importantes à l’échelle mondiale, Kamoa-Kakula est contrôlée à 20 % par l’État congolais, tandis qu’Ivanhoe Mines et son partenaire chinois Zijin Mining détiennent chacun 39,6 % des parts.

https://www.agenceecofin.com/actualites ... moa-kakula

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Cuivre : Ivanhoe lance la fonderie à 700 millions USD de la mine Kamoa-Kakula en RDC

Agence Ecofin 02 décembre 202

Depuis sa mise en service en 2021, le concentré de cuivre produit à la mine Kamoa-Kakula est principalement exporté vers les fonderies internationales pour y être traité. En parallèle, son opérateur Ivanhoe Mines développait une fonderie visant à assurer la production d’anodes de cuivre sur place.

Dans une note publiée le lundi 1er décembre, Ivanhoe Mines a annoncé le démarrage officiel de la fonderie de cuivre de sa mine Kamoa-Kakula en République démocratique du Congo. Cette mise à jour fait suite à une cérémonie d’inauguration tenue le vendredi 21 novembre et marque l’aboutissement d’un projet évalué à 700 millions USD, une étape clé pour la valorisation locale du cuivre extrait sur le site.

D’une capacité annuelle de traitement de 500 000 tonnes de concentré de cuivre, la fonderie est le fruit d’une initiative lancée en 2021, après la mise en service de la mine. Le projet portait alors l’objectif de permettre la transformation exclusive du cuivre de Kamoa-Kakula sur le sol congolais. À l’époque, Ivanhoe Mines indiquait en effet qu’environ 35 % du concentré produit sur le site était envoyé à la fonderie voisine de Lualaba, le reste étant transporté vers des fonderies internationales pour y être traité.

Avec cette mise en service, la compagnie prévoit désormais de traiter l’intégralité de la production de Kamoa-Kakula sur place. Tout excédent enregistré sera ensuite être acheminé vers l’usine de Lualaba pour traitement. Pour rappel, le cuivre blister que produira la fonderie est un produit intermédiaire entrant dans la fabrication d’anodes, avec une pureté d’environ 99 %. À titre de comparaison, Ivanhoe estimait à environ 55 % le cuivre contenu dans le concentré extrait sur la mine.

Grâce à cette infrastructure, la compagnie minière canadienne renforce ainsi sa position sur la chaîne de valeur du cuivre, de sorte à capter une plus grande valeur ajoutée pour la production de Kamoa-Kakula. À noter que l’intégralité de la future production de la fonderie est déjà couverte par des accords d’enlèvement conclus avec les chinois CITIC Metal et Zijin Mining, ainsi que le négociant suisse Trafigura.

En attendant de prochaines mises à jour sur le projet, notons que le démarrage de la fonderie survient dans un contexte où la montée en puissance de Kamoa-Kakula devrait de nouveau être retardée cette année. Ivanhoe Mines a en effet revu à la baisse ses prévisions annuelles désormais entre 370 000 et 420 000 tonnes (contre 520 000 à 580 000 tonnes initialement) en raison d’un incident sismique survenu en mai dernier. La publication des prévisions de 2026 est attendue cette semaine.

https://www.agenceecofin.com/actualites ... ula-en-rdc

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en relation avec ce post du 27 dec 2020 : http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 6#p2314246

Rio Tinto advances Nuton copper processing technology at Johnson Camp mine
Nuton technology uses naturally occurring microorganisms to extract copper from primary sulphide ores, which are generally difficult to process.

Raghavi Joshi December 4, 2025

io Tinto has achieved a milestone with the first copper produced from Gunnison Copper’s Johnson Camp mine in Arizona, US, using Nuton copper processing technology.

The Nuton technology, the result of more than 30 years of research and development, utilises proprietary bioleaching methods and is designed to improve copper extraction from primary sulphide ores while reducing environmental impact.

The initial copper cathode was produced last month at the Johnson Camp mine through Rio Tinto’s Nuton bioleaching technology, using microorganisms cultivated on site to extract copper from ore.

The current deployment includes a technology package for a heap leach pad, with a production target of around 30,000 tonnes of refined copper over a four-year demonstration period.

Rio Tinto said it is in discussions with multiple prospective customers in the US to help strengthen the domestic copper supply chain.

Nuton technology uses naturally occurring microorganisms to extract copper from primary sulphide ores, which are generally difficult to process.

These microbes, cultivated at scale in Nuton’s proprietary bioreactors, speed up the oxidation of minerals in the crushed ore heap.

This process generates heat and allows copper to dissolve into a leach solution, which is then processed into 99.99% pure copper cathode.

The technology is said to remove the need for traditional concentration, smelting and refining stages, streamlining supply chains and enabling copper cathode to be delivered directly at the mine gate.

Rio Tinto claimed the technology can achieve recovery rates of up to 85% from primary sulphides.

Nuton also offers the ability to extend mine life and optimise resource utilisation by extracting value from ores that might otherwise be considered waste.

This enhances yield and revenue at both new and existing mines, according to the company’s news release.

At the Johnson Camp mine, the aim is to achieve the lowest carbon footprint for copper production in the US.

Gunnison Copper CEO and president Stephen Twyerould said: “With Nuton copper now entering the US supply chain, this milestone underscores the critical role we can play in strengthening domestic access to cleaner, low-carbon copper.”

The resulting copper is expected to have a mine-to-metal carbon footprint of 0.82kg of carbon dioxide equivalent per kilogram (kg), while water usage is projected at 71 litres/kg of copper.

The next phase will focus on validating its long-term technical performance, including independent third-party verification, internal review by Rio Tinto and multi-year testing.

Rio Tinto Copper chief executive Katie Jackson said: “This is a breakthrough achievement for our Nuton technology, which is proving that cleaner, faster and more efficient copper production is possible at an industrial scale. In an industry where projects typically take about 18 years to move from concept to production, Nuton has now proven its ability to do this in just 18 months.

“Nuton has designed a modular system deployed as a technology package integrating biology, chemistry, engineering and digital tools, allowing it to be rapidly scaled and tailored to different ore bodies, unlocking resources that have historically been considered uneconomic or challenging.

“We are actively partnering on projects in North and South America to assess the potential for future deployment at additional sites in the coming years.”

https://www.mining-technology.com/news/ ... &cf-closed

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suite de ce post du 14 janvier 2024 : http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 8#p2383148

Opemiska copper project: PEA confirms Quebec potential

Canadian Mining Journal Staff December 3, 2025


Drilling at the Opemiska copper-gold project in Quebec

XXIX Metal (XXIX.V; US-QCCUF: OTCQB) announced the filing of an independent preliminary economic assessment (PEA) technical report for its Opemiska project. The report outlined robust economics for the copper project, located in Chapais, Quebec. XXIX is advancing its Opemiska and Thierry copper projects, two significant Canadian copper assets.

The Opemiska project, highlighted as one of Canada's highest-grade open-pitable copper deposits, underpins the company’s position as a key player and one of Eastern Canada's largest copper developers.

The technical report, titled “NI 43-101 Preliminary Economic Assessment (PEA) Technical Report for the Opemiska Copper Project, Chapais, Quebec,” became effective on October 17, 2025, with an issue date of December 2, 2025. Ausenco prepared and compiled the report, with contributions from independent qualified persons.

The PEA provides a 17-year mine life, projecting total payable copper of 715 million pounds, alongside 409 thousand ounces of gold and 2.08 million ounces of silver. The study indicates strong after-tax base case economics, with a C$505 million Net Present Value at an 8% discount rate (NPV8%) and a 27.2% Internal Rate of Return (IRR). Using current spot pricing, these figures increase to an NPV8% of C$897 million and a 39.3% IRR.

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The project demonstrates significant leverage to rising copper and gold prices, with a projected $4.40 billion in life-of-mine revenue, comprising 70.7% copper, 27.9% gold, and 1.4% silver. The PEA incorporates 44.3 million tonnes of inferred mineral resources (0.32% copper, 0.18 g/t gold, 0.77 g/t silver). Inferred mineral resources can only be used for economic analysis within a PEA. The company notes additional resource upside, including the Cooke gold zone, where active drilling is currently underway.
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https://www.canadianminingjournal.com/n ... potential/