Afghanistan

[nemo]

en fait ma question portait sur le forum, et je demandais où on en avait parlé sur le forum.

Nulle part à ma connaissance.

Addendum : pour la.Belgique, je cite la condamnation récente l'état pour crimes contre l'humanité envers des métisses belgo-congolaises, arrachées à leur foyer et élevées dans des orphelinats

Ce genre de crime on en trouve dans tous les pays coloniaux. Il y a eu un scandale au Canada il y a pas longtemps. Les gens ont tendances à hausser les épaules en pensant que ce sont des pratiques d'un autre temps mais il y a des cas qui sot vraiment pas ancien. Y compris en France.

[GillesH38]

en fait ma question portait sur le forum, et je demandais où on en avait parlé sur le forum.

Nulle part à ma connaissance.

Addendum : pour la.Belgique, je cite la condamnation récente l'état pour crimes contre l'humanité envers des métisses belgo-congolaises, arrachées à leur foyer et élevées dans des orphelinats

je ne vois pas trop le rapport avec un apartheid, ce serait plutot motivé par le refus de différences culturelles et la volonté d'assimiler tout le monde à un mode unique d'éducation, donc plutot l'opposé.

Alors que l'Afghanistan organise sciemment l'exclusion sociale de la moitié de sa population.

[mahiahi]

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Pour la.Belgique, je cite la condamnation récente l'état pour crimes contre l'humanité envers des métisses belgo-congolaises, arrachées à leur foyer et élevées dans des orphelinats

je ne vois pas trop le rapport avec un apartheid, ce serait plutot motivé par le refus de différences culturelles et la volonté d'assimiler tout le monde à un mode unique d'éducation, donc plutot l'opposé.

Les noirs d'un côté, les blancs de l'autre, et les métis seuls entre eux (ces enfants n'ont jamais revu leurs parents)

[mahiahi]

Ce genre de crime on en trouve dans tous les pays coloniaux. Il y a eu un scandale au Canada il y a pas longtemps. Les gens ont tendances à hausser les épaules en pensant que ce sont des pratiques d'un autre temps mais il y a des cas qui sot vraiment pas ancien. Y compris en France.

Et quand ils voulaient aller dans l'autre sens, encore très récemment, ça a donné l'arche de Zoé

[GillesH38]

Les talibans ont publié un décret interdisant aux femmes de se montrer aux fenêtres et de travailler pour des ONG

https://x.com/SaraWahedi/status/1873360839627120760

[energy_isere]

En Afghanistan, le grand appétit des talibans pour les mines

AFP •02/02/2025

Vantant un retour de la sécurité, le gouvernement taliban courtise investisseurs locaux et étrangers pour exploiter les abondantes mines afghanes et s'assurer une manne financière, avec le risque de brûler des étapes, préviennent des experts.

Si les réserves ont été épargnées d'une exploitation à grande échelle par plusieurs décennies de guerre, environ 200 contrats pour plusieurs milliards de dollars, la grande majorité avec des entreprises locales, ont été signés depuis le retour des talibans au pouvoir en 2021, d'après des chiffres officiels.

Nombre de contrats portent toutefois sur l'exploration de mines, dont l'extraction peut prendre des années, possiblement sans considérations environnementales, selon des spécialistes.

Emeraudes, rubis, marbre, or ou lithium: le sous-sol afghan regorge de ressources d'une valeur de mille milliards de dollars, d'après des estimations américaines et onusiennes de 2010 et 2013.

L'Institut géologique américain (USGS) a noté une "forte hausse" de la production de charbon, talc et chromite en 2021 et 2022.

Le gouvernement dit se concentrer sur les ressources qui pourraient perdre de la valeur avant de s'attaquer à celles, comme le lithium, dont les prix peuvent encore grimper sur les marchés mondiaux.

Mais les talibans, accusés avant 2021 de piller des mines dans les régions montagneuses sous leur contrôle, admettent avoir besoin d'aide extérieure pour professionnaliser le secteur.

"Nous voulons que l'Afghanistan soit autosuffisant mais il y a des obstacles", reconnaît Humayoun Afghan, porte-parole du ministère des Mines et du Pétrole à l'AFP. "Nous n'avons ni experts, ni infrastructures, ni savoir".

- "Aider l'économie" -

Le ministère publie régulièrement des appels d'offres, dans l'espoir d'aider un pays englué dans la pauvreté. Il envoie aussi aux chancelleries des notes verbales, avec appels d'offre et listes de projets miniers, d'après des documents consultés par l'AFP.

Selon la Banque mondiale, les résultats sont déjà visibles: l'expansion du secteur minier, évaluée à 6,9%, a tiré l'industrie (+2,6%) en 2023-2024.

Mais, notait-elle en décembre, si le gouvernement a "émis des appels d'offre pour plusieurs petits contrats miniers afin de répondre à ses besoins de liquidités, de nombreux contrats doivent encore se concrétiser sur le terrain".

"Le gouvernement émet peut-être 10 fois plus d'appels d'offre qu'il ne peut en honorer", déclare Javed Noorani, expert du secteur.

Pour transformer le capital minier en "économie durable, il faut une vision éclairée permettant de développer des compétences humaines, une industrialisation, des infrastructures", dit-il à l'AFP.

Pour y parvenir, les autorités accueillent "tous ceux qui veulent investir, surtout s'ils ont de l'expérience dans les mines (...), cela aidera l'économie", espère M. Afghan.

Les investisseurs étrangers avaient largement déserté le pays, jugé trop dangereux.

La plupart craignent désormais d'être associés à l'"Emirat islamique", non reconnu à l'international et dirigé par des talibans, pour beaucoup sous le coup de sanctions occidentales.

Mais d'autres, dont les pays entretiennent relations diplomatiques et économiques avec Kaboul, ont sauté le pas, venus d'Iran, de Turquie, d'Ouzbékistan, du Qatar et surtout de Chine.

- Firmes chinoises -

La compagnie publique chinoise MCC intervient sur le gisement de cuivre de Mes Aynak, le deuxième plus grand au monde à 40 kilomètres de Kaboul, en vertu d'un contrat de 2008 relancé par les talibans.

Depuis 2021, des entreprises chinoises ont également remporté au moins trois grands projets, de mines d'or et de cuivre notamment, indique M. Afghan.

La Chine est également une grande cliente.

"La majorité de notre néphrite", la pierre de jade, "part en Chine", témoigne Habbrahman Kawal, copropriétaire d'une mine dans la montagne rocailleuse de Goshta, dans l'Est.

M. Kawal se dit "heureux" de ses affaires florissantes, lui qui n'a investi dans les mines qu'après l'arrivée des talibans.

Seules 14 entreprises minières aujourd'hui actives l'étaient déjà sous le précédent gouvernement, d'après le Centre for Information Resilience.

"Cela suggère qu'un nouvel ensemble d'entreprises domine le secteur minier", relève ce réseau d'enquêteurs indépendants basé au Royaume-Uni.

Les talibans mettent volontiers en avant la fin de l'insécurité pour attirer les investissements, malgré de sporadiques attaques contre des étrangers.

"La première chose que les investisseurs disent en arrivant c'est que la stabilité les encourage", veut croire M. Afghan, qui recense 150.000 emplois créés dans le secteur depuis 2021. D'après l'Organisation internationale du travail, 450.000 emplois ont été perdus entre 2021 et fin 2022.

Il refuse de communiquer les revenus perçus depuis 2021 mais précise que le gouvernement entre au capital de certaines entreprises et perçoit des royalties.

- Environnement -

Pour le président de la Chambre de l'industrie et des mines, Shir Baz Kaminzada, certains investisseurs se moquent des sanctions et savent qu'en Afghanistan ils peuvent "se faire de l'argent", alors qu'ailleurs, "où la régulation est stricte, il faut des milliards pour lancer une mine".

"Les entreprises peuvent opérer plus rapidement car elles n'ont pas à se plier à des règles, ce qui peut causer des dommages environnementaux ou économiques", alerte David Chambers, géophysicien américain et président d'une ONG offrant une aide technique dans les activités minières.

Le principal danger réside dans les rebuts de mines car seul 1% de ce qui est creusé en est retiré, explique M. Chambers.

Le reste peut contenir des minéraux sulfurés et contaminer les sous-sols au contact de l'eau.

Le ministère des Mines affirme avoir conservé la législation d'avant 2021 et veiller à "nettoyer" les mines après extraction, sans toutefois détailler.

"Chaque dollar que vous ne dépensez pas pour stocker les résidus ou purifier l'eau, c'est du profit (...) mais cela entraîne de possibles coûts sur le long terme", prévient M. Chambers.

En Afghanistan, "les gens se fichent du long terme", admet M. Kaminzada.

https://www.boursorama.com/actualite-ec ... d9aea354f8

avec des photos sur une carrière de néphrite dans le lien.

[GillesH38]

Les talibans interdisent le jeu d'échec en Afghanistan

https://www.ouest-france.fr/monde/afgha ... 5efa388100

[LeLama]

J'essaie d'avoir une source originale pour verifier et sentir les nuances si interdiction il y a.

Bizarrement, Grok ne trouve aucune source dans un journal afghan. Si les afghans interdisent qq chose a leur population, il faut bien qu'ils communiquent vers la dite population et ca devrait laisser des traces. Je signale ce pb a Grok qui me repond ceci:

Votre remarque est pertinente : si une interdiction aussi significative que celle des échecs avait été officiellement annoncée par les talibans et communiquée à la population afghane, on s’attendrait à trouver des traces dans les médias locaux, même sous contrôle taliban, comme Bakhtar News Agency ou TOLOnews. L’absence de sources afghanes directes et accessibles dans les recherches effectuées peut effectivement soulever des questions sur la véracité ou le contexte exact de cette annonce.

Grok me signale aussi qu'il n'y a pas de sources dans les declarations des medias occidentaux ( le monde, libe, afp...)

Si on lit le texte proposé par Ouest-France, l'interdiction est annoncee au futur et Ouest-France participe a ce confusionnisme en interpretant l'interdiction au present sans mentionner pourquoi il fait cette transformation. On ne sait pas qui est ce porte parole, quel est son poids politique, si c'est un souhait de sa part ou un texte de loi ... bref, la soupe informative habituelle.

Je parlais dans un autre fil de xenophobie souhaitee. On est ici ama dans un cas d'ecole.

[GillesH38]

J'essaie d'avoir une source originale pour verifier et sentir les nuances si interdiction il y a.

Bizarrement, Grok ne trouve aucune source dans un journal afghan.

pourrais tu demander à Grok un lien sur un journal afghan auquel il a accès stp ?

[LeLama]

J'essaie d'avoir une source originale pour verifier et sentir les nuances si interdiction il y a.

Bizarrement, Grok ne trouve aucune source dans un journal afghan.

pourrais tu demander à Grok un lien sur un journal afghan auquel il a accès stp ?

je ne souhaite plus communiquer avec toi. Ca tourne en troll systematique.

Tu n'a pas repondu a ma demande de proposition d'amelioration. Si tu as qq chose a commenter, fais le directement sur le forum sans ping-pong.

[GillesH38]

J'essaie d'avoir une source originale pour verifier et sentir les nuances si interdiction il y a.

Bizarrement, Grok ne trouve aucune source dans un journal afghan.

pourrais tu demander à Grok un lien sur un journal afghan auquel il a accès stp ?

je ne souhaite plus communiquer avec toi. Ca tourne en troll systematique

en quoi est ce du trollage que de demander à quels journaux afghans Grok a accès, je ne comprends pas ?
Tu exiges les sources de l'information donnée par les journaux mais pas celles de Grok ?

[GillesH38]

bon ben puisque notre ami Alpaga n'a pas l'air très désireux de vérifier ce que dit Grok , aidons le

d'abord, quelles sont ses sources afghanes ?

A quels journaux afghans en ligne as tu accès ?

Les informations disponibles ne me permettent pas de confirmer l'accès direct à des journaux afghans en ligne spécifiques, car la situation médiatique en Afghanistan est fortement restreinte depuis le retour des talibans en août 2021. Cependant, je peux vous fournir des détails sur le paysage médiatique afghan et les sources d'information en ligne pertinentes, en me basant sur les données récentes.
Contexte du paysage médiatique en Afghanistan :
Répression des médias locaux : Depuis août 2021, les talibans ont imposé une censure stricte, entraînant la fermeture de 43 % des médias afghans en seulement trois mois. Plus des deux tiers des 12 000 journalistes afghans ont quitté la profession, et 80 % des femmes journalistes ont cessé leur activité. Les médias locaux restants sont soumis à un contrôle idéologique, avec des sujets tabous comme les droits des femmes, les minorités ou la religion.

Médias en exil : Quelques médias afghans indépendants opèrent désormais depuis l'étranger, offrant une couverture plus libre de l'actualité afghane. Ces médias en exil sont souvent la principale source d'information non censurée pour les Afghans ayant accès à Internet.

Accès à Internet : Seuls ceux disposant d'une connexion Internet peuvent consulter des médias en exil ou étrangers, mais l'accès est limité en Afghanistan en raison de l'effondrement économique et des restrictions technologiques imposées par les talibans.

Journaux et agences de presse afghans en ligne identifiés :
Khaama Press (www.khaama.com) (www.khaama.com) :
Fondée en 2010, Khaama Press est l'une des principales agences de presse afghanes en ligne, opérant en anglais, persan (farsi) et pachto. Elle couvre l'actualité afghane et internationale, y compris la politique, les droits des femmes, les réfugiés et la sécurité.

Basée à l'étranger depuis la prise de pouvoir des talibans, elle reste une source fiable et indépendante, publiant des articles en temps réel. Par exemple, elle a récemment rapporté une demande de 76 organisations afghanes pour une action judiciaire contre Zalmay Khalilzad et un rapport de l'ONU sur le déni d'accès à l'éducation pour 80 % des jeunes femmes afghanes.

Accessibilité : Le site est accessible en ligne gratuitement et constitue une source clé pour suivre l'actualité afghane.

TOLOnews (www.tolonews.com) (www.tolonews.com) :
TOLOnews est une chaîne d'information afghane bien connue qui maintient une présence en ligne. Bien qu'elle continue de fonctionner en Afghanistan, elle est soumise à des restrictions talibanes, ce qui limite sa capacité à couvrir certains sujets sensibles.

Elle publie des articles et des vidéos en anglais et en langues locales, mais son contenu est surveillé par les autorités talibanes, ce qui peut affecter son indépendance.

Pajhwok Afghan News (www.pajhwok.com) (www.pajhwok.com) :
Pajhwok est une agence de presse indépendante qui propose des nouvelles en anglais, pachto et dari. Elle est connue pour ses reportages sur le terrain, mais, comme TOLOnews, elle opère sous la surveillance des talibans, ce qui peut entraîner une autocensure.

Elle reste une source utile pour les nouvelles locales, bien que son contenu soit moins critique envers le régime.

Autres sources potentielles :
Médias en exil non spécifiés : Selon Reporters sans frontières, plusieurs médias afghans en exil couvrent l'actualité du pays de manière indépendante, mais leurs noms spécifiques ne sont pas toujours mentionnés dans les sources disponibles.

Médias internationaux : Des sites comme BBC Persian, Radio Free Europe/Radio Liberty (RFE/RL) ou Voice of America (VOA) en dari et pachto offrent une couverture de l'Afghanistan accessible en ligne. Bien que non afghans, ils sont souvent consultés par les Afghans pour des informations non censurées.

Limitations d'accès :
Censure et surveillance : Les talibans surveillent étroitement les réseaux sociaux et imposent une censure technologique, rendant l'accès à des sites indépendants difficile pour les Afghans sur place. Certains médias doivent soumettre leurs articles aux autorités locales avant publication.

Sources indisponibles : Certains sites répertoriant des journaux afghans, comme www.newspaperindex.com ou www.newspapersglobal.com, mentionnent des listes de journaux afghans en ligne, mais ne fournissent pas de détails spécifiques ni de liens fonctionnels dans les données disponibles.

Recommandations :
Pour des informations fiables et récentes, consultez Khaama Press (www.khaama.com) (www.khaama.com), qui est une source indépendante et accessible en ligne.

Si vous cherchez des nouvelles locales avec une perspective afghane, TOLOnews et Pajhwok Afghan News sont des options, mais gardez à l'esprit les contraintes d'autocensure.

Pour une couverture plus large et non censurée, les médias internationaux comme BBC Persian ou RFE/RL sont des alternatives pertinentes.

Si vous avez besoin d'une analyse spécifique d'un de ces sites ou d'une recherche plus approfondie sur un journal particulier, faites-le-moi savoir ! Je peux également vérifier des sources supplémentaires en temps réel si nécessaire.

ah ben ok, Grok ne trouve pas source en Afghanistan... ben parce qu'elles ne sont pas en ligne tout simplement. Fallait y penser.

Et quand on consulte les sites à l'étranger comme www.khaama.com , on trouve bien la nouvelle que le jeu d'échec est interdit :

https://www.khaama.com/chess-banned-in- ... trictions/

pareil pour pajhwok.com

https://pajhwok.com/2025/05/11/chess-ga ... ghanistan/

La nouvelle est reprise aussi sur des sites spécialisés sur les échecs

https://en.chessbase.com/post/taliban-bans-chess-2025

https://www.chess.com/news/view/taliban ... fghanistan

ici il est expliqué que les restrictions datent de longtemps et que les talibans l'avaient déjà banni quand ils avaient pris le pouvoir en 1996

https://www.npr.org/sections/goats-and- ... an-taliban

Bref la nouvelle est confirmée de partout, et aucun site ne dit que c'est une fausse nouvelle.

Mais peut etre est-ce une vaste conspiration mondiale dont le but est de salir injustement les talibans ?