L'angoisse

[mahiahi]

Pour ceux qui ne se souviennent pas de la première guerre du Golfe, des attentats islamistes ou d'ultragauche, du COVID, et qui ne voient pas de problème actuellement, petite illustration du niveau d'anxiété et de tolérance ici même :
https://indigobuzz.fr/2023/10/chamas-ta ... t=cmp-true
(a aussi sa place dans le fil dédié à la guerre Israël-Palestine et dans Humour)

[Silenius]

citations de l'article :

Le problème ne serait pas si grave si « Hamas » n’était pas le nom d’une organisation politique palestinienne, considérée par beaucoup comme un mouvement terroriste.

mais pas par l'auteur de l'article apparemment.

Il est certain que le propriétaire du restaurant ne faisait que faire la promotion de ses tacos, sans penser à autre chose.

Un journaliste qui lit dans les pensees, c'est formidable ! Cette compétence est elle enseignee dans les ecoles de journalisme ?

Pas certain que l'auteur eut trouve la situation loufoque si ce commerce s'etait appele anaNAZI TACOS.

Nicolas Gaillard
Nicolas est journaliste depuis 2014, mais avant tout passionné des jeux vidéo depuis sa naissance,

Quand on vous dit que les ecrans c'est dangereux pour les enfants !

Selon quelques LLMs :

Chamas, a city in the northern state of Himachal Pradesh, India.

A shortened version of "chamas aquáticas", which means "aquatic flames" in Portuguese. This is sometimes used to refer to the bioluminescence produced by marine microorganisms when disturbed in the ocean.

An acronym for the Spanish phrase "Confederación de Hogares de Ancianos de la República Mexicana A.C.", which translates to "Confederation of Elderly Homes of the Mexican Republic". It's an organization in Mexico that provides care and housing for the elderly.

In Portuguese and Spanish, "chamas" (from the verb "chamar" in Portuguese and "llamar" in Spanish) means "you call" or "you are calling" in the second person singular. It can refer to the act of calling someone by phone or calling someone's name.

In Swahili, "chama" (plural "chamas") means "party" or "association," often referring to informal savings and loan groups in East Africa where members contribute money and take turns receiving the pooled funds.

"Chamas" could also be a colloquial or regional spelling or pronunciation of "llamas," which are domesticated South American camelids widely used as meat and pack animals by Andean cultures since pre-Hispanic times.

[mahiahi]

Le problème ne serait pas si grave si « Hamas » n’était pas le nom d’une organisation politique palestinienne, considérée par beaucoup comme un mouvement terroriste.

mais pas par l'auteur de l'article apparemment.

Tu lis dans ses pensées ?

Il est certain que le propriétaire du restaurant ne faisait que faire la promotion de ses tacos, sans penser à autre chose.

Un journaliste qui lit dans les pensees, c'est formidable ! Cette compétence est elle enseignee dans les ecoles de journalisme ?

Certainement, vu le nombre d'articles en présentant.

Mais je me demande si YouTube et X ne proposent pas les mêmes.

Au fait, d'où la tiens tu?

Pas certain que l'auteur eut trouve la situation loufoque si ce commerce s'etait appele anaNAZI TACOS.

Il y a aussi :

• DoSKi TACOS
• meUGIN TAcOs
• hAlTe TACos d'HErbabdeZ MOlI
• PIzza PIment ET TACOS

Sinon,, tu lis aussi dans l'humour ?

Nicolas Gaillard
Nicolas est journaliste depuis 2014, mais avant tout passionné des jeux vidéo depuis sa naissance,

Quand on vous dit que les ecrans c'est dangereux pour les enfants

!

Des enfants sont morts ?
C'est plutôt l'hygiène qu'il faut envoyer alors !

[Jeudi]

Après avoir perdu sa fille Jana à Gaza en attendant le feu vert d’Ottawa, Samar Alkhdour vit dans l’angoisse de perdre sa sœur qu’elle tente de faire sortir de l’enclave palestinienne dans le cadre d’un programme d’urgence d’Immigration Canada devenu un fiasco.
Près de deux mois après l’ouverture de ce qu’Ottawa appelle une « voie d’accès » à la résidence temporaire pour les Gazaouis ayant de la famille au Canada, ledit accès ressemble à un sinistre tunnel qui ne mène nulle part, sinon au désespoir.
Alors que les bombes continuent de tomber sur Gaza et que la famine fait rage, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) indique que 986 demandes de visa sont toujours « en traitement » en date du 4 mars. Seulement 12 Palestiniens ayant des proches au Canada ont pu quitter Gaza pour l’Égypte par leurs propres moyens et obtenir leur visa de résidence temporaire. Et un grand nombre, à l’instar de Samar, sont laissés complètement dans le noir quant à l’état de leur demande, hantés par des questions sans réponse. Arriveront-ils à sauver leurs proches ? Les reverront-ils un jour vivants ?

(…)

À partir de quand les « brefs délais » promis par Immigration Canada deviendront-ils une tombe ? Après plus de 30 000 morts à Gaza, combien d’enfants comme Jana perdront-ils encore la vie en attendant Ottawa ?
« C’est un cauchemar qui se répète pour moi », souffle la mère endeuillée de 38 ans qui guette constamment son téléphone en craignant de recevoir une nouvelle funeste de Gaza.
« Tout le monde est une cible à Gaza. Ceux qui restent. Ceux qui partent. Ceux qui se déplacent d’un endroit à l’autre. Il n’y a aucun lieu sûr. Cette peur constante que mes proches soient attaqués, ça me tue… »
***
J’ai raconté l’histoire de Samar il y a un mois. L’histoire tragique d’une Montréalaise d’origine palestinienne dont la fille handicapée de 13 ans est morte à Gaza de malnutrition et par manque de soins médicaux en attendant une autorisation d’Ottawa pour être évacuée d’urgence. Le 22 janvier dernier, lorsque le feu vert a finalement été obtenu, il était trop tard. Jana était déjà morte et enterrée depuis deux semaines dans l’enceinte de l’église de Gaza qui fut son dernier refuge1.
« Je me suis battue pour ma fille Jana. Et je l’ai perdue à cause d’une bureaucratie que rien ne justifie. De penser que je pourrais maintenant perdre ma sœur et sa famille et que l’histoire va se répéter… C’est au-delà des mots », me dit Samar, qui est titulaire d’une maîtrise en développement international et qui travaillait à la défense des droits de la personne à Gaza.
Samar espère accueillir à Montréal sa petite sœur Siham, son mari Mohammed et leurs deux enfants, Hamza, 8 ans, et Shams, 7 ans, dans le cadre du programme spécial lancé par le ministre de l’Immigration Marc Miller en janvier pour que des Palestiniens coincés à Gaza retrouvent leur famille au Canada. Compte tenu de leur différence d’âge – Siham a presque 10 ans de moins qu’elle –, Samar l’a élevée avec sa mère et la considère aussi comme sa fille. « Je me sens une double responsabilité et un double amour envers elle et ses enfants. »
Comme les familles doivent se débrouiller par leurs propres moyens pour faire sortir leurs proches de Gaza et qu’un « racket » à la frontière fait en sorte que les frais de passage vers l’Égypte s’élèvent à plus de 7000 $ US par personne, Samar a lancé une campagne de sociofinancement GoFundMe pour sauver la vie de sa sœur et de sa petite famille. La générosité des gens – dont de nombreux lecteurs de La Presse touchés par son histoire – lui a permis jusqu’à présent d’amasser près de 21 000 $, soit presque la moitié des fonds nécessaires pour payer leur voyage et les billets d’avion.
Malheureusement, pour l’heure, Samar n’a aucune nouvelle d’IRCC concernant sa demande déposée il y a près de deux mois. Si bien que, comme bien des Palestiniens de la diaspora, elle se demande si elle ne devrait pas utiliser les fonds amassés pour tenter d’envoyer ses proches en Égypte dès maintenant, sans attendre le feu vert d’Ottawa. Car s’ils meurent comme Jana en attendant que les politiciens et les autorités bougent, à quoi bon tous ces efforts ?
***
En conférence de presse, jeudi dernier, le ministre Miller admettait que son programme spécial était un échec tragique. « C’est très frustrant pour moi. Je ne veux pas mettre en place un programme qui s’avère un échec. Mais nous avons tous échoué devant les Gazaouis », a-t-il déclaré2.
Cet aveu d’échec était doublé d’un aveu d’impuissance. Le ministre a dit tenter avec ses collègues de faire pression sur Israël et l’Égypte qui contrôlent la sortie de Gaza. Mais en vain, s’est-il désolé.
Pour le chef adjoint du Nouveau Parti démocratique, Alexandre Boulerice, qui appuie Samar dans son combat et presse Ottawa de faciliter la délivrance de visas pour tous les Gazaouis ayant de la famille au Canada, le gouvernement canadien est moins impuissant qu’il ne veut le laisser croire3. Membre du G7, il dispose de plusieurs leviers pour faire pression sur le gouvernement d’Israël. Ce n’est pas tant une question de pouvoir que de volonté et de courage.
« Il y a des traités commerciaux. Il y a des ventes d’armes. Il y a des pressions diplomatiques ou économiques. Il faudrait à un moment donné que le gouvernement libéral mette le poing sur la table et hausse un peu le ton avec le gouvernement Nétanyahou. Parce que là, carrément, on parle d’aide humanitaire et de sauver des vies à Gaza. C’est une question de vie ou de mort, pour vrai. »
Et pour vrai, on peut certainement faire mieux que de regarder les Gazaouis mourir.

[mobar]

Le Canada a vote la decision de 1947 a l’ONU et soutien les politiques d’Israel depuis plus de 70 ans

Ce qui se passe a Gaza etait inscrit dans les intentions des sionistes depuis l’origine, a un moment donne quand on s’est autant trompe, il faudrait peut etre revoir ses positions ?

Ou alors c’est juste de la com et de la propaganda!

[GillesH38]

Evidemment tout ça ne justifie quand même pas que le Hamas libère tous les otages sans condition et dépose les armes, on est bien d'accord ?

[mobar]

Et les 7000 palestiniens raffles par israel depuis le 7 octobre, c’est des otages ou ils sont destines a etres executes dans les geoles israeliennes?
https://www.amnesty.org/fr/latest/news/ ... y-arrests/

https://www.amnesty.org/fr/latest/news/ ... y-arrests/

[GillesH38]

c'est pas symétrique comme situation, tu crois que le Hamas serait plus motivé pour relâcher les otages si il s"agissait plutot d'éviter 30 000 morts du coté israélien ?

[nemo]

C'est surtout que le Hamas et les palestiniens jouent leur survie contrairement aux israéliens.

[kercoz]

« Il y a des traités commerciaux. Il y a des ventes d’armes. Il y a des pressions diplomatiques ou économiques. Il faudrait à un moment donné que le gouvernement libéral mette le poing sur la table et hausse un peu le ton avec le gouvernement Nétanyahou. Parce que là, carrément, on parle d’aide humanitaire et de sauver des vies à Gaza. C’est une question de vie ou de mort, pour vrai. »
Et pour vrai, on peut certainement faire mieux que de regarder les Gazaouis mourir.

[/quote]

Pourquoi privilégier certains du fait qu'ils aient des relations canadienne ?

[mobar]

Pour sauver les vies des gazaouis, il faut éliminer les tueurs de gazaouis!

[Jeudi]

 
« Il y a des traités commerciaux. Il y a des ventes d’armes. Il y a des pressions diplomatiques ou économiques. Il faudrait à un moment donné que le gouvernement libéral mette le poing sur la table et hausse un peu le ton avec le gouvernement Nétanyahou. Parce que là, carrément, on parle d’aide humanitaire et de sauver des vies à Gaza. C’est une question de vie ou de mort, pour vrai. »
Et pour vrai, on peut certainement faire mieux que de regarder les Gazaouis mourir.

Pourquoi privilégier certains du fait qu'ils aient des relations canadienne ?

Pour corriger ta balise:
1- click sur modifier
2-écrit: « [xquote=Rima Elkouri, La presse] » juste avant « Il y a (…) »
3- retire le « x »
4- enregistre

(Parce qu’elle écrit dans un journal canadien)

[GillesH38]

C'est surtout que le Hamas et les palestiniens jouent leur survie contrairement aux israéliens.

L'idée que garder les otages en captivité assure leur survie est pour le moins surprenante, mais je ne m'étonne plus de rien venant de toi.