Si on suit cet article, une autre façon de se vacciner serait de s'exposer à une quantité limitée de virus (sans forcément chercher à l'inactiver, comme pour un vaccin, puisqu'on y arrive) , quantité définie à déterminer.parisse a écrit : ↑30 sept. 2020, 14:03On est alors peut-etre en train de se vacciner massivement avec le port du masque qui est obligatoire un peu partout maintenant. S'il y a disons 20% de symptomatiques (1 sur 5) avec port du masque generalise, mais qu'on observe plus de 50% de symptomatiques chez les testes positifs (1 sur 2), cela veut probablement dire que l'estimation d'un facteur 3 entre testes et cas reels est sous-estime. Et de meme sur les proportions de sero-prevalence (qui n'est toujours pas sondee a ma connaissance) vs personnes ayant ete en contact avec le virus.
Bien vrai ça? l'étude a été menée en double aveugle (même avec les animaux) pour que les évaluateurs de l'état de santé des cobayes (qui doivent différer des "empoisonneurs") ne sachent pas à quel dose ils ont été exposés, afin de ne pas fausser leur perception et aller dans le sens d'une thèse qu'ils chercheraient à défendre?e concept de lien entre dose virale et gravité de la maladie existe depuis près d’un siècle. De nombreuses études sur les animaux ont montré que plus la dose de virus administrée à un animal est élevée, plus il est malade. En 2015, des chercheurs ont testé ce concept chez des volontaires humains en utilisant un virus de la grippe non mortel. Ils ont obtenu le même résultat : plus la dose de virus de la grippe administrée aux volontaires était élevée, plus la maladie était importante.
D'ailleurs, est-on bien vacciné? Si je suis bien cette thèse :
L'organisme réagit le plus vite possible à un développement exponentiel de virus une fois détecté, plus il prend en main le problème tôt, plus l'exponentielle est coupé "à la racine", plus il est possible de contenir la diffusion de virus dans l'organisme. Si l'exponentielle commence à 10 plutot qu'à 1000, elle est plus facile à stopper, les conditions initiales sont importantes pour des phénomènes exponentielles.
Mais si une personne connait une toute petite infection, elle ne serait pas immunisée, car si un jour ultérieur à cette toute petite infection un grand paquet de virus entre d'un coup, le système immunitaire sera bien débordé.
Le fonctionnement d'un virus se retrouverait encore une fois, suivant une curieuse homothétie biologique/social, entre l'organisme et la société. Ainsi on avait dit, en mars, que l'Allemagne (en plus d'autres mesures) avait identifié et réagi à son premier cas connu, ce qui a permis à ce pays de moins subir la pandémie. Jusqu'à maintenant.
Du coup, il n'y a pas forcément une limite claire entre les personnes immunisés et non immunisées. Ce qui explique que des raisonnements conduisent à considérer qu'il y a plus de la moitié des gens qui le serait déjà, et d'autres mesures beaucoup moins otpimistes qui disent que des tests sanguins à grande échelle montrent qu'il y a moins de 20% d'immunisés...Une bonne partie de la population aurait été en contact avec le virus mais seule une petite partie a un système immunitaire qui réagit au quart de tour, après un traumatisme de contamination (qui aurait été perçu par la personne, ou pas forcément), et qui est donc identifié comme immunisé par les test.mais qu'on observe plus de 50% de symptomatiques chez les testes positifs (1 sur 2), cela veut probablement dire que l'estimation d'un facteur 3 entre testes et cas reels est sous-estime. Et de meme sur les proportions de sero-prevalence (qui n'est toujours pas sondee a ma connaissance) vs personnes ayant ete en contact avec le virus.
La recherche sur le vaccin s'avèrerait vaine, la seule protection serait une petite exposition régulière.