Les astéroïdes géocroiseurs ne sont pas nombreux. Si la matière finit par manquer, il faudra aller piocher au delà de Mars, en s'aidant d'une bases relai là-bas. Une base bien plus sophistiqué que celle qui est esquissé pour ce siècle. Cette seconde phase d'exploitation de ressources spatiales sera bien après la première qui est sur les corps géocroiseurs. Dans mon propos, il y a bien des étapes nécessitant des échelles de moyen très différents , et auraient donc lieu à des période futuristes très différente, il ne faut pas tout mélanger. De même qu'on ne mélange pas les distances de la terre à l'ISS, à la Lune, à Mars, à une proxima du centaure, à une autre galaxie, je suppose que tout cela est connu du lecteur.
L'idée d'exploiter les astéroides au-delà de Mars, ce n'est pas très différents de mine dans le désert. Il y a la ville dans le territoire fertile. Plus loin il y a des avant-postes, à la limite de l'habitable. Et plus loin encore, une mine dans le désert où travaillent des gens et des machines.
Pour les cailloux du ciel il n'y aurait que des robots.
Les mines dans le désert, y compris les derrick pétrolier du désert, ne sont pas du tout autonome du point de vue de leur énergie : il n'y a pas de quoi faire pousser la nourriture qui nourrit les travailleurs qui actionnent les machines. C'est quand même intéressant d'y aller, comme elles exportent de la matière.
Les distances dans l'espace sont bien importantes, mais vides et sans frottement donc ne requiert pas d'énergie pour être parcourues mis à part l'accélération. Les crochet spatiaux récupèreraient l'énergie de décélération pour donner de accélération à d'autres objets, pour des voyages entre corps massifs. Ce système réduit très largement les besoin en énergie et en temps pour les transports entre astres.
Comme il n'y a pas de frottement, on peut dire d'une certaine manière qu'il compte pour du beurre, question énergie. Un gros problème reste l'extraction du puits de gravité.
Effectivement.La colonisation de notre système solaire et l'exploitation de ses innombrable ressources sont bloqués par le verrou technologique de la propulsion chimique. La faute à la formule de Tsiolkovski et à la radioactivité qui nous interdit d'utiliser la fission nucléaire (autrement on serait déjà sur Mars).
Les vidéos, dont les scripts sont revus par des scientifiques du domaine (même si une erreur a pu se glisser) (j'ai apprécier ces vidéo, on aurait pu avoir un autre support comme du texte, mais imagé c'est mieux), mentionne à un moment ce problème. La masse utile, c'est environ 1 millième de la masse totale.
C'est très handicapant mais avec des recours à des "astuces"( à défaut de trouver une énergie plus dense), on entrevoit, avec nos connaissances actuelles de la physique et en respectant ses lois, des façons d'optimiser et de parvenir à effectuer des activités intéressantes économiquement. La récupération d'étage de décollage par spaceX de est une "astuce" qui diminue non pas beaucoup l'énergie mais surtout le coût de lancement, une parmi une série plus longue . (ça n'empêche que : les voitures Tesla, je vois pas l'intérêt)
Ce scientifique du 19ème siècle, Tsiolkovski, a dévelloppé ses idées avant qu'il y a une application pratique , bien avant d'avoir une idée de la façon de faire techniquement, et on n'était pas obligé de le croire. En plus il aurait dit que ce serait un qui serait russe serait le premier à aller dans l'espace.
Il a aussi le premier théorisé l'ascenseur spatial, il a sauté des étapes (marcher sur la lune, station spatiale...). Enfin je ne dis pas que c'est la preuve qu'il y en aura un un jour.