Oui. Mais il faut faire de petite masse critique, pour enlever la masse globale : gagner Etat par Etat, l'Europe étant un levier important. Voici la stratégie.AJH a écrit :Oui, mais cette fois, il faudrait une solidarité "mondiale", entre toutes les populations, des populations qui s'ignorent, ne se comprennent pas, voire se haïssent et sont de toute façon en compétition.
Par exemple, dans l'état, il est illusoire de faire bouger les USA. Qu'importe, nous avons notre transition a faire. Je crois à l'effet de l'exemplarité". Et à l'instar de la Californie, les USA ont déjà leur Etat (état ultra compétitif) qui fera bien plus que la pression de la vieille Europe. Les gens sont informés. Ils sont aussi intelligents. Bref, ne livrons pas des combats que nous savons pour l'instant inutile.
Pour reprendre la citation complète de Godot : "L'appel que nous venons d'entendre, c'est plutôt à l'humanité tout entière qu'il s'adresse. Mais à cet endroit, en ce moment, l'humanité, c'est nous, que cela nous plaise ou non".
Oui, à cet endroit.
On nous rabache des modèles scandinaves, des pays bas, de la GB, etc...
Mais la question d'une transition énergétique n'est pas un modèle homogène : il est fait de l'héritage énergétique du pays, de sa géographie, de ses cotes et de son agriculture. Nous avons Notre transition à faire, et pas celle des autres.
L'effet de masse se ferait tout seul : lorsque 5 à 6 pays en Europe auront annoncer officiellement leur transition en marche forcée, un vent de panique va souffler sur les retardataires. Et nous sommes loin d’être les premiers