Je n'en suis pas persuadé. J'ai l'impression d'etre seul mais je persigne.Pierre M. Boriliens a écrit :FireSledge a écrit:
Ainsi promouvoir (ou simplement laisser faire) l'informatisation dans une société qui ne remet pas en cause les fondements de l'économie (théorie de la valeur et division du travail) a pour principale conséquence de stimuler cette économie et les dégats qu'elle occasionne.
On ne peut mieux dire !
En situation de pénurie d'abondance (4), l'économie libérale ne peut que crever. (Ne la laissons pas souffrir!).
L'outil informatique (peut) réintroduire de la complexité ds le système et etre utilisé par "les vrais gens d'en bas", le cout de l'energie devant interdire toute globalisation et"raccourcir" les circuits d'échange.
Le constat évident , c'est que l'informatique peut pratiquement supprimer les déplacements "physiques" humains , déplacements cents fois plus couteux en énergie que les déplacements de biens .
90%de mes collègues ont remplacé leurs ballades de foires au livres , fete de machin et bourses de collectionneurs par le net. Nous ne sommes pas des "gros" et ainsi concurençons les "gros".
Je peux me tromper mais je perçois le net comme le rond point: ça met de l'huile ds les flux et facilite les transits.
Qu'il y ait des cotés pernicieux , bien sur . je les intuite plutot du coté socio culturel que du coté politico aliénant : la réduction des relationels non virtuels (marchés , echanges etc...et le fait que le virtuel permet a l'individu plus de déviance entre sa "pseudo" réalité et le MOI(face) affiché devrait induire des comportements moins vertueux.