Qui est "on" ? , le même que celui qui prétend que les éoliennes modifient le climat ?Tiennel a écrit :certes, mais on dit bien que les traînées d'avion en altitude ont également un impact sur le climat...
J'arrête, discussion stérile.[/b]
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Le débat n'est pas stérile pour les trainés d'avions qui ont un réel impact sur le climat régional (mesures effectuées les jours qui ont suivi le 11 septembre 2001 aux états-unis). De plus à l'altitude où volent les avions ON (les climatologues) a l'habitude de dire que les rejets ont un PRG (pouvoir de réchauffement global) deux fois supérieur à celui des mêmes rejets en bas. Raison supplémentaire, s'il en ait besoin, pour ne pas prendre l'avion.Lansing a écrit :Qui est "on" ? , le même que celui qui prétend que les éoliennes modifient le climat ?Tiennel a écrit :certes, mais on dit bien que les traînées d'avion en altitude ont également un impact sur le climat...
J'arrête, discussion stérile.[/b]
Les éoliennes ne libèrent pas d'oxygène, ni ne créent de l'humidité ; elles ne fertilisent pas les sols et ne font pas vivre d'animauxmarcel a écrit :Si les éoliennes absorbent en partie l'énergie du vent , qu'en est il des arbres qui ploient sous la bourrasque. Il faudrait dès lors couper vite fait tous les grands vilains arbres qui empêchent le vent de circuler librement.
On pourrais même poursuivre le raisonnement en calculant la différence (à long terme) d'énergie/pollution nécessaire à la fabrication/exploitation d'une éolienne par rapport à une centrale thermique.Dagobert a écrit :Et quelle énergie faut-il pour construire une centrale nucléaire, pour la faire fonctionner, et last but not least pour la démanteler.
Une mauvaise foi supplémentaire dans leur raisonnememt!!!
En meme temps les prix sont :Tiennel a écrit : Idem pour le solaire qui est plutôt résidentiel : personne ou presque ne s'y lance. Le business case n'est pas assez robuste, comme on dit. Peut-être faudrait-il une loi type "éolienne indispensable pour tout permis de construire" ?
C'est pas faute d'essayer ! Un projet citoyen de grande ampleur est bloqué à la Rochelle, essentiellement par manque de volonté politique.Tiennel a écrit :
Le problème est qu'il faut que les particuliers aient envie d'investir. Pour l'instant, ce sont les affreux capitalistes qui ont plutôt tenté le coup de l'éolien, et donc c'est forcément du projet d'intérêt collectif.
Le chauffe-eau solaire n'a pas beaucoup d'influence sur les pointes du reseau électrique (heures creuses) contrairement au chauffage solaire qui les atténue. Coupler du chauffage solaire à une petite éolienne et/ou du photovoltaïque (pour faire circuler le fluide) serait une bonne solution, avec des aides bien sûr.Tiennel a écrit : Idem pour le solaire qui est plutôt résidentiel : personne ou presque ne s'y lance. Le business case n'est pas assez robuste, comme on dit. Peut-être faudrait-il une loi type "éolienne indispensable pour tout permis de construire" ?
Dagobert a écrit :Il est assez étonnant de voir l'argument avancé par les anti ou déni énergies renouvelables: exemple" vous ne vous rendez pas compte de l'énergie qu'il faut pour fabriquer une éolienne, et son socle en béton, et ceci et cela! Tout d'un coup ils se soucient de l'énergie comme par
hazard.
Et quelle énergie faut-il pour construire une centrale nucléaire, pour la faire fonctionner, et last but not least pour la démanteler.
Cas de la production d'électricité : émissions de CO2 en g/ kWh (analyse du cycle de vie)
charbon: 800 à 1050 suivant technologie
cycle combiné à gaz: 430 (°)
nucléaire :6
hydraulique : 4
biomasse bois 1500 sans replantation
photovoltaïque : 60 à 150
éolien : 3 à 22
On compte par kWh brut (transmis par la source d'énergie) ou net (en incluant le préalable à la production et le démantellement)?th a écrit :Dagobert a écrit :Il est assez étonnant de voir l'argument avancé par les anti ou déni énergies renouvelables: exemple" vous ne vous rendez pas compte de l'énergie qu'il faut pour fabriquer une éolienne, et son socle en béton, et ceci et cela! Tout d'un coup ils se soucient de l'énergie comme par
hazard.
Et quelle énergie faut-il pour construire une centrale nucléaire, pour la faire fonctionner, et last but not least pour la démanteler.
Ca s'appelle une "life cycle analysis". c'est le bilan energetique complet d'un moyen de production, incluant sa construction et son dementellement.
Saisit ce mot dans google, suivi du nom de l'energie, et tu trouvera tous les chiffres pour toutes les energies, y compris le nucleaire.
Il y a aussi quelques chiffres dans manicore
Cas de la production d'électricité : émissions de CO2 en g/ kWh (analyse du cycle de vie)
charbon: 800 à 1050 suivant technologie
cycle combiné à gaz: 430 (°)
nucléaire :6
hydraulique : 4
biomasse bois 1500 sans replantation
photovoltaïque : 60 à 150
éolien : 3 à 22
Spanish wind power industry
By Geoff Nairn
Published: October 28 2005 03:00 | Last updated: October 28 2005 03:00
The Spanish wind power industry is on a roll. Last year, a record 2,000MW of wind power were installed in Spain, pushing the country ahead of previous leader Germany in installed capacity for the first time. Of course, Spain has its fair share of strong winds, but outsiders might be surprised at the country's rapid rise to become the number one wind market. This, in turn, has created a sizable home-grown wind power industry employing more than 30,000 people. As well as Gamesa, the world's second-largest turbine manufacturer, Spain is home to more than 500 smaller companies making components. As the country's wind market matures, many of the wind farm operators and manufacturers are now exporting their technology.
"Wind energy is one of the great success stories of Spain, not just for the wind farm promoters but for the suppliers as well," says Stephen Taylor, head of Spanish operations at Ilex, the energy consultancy. He attributes the success to two factors: Spain's long-standing policy of paying a premium for electricity from renewable sources, which helps to subsidise the industry; and the key role played by Spain's regional governments, which see wind energy both as Asociaci-n Empresarial E-lica, the industry's trade body, claims that Spain's premium tariff policy is the most successful of the various subsidy mechanisms that other countries have tried for renewable energy. Experts say the success of the premium tariff policy lies less in the value of the subsidy - which some believe is now too high - than in the stability it provides. Because wind producers know how much they will be paid for their electricity many years int That makes it easier to make an investment case for a project and raise the finance. Unlike other energy projects, 80 per cent of the cost of a wind farm is paid for upfront. But it is not hard to find investors because, once built, a Spanish wind farm offers above average returns for minimal risk.