Tu refuses de voir la réalité, la réalité du montage de projet, c'est d'abord des subventions tout secteur confonduenergy_isere a écrit :Ce sont des prêts bancaires.mobar a écrit :.....Les banques de développement ont investi des milliards d'euros dans des infrastructures énergétiques dans les Balkans occidentaux entre 2006 et 2012, selon le nouveau rapport de South East Europe Change Network (SEECN). Quelque 1,68 milliard d'euros étaient destinés aux énergies renouvelables non hydrauliques alors qu’un montant 32 fois plus élevé concernait les énergies fossiles.
Le rapport indique que les énergies fossiles représentaient 36 % de tous les prêts bancaires dans la région et près de la moitié des prêts du plus grand prêteur régional, la BERD. De manière plus générale, environ la moitié des 6,7 milliards d'euros annuels de prêts dans le secteur énergétique de la BERD est destinée aux énergies fossiles.
Rien à voir avec les subventions aux kw.h produit. Faut pas tout mélanger.
Tu es dans l' idéologie.
Les subventions attribuées aux projets d'énergie à base de fossile permettent de générer des TRI suffisant pour que les banques les financent
C'est la même chose avec les EnR et tous les types de projets
Tu montes ton business plan, généralement sans subvention, ça passe pas la barre du TRI minimum exigé par les investisseurs et financiers
Tu vas à la pêche aux subventions et tu présentes le second business plan financièrement correct qui permet d'afficher un TRI de 15% après impôts environ
Tu touches tes financements et tu peux lancer la construction subventionnée avec parfois l'obligation d'arroser un peu autour de toi, si tu souhaite continuer ton business
Le hic c'est que les énergies du passé captent plus de 70% des aides et continuent à se développer plus vite que les énergies du futur
Arrêter les aides pour tous ne règlerait rien il suffit de changer le ratio de répartition progressivement pour rééquilibrer les financements en fonction de ce que l'on veut, mais ça c'est de la politique intelligente
Pas d'idéologie, ni de la lecture superficielle des annonces