Publié : 02 oct. 2005, 16:31
Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
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Et puis il y a aussi des gros vilains méchants et un preux chevalier moderne avec son fier destrier noir, héros sauveur et solitaire.rico a écrit :"les régions sont parcourues par des dunes mobiles énormes capables d'engloutir toutes les installations qu'on pourrait y construire."
dans mad max2 il y a une raffinerie en plein désert!!!!
Saudi oil expansion plan may face delay - expert
11 November 2005
DUBAI: Top oil exporter Saudi Arabia may fall behind its schedule to raise output capacity by 1.5 million barrels per day (bpd) by 2009 due to shortages of oil rigs and equipment, said a former top official at Saudi Aramco.
Sadad Husseini, a key architect of Saudi energy production policy for more than a decade, said the kingdom has the oil in the ground, political will and cash to ramp up output.
But a shortage of equipment could leave state oil firm Aramco two-to-three years behind its plan to lift capacity to 12.5 million from 11 million bpd now.
"What we are hearing is that contractors are very, very stretched as is the availability of rigs and equipment. They may wind up being two to three years behind schedule," Husseini said in a telephone interview on Wednesday.
"The industry does not have the resources required." Riyadh has fast-tracked a $50 billion scheme to keep pace with booming demand and maintain up to two million bpd of oil production in reserve.
It intends to boost output by 3 million bpd by 2009, with half that volume going to increasing output capacity and the other half to make up for depletion rates at older fields.
"Every new increment is going to be more expensive and complex and yield smaller amounts," said Husseini. "And you will have to replace easy production and large capacity declines with much more difficult production." In addition, increases beyond 12 million bpd will involve heavy and medium crudes that are difficult for the global refining system to process, he added.
AdvertisementAdvertisementSaudi Arabia, which has been pumping around 9.5 million bpd, has offered to boost its output to 11 million bpd if needed, but there have been no takers.
The International Energy Agency, energy adviser to industrialised nations, this week said the kingdom might need to pump as much as 18 million bpd by 2030 to meet booming demand.
But Husseini, who retired from Aramco in 2004, warned against pushing Saudi oilfields too hard, too fast.
He said the best way to make use of Riyadh's oil reserves, the world's biggest, was to limit pumping rates to 13.5 million bpd over the next 20 years.
"It is not clear why in the next 20 years Saudi Arabia would want to go above 13.5 million bpd with all its technical risks and consequences," the veteran geologist said.
"People who say otherwise are using very simplistic assumptions and are not talking about how production can be sustained." Riyadh can raise output beyond 13.5 million bpd, but undeveloped reservoirs would have to be tapped. And that accelerates the depletion of reserves and reduces the life of the sustainable production plateau.
"For example, if the kingdom were to increase its production from 10 million barrels to 18 million barrels by 2030, it will have consumed 63 per cent of its proven reserves," he said.
"Most of the industry's professionals would not consider it possible to reach such high production levels with such mature reserves." Husseini said 10.6 million bpd would, for now, be a "safe production rate" that would not harm Saudi reservoirs.
Oil Minister Ali al-Naimi has said the kingdom was working to boost its proved reserves by 200 billion barrels from 264 billion now.
Apparemment, les pays du Golfe demandent aux USA de venir investir dans des raffineries, pendant qu'eux s'achètent des yachts et des avions de luxe
- Pétrole: Washington exhorte les monarchies du Golfe à produire plus
ABOU DHABI (AFP) - Le ministre de l'Energie américain Samuel Bodman a appelé samedi les monarchies du Golfe à augmenter leur production pétrolière afin de combler la demande et leur a demandé davantage de transparence pour stabiliser les marchés.
M. Bodman s'est entretenu samedi avec le président des Emirats, cheikh Khalifa ben Zayed Al-Nahyane, et de hauts responsables émiratis lors de sa première escale d'une tournée dans la région.
Les Etats-Unis sont le plus gros consommateur de l'énergie produite dans le Golfe et espèrent que les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) décideront d'augmenter leur production lors de leur rencontre prévue à la fin de l'année, a indiqué M. Bodman.
"Nous encourageons les producteurs, membres de l'Opep et ceux qui n'en sont pas membres, à approvisionner le marché avec le maximum de production", a-t-il dit.
"L'offre a de la difficulté à égaler la demande (...) j'espère que les ministres jugeront utile de continuer à approvisionner le marché", a-t-il ajouté.
Le responsable américain a noté que les Emirats faisaient preuve d'un intérêt à "augmenter (leur) capacité" de production. M. Bodman a indiqué avoir été informé par les hauts responsables émiratis de leur "intention d'augmenter (leur) production et (leur) capacité de raffinage".
"J'espère que nous trouverons" la même volonté "lorsque nous visiterons d'autres pays", a-t-il ajouté.
"Je sais que l'Arabie saoudite, par exemple, a fait part (...) de son intention d'accroître" la production, a déclaré M. Bodman, qui doit se rendre au Koweït, au Qatar et en Arabie saoudite.
Il a également appelé les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG, qui rassemble les monarchies de la péninsule Arabique) à "faire une déclaration" commune concernant la production d'énergie et les capacités de raffinage.
"Il serait utile pour la transparence, à travers le monde, que les pays du CCG puissent dire qu'ils investissent tant de dollars", a-t-il affirmé.
Une telle transparence aiderait, selon lui, le marché et les investisseurs à être sûrs "que la production sera disponible à l'avenir", ce qui "serait utile aux consommateurs ainsi qu'aux pays producteurs".
"Nos deux nations (USA et Emirats) négocient un accord de libre échange, dont la troisième session de pourparlers a commencé aujourd'hui", a indiqué M. Bodman.
"Si cet accord est finalisé (..), cela accroîtra les possibilités pour les sociétés américaines d'investir davantage dans ce pays et dans la région", a-t-il souligné.
Il a estimé que les Etats du Golfe n'avaient pas besoin d'investissements en capitaux pour développer leur secteur de l'énergie et que, par conséquent, les compagnies américaines préféraient fournir l'expertise technique.
"Il y a beaucoup de capitaux dans cette région, surtout maintenant avec la hausse du prix du pétrole", a-t-il estimé en soulignant que les sociétés américaines devaient plutôt fournir "leurs capacités techniques, leur savoir-faire et leur expérience".
Ca dépend : le pétrole à venir sera de plus en plus soufré et lourd, ce qui apparemment nécessite un autre processus de raffinage ; j'ignore dans quelle mesure on peut adapter les raffineries existantes (qui tournent au "light sweet crude") : il est peut-être plus rentable de construire des raffineries adaptées toutes neuves près du producteur et préparer le déclin des anciennes?Tiennel a écrit : Plus sérieusement, tout le monde doit se douter que, imminence du PPP aidant, toute raffinerie supplémentaire créerait de la surcapacité et risquerait de ne pas fonctionner à plein.
En tous cas c'est rapé, si les US souhaitaient de bonnes nouvelles,Il a également appelé les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG, qui rassemble les monarchies de la péninsule Arabique) à "faire une déclaration" commune concernant la production d'énergie et les capacités de raffinage.
Surtout si dans le calcul on prend une surestimation des réserves de 40%... mais ca ne reste que de la spéculationmanager a écrit :Tout porterait à croire que nous ne sommes pas loin du pic...
ou en plein dedans...