[Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Toute l'acualité, discutée à la lumière de la déplétion des réserves d'hydrocarbures.

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Re: [Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Message par energy_isere » 03 janv. 2022, 22:19

Le pétrole en hausse avant une réunion de l'Opep+

AFPparue le 03 janv. 2022

Les cours du pétrole ont fini sur une note positive, après avoir fluctué lundi pour la première séance de l'année juste avant une réunion de l'Opep+.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars a gagné 1,54% à 78,98 dollars. À New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en février a augmenté de 1,15% à 76,08 dollars.

À la veille d'une nouvelle réunion des pays producteurs de pétrole (Opep) et de leurs alliés via l'accord Opep+, les observateurs s'attendent à ce que le cap décidé en mai 2021 soit conservé, avec une augmentation graduelle de la production, de seulement 400.000 barils par jour.

Un jour avant cette réunion, l'Opep a réduit son estimation de l'excédent sur les marchés mondiaux du pétrole pour le trimestre. Les opérateurs y ont vu le signe que le cartel et leurs alliés devraient donc poursuivre leur modeste augmentation de la production.
https://www.connaissancedesenergies.org ... pep-220103

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Message par energy_isere » 04 janv. 2022, 23:50

Pétrole : lentement mais sûrement, l’Opep + ouvre ses vannes

Par Sudouest.fr avec AFP 4 janvier 2022

Les représentants des treize membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs dix alliés via l’accord Opep + ont convenu « d’ajuster leur niveau total de production de 400 000 barils par jour pour le mois de février 2022 », a annoncé l’Opep.

Ils maintiennent ainsi la stratégie de réouverture prudente amorcée en mai 2021 dans un contexte de reprise, après les coupes drastiques décrétées en 2020 pour surmonter le choc de la pandémie de Covid-19.

Décision attendue
Puisque la demande a peu réagi à la propagation d’Omicron, « nous devons remplir les obligations auxquelles l’Opep + s’est engagée dans le cadre de l’augmentation de la production », a déclaré Alexandre Novak, vice-Premier ministre russe en charge de l’Énergie.

« La décision était largement anticipée et les prix du pétrole ont à peine réagi à l’annonce », a commenté Caroline Bain, analyste chez Capital Economics.


Le cours du Brent, référence européenne du brut, prenait 0,79 % à 79,60 dollars, un mouvement limité mais qui maintient le pétrole à des niveaux élevés, soutenus par les perspectives optimistes de l’Organisation sur la demande.

Capacités limitées
Plusieurs indicateurs montrent par ailleurs que les pays membres ne sont pas tous en mesure d’augmenter leurs extractions, même avec un objectif relativement bas. « Il faut bien se souvenir qu’une hausse du seuil de production autorisé n’est pas la même chose qu’une réelle augmentation », souligne dans une note Bjarne Shieldrop, analyste chez SEB.

En décembre, les producteurs avaient adopté la même cible pour janvier, malgré les inquiétudes autour d’Omicron qui avaient fait flancher les cours, promettant simplement de surveiller de très près le marché.

Pari payant pour le cartel : l’organisation avait ainsi répondu aux craintes de Washington sur les prix à la pompe, s’attirant les remerciements de la Maison Blanche… Alors même que les cours du brut repartaient de plus belle, alimentant une poussée de l’inflation à travers le monde. Et plusieurs analystes s’attendaient à ce que la hausse des prix de l’or noir se poursuive en 2022, variant Omicron ou pas.

Niveaux pré-pandémie

Petit à petit, l’Opep + se rapproche des niveaux pré-pandémie.

La hausse annoncée « signifie que d’ici le mois de février, nous atteindrons déjà environ 85 % de la reprise de la production », soit « 1,7 million de barils par jour sur les 2 millions » volontairement laissés sous terre au début de la pandémie, a précisé M. Novak.

Mais une inconnue subsiste pour 2022 : l’Iran, poids lourd dont les exportations sont limitées par les sanctions américaines. Les pourparlers ont repris fin novembre à Vienne entre Téhéran et les Occidentaux pour tenter de faire revenir les États-Unis dans l’accord sur le nucléaire. « Un échec (des négociations) mènerait à de nouvelles sanctions mais également à une remontée des tensions au Moyen-Orient et dans le Golfe », ce qui pourrait encore faire monter les prix, avertit M. Shieldrop.

La prochaine réunion de l’Opep + est prévue pour le 2 février.
https://www.sudouest.fr/economie/energi ... 531282.php

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Message par energy_isere » 08 janv. 2022, 11:27

Haitham al-Ghais remplacera le Nigérian Mohammed Barkindo au Secrétariat général de l’OPEP

Agence Ecofin 4 janv 2022

Sa nomination arrive dans un contexte où l’OPEP et ses alliés cherchent à satisfaire la reprise de la consommation de pétrole sans faire basculer les marchés dans l’excès d’offre.

Le 3 janvier, le Koweïtien Haitham al-Ghais a été élu au poste de nouveau secrétaire général de l’organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). En juillet prochain, il remplacera à ce poste, le Nigérian Mohammed Barkindo qui achèvera ainsi deux mandats de trois ans.

L’élection d’al-Ghais à la tête du cartel a été saluée à l’unanimité par les délégués. Sa candidature avait notamment été soutenue par l’Arabie Saoudite, premier producteur et l’un des membres les plus influents de l’organisation.

Il jouit d’une expérience de plus de 30 ans dans un secteur, où il a travaillé notamment au sein de l’OPEP comme délégué numéro 2 du Koweit. Il y a quatre ans, il a présidé le comité technique conjoint consultatif de l’OPEP+. Il a également été membre puis président du comité d’audit interne de l’OPEP de 2018 à 2021.

Par ailleurs, il a occupé le poste de directeur général adjoint du marketing international de Kuwait Petroleum Corp. (KPC), l’une des sociétés publiques du pétrole du pays. Il a auparavant occupé d’autres postes de direction chez KPC à Pékin et à Londres. Ce sera le premier citoyen d’un pays du Golfe à occuper le poste depuis son compatriote, le cheikh Ahmad Fahad al-Ahmad al-Sabah, en 2005.

« Il connaît l’OPEP sur le bout des doigts. Dans le même temps, il connaît les tenants et les aboutissants du marché. Il est très intelligent et c’est un bon analyste. », a déclaré Johannes Benigni, président du consultant JBC Energy Group à Vienne.

Pour Barkindo, il s’agit d’un « technocrate engagé, compétent et extrêmement capable de diriger l’organisation dans les années à venir ».

Son expérience dans la diplomatie pétrolière lui permettra d’apaiser les tensions au sein de l’organisation et de maintenir la Russie dans le groupe. En effet, des rumeurs de plus en plus insistantes font état d’une volonté de Moscou d’augmenter son offre et de quitter l’accord de plafonnement de l’offre OPEP+.
https://www.agenceecofin.com/gestion-pu ... -de-l-opep

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Message par energy_isere » 18 janv. 2022, 20:33

Pétrole : l'OPEP prévoit toujours une demande « robuste » en 2022

AFP le 18 janv. 2022

En pleine flambée des cours, l'Opep a maintenu mardi ses prévisions de hausse de la demande mondiale de brut pour cette année, la jugeant "robuste" sur fond de reprise économique, en dépit des risques liés à l'évolution de la pandémie de Covid-19.

Sa prévision de la demande a ainsi été maintenue pour 2022, avec un rebond attendu de 4,2 millions de barils par jour (Mb/j) pour atteindre 100,8 millions, a indiqué l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) dans son rapport mensuel. "Même si l'impact du variant Omicron devrait être léger et de courte durée, des incertitudes demeurent concernant de nouveaux variants ou de nouvelles restrictions de la mobilité, alors que la reprise économique mondiale est par ailleurs régulière", note toutefois le cartel. Mais il réaffirme plutôt son optimisme. Dans un article consacré aux politiques monétaires, l'Opep conclut à une prévision de la demande "robuste" et estime que "le marché pétrolier devrait rester bien soutenu tout au long de 2022".

Cette vision confortera les dirigeants de l'Opep et de ses partenaires au sein de l'Opep+, qui avaient une nouvelle fois décidé début janvier d'augmenter leur production, pour le septième mois consécutif, afin de répondre à la soif de pétrole.

Entre novembre et décembre, les pays de l'Opep ont augmenté leur production de 166 000 barils par jour, pour atteindre un total de 27,882 Mb/j, selon des sources secondaires (indirectes) citées dans le rapport. L'Angola et l'Arabie saoudite ont notamment ouvert les vannes, ce qui a plus que compensé un recul en Libye. Ces augmentations des extractions apparaissent toutefois marginales par rapport aux besoins du marché, ce qui se traduit actuellement par une hausse des cours du baril.

Les prix du Brent et du WTI évoluaient ainsi mardi à leur plus haut niveau depuis plus de sept ans, dopés par des perturbations de l'offre, de vives tensions géopolitiques et la remontée de la demande.
https://www.connaissancedesenergies.org ... 022-220118

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Re: [Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Message par energy_isere » 31 janv. 2022, 08:48

Pétrole: l'Opep+ face à des prix records, sur fond de crises géopolitiques

AFP•31/01/2022

Le cartel de l'Opep+ se réunit mercredi pour discuter d'une nouvelle hausse de la production de pétrole, au moment où les prix sont au plus haut en sept ans, dopés par des crises géopolitiques en cascade.

Comme presque chaque début de mois depuis l'éclosion de la pandémie de Covid-19, les treize membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), menés par l'Arabie saoudite, et leurs dix alliés chapeautés par la Russie se retrouvent par visioconférence pour faire d'éventuels ajustements.

De nombreux analystes s'attendent pour le mois de mars à une nouvelle augmentation du volume total de production de 400.000 barils par jour.

Il s'agirait ainsi de la continuité de la stratégie de réouverture prudente des vannes, amorcée en mai 2021 par l'Opep+ dans un contexte de reprise, après des coupes drastiques pour surmonter le choc de la pandémie.

"Cela dit, nous n'excluons pas complètement une hausse plus importante, compte tenu des prix élevés du pétrole et de la récente sous-production de l'Opep+", souligne Capital Economics.

Le cours du baril de Brent de la mer du Nord, le contrat de référence en Europe, a ainsi dépassé la barre symbolique des 90 dollars en janvier, son plus haut depuis octobre 2014. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) a atteint lui aussi des sommets pluriannuels.

Oubliées les craintes suscitées fin 2021 par le variant Omicron, le marché se focalise désormais sur les fortes tensions géopolitiques qui impliquent des mastodontes de la production et de l'exportation d'or noir - la Russie, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis. Et font planer des menaces sur l'approvisionnement.

De l'Ukraine au Yémen -
Les tensions sont au plus haut entre Moscou et les Occidentaux au sujet de l'Ukraine, près de laquelle la Russie a massé des dizaines de milliers de soldats et des armements lourds.

"L'invasion russe de l'Ukraine entraînerait des sanctions très dures", ce qui ferait encore grimper les prix, explique à l'AFP Bjarne Schieldrop, analyste chez Seb.

Parmi les mesures envisagées, la réduction des achats de gaz et de pétrole venus de Moscou, qui représentent respectivement 43% et 20% de l'approvisionnement de l'Union européenne.

Au Moyen-Orient, les hostilités régionales liées à la guerre au Yémen ont également franchi un cran.

Les Houthis, des insurgés appuyés par l'Iran, ont mené mi-janvier leur première attaque meurtrière sur le sol émirati et ont tiré des missiles contre l'Arabie saoudite.

L'attaque, condamnée à l'étranger, a été suivie de raids de représailles.

Outre ces éléments géopolitiques, les analystes blâment la lenteur de l'Opep+ à rétablir sa production pré-pandémie du fait de sa stratégie prudente. Mais aussi parce que certains pays producteurs peinent à faire repartir les volumes d'extraction en raison de problèmes d'infrastructures et d'investissements.

"La sous-performance et l'inaction de l'Opep+ ont soutenu la hausse des prix du pétrole, car le groupe n'a pas atteint ses objectifs de production déclarés, soit des centaines de milliers de barils", insiste Louise Dickson, analyste pour Rystad Energy.

Et "les Saoudiens ont clairement fait savoir qu'ils ne voleraient pas au secours des autres membres, en dépassant leur quota pour compenser les moindres volumes" de leurs partenaires, ajoute Bjarne Schieldrop.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 5d7839db1e

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Re: [Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Message par energy_isere » 01 févr. 2022, 08:33

OPEC+ Fails To Reach Production Targets In January

By Julianne Geiger - Jan 31, 2022

OPEC has again failed to meet its own production targets again in January as the group lifted production only 210,000 additional barrels per day for the month.

Looking at this through a monthly lens, the group increased production by just 210,000 bpd instead of the 400,000 bpd increased production that the alliance agreed to—creating a January shortfall of 190,000 barrels per day.

But the real shortfall is much larger.

Looking back at the base amounts that OPEC is working with, and factoring in each month’s planned increased production, January production cuts from OPEC show a much larger shortfall.

OPEC’s actual January production cuts still amounted to 2.803 million barrels per day short of the base levels when OPEC agreed to the cuts. This compares to the pledged cut for January of 2.129 million bpd.

This equates to an extra 674,000 bpd in cuts for January than what OPEC has agreed to.

In terms of actual production, OPEC produced 27.8 million bpd in December, lifting this to 28.01 million bpd in January. Noteworthy increases came from Saudi Arabia (+100,000 bpd), Nigeria (+50,000 bpd), and the UAE and Kuwait (+40,000 bpd each). These production gains were partially offset by decreased output by Iraq (-30,000 bpd) and Libya (-40,000 bpd).

If we start looking at the beginning of the cuts, there are only two OPEC members that are producing above their January target, and that’s Algeria and Gabon. The largest under producers, in terms of percentages—or rather those missing their ramp-up targets more than anyone else—include Angola, Congo, Equatorial Guinea, and Nigeria.

Of all the OPEC members, it is Saudi Arabia, however, that has the most in terms of numbers of barrels to add back into the market as part of the future production ramp up. According to Reuters figures, Saudi Arabia still has 878,000 bpd to add back into the market.
https://oilprice.com/Latest-Energy-News ... nuary.html

alain2908
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Re: [Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Message par alain2908 » 01 févr. 2022, 15:47

c'est pas très bon signe pour la production pétrolière.
et j'ai beau penser au réchauffement climatique, je ne le prends pas pour une nouvelle réjouissante.
je ne suis pas sur que nos sociétés occidentales soient prêtes à des restrictions.

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Re: [Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Message par energy_isere » 02 févr. 2022, 22:56

Réunion de l' OPEP expédiée en un quart d'heure !
Oil Prices Jump As OPEC+ Sticks With 400,000 Bpd Output Hike

By Tsvetana Paraskova - Feb 02, 2022

> OPEC+ confirms 400,000 bpd output hike in shortest meeting in its history.

> The ministers of the OPEC+ alliance, who met via video conference, rubberstamped in just 16 minutes the monthly production hike proposal.

> Brent Crude prices returned to $90 per barrel just after news of the modest production increase.

.................
https://oilprice.com/Energy/Crude-Oil/O ... -Hike.html

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Re: [Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Message par energy_isere » 19 mars 2022, 09:33

OPEC+ Oil Production Is 1 Million Bpd Lower Than Target Level

By Tsvetana Paraskova - Mar 18, 2022 oilprice.com

> Compliance with OPEC+ output cuts jumps to 136% in February.
> For more than seven months now, OPEC+ has actually added lower volumes to the market than the projected 400,000 bpd per month increases.

The OPEC+ group continues to severely underperform in its oil production levels compared to the target in the pact, with February output at more than 1 million barrels per day (bpd) below the collective quota and compliance rate jumping to 136 percent, Reuters reported on Friday, quoting two sources.

In January, the overall compliance rate at OPEC+ producers was 129 percent, also indicating that the members of the pact haven’t been able to pump to their collective quotas. The compliance rate has been steadily rising in recent months—meaning that the gap between nameplate total quota and actual production continues to rise. For example, compliance in December 2021 was at 122 percent, and the compliance rate stood at 117 percent in November.

For more than seven months now, OPEC+ has actually added lower volumes to the market each month than the 400,000 bpd nominal monthly increase announced in each of the OPEC+ meetings since August 2021.

The biggest oil-consuming nations, including the United States, as well as the International Energy Agency (IEA), have been calling on OPEC+ for months to boost supply faster to help tame soaring oil prices and narrow the widening gap between the group’s quotas and the much lower actual supply to the market.

Africa’s OPEC members, mostly big producers Angola and Nigeria, have struggled to raise their production because of a lack of investment and capacity. Other producers cannot raise output too much, either. The only ones with enough spare capacity to meaningfully add to the OPEC+ production are OPEC heavyweights Saudi Arabia and the United Arab Emirates (UAE).

However, neither the Saudis nor the UAE has stepped forward to fill in the widening gap in global oil supply, which is set to become much wider after Russia’s invasion of Ukraine that led to buyers’ “self-sanctioning” of Russian oil.

“The OPEC+ alliance agreed on 2 March to stick with a modest, scheduled output rise of 400 kb/d for April, insisting no supply shortage exists. Saudi Arabia and the UAE – the only producers with substantial spare capacity – are, so far, showing no willingness to tap into their reserves,” the IEA said in its Oil Market Report earlier this week.
https://oilprice.com/Energy/Crude-Oil/O ... Level.html

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Re: [Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Message par energy_isere » 31 mars 2022, 19:56

L'Opep+ maintient sa stratégie de production malgré la pression américaine

par Maha El Dahan, Ahmad Ghaddar et Noah Browning
REUTERS 31 Mars 2022

L'Opep et ses alliés, dont la Russie, ont décidé jeudi de s'en tenir à une augmentation modeste de leur production de pétrole en mai et de renoncer à l'utilisation des données de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), signe d'une dégradation des relations avec l'Occident.

L'Opep+ va augmenter sa production d'environ 432.000 barils par jour (bpj) en mai.


Le groupe informel formé par l'élargissement de l'Opep à plusieurs autres gros producteurs de brut continue ainsi de résister aux appels des Etats-Unis et de l'AIE à accroître l'offre pour faire baisser les cours, dopés par la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales contre Moscou.

L'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis (EAU), qui disposent de la majeure partie des capacités de production non-employées au sein de l'Opep, justifient ce refus en expliquant que le groupe ne doit pas se soucier de politique mais seulement de l'équilibre entre l'offre et la demande mondiales.

"L'Arabie saoudite va chercher à éviter une confrontation avec la Russie au moment où la production russe est en difficulté", estime Callum Macpherson, d'Investec.

De son côté, l'administration Biden envisage de puiser jusqu'à 180 millions de barils de pétrole dans les réserves stratégiques des Etats-Unis et l'AIE doit se réunir vendredi pour débattre d'une initiative similaire collective.

Le cours à terme du baril de Brent perdait près de 4% vers 14h00 GMT à 108,82 dollars. Il avait dépassé 139 dollars le 7 mars, du jamais vu depuis 2008.

L'Opep+ a averti que l'économie mondiale subirait un coup dur si la guerre en Ukraine devait perdurer.

"Le moral des consommateurs et des entreprises devrait baisser non seulement en Europe mais aussi dans le reste du monde, si l'on ne tient compte que de l'impact inflationniste que le conflit a déjà provoqué", a déclaré le groupe dans un rapport interne consulté par Reuters.

L'OPEP+ REPROCHE À L'AIE UN MANQUE D'OBJECTIVITÉ

Le Comité technique conjoint qui conseille l'Opep+ a décidé mercredi de cesser d'utiliser les données de l'AIE et de les remplacer par les études de deux sociétés privées, Wood Mackenzie et Rystad Energy.

Le Comité utilise ce type de données pour estimer la production pétrolière et le respect par les pays concernés de leurs engagements.

L'AIE conseille les pays occidentaux en matière de politique énergétique et les Etats-Unis sont le premier contributeur à son budget.

Dans un communiqué, l'AIE a déclaré que ses données et ses analyses étaient "rigoureuses et objectives".

Le mois dernier, elle avait relevé de 800.000 bpj son estimation de la demande mondiale, à un peu moins de 100 millions de bpj.

Certains membres de l'Opep+ ont critiqué les données publiées par l'AIE, qu'ils jugent peu fiables, et lui ont reproché de s'être prononcée contre une augmentation des investissements dans le secteur des hydrocarbures.

Une source proche de l'Opep+, qui a requis l'anonymat, a déclaré à Reuters que l'AIE avait "compromis son analyse technique pour coller à son discours".

"C'est une évidence lorsqu'on constate les modifications fréquentes de ses rapports récemment et à quel point elle s'écarte d'autres organisations respectées", a-t-elle ajouté.

Le ministre de l'Energie des EAU, Souhaïl al Mazroueï, a déclaré cette semaine lors d'un colloque que les institutions comme l'AIE devaient se montrer "plus réalistes" et éviter de publier des informations "trompeuses".
https://www.usinenouvelle.com/article/l ... e.N1802847

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Re: [Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Message par energy_isere » 12 avr. 2022, 22:37

Pétrole: l'Opep révise à la baisse la croissance de la demande

AFP•12/04/2022

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a révisé mardi à la baisse sa prévision de progression de la demande pétrolière globale, notamment en raison de l'impact attendu sur la croissance économique mondiale de la guerre menée par la Russie en Ukraine.

Le cartel table désormais sur une croissance de la demande de brut cette année de 3,7 millions de barils par jour (mb/j), en recul de 0,5 mb/j par rapport à sa projection de mars, "ce qui reflète surtout la révision à la baisse de la croissance économique mondiale".

Ainsi révisée, la demande mondiale de brut devrait donc atteindre un total de 100,5 mb/j.

"La croissance économique mondiale pour 2022 est révisée à la baisse à 3,9% contre 4,2% pour l'évaluation du mois précédent. Cela prend en compte l'impact du conflit en Europe de l'Est, ainsi que les effets persistants de la pandémie" de Covid-19, avec des risques qui semblent revus à la baisse pour cette dernière, indique l'Opep dans son rapport d'avril.

"D'un point de vue global, compte tenu du fait que la plupart des pays ont assoupli les mesures de confinement prises en raison de la pandémie de Covid-19, la demande de pétrole a connu une forte croissance de près de 5 mb/j lors du premier trimestre 2022, par rapport à la même période l'an passé", précise l'Opep.

"Toutefois, compte tenu des développements géopolitiques récents en Europe de l'Est, les deuxième et troisième trimestres 2022 devraient voir leur croissance s'établir à 3,5 mb/j par rapport aux mêmes périodes de l'an passé", estime l'Opep dans un article consacré aux perspectives pour l'été à venir.

"Les tensions politiques en Europe de l'Est devraient déplacer l'approvisionnement vers d'autres régions" et ainsi "soutenir les apports des raffineries dans ces régions", ajoute l'organisation.

"Compte tenu de l'incertitude actuelle entourant les développements récents, les troubles géopolitiques et les perspectives pour les mois d'été, les pays participant à la +Déclaration de coopération+ continuent de réaffirmer leur engagement inébranlable à soutenir la stabilité du marché pétrolier en assurant un approvisionnement adéquat en pétrole brut du marché mondial", détaille-t-elle.

La production des pays de l'Opep a progressé de 57.000 barils par jour en mars, selon des sources secondaires (indirectes) citées dans le rapport mensuel. Cette hausse a notamment été tirée par l'Arabie saoudite, le Koweït, les Émirats ou encore l'Algérie.

Les membres de l'Opep+ se refusent à augmenter leur production pour soulager le marché, se tenant au relèvement graduel de 400.000 barils par jour chaque mois avec l'objectif de retrouver, fin 2022, des volumes similaires à ceux d'avant la pandémie.

L'Opep+ réunit les treize membres de l'Opep, menée par l'Arabie saoudite, et dix autres pays exportateurs non membres de l'Opep, menés par la Russie.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... d7c05100e3

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Re: [Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...

Message par energy_isere » 23 avr. 2022, 16:40

En mars, la production pétrolière de l'OPEP+ a été inférieure aux prévisions

Agence Ecofin 21 avril 2022

Malgré la hausse régulière de son plateau de production depuis août 2021, l’OPEP peine à atteindre ses objectifs de production mensuels. PetroLogistics indiquait, en mars, que les exportations du cartel avaient baissé de 363 000 b/j par rapport à février.

L’OPEP+ n’a pas réussi à atteindre ses objectifs de production pour le mois de mars. C’est ce que révèle le dernier rapport du groupe des pays producteurs de pétrole. Le cartel a produit 1,45 million de barils par jour de moins que prévu.

La production est en dessous des 2,7 millions de barils par jour en 2022, annoncés en janvier par l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA). Une production censée répondre à une demande totale de l’ordre de 99,7 millions de barils par jour cette année, selon les données de l’Agence Internationale de l’Energie (AIE).

Selon plusieurs sources concordantes, cette faible performance est principalement liée aux sanctions imposées à la Russie, dans le cadre du conflit ukrainien. Des mesures qui ont eu pour effets de réduire la production pétrolière du pays et en conséquence, celle de l’alliance. La Russie a produit 10,018 millions b/j en mars, soit à peu près 300 000 b/j de moins que son objectif de production pour la période.

L’AIE indique que cette tendance baissière se maintiendra au cours des mois à venir. En effet, un rapport de l’institution, publié la semaine dernière, prévoit que la production russe enregistrera des pertes d'environ 1,5 million b/j en avril. Un volume qui devrait doubler à partir de mai.

Ces prévisions pourraient être renforcées par les récents événements politiques en Libye. En effet, d’après un certain nombre d’observateurs, la suspension des activités de plusieurs infrastructures pétrolières du pays a entraîné une baisse de près de moitié de la production qui plafonnait à environ 1,2 million b/j, depuis le début de l’année.

A cela s’ajoutent les difficultés opérationnelles des pays producteurs d’Afrique occidentale dont le secteur énergétique fait face à une baisse des investissements dans le fossile, liée au départ des compagnies pétrolières internationales.

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Message par energy_isere » 04 mai 2022, 00:26

Pétrole : réunion mensuelle de l'OPEP+ ce jeudi, vers une nouvelle ouverture modeste des vannes

AFP le 03 mai 2022
https://www.connaissancedesenergies.org ... nes-220503

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Message par energy_isere » 05 mai 2022, 21:45

Pétrole : l'Opep+ reste attentiste devant les craintes liées à la Chine

AFPparue le 05 mai 2022

Nouvelle réunion éclair et sans surprise pour les pays producteurs de pétrole de l'Opep+, qui ont convenu jeudi d'une nouvelle hausse marginale de leur production d'or noir, confortés par les risques qui pèsent sur la demande sur fond de restrictions anti-Covid en Chine.


Les représentants des treize membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs dix partenaires (Opep+) ont décidé "d'ajuster à la hausse la production totale mensuelle de 432.000 barils par jour pour le mois de juin", a annoncé l'alliance dans un communiqué.

Comme les mois précédents, le cartel s'en tient à sa stratégie d'augmentation très graduelle de sa production, "au vu des fondamentaux et perspectives suggérant un marché équilibré".

Après avoir procédé à des coupes drastiques au printemps 2020 face au choc de la pandémie, les 23 membres ont commencé à rouvrir les vannes au printemps 2021.

Trop lentement toutefois au goût des Occidentaux, États-Unis en tête, alors que les cours se sont envolés depuis l'invasion de l'Ukraine.

Ils se sont encore enflammés cette semaine après l'annonce d'un projet d'embargo européen sur le pétrole russe, les deux références de l'or noir ayant évolué brièvement jeudi au-dessus des 110 dollars le baril, soit une hausse de 10 à 15% comparé au 24 février.

Pour Edward Gardner, de Capital Economics, "cela laisse penser que le marché est plus contraint du côté de l'offre que ne le laisse entendre l'Opep+".

- La Chine, nouvel argument -

L'alliance a jusqu'à présent résisté aux appels de toutes parts à accélérer le rythme, une prudence désormais renforcée par la situation en Chine.

Largement épargné depuis deux ans, le pays affronte ces dernières semaines sa pire flambée épidémique, qui met à mal sa stratégie zéro Covid.

Pékin a fermé mercredi des dizaines de stations de métro et ses habitants redoutent désormais un confinement, comme à Shanghai, la plus grande ville de Chine avec 25 millions d'habitants où la plupart des cas sont enregistrés.

"Le ralentissement de l'activité en Chine est certainement un facteur justifiant un statu quo de l'Opep+, en dépit de la pression internationale pour augmenter l'offre devant la crise énergétique actuelle", souligne Ipek Ozkardeskaya, analyste de la banque Swissquote, interrogée par l'AFP.

Pèsent aussi sur le marché les craintes d'un ralentissement économique mondial causé par la guerre en Ukraine.

Le Fonds monétaire international (FMI) a fortement abaissé fin avril ses prévisions de croissance mondiale pour 2022 en raison des "ondes sismiques" provoquées par le conflit, notamment de l'inflation galopante qui mine le pouvoir d'achat des consommateurs.

Dans ce climat fébrile, l'Opep+ a récemment révisé à la baisse ses propres estimations.

- Géopolitique et quotas -

À la demande chancelante, s'ajoute aussi un élément géopolitique pour expliquer l'attentisme de l'Opep+, fait valoir Mme Ozkardeskaya, évoquant "une bataille de pouvoir autour de l'approvisionnement en pétrole".

Malgré la guerre, le groupe "reste allié à la Russie et oeuvre contre la volonté des États-Unis d'augmenter la production de brut", argue l'analyste. "Les pays de l'Opep+ ne sont tout simplement pas disposés à remplacer le pétrole russe".

Pour Stephen Innes, analyste chez Spi Asset Management, cette politique "devient de plus en plus intenable" et "contraire à la mission" de régulation du marché de cette alliance forgée en 2016.

Mais encore faudrait-il que l'alliance parvienne à respecter les quotas qu'elle affiche.

Or, entre manque d'investissements dans les infrastructures pétrolières chez certains pays membres ou problèmes opérationnels, le cartel échoue régulièrement à atteindre ses objectifs de production.
https://www.connaissancedesenergies.org ... e-220505-0

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Message par energy_isere » 12 mai 2022, 23:51

Pétrole : l'OPEP revoit à nouveau à la baisse sa prévision de croissance de la demande mondiale

AFP le 12 mai 2022

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a révisé à nouveau à la baisse jeudi sa prévision de progression de la demande pétrolière mondiale, à cause de l'impact de la guerre en Ukraine et des restrictions liées à la pandémie.

Le cartel table désormais sur une croissance de la demande de brut cette année de 3,4 millions de barils par jour (Mb/j), en recul de 0,3 Mb/j par rapport à sa projection d'avril, à cause de "potentielles baisses du PIB mondial et de la résurgence du variant Omicron en Chine". En avril, l'Opep avait déjà baissé sa prévision de 0,5 Mb/j par rapport à mars.

"La croissance de la demande de pétrole au deuxième trimestre devrait être plus lente à 2,8 Mb/j, contre 5,2 Mb/j au premier trimestre", indique l'organisation dans son rapport mensuel. Sur l'année, l'Opep s'attend ainsi à une demande mondiale de 100,3 millions de barils de brut par jour, soit 100 000 b/j de plus qu'en 2019.

"Au premier trimestre, la demande mondiale de pétrole a enregistré une solide croissance, principalement grâce à un fort rebond économique, encouragé par les programmes de soutien à l'économie et l'allègement des restrictions sanitaires", explique l'Opep. La révision à la baisse de la demande pour le reste de l'année s'explique principalement par "les prévisions économiques actuelles", poursuit-elle.

L'Opep s'attend en effet à une croissance économique mondiale de 3,5% en 2022, alors qu'elle l'estimait plutôt à 3,9% le mois dernier. Elle invite notamment à "surveiller de près" l'impact des tensions géopolitiques et de la pandémie sur l'économie, ainsi que la montée de l'inflation ou encore "l'aggravation des problèmes sur les chaînes d'approvisionnement".

La production des pays de l'Opep a progressé de 153 000 barils par jour en avril, selon des sources secondaires (indirectes) citées dans le rapport mensuel. Sur l'année, l'offre devrait être tirée par les États-Unis, le Canada, le Brésil, le Kazakhstan, la Guyane et la Norvège, estime l'Opep.

Lors d'une réunion début mai, les pays membres de l'Opep et leurs dix partenaires de l'Opep+ ont convenu de s'en tenir pour le mois de juin à une augmentation très graduelle de la production, en dépit de la pression sur le marché depuis le début de la guerre en Ukraine et des menaces d'embargo sur le pétrole russe de la part de l'Occident.

Dans son rapport mensuel publié jeudi, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a tout de même tenu à rassurer, en soutenant que le monde ne devrait pas manquer de pétrole à court terme.
https://www.connaissancedesenergies.org ... ale-220512

l'auteur se trompe, il est mentionné la Guyane, alors qu'il aurait du dire le Guyana.

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