GDF
Modérateurs : Rod, Modérateurs
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matthieu25
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GDF
Je ne sais pas si cela vous choque mais je ne supporte plus la devise de GDF.Une energie durable entre nous.C'est de la publicité mensongère.J'ai du mal à comprendre le "entre nous".Ils veulent s'accaparer le marché du gaz peut être...
La religion est la maladie honteuse de l' humanité.la politique en est le cancer(Millon de Montherlant)
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Glycogène
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Re: GDF
C'est plus simple: c'est du marketing.matthieu25 a écrit :Une energie durable entre nous.
C'est de la publicité mensongère.J'ai du mal à comprendre le "entre nous".Ils veulent s'accaparer le marché du gaz peut être...
GDF ne vend pas une énergie durable.
Mais il faut faire dans le développement durable, un industriel de l'énergie doit placer "durable" dans son slogan.
Alors il fait dans l'ambigü. GDF vend de l'énergie... et des services (la distribution). Ces services sont le lien entre GDF et ses clients, et représente une énergie humaine.
Même si le gaz disparaitra, GDF espère bien subsister en vendant des services de distribution d'énergie, même si ce n'est plus du gaz.
D'où l' "énergie durable entre nous".
Ca ressemble à un slogan d'un pétrolier (vu sur ce forum).
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mahiahi
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Re: GDF
Oui, d'ailleurs la "Rocco Siffredi Academy" parle d'érections durables.Glycogène a écrit : Mais il faut faire dans le développement durable, un industriel de l'énergie doit placer "durable" dans son slogan.
Hem!
Excusez-moi, je disjoncte
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux
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tom
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Gaz: Bercy favorable à une hausse de 5,8% au 1er avril
AP | 21.03.06 | 22:13
PARIS (AP) -- Facture plus salée en perspective pour les clients de GDF: Bercy s'est prononcé mardi soir en faveur d'une hausse des tarifs du gaz de 5,8% en moyenne au 1er avril prochain et va soumettre cette proposition à la Commission de régulation de l'énergie (CRE), dont l'avis n'est qu'une formalité.
Dans un communiqué, le ministère de l'Economie souligne que ce chiffre de 5,8% est une moyenne et que la hausse effective pour les particuliers se chauffant au gaz sera de 5,4%.
Le ministre de l'Economie Thierry Breton a ainsi suivi très exactement la recommandation faite quelques heures auparavant par une commission d'experts, chargée par le gouvernement de faire des propositions sur les tarifs du gaz.
Dans son relevé de conclusions présenté mardi lors d'une conférence de presse à Bercy, la commission d'experts, dirigée par Bruno Durieux, avait estimé qu"'une hausse à court terme est justifiée". "Compte tenu de la hausse récente des prix des produits pétroliers, la commission préconise une hausse au 1er avril de 5,8%". En effet, poursuivait-elle, "cette augmentation correspond précisément à la hausse des coûts de la matière depuis novembre 2004".
La commission rappelait que "les prix d'achat du gaz sont indexés sur les cours des produits pétroliers en France comme dans tous les autres pays européens".
La semaine dernière, le PDG de Gaz de France, Jean-François Cirelli, dont l'entreprise est engagée dans un processus de fusion avec le groupe Suez, avait dit avoir demandé au gouvernement une hausse "bien inférieure à deux chiffres au 1er avril". Mardi, lors de la conférence de presse, Bruno Durieux a précisé que GDF avait demandé +8,1% au 1er avril.
Dans son relevé de conclusions, la commission recommande par ailleurs au ministre d'abandonner la "formule mathématique" servant depuis 15 ans à fixer le prix de vente du gaz aux particuliers et de mettre en oeuvre une nouvelle méthode de fixation des tarifs, "objective et transparente", qui aboutirait à une révision "chaque année au 1er juillet".
En décembre dernier, le ministre de l'Economie avait confié "une mission d'analyse des prix et du marché du gaz" à une commission composée de trois personnalités "indépendantes": l'inspecteur général des finances Bruno Durieux, le député-maire (UMP) de Cannes Bernard Brochand et le professeur d'université Jean-Marie Chevalier. AP
AP | 21.03.06 | 22:13
PARIS (AP) -- Facture plus salée en perspective pour les clients de GDF: Bercy s'est prononcé mardi soir en faveur d'une hausse des tarifs du gaz de 5,8% en moyenne au 1er avril prochain et va soumettre cette proposition à la Commission de régulation de l'énergie (CRE), dont l'avis n'est qu'une formalité.
Dans un communiqué, le ministère de l'Economie souligne que ce chiffre de 5,8% est une moyenne et que la hausse effective pour les particuliers se chauffant au gaz sera de 5,4%.
Le ministre de l'Economie Thierry Breton a ainsi suivi très exactement la recommandation faite quelques heures auparavant par une commission d'experts, chargée par le gouvernement de faire des propositions sur les tarifs du gaz.
Dans son relevé de conclusions présenté mardi lors d'une conférence de presse à Bercy, la commission d'experts, dirigée par Bruno Durieux, avait estimé qu"'une hausse à court terme est justifiée". "Compte tenu de la hausse récente des prix des produits pétroliers, la commission préconise une hausse au 1er avril de 5,8%". En effet, poursuivait-elle, "cette augmentation correspond précisément à la hausse des coûts de la matière depuis novembre 2004".
La commission rappelait que "les prix d'achat du gaz sont indexés sur les cours des produits pétroliers en France comme dans tous les autres pays européens".
La semaine dernière, le PDG de Gaz de France, Jean-François Cirelli, dont l'entreprise est engagée dans un processus de fusion avec le groupe Suez, avait dit avoir demandé au gouvernement une hausse "bien inférieure à deux chiffres au 1er avril". Mardi, lors de la conférence de presse, Bruno Durieux a précisé que GDF avait demandé +8,1% au 1er avril.
Dans son relevé de conclusions, la commission recommande par ailleurs au ministre d'abandonner la "formule mathématique" servant depuis 15 ans à fixer le prix de vente du gaz aux particuliers et de mettre en oeuvre une nouvelle méthode de fixation des tarifs, "objective et transparente", qui aboutirait à une révision "chaque année au 1er juillet".
En décembre dernier, le ministre de l'Economie avait confié "une mission d'analyse des prix et du marché du gaz" à une commission composée de trois personnalités "indépendantes": l'inspecteur général des finances Bruno Durieux, le député-maire (UMP) de Cannes Bernard Brochand et le professeur d'université Jean-Marie Chevalier. AP
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ecorage
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Aujourd'hui au 13 h de France 2, (13h 2mn) le PDG de Gaz de France, Jean-François Cirelli, annonce ...
"GAZ DE FRANCE VEND A PERTE LE GAZ SUR LE MARCHE FRANCAIS !"
Depuis, je pleure ...
Mr Breton, aidez-le !
A moins que les Restos du Coeur, L'abbé ???
AIDER GAZ DE FRANCE, c'est un devoir NATIONAL, une démarche CITOYENNE.
Première proposition (Suggestion personnelle inspirée des méthode nouvelles de gestion des entreprises; je suis pragmatique, comme De Ville ... :
Licencier le personnel de GDF.
"GAZ DE FRANCE VEND A PERTE LE GAZ SUR LE MARCHE FRANCAIS !"
Depuis, je pleure ...
Mr Breton, aidez-le !
A moins que les Restos du Coeur, L'abbé ???
AIDER GAZ DE FRANCE, c'est un devoir NATIONAL, une démarche CITOYENNE.
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Papey
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Perchou
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Pourtant, il me semble avoir entendu à la radio cette semaine que GDF avait fait 1,7 milliards de BENEFICES. Alors est ce que c'était trop tôt le matin quand j'ai entendu cette info et en fait je l'ai rêvée ou est ce que c'est bien ça ? Auquel cas, heureusement que GDF vend à pertes car qu'est ce que ce serait s'ils gagnaient de l'argent !Aujourd'hui au 13 h de France 2, (13h 2mn) le PDG de Gaz de France, Jean-François Cirelli, annonce ...
"GAZ DE FRANCE VEND A PERTE LE GAZ SUR LE MARCHE FRANCAIS !"
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MadMax
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franck1968
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Le PDG de Gaz de France bien au chaud
L'attribution d'un bonus lié aux résultats fait polémique à l'heure de la fusion avec Suez.
par Jean-Paul ROUSSET
QUOTIDIEN : mardi 04 avril 2006
Chez Gaz de France, la tendance est résolument au plus haut. Depuis l'annonce, le 25 février, de la fusion du gazier national avec Suez, prévue pour la fin d'année, les chiffres au superlatif se succèdent. Hausse mirifique du chiffre d'affaires : +29 %, à plus de 22 milliards d'euros. Bond vertigineux des bénéfices : ils grimpent aussi de 29 % pour atteindre 1,74 milliard d'euros. Augmentation annoncée des tarifs : en moyenne, 5,8 % de plus sur la facture des 11 millions de clients.
Débat interne. Samedi, le Parisien signalait une nouvelle hausse sur laquelle GDF aurait aimé plus de discrétion : celle du salaire de son président. Un 2nistre de l'Economie, Thierry Breton, adressé à Jean-François Cirelli, dès janvier, lui annonçait cette bonne nouvelle : une rémunération annuelle brute de 309 981 euros (en hausse de 1,8 %), assortie, pour la première fois dans l'histoire de GDF d'un bonus plafonné à 40 % de ce fixe. Au ministère, aucun commentaire : «Ce type de décision relève bien du ministre, mais les conditions de rémunération d'un président ne sont pas censées être publiques.»
70 % de cette prime sont versés sur des critères purement financiers. En gros, si l'objectif de 2 milliards de résultat net fixé pour 2006 est dépassé, Cirelli touche sa prime. Or, les seules variables d'ajustement pour le bénéfice, c'est la hausse des tarifs et celle de la productivité : pas vraiment des mesures d'intérêt général.» Dans le détail, 40 % du fameux bonus est effectivement calculé sur la progression du résultat net, 20 % sur celle de l'excédent brut d'exploitation et 10 % sur celle de la productivité. L'évolution du cours de l'action servant principalement de base pour le reste.
Saupoudrée. «Si on examine l'évolution salariale des dirigeants de GDF de 1999 à 2004, les rémunérations des dix plus hauts salaires ont triplé, et la paie de Cirelli atteint des sommets : plus de trois fois la plus haute rémunération de la grille des cadres supérieurs», grince Jean-François Di Giovanni, délégué CGT au comité d'entreprise de GDF. Les salariés de GDF se voient, eux, accorder la même progression que leur boss : +1,8 %... mais saupoudrée en trois fois.
«Sur quels critères établir la progression de salaire d'un chef d'une entreprise en mutation telle que Gaz de France ?» interroge Jean-Michel Bernard, vice-président de la CFTC fédération énergie, qui s'inquiète des dérives du changement de statut. «Par ailleurs, on n'a jamais vu une fusion sans casse pour l'emploi.»
L'attribution d'un bonus lié aux résultats fait polémique à l'heure de la fusion avec Suez.
par Jean-Paul ROUSSET
QUOTIDIEN : mardi 04 avril 2006
Chez Gaz de France, la tendance est résolument au plus haut. Depuis l'annonce, le 25 février, de la fusion du gazier national avec Suez, prévue pour la fin d'année, les chiffres au superlatif se succèdent. Hausse mirifique du chiffre d'affaires : +29 %, à plus de 22 milliards d'euros. Bond vertigineux des bénéfices : ils grimpent aussi de 29 % pour atteindre 1,74 milliard d'euros. Augmentation annoncée des tarifs : en moyenne, 5,8 % de plus sur la facture des 11 millions de clients.
Débat interne. Samedi, le Parisien signalait une nouvelle hausse sur laquelle GDF aurait aimé plus de discrétion : celle du salaire de son président. Un 2nistre de l'Economie, Thierry Breton, adressé à Jean-François Cirelli, dès janvier, lui annonçait cette bonne nouvelle : une rémunération annuelle brute de 309 981 euros (en hausse de 1,8 %), assortie, pour la première fois dans l'histoire de GDF d'un bonus plafonné à 40 % de ce fixe. Au ministère, aucun commentaire : «Ce type de décision relève bien du ministre, mais les conditions de rémunération d'un président ne sont pas censées être publiques.»
70 % de cette prime sont versés sur des critères purement financiers. En gros, si l'objectif de 2 milliards de résultat net fixé pour 2006 est dépassé, Cirelli touche sa prime. Or, les seules variables d'ajustement pour le bénéfice, c'est la hausse des tarifs et celle de la productivité : pas vraiment des mesures d'intérêt général.» Dans le détail, 40 % du fameux bonus est effectivement calculé sur la progression du résultat net, 20 % sur celle de l'excédent brut d'exploitation et 10 % sur celle de la productivité. L'évolution du cours de l'action servant principalement de base pour le reste.
Saupoudrée. «Si on examine l'évolution salariale des dirigeants de GDF de 1999 à 2004, les rémunérations des dix plus hauts salaires ont triplé, et la paie de Cirelli atteint des sommets : plus de trois fois la plus haute rémunération de la grille des cadres supérieurs», grince Jean-François Di Giovanni, délégué CGT au comité d'entreprise de GDF. Les salariés de GDF se voient, eux, accorder la même progression que leur boss : +1,8 %... mais saupoudrée en trois fois.
«Sur quels critères établir la progression de salaire d'un chef d'une entreprise en mutation telle que Gaz de France ?» interroge Jean-Michel Bernard, vice-président de la CFTC fédération énergie, qui s'inquiète des dérives du changement de statut. «Par ailleurs, on n'a jamais vu une fusion sans casse pour l'emploi.»
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MadMax
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Le PDG de Gaz de France répond aux critiques de Ségolène Royal
Le PDG de Gaz de France Jean-François Cirelli a indiqué vendredi qu'il était "scandaleux" de laisser penser qu'il profitait de la hausse des prix du gaz pour augmenter sa rémunération, dans une lettre ouverte à Ségolène Royal, qui l'avait cité la veille sur TF1 en contre-exemple.