Re: [RC/CC] Réchauffement climatique : données factuelles
Publié : 16 févr. 2019, 23:34
Source ?
Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
http://oleocene.org/phpBB3/
https://youtu.be/SHGbri7gWWwMême si nous devions croire au pire scénario du GIEC, l’analyse de Zharkova élimine tout doute sur le « réchauffement ».
Lee Wheelbarger résume: même si nous examinons les pires scénarios du GIEC, il ne s’agit que d’une augmentation de 1,5 watts par mètre carré. L’analyse de Zharkova montre une diminution de 8 watts par mètre carré de TSI sur la planète.
Oubliez les arguments, les débats et les tentatives pour gagner les alarmistes d’AGW et préparez-vous.
https://www.futura-sciences.com/planete ... 030-59011/Non, le Soleil ne causera pas un mini âge glaciaire en 2030
Publié le 17/07/2015 - Futurasciences
À en croire une publication récente d'un groupe de physiciens solaires, à partir de 2030, la Terre s'acheminerait vers un mini âge glaciaire similaire à celui du minimum de Maunder, survenu entre 1645 et 1715. En réalité, ces chercheurs se sont limités à prédire une baisse de l'activité du Soleil d'ici 15 ans et tout indique que ce phénomène n'affectera pas vraiment le réchauffement climatique en cours.
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https://www.google.com/amp/s/amp.iflsci ... unication/The ‘Mini Ice Age’ Hoopla Is A Giant Failure Of Science Communication
4. Conclusion
En conclusion, la végétation est donc capable de produire des particules atmosphériques pouvant mener à la formation de nuages en présence de rayons cosmiques. Ces nuages régulent ensuite le climat, comme chacun peut le constater en prenant un bain de soleil. Dans la vidéo explicative du CERN donnée ci-dessous, il est expliqué que les nuages étaient probablement plus abondants avant l’ère industrielle (ca. 1850) par rapport à aujourd’hui, et ce en raison d’une moindre présence d’acide sulfurique atmosphérique. Il en résulte que la température de l’atmosphère était plus basse avant l’ère industrielle, et ceci est bien visible sur les séries thermométriques comme par exemple la série HadCrut4 : la différence est d’environ 0.7–0.8°C entre 1880 et 2018 (voir ici).
Le CERN vient donc de proposer un mécanisme capable de refroidir ou de réchauffer les basses couches atmosphériques et dans lequel le CO2 n’a plus aucun rôle!! Il existe bien entendu une corrélation entre niveau d’activité industrielle et taux de CO2 atmosphérique, mais ce n’est pas le CO2 qui provoque le réchauffement dans le mécanisme proposé. C’est simplement un peu moins de nuages qui provoque le réchauffement.
Notons que l’équipe de Svensmark (2017) propose d’autres mécanismes basés sur les rayons cosmiques, et tout comme dans le mécanisme proposé par Kirkby, le CO2 ne joue aucun rôle. Les dernières recherches de Svensmark sont publiées dans la revue Nature Communications.
Nous voyons donc que le GIEC devrait sérieusement revoir ses conclusions… Mais va t’il tenir compte de ces recherches dans son prochain rapport? Nous pouvons parier que ces recherches seront oubliées… Décidemment comme nous aimons à la répéter dans SCE, beaucoup de choses sont encore à découvrir en climatologie, et prétendre que la ‘Science est dite’ semble bien hasardeux et présomptueux.
https://www.sciencedaily.com/releases/2 ... 095224.htmPlasma flow near sun's surface explains sunspots, other solar phenomena
September 19, 2019
Source: University of Washington
Summary:
A new model for plasma flow within the sun provides novel explanations for sunspots, the 11-year sunspot cycle, solar magnetic reversals and other previously unexplained solar phenomena.
A University of Washington study published this month in the journal Physics of Plasmas proposes a model of plasma motion that would explain the 11-year sunspot cycle and several other previously mysterious properties of the sun.
"Our model is completely different from a normal picture of the sun," said first author Thomas Jarboe, a UW professor of aeronautics and astronautics. "I really think we're the first people that are telling you the nature and source of solar magnetic phenomena -- how the sun works."
The authors created a model based on their previous work with fusion energy research. The model shows that a thin layer beneath the sun's surface is key to many of the features we see from Earth, like sunspots, magnetic reversals and solar flow, and is backed up by comparisons with observations of the sun.
"The observational data are key to confirming our picture of how the sun functions," Jarboe said.
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