oleocene.org

Plusieurs entreprises américaines se sont rassemblées au sein du Partenariat américain pour une initiative sur le climat (USCAP), dans le but d'agir contre le réchauffement climatique. Parmi ces entreprises, qui ont appelé, vendredi, les responsables politiques à fixer des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), figurent Alcoa (aluminium), General Eletric (conglomérat industriel), DuPont (chimie), Caterpillar (matériel de chantier), BP America (pétrole) et Lehman Brothers (finances). Ces multinationales doivent présenter lundi, lors d'une conférence de presse à Washington, leur plan d'action pour réduire les émissions industrielles contribuant au réchauffement climatique. Cette présentation interviendra à la veille du discours du président Bush dit de « l'état de l'Union » , alors celui-ci a refusé de se rallier au protocole de Kyoto sur la lutte contre le réchauffement climatique.

LExpansion.com http://www.lexpansion.com/art/15.0.153158.0.html

Major Businesses and Environmental Leaders Unite to Call for Swift Action on Global Climate Change
http://sev.prnewswire.com/environmental ... 007-1.html

paradigme a écrit :Peut être peux-tu expliciter un peu ton propos ,

Israël Solaire : Solel, leader mondial, devrait encore quadrupler ses ventes cette année

Dans la zone industrielle de Beit Shemesh, l’avenir est très ensoleillé et les prévisions sont au beau fixe.

C’est en fait ici, au beau milieu du désert du Néguev, que la saga Luz-Solel a commencé. Tout le monde les prenait pour des fous dans les années 1980, ce qui n’était pas loin de la réalité. La chute des prix du pétrole emporte la société Luz car les prix du solaire ne sont plus concurrentiels. L’ennemi est perfide et les cycles des prix du pétrole sont calculés au plus proche afin de distancer les énergies renouvelables.

Le choc pétrolier de 1973-1974 entraîne un renouveau des énergies écologiques. A peine 10 ans plus tard, le pétrole atteint ses niveaux les plus bas, anéantissant tous les rêves solaires. De même 30 ans plus tard, le retournement du marché pétrolier au cours de l’année 2006 ternit les ratios d’efficacité de l’énergie solaire, et surtout son coût. Mais cette fois, espérons que les gouvernements regarderont plus loin que le bout de leur nez et gageons qu’ils continueront leurs investissements dans le solaire.

C’est le cas en Israël où désormais les ingénieurs ont transformé le soleil en un business florissant. Les ventes de la compagnie d’énergie solaire ont bondi de 4 millions de $ en 2005 à plus de 25 millions de $ en 2006. Et si les prévisions sont justes, les ventes devraient atteindre les 100 millions de $ cette année avec de nouvelles mégas-commandes.

Solel compte désormais 240 employés pour faire face à un contrat particulier. En effet, Solel vient de signer pour améliorer le plus grand domaine d’énergie solaire au monde, dans le désert de Mojave en Californie.

http://www.israelvalley.com/news/2007/0 ... ette-annee

Une centaine de multinationales signent une déclaration pour lutter contre le réchauffement climatique

Les dirigeants d'une centaine de sociétés multinationales -dont General Electric, Volvo et Air France- ont signé lundi à New York une déclaration appelant la communauté internationale à agir rapidement et de manière efficace contre le réchauffement climatique causé par les émissions de gaz à effets de serre et de dioxyde carbone.

Le document, paraphé à l'issue d'une réunion à l'université de Columbia, fixe comme objectif le développement d'énergies propres et la lutte contre le réchauffement climatique dû à l'activité humaine. Les sociétés signataires sont membres du Global Roundtable on Climate Change (Table ronde sur le changement climatique), créé en 2004 sous l'égide de l'Institut de la Terre de l'université de Columbia pour informer sur les changements climatiques.

"Le changement climatique est un problème urgent qui nécessite une action mondiale dans un laps de temps qui puisse minimiser le risque d'un impact humain grave sur les systèmes naturels de la Terre", a expliqué mardi Jeffrey Sachs, directeur de l'Institut de la Terre.

Selon lui, la déclaration exige la mise en place par les gouvernements d'un cadre mondial permettant d'atténuer les effets du changement climatique sans affecter le développement économique et la production énergétique. Le texte demande la mise en place d'un plan définitif d'ici 2012.

Les sociétés signataires appellent les gouvernements à fixer, sur la bases de données scientifiques, des objectifs en termes de réduction des émissions de gaz à effets de serre et de dioxyde de carbone, et à prendre immédiatement des mesures pour pouvoir atteindre l'objectif. Elles exigent un cadre législatif afin de pouvoir adapter leur activité aux nouvelles contraintes.

Les mesures qui seront prises par les législateurs doivent être obligatoires, et les coûts d'un développement économique plus pauvre en rejet de carbone ne sont pas si élevés que les gens le croient, selon Jeffrey Sachs. Le directeur de l'Institut de la Terre affirme également que l'objectif ne peut être atteint sans la participation de pays tels que la Chine, les Etats-Unis, l'Inde et l'Australie, qui figurent parmi les plus gros pollueurs de la planète.

Dans leur rapport rédigé début février, les spécialistes du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) réuni à Paris ont conclu que le réchauffement climatique était "très vraisemblablement" la faute de l'homme. Selon ces experts, le phénomène va se poursuivre dans les années et les siècles à venir, entraînant d'ici 2100 une hausse de 1,1 à 6,4 degrés Celsius de la température moyenne et de 18 à 59 centimètres du niveau des océans. AP

energy_isere a écrit :
Selon lui, la déclaration exige la mise en place par les gouvernements d'un cadre mondial permettant d'atténuer les effets du changement climatique sans affecter le développement économique et la production énergétique. Le texte demande la mise en place d'un plan définitif d'ici 2012.

ConocoPhillips rejoint une initiative pour une loi sur le CO2

NEW YORK (Reuters) - La compagnie pétrolière américaine ConocoPhillips a annoncé mercredi son adhésion à un groupe d'entreprises militant pour l'adoption aux Etats-Unis d'une législation sur la réduction des gaz à effet de serre et a fait savoir qu'elle s'imposerait d'elle-même des objectifs en la matière.

Le pétrolier est, après le britannique BP, le deuxième grand groupe du secteur à rejoindre ce "cartel militant", qui réunit aussi Alcoa, General Electric, Lehman Brothers ou encore Caterpillar.

"Nous reconnaissons que l'activité humaine, et notamment la combustion de matières fossiles, contribue à augmenter la concentration de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, ce qui peut conduire à des changements défavorables du climat de la planète", déclare Jim Mulva, directeur général de ConocoPhillips, dans un communiqué.

Les Etats-Unis et l'Australie figurent parmi les états qui ont refusé de ratifier le protocole de Kyoto.

De son côté, ConocoPhillips est la première major pétrolière américaine à adopter une telle démarche. Exxon Mobil et Chevron ont jusqu'ici refusé de s'engager sur des quotas d'émissions de dioxyde de carbone (CO2).

Yahoo s'implique contre le réchauffement planétaire

La compagnie américaine 'Yahoo', leader dans le portail d'internet, lance son propre programme éducatif en ligne au nom de 'Yahoo Green'.

Ce programme a pour objectif d'aider ses 500 millions de visiteurs mensuels à lutter, à leur niveau, contre le réchauffement climatique en mettant en oeuvres quelques eco-gestes quotidiennement.

Pour y arriver, ce nouveau service propose à ses utilisateurs les dernières nouvelles en matières d'environnement et des séries de conseils pratiques permettant aux internautes d'être personnellement et socialement impliqués.

D'ici à la fin de l'année 2007, Yahoo va essayer de supprimer totalement ses émissions de CO2, le principal gaz responsable de l'effet de serre.

Cette initiative s'inscrit dans une stratégie de protection de l'environnement globale prise par plusieurs grandes entreprises américaines dont Yahoo.