Laisse tomber. Ce pseudo abrite un troll bovidé qui prône les pénétrations, pour pourrir le forum.
Ce qui est gênant c'est que le pseudo est sensé héberger un "modérateur" ...Je ne sais si l' administrateur approuve ce squat.
Modérateurs : Rod, Modérateurs
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12 mn de vidéo dans le lien https://www.france24.com/fr/%C3%A9missi ... s-moineauxParis : l'hécatombe des moineaux
Publié le : 22/07/2022 France24
À Paris, les trois quarts des moineaux ont disparu en 15 ans. Le constat alarme écologistes et scientifiques. Londres, Amsterdam ou Hambourg connaissent le même scénario. Aujourd’hui, le mystère est entier, malgré les recherches des spécialistes.
Pour les amateurs d'oiseaux, le constat est sans équivoque : les moineaux se font de plus en plus rares en ville. À Paris, c'est la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) qui fait le suivi de cette espèce, parmi d'autres.
"La plupart des colonies qu’on connaît sont proches de ce qu’on appelle 'le seuil d’effondrement'", alerte Philippe Maintigneux, bénévole à la LPO. "Les colonies qui prospèrent, on les compte sur les doigts de la main", ajoute-t-il, notamment dans des lieux qui permettent aux oiseaux de nicher à l'abri des prédateurs.
Une espèce sentinelle
Rénovations thermiques ? Pollution ? Malnutrition ? Les causes de l'effondrement des moineaux sont multiples, mais la communauté scientifique peine toujours à résoudre le mystère.
"La disparition des moineaux dans Paris est vraiment énigmatique. On ne sait pas précisément pourquoi les moineaux disparaissent", explique Frédéric Jiguet, ornithologue au Muséum National d'Histoire Naturelle.
Pour le chercheur, la disparition d'un des oiseaux les plus communs de France devrait pourtant interpeller le public : "C’est quand même un signal qu’il y a quelque chose dans l’environnement qui tue des êtres vivants."
Pollution sonore et malnutrition : deux facteurs pointés du doigt
Dans les Deux-Sèvres, Frédéric Angelier, chercheur au CNRS, se penche aussi sur la question. Le Centre d'Études Biologiques de Chizé est l'un des seuls endroits en France équipé de volières permettant d'élever des moineaux domestiques pour la recherche.
Le chercheur s'est intéressé notamment au rôle de la malnutrition et la pollution sonore, peu étudiées. Mais là encore, le mystère reste entier. "On a pu montrer que le trafic routier n’avait pas a priori d’effet très marqué", raconte Frédéric Angelier.
Des analyses physiologiques ont pourtant démontré que les moineaux en ville avaient un niveau d'hormones de stress plus élevé, directement associé au fait que les juvéniles n'ont pas accès à de la nourriture adaptée.
Même son de cloche que les ornithologues parisiens, pour Frédéric Angelier, il n'y a pas qu'une cause à leur déclin, il parle d'une situation "complexe". "Ces oiseaux sont capables de faire face à une contrainte, deux contraintes, mais quand on multiplie ces contraintes et qu’elles interagissent entre elles, ça dépasse la capacité d’adaptation des oiseaux", conclut-il.
De retour de l aude, j ai été très surpris du nombre important de moineaux, on n a plus l habitude.energy_isere a écrit : ↑24 juil. 2022, 00:0312 mn de vidéo dans le lien https://www.france24.com/fr/%C3%A9missi ... s-moineauxParis : l'hécatombe des moineaux
Publié le : 22/07/2022 France24
À Paris, les trois quarts des moineaux ont disparu en 15 ans. Le constat alarme écologistes et scientifiques. Londres, Amsterdam ou Hambourg connaissent le même scénario. Aujourd’hui, le mystère est entier, malgré les recherches des spécialistes.
Pour les amateurs d'oiseaux, le constat est sans équivoque : les moineaux se font de plus en plus rares en ville. À Paris, c'est la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) qui fait le suivi de cette espèce, parmi d'autres.
"La plupart des colonies qu’on connaît sont proches de ce qu’on appelle 'le seuil d’effondrement'", alerte Philippe Maintigneux, bénévole à la LPO. "Les colonies qui prospèrent, on les compte sur les doigts de la main", ajoute-t-il, notamment dans des lieux qui permettent aux oiseaux de nicher à l'abri des prédateurs.
Une espèce sentinelle
Rénovations thermiques ? Pollution ? Malnutrition ? Les causes de l'effondrement des moineaux sont multiples, mais la communauté scientifique peine toujours à résoudre le mystère.
"La disparition des moineaux dans Paris est vraiment énigmatique. On ne sait pas précisément pourquoi les moineaux disparaissent", explique Frédéric Jiguet, ornithologue au Muséum National d'Histoire Naturelle.
Pour le chercheur, la disparition d'un des oiseaux les plus communs de France devrait pourtant interpeller le public : "C’est quand même un signal qu’il y a quelque chose dans l’environnement qui tue des êtres vivants."
Pollution sonore et malnutrition : deux facteurs pointés du doigt
Dans les Deux-Sèvres, Frédéric Angelier, chercheur au CNRS, se penche aussi sur la question. Le Centre d'Études Biologiques de Chizé est l'un des seuls endroits en France équipé de volières permettant d'élever des moineaux domestiques pour la recherche.
Le chercheur s'est intéressé notamment au rôle de la malnutrition et la pollution sonore, peu étudiées. Mais là encore, le mystère reste entier. "On a pu montrer que le trafic routier n’avait pas a priori d’effet très marqué", raconte Frédéric Angelier.
Des analyses physiologiques ont pourtant démontré que les moineaux en ville avaient un niveau d'hormones de stress plus élevé, directement associé au fait que les juvéniles n'ont pas accès à de la nourriture adaptée.
Même son de cloche que les ornithologues parisiens, pour Frédéric Angelier, il n'y a pas qu'une cause à leur déclin, il parle d'une situation "complexe". "Ces oiseaux sont capables de faire face à une contrainte, deux contraintes, mais quand on multiplie ces contraintes et qu’elles interagissent entre elles, ça dépasse la capacité d’adaptation des oiseaux", conclut-il.
En plus des dégâts causés par nos activités et notre empreinte toujours plus forte sur les milieux, nos chers chats domestiques, véritables prédateurs, affectent de plus en plus la biodiversité. Un sujet de plus en plus pesant qui pose question sur les mesures à mettre en œuvre pour limiter leurs ravages sur le peu d'animaux sauvages qu'il reste dans nos lieux de vie.
La domestication du Chat domestique trouve son origine entre l'Égypte et le Proche-Orient il y a au moins 10 000 ans. Il est présent en France métropolitaine, dès l'époque romaine et "s'est véritablement imposé dans les fermes qu'après le moyen-âge où il avait pour mission d'y chasser les rongeurs. Aujourd'hui, sa popularité va croissant et l'animal répond à l'évolution progressive des liens de l'Homme à la domesticité : vers plus d'autonomie et d'indépendance", explique le Muséum national d'Histoire naturelle.
Le chat domestique (Felis silvestris catus) est un carnivore, de la famille des Félidés. Sous ses airs attendrissants, le chat est un véritable prédateur qui occupe une partie de sa nuit à chasser un peut tout et n'importe quoi. Il s'attaque principalement aux petits mammifères, petits oiseaux mais aussi à toute proie à sa portée (amphibiens, reptiles, poissons, papillons, libellules...). La plupart du temps, il n'a pas pour objectif de se nourrir mais plutôt de satisfaire ses instincts naturels.
lire https://www.boursorama.com/actualite-ec ... ecee9df7b9Oiseaux des jardins: un déclin "alarmant" qui se confirme en France
AFP•24/01/2023
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https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 1393b1d513Effondrement des oiseaux en Europe: des chercheurs pointent l'agriculture intensive
AFP•15/05/2023
L'intensification de l'agriculture est la principale cause d'un spectaculaire déclin des oiseaux en Europe, qui sont quelque 20 millions à disparaître en moyenne chaque année, concluent des chercheurs dans un article paru lundi, après avoir amassé une étendue inédite de données.
De nombreux scientifiques européens, qui publient dans la revue américaine PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences), ont collaboré afin de trouver quelles activités humaines étaient responsables du déclin des populations d'oiseaux européens.
Pour cela, ils ont utilisé un jeu de données inédit par son étendue: 37 années d'observations provenant de 20.000 sites de suivi écologique dans 28 pays européens, pour 170 espèces.
- 800 millions d'oiseaux -
"On trouve une baisse d’un quart de l’abondance des espèces depuis 1980", a expliqué à l'AFP Vincent Devictor, chercheur au CNRS et coordinateur de l'étude. "Autrement dit 800 millions d’individus en 40 ans, soit 20 millions par an, donc une baisse systémique, profonde, de l’avifaune européenne", souligne l'expert.
Certains écosystèmes sont plus durement touchés que d’autres: le nombre d'oiseaux forestiers a diminué de 18%, baisse qui atteint 28% pour les oiseaux urbains et même 57% pour les oiseaux des milieux agricoles.
"Nous concluons que l'intensification de l'agriculture, en particulier l'usage des pesticides et des engrais, représente la pression principale pour la plupart des déclins de populations d'oiseaux, en particulier ceux qui se nourrissent d'invertébrés", écrivent les scientifiques leur article.
Ces invertébrés représentent en effet "une part important du régime alimentaire pour de nombreux oiseaux durant au moins certaines étapes de leur développement", pointent les auteurs.
Ils sont ainsi cruciaux pour 143 espèces parmi les 170 étudiées pendant la période de reproduction. Une réduction de la nourriture disponible aura ainsi par exemple un effet négatif sur le succès de la reproduction en modifiant le comportement des parents et en affectant la survie des oisillons.
Le déclin est marqué chez des espèces comme le gobemouche gris (-63%) ou le célèbre moineau domestique (-64%).
- "Hostile" -
Pour enrayer cet effondrement, il faudrait commencer par changer de modèle d'agriculture. Or "on continue à être dans une vision industrielle du monde agricole", associant recours massifs à la mécanisation et à la chimie, regrette Vincent Devictor.
"On n’est toujours pas sorti de ce paradigme de l’après deuxième guerre mondiale", souligne le chercheur, citant l'augmentation de mégafermes en France au détriment des petites surfaces.
Outre l'agriculture, d'autres facteurs liés à l'activité humaine ont aussi des effets sur les populations d'oiseaux, à commencer par le changement climatique.
Logiquement celui-ci touche durement les espèces préférant le froid (40% de déclin), comme la mésange boréale, mais n’épargne pas non plus les espèces amatrices de chaleur (18% de déclin).
Enfin la progression de l'urbanisation fait aussi des victimes parmi les martinets ou encore les hirondelles.
"On fait des territoires qui sont de plus en plus hostiles, y compris l'intérieur du milieu urbain", souligne Vincent Devictor, qui a travaillé avec deux collègues basés en France, le doctorant Stanislas Rigal et Vasilis Dakos du CNRS.
"Des espèces aimaient bien nicher dans des anfractuosités, être dans des endroits où il y a encore des insectes dans les milieux urbains. Avec les modes de bétonisation aujourd'hui, couplés à la disparition des insectes, cela devient hostile même pour eux", indique-t-il.
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... 45b&ei=105La justice autorise l’abattage de 16 000 choucas des tours en Bretagne
12 juillet 2023
Le tribunal administratif de Rennes a donné raison aux préfectures du Finistère et des Côtes-d’Armor après deux arrêtés pris autorisant l’abattage de 16 000 de ces oiseaux accusés de faire des dégâts dans les cultures.
Lors d’une audience en référé qui s’est tenue le 22 juin 2023, le tribunal administratif se penchait pour la deuxième année consécutive sur le sort des choucas des tours dans le viseur des agriculteurs bretons.
Cet oiseau est accusé de faire des dégâts considérables dans les cultures depuis des années : Certains agriculteurs ont dû ressemer du maïs trois fois à cause des dégâts des choucas. Il abîme les productions d’échalotes et griffe les têtes d’artichauts ce qui les rend invendables , déplore un représentant de la Chambre d’agriculture.
Pour éviter la prolifération de cette espèce protégée par la loi, les préfets du Finistère et des Côtes-d’Armor avaient pris des arrêtés autorisant l’abattage de 16 000 choucas des tours par tir ou piégeage dans les deux départements.
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