tita a écrit : ↑04 janv. 2021, 11:20
Il y a un changement climatique. On observe des changements dans les normales saisonnières, ce qui ne veut pas dire qu'on ne sort pas des normes (dans un sens ou dans l'autre). Genre les hivers à 1'200m d'altitude de 2050 vont ressembler aux hivers à 800m de 1980. Mais un hiver particulier des années 2050-2060 pourra ressembler à un hiver particulier des années 1980-1990.
on est d'accord, d'ailleurs il y a eu des changements climatiques tout le temps , les plus récents étant liés à l'arrivée puis au départ du petit age glaciaire, qui a très fortement impacté les populations de montagne (qui ne se sont pas tellement réjouies du fait qu'il faisait moins chaud, mais bon on sait comment sont les gens, jamais contents et toujours en train de râler....)
https://www.glaciers-climat.com/clg/pet ... glaciaire/
à noter que la fin du petit age glaciaire commence vers 1850, bien avant que les "forçages anthropiques" prennent de l'importance. Attention je ne nie pas les forçages anthropiques comme Mobar, je dis juste que le climat a aussi varié avant pour d'autres raisons (largement inconnues), et que l'humanité a fait avec.
Mais bon pourquoi annoncer la fin de la neige en 2000 si c'est pas vrai, si ce n'est pour augmenter le coté catastrophiste du discours ?
On a le droit de penser que les chiffres réels sont suffisants pour justifier que ça va etre une catastrophe, pourquoi pas, mais si c'est le cas , pourquoi alors en rajouter au risque de se ridiculiser 20 ans plus tard ?
La ce qui est à la mode ce sont les prédictions des centaines de millions de réfugiés en 2050 faites par l'ONU, comme si l'ONU disposait d'une théorie scientifique permettant de calculer le nombre de réfugiés dans 30 ans !! pourtant ils ont déjà été pris
en flagrant délit de catastrophisme sur le sujet :
United Nations “Climate Refugees”
In 2005, the United Nations Environment Programme (UNEP) warned that imminent sea-level rises, increased hurricanes, and desertification caused by “man-made global warming” would lead to massive population disruptions. In a handy map, the organization highlighted areas that were supposed to be particularly vulnerable in terms of producing “climate refugees.” Especially at risk were regions such as the Caribbean and low-lying Pacific islands, along with coastal areas.
The 2005 UNEP predictions claimed that, by 2010, some 50 million “climate refugees” would be frantically fleeing from those regions of the globe. However, not only did the areas in question fail to produce a single “climate refugee,” by 2010, population levels for those regions were actually still soaring. In many cases, the areas that were supposed to be producing waves of “climate refugees” and becoming uninhabitable turned out to be some of the fastest-growing places on Earth.
In the Bahamas, for example, according to the 2010 census, there was a major increase in population, going from around 300,000 in 2000 to more than 350,000 by 2010. The population of St. Lucia, meanwhile, grew by five percent during the same period. The Seychelles grew by about 10 percent. The Solomon Islands also witnessed a major population boom during that time frame, gaining another 100,000 people, or an increase of about 25 percent.
In China, meanwhile, the top six fastest growing cities were all within the areas highlighted by the UN as likely sources of “climate refugees.” Many of the fastest-growing U.S. cities were also within or close to “climate refugee” danger zones touted by the UN
Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".