L'amiante du Clémenceau. (et de l' ex paquebot FRANCE)

Discussions concernant les conséquences sur l'environnement de la course aux ressources.

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Lansing
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Message par Lansing » 17 févr. 2006, 10:05

Non, ça fait longtemps qu'il tourne, ça se verra pas.
J'ai un autre scénario, la remorque casse, rien de plus banal dans ces contrées lors d'une tempête, le bateau s'échoue sur une plage entre Port Elizabeth et Durban (1000 km) et voila un nouveau chantier de démantelement. En plus en droit maritime, comme c'est une fortune de mer le rafiot appartient à celui qui le trouve.
Inconvénient cette partie de l'Afrique du sud n'est quasiment pas habitée.

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Message par Loup Espiègle » 17 févr. 2006, 14:13

J'ai mieux : ils vont contourner le Cap de Bonne Espèrance, et dans ce coin il y a des vagues scélérates (méga-vagues super-géantes ultra-destructrices), et là plouf, le Clémenceau au fond de l'eau.

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Message par ecorage » 17 févr. 2006, 15:56

Le porte-avions bousculé
Image
(Cliquez sur l'image.)
Un hiver, au nord-est du cap Hatteras (Caroline du Nord), le porte-avions américain USS Valley Forge fut pris par une vague scélérate alors qu'il entreprenait de mettre le cap au nord-est. La vague, sans doute déjà exceptionnelle en elle-même, était encore amplifiée par un courant contraire jusqu'à près de quatre fois la hauteur des vagues environnantes. Des tonnes d'eau s'abattirent sur le pont d'envol dont une part sur l'avant babord fut alors découpée comme par un gigantesque couteau à fromage. Les quartiers des aspirants du groupe aérien restèrent suspendus dans une position précaire, ils étaient heureusement inoccupés au moment de l'incident.

On peut supposer sans trop s'avancer que le changement de route n'aurait pas été amorcé à ce moment précis si l'arrivée d'une vague d'une telle ampleur avait pu être prédite.
Ces infos viennent du site de
l'IFREMER
.
On y trouve d'autres photos très intéressantes dont celle d'un autre porte avion.

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Message par thorgal » 17 févr. 2006, 16:24

ce retour en France n'est pas du gout de tout le monde :

http://www.rfi.fr/actufr/articles/074/article_41949.asp
Réactions contrastées au rappel du Clemenceau

Les ouvriers du chantier d'Alang manifestent contre le rapatriement du Clemenceau. (Photo : AFP)
Image

Si les mouvements écologistes crient victoire, les ouvriers du chantier d’Alang se disent au contraire déçus, d’une part parce que le chantier devait fournir du travail à plusieurs centaines de personnes, et d’autre part parce que l’attention particulière dont il faisait l’objet aurait peut-être permis d’améliorer les conditions de travail dans l’ensemble du port d’Alang. Ce que craignaient d’ailleurs les patrons du secteur.
la suite croustillante en cliquant sur le lien.

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Message par ecorage » 17 févr. 2006, 17:48

Bon, si on parlais du France/Norway ? :-D :-D :-D

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Message par energy_isere » 17 févr. 2006, 18:09

ecorage a écrit :Bon, si on parlais du France/Norway ? :-D :-D :-D
bien vu !
Le Norway indésirable dans les eaux bangladaises

Les autorités du Bangladesh refusent l'entrée de leurs eaux territoriales à l'ex-France, qui devait être démantelé par un chantier naval bangladais. Motif : la dangerosité du navire, qui contiendrait plusieurs centaines de tonnes de matériaux amiantés.

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Message par energy_isere » 17 févr. 2006, 18:55

JOKE !

il y a un plaisantin qui aurais mis sur e-bay une annonce pour le Clémenceau ;

http://www.liberation.com/zoom.php?Objet=58707

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Message par GillesH38 » 17 févr. 2006, 19:06

:-D :-D :-D

dommage, c'est vendu sans les remorqueurs, je pourrais pas l'amener dans mon jardin. Tant pis.
Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".

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Message par frgo84 » 17 févr. 2006, 19:20

un iceberg au large de l'afrique, ce serait une solution.

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Message par energy_isere » 23 févr. 2006, 12:12

http://www.latribune.fr/Tribune/Article ... 17003D3141
Clemenceau: "Un imbroglio judiciaire qui va entraîner de gros surcoûts pour l'Etat français..."

La Tribune - édition électronique du 23/02/06

Françoise Labrousse, avocate spécialiste des questions d'environnement du cabinet d'avocats Jones Day, analyse l'écheveau des procédures judiciaires engagées au sujet du sort du porte-avions.


latribune.fr.- L'arrêt du Conseil d'Etat et la décision du président de la République de faire revenir en France le Clemenceau mettent-ils un terme aux procédures judiciaires dans cette affaire ?

Françoise Labrousse.- Certainement pas, il y a encore plein de procédures en cours. D'abord, le Conseil d'Etat ne s'est prononcé que sur la suspension de la décision du transfert de la coque du navire en Inde, il n'a pas pris de décision définitive. C'est désormais au tribunal administratif de Paris qu'il appartiendra de se prononcer sur la légalité de cette décision de transfert, ce qui prendra plusieurs mois.

Il faut également noter que le Conseil d'Etat n'a pas décidé, contrairement à ce que demandaient les associations, d'ordonner le retour en France du navire, c'est Jacques Chirac qui a pris cette décision.

Le fait que le Clemenceau revienne en France va-t-il rendre inutile une décision sur le fond du tribunal administratif ?

Pour cela, il faudrait que les associations qui sont à l'origine de la procédure retirent leur requête. Mais il est probable qu'elles voudront une décision sur le fond, entérinant notamment le fait que la coque du Clemenceau doit être qualifiée de déchet au sens du règlement du Conseil des Communautés européennes du 1er février 1993 et de la directive du 15 juillet 1975 relative aux déchets, ce qui exclurait définitivement son transfert à l'extérieur de l'Union européenne. La procédure du tribunal administratif va donc vraisemblablement se poursuivre. Toutefois, il est possible, si la coque est effectivement rapatriée en France, que le tribunal considère que la demande des associations est devenue sans objet.

Qu'en est-il des procédures internationales, en Europe et en Inde ?

Dès l'instant où le navire ne va pas en Inde, la Commission européenne pourrait renoncer à ouvrir une enquête, comme elle en avait exprimé l'intention. Quant à la Cour suprême indienne, sa décision de demander une nouvelle expertise visait à ménager l'Etat français. Sa décision finale sur l'entrée du Clemenceau dans les eaux territoriales indiennes perd tout intérêt dès lors que l'Etat français a décidé que le navire n'irait pas dans le pays.

Restent les procédures lancées par l'Etat français contre Technopure, le sous-traitant chargé du premier désamiantage du navire en France...

Cette procédure là va continuer. Les conclusions de l'enquête demandée par l'Etat français pourront être invoquées par celui-ci dans le contexte du litige commercial concernant les contrats passés entre l'Etat, la société SDI qui a repris le navire et son sous-traitant Technopure.

Le problème de la détermination des responsabilités entre ces différentes parties sera de faire le tri entre les inexécutions de leurs obligations invoquées de part et d'autre. L'Etat poursuit Technopure pour ne pas avoir rempli correctement ses obligations de désamiantage, avec notamment la différence constatée entre les quantités d'amiante que la société dit avoir retirées du Clemenceau et celles qui ont été enregistrées en décharge. De son côté, SDI va sûrement reprocher à l'Etat de ne pas avoir rempli ses propres obligations. SDI devait se rémunérer en vendant le métal du navire en Inde. En fait, SDI doit désormais supporter des retards, des surcoûts liés au remorquages successifs et n'aura semble-t-il finalement pas de métaux à vendre... Il y aura donc vraisemblablement un partage de responsabilités entre toutes les parties en cause. Et très certainement des indemnités à payer par l'Etat.

Signalons enfin d'autres procédures en cours: le tribunal de grande instance de Versailles a désigné des experts pour déterminer la quantité d'amiante qui demeure dans le Clemenceau. Au vu de leur rapport, les associations pourraient lancer de nouvelles actions en justice...

Comment en est-on arrivé là ?

Il semble qu'il y ait eu une série de dérapages dans les contrats successifs qui ont été signés. A l'heure actuelle, le problème de fond est que personne n'est capable de dire combien d'amiante a été retiré du navire et combien il en reste. Le fait que l'Etat ait été incapable de donner une estimation claire a certainement joué contre lui devant le Conseil d'Etat.

De plus, la question qui doit désormais être tranchée, c'est de savoir si la coque du porte-avions est un déchet ou pas, au sens de la réglementation européenne. C'est sur ce point que le tribunal administratif sera amené à se prononcer. Les textes peuvent être interprétés dans les deux sens, et il sera intéressant de voir si le tribunal confirmera la position du Conseil d'Etat, qui a estimé qu'il s'agissait bien d'un déchet.

En tout cas, cet imbroglio va certainement entraîner de gros surcoûts pour l'Etat français...


propos recueilis par Patrick de Jacquelot

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Message par energy_isere » 28 févr. 2006, 10:14

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Chirac réinvente le couteau à beurre.

Message par ecorage » 02 mars 2006, 10:17

Chirac réinvente le couteau à beurre.
Clemenceau: «recycler le métal de ces navires, c'est la voie de l'avenir», estime Jacques Chirac
[01/03/2006 17:43]

PARIS (AP) -- «Recycler le métal de ces navires, c'est la voie de l'avenir et de la sagesse», a estimé mercredi Jacques Chirac dans une allusion au feuilleton de l'ancien porte-avions français Clemenceau.

Le président français célébrait mercredi lors d'une réception à l'Elysée l'adoption il y a un an de la Charte de l'environnement, adossée à la Constitution. Malgré ces progrès, les effets du changements climatiques «commencent dangereusement à se faire sentir», a souligné Jacques Chirac. Dès lors, «nous devons accentuer nos efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre».

Evoquant le «nombre croissant de navires en fin de vie» après le fiasco du Clemenceau, Jacques Chirac a affirmé que «les couler ou les laisser rouiller dans des cimetières marins ne saurait être une solution».

«Il faut construire des filières de démantèlement et une coopération à l'échelle mondiale», a-t-il estimé. «Et il est essentiel pour cela d'avoir des règles internationales et qu'elles soient clarifiées».

«Une mission interministérielle va être lancée». Elle «contribuera par ses propositions au groupe de travail international mis en place sur le statut des navires», a-t-il expliqué.

«Pour intégrer davantage encore les préoccupations d'environnement dans nos comportements, une évolution profonde de notre fiscalité est absolument nécessaire», a par ailleurs plaidé le président français. «Il faut aller encore plus loin, pour supprimer les effets pervers éventuels et renforcer les incitations». Un groupe d'experts, présidé par Jean-Pierre Landau, y travaille. Ses propositions «devront trouver une traduction dès le budget 2007», a souhaité Jacques Chirac. AP
Chichi continue à faire de l'écologie !

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Re: Chirac réinvente le couteau à beurre.

Message par energy_isere » 06 mars 2006, 20:12

Aprés les déclaration de chichi, c'est maintenant au tour de l' élu local de Brest de se poser des questions :

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=3245
L’éventuelle déconstruction du Clemenceau pose plus de questions qu’elle n’apporte de solutions.

L’éventuelle déconstruction du Clemenceau pose plus de questions qu’elle n’apporte de solutions. Par Emmanuel Morucci, Ancien élu municipal et communautaire de Brest

Depuis l’annonce du retour du Clemenceau à Brest, plusieurs auteurs de communiqués, nous expliquent que ce navire doit être déconstruit a Brest et que notre port peut ainsi devenir une filière industrielle du démantèlement de bateaux en fin de vie. De plus, tous prennent soin de nous persuader que ce travail n’est pas honteux ou déshonorant pour Brest. Ce dont personne ne doute tant il nécessite une haute technicité et mise en place de filières complexes. Sans doute, peut-on admettre sans difficultés qu’il y a Brest un potentiel de compétences professionnelles pour effectuer ce que l’on appelle désormais la déconstruction de navires.

Je m’interroge toutefois devant les certitudes énoncées au fil des jours par différents responsables politiques, syndicaux, locaux ou nationaux. Je comprends en tout cas la méfiance justifiée dont fait preuve le maire de Brest François Cuillandre. En effet, annoncer qu’il y a une possibilité de filière me paraît être une réponse faite dans l’urgence et l’affirmation ne prend pas en compte diverses problématiques.

Une première chose est qu’un navire a démonter ne fait pas une filière. Il faudrait qu'il existe une proposition au niveau de l’Union européenne et que Brest puisse se positionner dans ce projet. Il n’y a pas ici de difficultés majeures. une fois le projet validé, Il va de soi que les navires à démolir battant pavillon de l’Union et autres devraient être ensuite être dirigés vers Brest (et stockés en rade) pour leur démantèlement et non pas vers d’autres régions du monde (Inde, Asie) qui se sont préparées, selon divers accords internationaux, à ces travaux.

Une question d’importance est celle des infrastructures. Il me semble qu’il n’y a pas de quai disponible à temps complet et à long terme pour l’amarrage de ces bateaux et nos formes de radoub répondent à une autre vocation. Un quai adapté au démontage devrait donc être aménagé au seul endroit disponible c’est à dire sur le polder, a proximité du port de plaisance et d’Océanopolis. Un lieu de stockage et de manutention particulièrement vaste est aussi a prévoir. une bonne partie du polder sera occupée empêchant toute autre implantation ou développement d’activités actuelles. Mais ensuite il faut savoir ce que l’on va faire de ces milliers de tonnes de ferraille. Il n’y a pas ici d’unité de transformation. Vers quels pays va-t-on les diriger ? La mer est le seul moyen raisonnable de transport. Un quai de cabotage est donc nécessaire a proximité immédiate du lieu de découpage. Ce qui peut développer une nouvelle activité portuaire. Eventuellement des voies de chemin de fer si la destination est l’Europe et si le coût n’est pas trop élevés.

S’il reste de l’amiante et d’autres produits dangereux qu’en fait-on ?

D’autres problèmes de taille se pose encore. Je n’en citerai qu’un . Les collectivités locales ont investit ces dernières années dans la dépollution de la rade de Brest. Accepter une activité de démontage de navire implique que l’on accepte de voir la rade atteinte par quantité de résidus plus ou moins dangereux pour l’environnement.

Je ne suis pas opposé à ce que Brest devienne un pôle de ferraillage mais si le Clemenceau doit être démonté ici et si une filière est envisageable quels sont les investissements et équipement prévus garantissant les conditions de sécurité et de santé, tant des professionnels intervenants que des populations ou la ressource halieutique. A quelle échéance ?

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Re: Chirac réinvente le couteau à beurre.

Message par energy_isere » 06 mars 2006, 20:15

Encore un porte avion dont on va entendre parler :

http://www.french.xinhuanet.com/french/ ... 220577.htm
Le porte-avion Minsk mis aux enchères à Shenzhen

SHENZHEN 22 février (XINHUANET) -- L'ancien porte-avion soviétique Minsk sera mis aux enchères dans un mois pour s'acquitter de ses dettes bancaires.

La vente aux enchères sera tenue le 22 mars, avec un prix de départ de 128 millions de yuans (16 millions de dollars), après une reconversion ratée en parc touristique flotant à Shenzhen, dans la province du Guangdong, en Chine du sud.

Après 16 mois de restauration et de larges investissements, le porte-avion avait été transformé en un lieu de loisir à thème militaire dans lequel se déroulait une variété d'affaires commerciales. Mais son propriétaire, Minsk World Industrie CO. LTD. , ne pouvant s'acquitter de ses dettes bancaires, a été mis en faillite par une cour locale en février de l'année dernière.

La société chargée des ventes aux enchères, Xutongda, basée à Guangdong, s'est vue confier la vente de l'ancien porte-avion pour le mois prochain.

Construit en 1972 et mis en service six années plus tard, Minsk a pris sa retraite au début des années 1990 et été vendu à une société sud-coréenne en 1995, puis à une société chinoise à Shenzhen.

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Re: Chirac réinvente le couteau à beurre.

Message par energy_isere » 24 mars 2006, 00:27

http://www.marseamer.fr/index~art_id~96 ... mbique.htm
L’ex-porte-avion Clemenceau se trouve au large du Mozambique

22 Mars 2006

L'ex-porte avions Clemenceau se trouve au large du Mozambique, a indiqué mardi 21 mars 2006 à l'AFP Jean-François Bureau, directeur de la communication du ministère de la Défense. Le Clemenceau, qui fait route vers la France, «a changé de remorqueur samedi dernier et se trouve actuellement au large du Mozambique», a précisé M. Bureau. «Son retour à Brest est toujours prévu vers la fin mai», a-t-il ajouté.

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