L'Irak
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greenchris
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Roland
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Là tu ressembles vraiment à Scrat. Mais avec le nucléaire, y'a quand même un tabou à franchir. Même si les plus cinglés des militaires US et des nécons sont partants (avec des "petites" charges tactiques), je suis pas certain que ça passe.greenchris a écrit :Dommage, pour une fois que j'étais optimiste
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Tiennel
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"Heureusement", les USA ont encore beaucoup de réserves en soldats et donc ils sont encore loin de décider un Hiroshima-ter.
L'usage potentiel de la bombe A/H dans les prochaines années est à mon avis limité à 4 nations :
L'usage potentiel de la bombe A/H dans les prochaines années est à mon avis limité à 4 nations :
- * en premier lieu, tu as raison, les USA avec leurs mini-nukes, probablement pour détruire des centres névralgiques iraniens (installations nucléaires ou centres de commandement)
* L'Iran peut utiliser son arme atomique en représailles à une attaque US (pour les autres pays, elle se contentera de fermer les robinets), mais plutôt sur une cible militaire (par exemple un groupe aéronaval patrouillant dans l'Océan Indien). On ne vitrifie pas ses proches voisins dès lors qu'on souhaite devenir la puissance régionale.
* Les Israéliens peuvent également rompre le tabou si la situation s'envenime suffisamment avec un pays arabe au point de menacer la sécurité d'Israel - mais ça ne sera pas pour le pétrole
* On n'est pas non plus à la merci d'un coup de folie des Coréens du Nord - mais là encore, pas à cause du pétrole
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jerome
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Aux dernières nouvelles l'iran n'a pas d'arme atomique que je sache. Par contre elle a une arme de destruction massive (d'économie américaine) : le pétroleTiennel a écrit :* L'Iran peut utiliser son arme atomique en représailles à une attaque US
Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé,
Alors seulement vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas
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Tiennel
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Elle a aussi plein de gaz naturel.
La bombe, effectivement, c'est une supputation personnelle, mais l'enjeu actuel des discussions internationales n'est pas la fabrication d'une seule bombe (qu'il est facile de fabriquer avec les ingénieurs et les pétrodollars dont l'Iran dispose, d'où ma supputation) mais la mise en place d'une filière capable de produire des bombes à échelle industrielle.
La bombe, effectivement, c'est une supputation personnelle, mais l'enjeu actuel des discussions internationales n'est pas la fabrication d'une seule bombe (qu'il est facile de fabriquer avec les ingénieurs et les pétrodollars dont l'Iran dispose, d'où ma supputation) mais la mise en place d'une filière capable de produire des bombes à échelle industrielle.
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MadMax
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Le logiciel qui vous prédit l'issue d'une guerre
"Un logiciel peut-il réellement être capable de prédire l'issue d'un conflit armé comme unlogiciel de météorologie prédit le temps?" s'interroge The Economist. L'hebdomadaire rapporte l'histoire d'un colonel à la retraite qui a annoncé en décembre 1990, 35 jours avant le début de la guerre du Golfe, un bilan de l'opération Tempête du désert qui se préparait. Or cet homme, un historien militaire nommé Trevor Dupuy, s'est révélé meilleur prévisionniste de guerre que le Pentagone lui-même. "Son arme secrète était un logiciel appelé Tactical Numerical Deterministic Model ou TNDM, conçu par le Dupuy Institute, un think tank militaire original basé près de Washington. Ce logiciel résulte de la collaboration de programmeurs en informatique, de mathématiciens, d'experts en armement, d'historiens militaires, de généraux à la retraite et de vétérans", précise l'hebdomadaire économique britannique.
La performance du TNDM n'a rien à voir avec le hasard. D'ailleurs, "la Bosnie fut son deuxième grand test", qui réussit à asseoir la réputation de fiabilité du Dupuy Institute. En fait, pour réaliser ses performances, le TNDM dispose d'"une des plus importantes bases de données historiques de combats aumonde". En entrant les données les plus diverses et les plus précises, on obtient "un rapport de 3 pages contenant les prévisions en pertes de personnel et en équipements, en captures de prisonniers de guerre et en gain et pertes de terrain".
Le TNDM est commercialisé à 93 000 $ (78 000 €), un tarif qui comprend "des cours de formation, une année de support technique et une inscription à la newsletter TNDM, mais les mises àjour sont payantes". Reste que, "au lieu d'acheter simplement le TNDM, la plupart des client demandent directement au Dupuy Institute de réaliser des études qui combinent les prévisions logicielles avec l'analyse humaine". The Economist ajoute que le TNDM n'est pas le seul système de prévision de guerre, mais qu'il est clairement "leader dans son secteur".
Courrier international
"Un logiciel peut-il réellement être capable de prédire l'issue d'un conflit armé comme unlogiciel de météorologie prédit le temps?" s'interroge The Economist. L'hebdomadaire rapporte l'histoire d'un colonel à la retraite qui a annoncé en décembre 1990, 35 jours avant le début de la guerre du Golfe, un bilan de l'opération Tempête du désert qui se préparait. Or cet homme, un historien militaire nommé Trevor Dupuy, s'est révélé meilleur prévisionniste de guerre que le Pentagone lui-même. "Son arme secrète était un logiciel appelé Tactical Numerical Deterministic Model ou TNDM, conçu par le Dupuy Institute, un think tank militaire original basé près de Washington. Ce logiciel résulte de la collaboration de programmeurs en informatique, de mathématiciens, d'experts en armement, d'historiens militaires, de généraux à la retraite et de vétérans", précise l'hebdomadaire économique britannique.
La performance du TNDM n'a rien à voir avec le hasard. D'ailleurs, "la Bosnie fut son deuxième grand test", qui réussit à asseoir la réputation de fiabilité du Dupuy Institute. En fait, pour réaliser ses performances, le TNDM dispose d'"une des plus importantes bases de données historiques de combats aumonde". En entrant les données les plus diverses et les plus précises, on obtient "un rapport de 3 pages contenant les prévisions en pertes de personnel et en équipements, en captures de prisonniers de guerre et en gain et pertes de terrain".
Le TNDM est commercialisé à 93 000 $ (78 000 €), un tarif qui comprend "des cours de formation, une année de support technique et une inscription à la newsletter TNDM, mais les mises àjour sont payantes". Reste que, "au lieu d'acheter simplement le TNDM, la plupart des client demandent directement au Dupuy Institute de réaliser des études qui combinent les prévisions logicielles avec l'analyse humaine". The Economist ajoute que le TNDM n'est pas le seul système de prévision de guerre, mais qu'il est clairement "leader dans son secteur".
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MadMax
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Faut-il coucher pour une "green card" ?
"Lors d'une conférence du Congrès à huis clos, des investigations internes ont révélé que les employés du Citizenship and Immigration Service (CIS, les services d'immigration américains) font face à quelque 2 500 plaintes les accusant de corruption et d'abus sexuel à l'égard des étrangers en quête de régularisation de leurs papiers. il y a également des chefs d'accusation faisant état de liens avec des gouvernements étrangers", croit savoir The washington Times, qui cite "2 sources proches des conférences du Congrès". Plus grave encore, poursuit le journal conservateur, cela voudrait dire que "des personnes avec des intentions terroristes ont pu obtenir une green card, car les contrôles effectués ne sont pas fiables".
Le quotidien tient à préciser que "les 2 sources ont souhaité garder l'anonymat et qu'elles ont refusé de désigner l'auteur des investigations dont les résultat sont été soumis au Congrès, de peur que celui-ci ne subisse des représailles de la part du gouvernement".
Par ailleurs, le journal signale que le nombre des plaintes dépasserait en réalité les 2 500. "Ce chiffre concerne les cas qui sont arrivés au bureau chargé des affaires internes du CIS, alors que de nouvelles plaintes, en moyenne 50 par semaine, continuent à être déposées."
Toujours est-il que "les services chargés des affaires internes du CIS manquent de moyens pour s'attaquer à ces dossiers. Parfois, ils sont même bloqués par leurs supérieurs hiérarchiques. En conséquence, les fonctionnaires corrompus n'ont pas peur de se faire attraper."
"Lors d'une conférence du Congrès à huis clos, des investigations internes ont révélé que les employés du Citizenship and Immigration Service (CIS, les services d'immigration américains) font face à quelque 2 500 plaintes les accusant de corruption et d'abus sexuel à l'égard des étrangers en quête de régularisation de leurs papiers. il y a également des chefs d'accusation faisant état de liens avec des gouvernements étrangers", croit savoir The washington Times, qui cite "2 sources proches des conférences du Congrès". Plus grave encore, poursuit le journal conservateur, cela voudrait dire que "des personnes avec des intentions terroristes ont pu obtenir une green card, car les contrôles effectués ne sont pas fiables".
Le quotidien tient à préciser que "les 2 sources ont souhaité garder l'anonymat et qu'elles ont refusé de désigner l'auteur des investigations dont les résultat sont été soumis au Congrès, de peur que celui-ci ne subisse des représailles de la part du gouvernement".
Par ailleurs, le journal signale que le nombre des plaintes dépasserait en réalité les 2 500. "Ce chiffre concerne les cas qui sont arrivés au bureau chargé des affaires internes du CIS, alors que de nouvelles plaintes, en moyenne 50 par semaine, continuent à être déposées."
Toujours est-il que "les services chargés des affaires internes du CIS manquent de moyens pour s'attaquer à ces dossiers. Parfois, ils sont même bloqués par leurs supérieurs hiérarchiques. En conséquence, les fonctionnaires corrompus n'ont pas peur de se faire attraper."
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MadMax
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Al-Qaida TV est née
"On était habitué aux vidéos des terroristes. Maintenant, Al-Qaida va plus loin. Le réseau terroriste diffuse via Internet des "journaux télévisés" complets à télécharger. Intitulées 'La voix du califat', ces émissions seraient hebdomadaires. Deux éditions existent déjà", raconte le magazine allemand Der Spiegel, qui a visionné les fichiers.
Au début de l'émission, le présentateur - il s'exprime dans un arabe classique qui ne permet pas de localiser son origine géographique - salue poliment ses auditeurs. "Mais l'image est en décalage avec les paroles : l'homme porte l'uniforme et il est masqué. A côté de lui, on aperçoit un Coran et une mitraillette." Ces détails mis à part, tout se passe comme dans un véritable journal télévisé : il y a un logo à la manière d'Al-Jazira, des sous-titres et des sujets sur la Palestine, l'Irak, l'Afghanistan, les enfants musulmans souffrant de malnutrition au Niger, sans oublier des images de la Nouvelle-Orléans après le passage de l'ouragan Katrina, ce "soldat de Dieu". Et il n'est pas sans intérêt de noter qu'Abou Moussah Al-Zarqaoui vole la vedette à Oussama Ben Laden en tant que héros principal du combat islamiste armé.
Ces émissions de propagande sont produites par le Front global des médias islamistes (GMIF), "sans doute un réseau appartenant à la nébuleuse Al-Qaida et spécialisé dans les relations publiques", selon la définition donnée par Der Spiegel. En effet, "depuis quelques années, le GIMF fonctionne comme une sorte de filtre dans le web islamiste : seules les revendications et les textes théoriques paraissant sur l'une de ses adresses seraient authentiques", note le magazine.
Peut-on évaluer l'impact de cette nouvelle offensive de propagande ? "Jusqu'à présent, les téléchargements ne dépassent pas les quelques centaines, et l'écho au sein des forums de discussion islamistes est relativement faible."
Courrier international
"On était habitué aux vidéos des terroristes. Maintenant, Al-Qaida va plus loin. Le réseau terroriste diffuse via Internet des "journaux télévisés" complets à télécharger. Intitulées 'La voix du califat', ces émissions seraient hebdomadaires. Deux éditions existent déjà", raconte le magazine allemand Der Spiegel, qui a visionné les fichiers.
Au début de l'émission, le présentateur - il s'exprime dans un arabe classique qui ne permet pas de localiser son origine géographique - salue poliment ses auditeurs. "Mais l'image est en décalage avec les paroles : l'homme porte l'uniforme et il est masqué. A côté de lui, on aperçoit un Coran et une mitraillette." Ces détails mis à part, tout se passe comme dans un véritable journal télévisé : il y a un logo à la manière d'Al-Jazira, des sous-titres et des sujets sur la Palestine, l'Irak, l'Afghanistan, les enfants musulmans souffrant de malnutrition au Niger, sans oublier des images de la Nouvelle-Orléans après le passage de l'ouragan Katrina, ce "soldat de Dieu". Et il n'est pas sans intérêt de noter qu'Abou Moussah Al-Zarqaoui vole la vedette à Oussama Ben Laden en tant que héros principal du combat islamiste armé.
Ces émissions de propagande sont produites par le Front global des médias islamistes (GMIF), "sans doute un réseau appartenant à la nébuleuse Al-Qaida et spécialisé dans les relations publiques", selon la définition donnée par Der Spiegel. En effet, "depuis quelques années, le GIMF fonctionne comme une sorte de filtre dans le web islamiste : seules les revendications et les textes théoriques paraissant sur l'une de ses adresses seraient authentiques", note le magazine.
Peut-on évaluer l'impact de cette nouvelle offensive de propagande ? "Jusqu'à présent, les téléchargements ne dépassent pas les quelques centaines, et l'écho au sein des forums de discussion islamistes est relativement faible."
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MadMax
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L'armée américaine lance un plan de réorganisation
WASHINGTON, 7 octobre (XINHUANET) -- L'armée américaine a entamé un plan de réorganisation sur 6 ans pour renforcer sa capacité de combat tout en réduisant les effectifs de son personnel non-combattant, a indiqué vendredi la Washington Post.
En réduisant les postes non-combattants, le plan vise à augmenter de 40 000 hommes la force de frappe sans augmenter substantiellement la force autorisée de l'armée, qui est de 482 000 hommes.
Toutefois, la réalisation de ce plan est basée sur 2 conditions, dont l'une est qu'il n'y ait pas de nouvelle demande de soldats américains à l'étranger ou au pays, et l'autre que l'armée soit capable de recruter 75 000 à 80 000 nouveaux soldats chaque année jusqu'en 2011. Cet objectif n'a pas été rempli cette année, avec 73 400 engagements seulement.
Par ailleurs, avec ce plan de réorganisation, l'armée ne souhaite plus réduire les services en Irak de 12 mois à 6 ou 8 mois.
L'une des raisons évoquées pour cela est que, selon les statistiques de l'armée, la plupart des décès surviennent dans les phases initiales et finales des déploiements. Par conséquent, plus le service en Irak est court, plus élevé est le nombre de soldats décédés.
WASHINGTON, 7 octobre (XINHUANET) -- L'armée américaine a entamé un plan de réorganisation sur 6 ans pour renforcer sa capacité de combat tout en réduisant les effectifs de son personnel non-combattant, a indiqué vendredi la Washington Post.
En réduisant les postes non-combattants, le plan vise à augmenter de 40 000 hommes la force de frappe sans augmenter substantiellement la force autorisée de l'armée, qui est de 482 000 hommes.
Toutefois, la réalisation de ce plan est basée sur 2 conditions, dont l'une est qu'il n'y ait pas de nouvelle demande de soldats américains à l'étranger ou au pays, et l'autre que l'armée soit capable de recruter 75 000 à 80 000 nouveaux soldats chaque année jusqu'en 2011. Cet objectif n'a pas été rempli cette année, avec 73 400 engagements seulement.
Par ailleurs, avec ce plan de réorganisation, l'armée ne souhaite plus réduire les services en Irak de 12 mois à 6 ou 8 mois.
L'une des raisons évoquées pour cela est que, selon les statistiques de l'armée, la plupart des décès surviennent dans les phases initiales et finales des déploiements. Par conséquent, plus le service en Irak est court, plus élevé est le nombre de soldats décédés.
Dernière modification par MadMax le 08 oct. 2005, 19:42, modifié 1 fois.
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lingane
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Sondage : la popularité de Bush en baisse
NOUVELOBS.COM - 08/10/2005
Le président américain Georges W. Bush recueille 58% d'opinions défavorables. Les déficits, l'immigration et la situation en Irak inquiètent.
Pour le deuxième mois consécutif, la cote de popularité du président américain Georges W. Bush est restée à son plus bas niveau en octobre, avec seulement 39% d'opinions favorables, selon un sondage de l'institut Ipsos réalisé pour l'Associated Press.
Le locataire de la Maison Blanche recueille 58% d'opinions défavorables, en recul d'un point par rapport au mois de septembre. Et alors que près des deux tiers des républicains approuvaient son action à la tête du pays en 2004, ils ne sont plus qu'un sur deux à partager ce sentiment.
61% contre la gestion de la situation en Irak
Seuls 28% des personnes interrogées estiment que leur pays se dirige dans la bonne direction, tandis que 66% portent un jugement contraire. Les détracteurs de Bush font notamment part de leurs inquiétudes sur les déficits, l'immigration et la désignation de Harriet Miers, une conseillère de la Maison Blanche qui fait partie du cercle rapproché du président américain, pour la Cour Suprême.
Par ailleurs, 61% des Américains désapprouvent sa gestion de la situation en Irak, contre 37% d'opinions favorables. Sur le dossier Katrina, ils sont plus partagés : les personnes interrogées sont 48% à approuver sa gestion, tandis que 49% la désapprouvent.
Ce sondage a été réalisé auprès de 1 000 adultes du 3 au 5 octobre et a une marge d'erreur de plus ou moins trois points.
NOUVELOBS.COM - 08/10/2005
Le président américain Georges W. Bush recueille 58% d'opinions défavorables. Les déficits, l'immigration et la situation en Irak inquiètent.
Pour le deuxième mois consécutif, la cote de popularité du président américain Georges W. Bush est restée à son plus bas niveau en octobre, avec seulement 39% d'opinions favorables, selon un sondage de l'institut Ipsos réalisé pour l'Associated Press.
Le locataire de la Maison Blanche recueille 58% d'opinions défavorables, en recul d'un point par rapport au mois de septembre. Et alors que près des deux tiers des républicains approuvaient son action à la tête du pays en 2004, ils ne sont plus qu'un sur deux à partager ce sentiment.
61% contre la gestion de la situation en Irak
Seuls 28% des personnes interrogées estiment que leur pays se dirige dans la bonne direction, tandis que 66% portent un jugement contraire. Les détracteurs de Bush font notamment part de leurs inquiétudes sur les déficits, l'immigration et la désignation de Harriet Miers, une conseillère de la Maison Blanche qui fait partie du cercle rapproché du président américain, pour la Cour Suprême.
Par ailleurs, 61% des Américains désapprouvent sa gestion de la situation en Irak, contre 37% d'opinions favorables. Sur le dossier Katrina, ils sont plus partagés : les personnes interrogées sont 48% à approuver sa gestion, tandis que 49% la désapprouvent.
Ce sondage a été réalisé auprès de 1 000 adultes du 3 au 5 octobre et a une marge d'erreur de plus ou moins trois points.
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Prélude à des robots guerriers, 4x4 modifié récompensé par le Pentagone
Des chercheurs de l'Université de Stanford ont reçu une récompense de 2 millions de dollars du ministère de la Défense pour un 4x4 capable de s'orienter tout seul, prélude à de futurs robots guerriers, a-t-on appris lundi auprès de l'établissement.
Les scientifiques de la prestigieuse université californienne ont modifié un 4x4 Volkswagen Touareg en le truffant d'électronique. Totalement indépendant, sans conducteur ni télécommande, le véhicule a remporté dimanche une course de 210 km en plein désert dans l'Etat voisin du Nevada, face à 22 concurrents.
Il s'agissait de la deuxième compétition du genre organisée par le Pentagone, qui espère ainsi donner un coup de fouet à la recherche sur les robots guerriers. Mais aucun des véhicules engagés en 2004 n'avait réussi à franchir la ligne d'arrivée.
Cette année, 5 voitures ont réalisé cet exploit, dont en premier celle de Stanford, baptisée "Stanley". Construit sur la base du 4x4 de luxe de la marque allemande équipé d'un moteur Diesel, le prototype a franchi la distance en 6 heures, 53 minutes et 58 secondes.
"Ces véhicules n'ont pas seulement établi des records du monde, ils ont fait l'histoire", a déclaré Tony Tether, directeur de l'Agence des projets de recherche avancée (Darpa) du ministère américain de la Défense.
Les experts impliqués dans le projet ont affirmé que cette technologie pourrait non seulement révolutionner les batailles en épargnant les vies des soldats, mais pourrait aussi à terme bénéficier aux automobilistes ordinaires.
"Nous avons accompli notre mission, et nous espérons voir ces technologies formidables décoller", a ajouté M. Tether.
"C'était un bon jour pour nous", a indiqué pour sa part le directeur du laboratoire de recherche sur l'intelligence artificielle de Stanford, Sebastian Thrun.
Le 4x4, dont le soubassement avait été blindé et le pare-chocs avant renforcé, était équipé de 6 puissants ordinateurs pentium M qui contrôlaient ses évolutions et lui ont permis d'atteint la vitesse moyenne de 30,5 km/h via des pistes, des routes de montagne, des lacs asséchés et des tunnels.
En 2004, aucun des concurrents n'avait roulé plus de 12,8 km.
Selon M. Thrun, cette technologie est destinée à se retrouver dans les voitures particulières dans les décennies à venir. "A terme, les voitures se conduiront elles-même", a-t-il affirmé au journal Stanford Daily.
"Plus de 43 000 personnes meurent chaque année dans des accidents de voitures (aux Etats-Unis). De nombreuses vies seront épargnées avec ces véhicules autonomes. Je pense que dans les 50 ans à venir, et peut-être même 30, cette technologie fera partie de notre vie de tous les jours", a-t-il prophétisé.
AFP
Des chercheurs de l'Université de Stanford ont reçu une récompense de 2 millions de dollars du ministère de la Défense pour un 4x4 capable de s'orienter tout seul, prélude à de futurs robots guerriers, a-t-on appris lundi auprès de l'établissement.
Les scientifiques de la prestigieuse université californienne ont modifié un 4x4 Volkswagen Touareg en le truffant d'électronique. Totalement indépendant, sans conducteur ni télécommande, le véhicule a remporté dimanche une course de 210 km en plein désert dans l'Etat voisin du Nevada, face à 22 concurrents.
Il s'agissait de la deuxième compétition du genre organisée par le Pentagone, qui espère ainsi donner un coup de fouet à la recherche sur les robots guerriers. Mais aucun des véhicules engagés en 2004 n'avait réussi à franchir la ligne d'arrivée.
Cette année, 5 voitures ont réalisé cet exploit, dont en premier celle de Stanford, baptisée "Stanley". Construit sur la base du 4x4 de luxe de la marque allemande équipé d'un moteur Diesel, le prototype a franchi la distance en 6 heures, 53 minutes et 58 secondes.
"Ces véhicules n'ont pas seulement établi des records du monde, ils ont fait l'histoire", a déclaré Tony Tether, directeur de l'Agence des projets de recherche avancée (Darpa) du ministère américain de la Défense.
Les experts impliqués dans le projet ont affirmé que cette technologie pourrait non seulement révolutionner les batailles en épargnant les vies des soldats, mais pourrait aussi à terme bénéficier aux automobilistes ordinaires.
"Nous avons accompli notre mission, et nous espérons voir ces technologies formidables décoller", a ajouté M. Tether.
"C'était un bon jour pour nous", a indiqué pour sa part le directeur du laboratoire de recherche sur l'intelligence artificielle de Stanford, Sebastian Thrun.
Le 4x4, dont le soubassement avait été blindé et le pare-chocs avant renforcé, était équipé de 6 puissants ordinateurs pentium M qui contrôlaient ses évolutions et lui ont permis d'atteint la vitesse moyenne de 30,5 km/h via des pistes, des routes de montagne, des lacs asséchés et des tunnels.
En 2004, aucun des concurrents n'avait roulé plus de 12,8 km.
Selon M. Thrun, cette technologie est destinée à se retrouver dans les voitures particulières dans les décennies à venir. "A terme, les voitures se conduiront elles-même", a-t-il affirmé au journal Stanford Daily.
"Plus de 43 000 personnes meurent chaque année dans des accidents de voitures (aux Etats-Unis). De nombreuses vies seront épargnées avec ces véhicules autonomes. Je pense que dans les 50 ans à venir, et peut-être même 30, cette technologie fera partie de notre vie de tous les jours", a-t-il prophétisé.
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Tiennel
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N'importe qui est capable de faire ça du moment qu'il y a un mécène prêt à financer ce genre de développement. A mon avis, c'est une opération de com' destinée aux Américains pour leur faire miroiter le fait que l'armée-robot est pour demain et donc que les boys seront bientôt remplacés en Irak.
Déplacer des véhicules sans personne dedans, n'est-ce pas le summum du gaspillage d'énergie ?
Déplacer des véhicules sans personne dedans, n'est-ce pas le summum du gaspillage d'énergie ?
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fabinoo