L'Irak

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L'Irak et BP en discussion pour investir dans le gaz sur le champs pétrolier géant de Rumaila.

Iraq Discusses Gas Investment At Its Largest Oilfield With BP

By Tsvetana Paraskova - Oct 13, 2020

Iraq discussed on Tuesday plans for investment in associated gas production at its largest oilfield, Rumaila, Iraq's Oil Minister Ihsan Abdul-Jabbar Ismail said in a statement to Shafaq News agency.

With BP as operator, the Rumaila oilfield produces 1.5 million barrels per day (bpd) of oil, or around a third of the crude oil pumped in OPEC's second-largest producer after Saudi Arabia. Oil production at Rumaila has increased by 40 percent since 2010.

"The maintenance of production in Al-Rumaila oil field and the available investment opportunities in oil and gas were discussed in a video conference held with the regional manager of BP in the Middle East, Stephen Willis, and the company's director in Iraq, Zaid Al-Yasiri," the Iraqi oil minister said today.


Iraq needs to speed up development plans to invest in processing associated gas and address carbon emissions, Shafaq News agency quoted the minister as saying.

Iraq needs the associated gas from its large oilfields not only to reduce flaring and emissions, but also to reduce its dependence on gas imports, much of which come from Iran.

According to an International Energy Agency (IEA) report from 2019, there is significant potential for natural gas in Iraq as associated gas production has risen together with oil production in the past decade.


"As oil production has soared, so has the amount of associated gas produced alongside. However the capacity to capture and process this gas has not kept pace. The inability to utilise its gas riches means that the country's gas deficit has grown, and Iraq now relies on imports from Iran to meet increasing demand," the IEA said in April 2019.

BP's presence in Iraq began in Kirkuk in the 1920s when the company that is now known as BP helped Iraq to locate, produce, and export oil from Baba Gurgur, which was the largest oil field in the world at the time.

Rumaila, the third-largest producing field in the world, is estimated to have around 17 billion barrels of recoverable oil remaining, according to BP.

https://oilprice.com/Latest-Energy-News ... th-BP.html

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Irak: dépendance au pétrole et clientélisme ont mené le Kurdistan à la crise

AFP•21/10/2020

Depuis la chute de Saddam Hussein en 2003, les collines du nord kurde étaient à l'abandon: avec un nouveau pouvoir local, un budget démultiplié et la manne pétrolière, les agriculteurs sont devenus fonctionnaires. Aujourd'hui, sans salaire, ils retournent à la terre.

Abdallah Hassan, 51 ans, est de ceux-là. C'est "la première fois" en presque 20 ans que ses raisins près de Mir Rostam, à une cinquantaine de kilomètres d'Erbil, sont récoltés, raconte-t-il à l'AFP.

L'agriculture était un secteur clé de l'Irak sous embargo, avant l'invasion américaine, et ces vignes en particulier généraient un revenu vital.

C'est de nouveau le cas en 2020, année de toutes les catastrophes pour l'économie irakienne, l'une des plus dépendantes au pétrole au monde, selon la Banque mondiale.

Associées "aux fragilités préexistantes" --la crise politique permanente, les conflits depuis quatre décennies, le système bancaire quasi-inexistant, entre autres--, la chute vertigineuse des cours du brut et la pandémie de Covid-19 "pourraient mener à l'effondrement économique et à un nouveau cycle de violence", prévient l'institution.

Au Kurdistan autonome, ces calamités sont venues s'ajouter aux sempiternelles tractations budgétaires avec le pouvoir central.

Mais si l'économie régionale s'écroule aujourd'hui, c'est aussi parce que les autorités kurdes n'ont pas établi de mécanismes viables pour assurer la prospérité à long terme, avance l'économiste Bilal Saïd.

- Salaires, arme politique -

Outre la rente pétrolière, "la part du budget allouée au Kurdistan par Bagdad et les revenus générés aux postes-frontières avec la Turquie et l'Iran ont injecté énormément d'argent" dans les caisses régionales, explique-t-il à l'AFP.

Mais "au lieu d'investir dans les infrastructures agricoles, industrielles, sanitaires ou touristiques, le gouvernement kurde n'a développé que le secteur pétrolier".

Autre facteur aggravant: comme à Bagdad, les dirigeants d'Erbil ont distribué à tour de bras les postes de fonctionnaires pour s'assurer des fidélités électorales, créant un secteur public hypertrophié --et pourtant inefficace.

La région compte 1,2 million de fonctionnaires --à 40% des policiers et militaires-- pour cinq millions d'habitants. La charge salariale mensuelle s'élève à plus de 725 millions de dollars.

Depuis janvier, elle n'a pu payer que six mois de salaires et a décidé en juin d'amputer ceux excédant 250 dollars par mois. L'enveloppe globale représente désormais 591 millions de dollars.

Les impayés continuent néanmoins de s'accumuler, malgré les 260 millions envoyés mensuellement par Bagdad.

Pour les chercheurs de la London School of Economics, c'est la conséquence d'un système à bout de souffle.

"Les partis dominants récompensent la loyauté politique avec des salaires de fonctionnaires; puis utilisent les contrats publics pour enrichir des hommes d'affaires proches; enfin, les budgets ministériels sont détournés dans un but personnel ou partisan", détaillent-ils dans un rapport.

- Economie pas "saine" -

"On est riches quand le pétrole est cher et pauvres quand il baisse", résume Mohammed Choukri, chef du Comité des investissements au Kurdistan. "Je n'appelle pas ça une économie saine".

Pour amorcer la diversification, son comité vient d'accorder 60 licences à des investisseurs, majoritairement dans l'agriculture et l'industrie, pour 1,5 milliard de dollars.

Mais tout repose sur les investisseurs étrangers, les promesses de construire barrages, routes et chemins de fer...

Et l'impatience des industriels locaux grandit face aux concurrences iranienne et turque, dont les monnaies n'ont cessé d'être dévaluées alors que le dinar irakien reste indexé sur le dollar.

Baarz Rassoul, dont la société Hend Steel produit 50.000 tonnes d'acier moulé par mois, plaide pour "des taxes douanières plus importantes et un meilleur contrôle des frontières".

Et quand il s'est essayé à l'agriculture, il a fait le même constat.

"Produire un kilo de concombre me coûtait 21 centimes alors que le concombre iranien ou turc se vendait 13 centimes sur les marchés d'Erbil", raconte à l'AFP l'homme qui a finalement démonté ses 50 serres.

Le Parlement kurde n'a voté aucun budget depuis 2014. Il est impossible de connaître le montant des recettes douanières, pétrolières ou fiscales; ni même les dépenses.

Selon le Premier ministre kurde Masrour Barzani, qui s'exprimait début octobre devant le Parlement pour la première fois depuis la formation de son gouvernement mi-2019, la région autonome cumule 28,4 milliards de dollars de dette. Dont près de neuf uniquement en salaires impayés.

https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 7b63f623ea

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Attaque contre un oléoduc au Kurdistan qui entraine la rupture des exportations de brut.

Kurdistan Halts All Oil Exports After Attack

By Charles Kennedy - Oct 30, 2020, 4:30 PM CDT

The Kurdistan Region Government in Iraq declared a halt to all oil exports on Friday after experiencing an attack on a crude oil pipeline earlier in the week.

The pipeline suffered an attack on Wednesday, disrupting the flow of crude.

The KRG-controlled area of Iraq manages oil exports through the pipeline to the Ceyhan port in Turkey.

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https://oilprice.com/Latest-Energy-News ... ttack.html

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Exxon pourrait céder ses parts dans West Qurna 1 à des chinois, pour au moins 500 millions de dollars.

China Looks To Buy Stake In A Major Iraqi Oilfield

By Michael Kern - Nov 20, 2020

State giants China National Petroleum Corporation (CNPC) and China National Offshore Oil Corporation (CNOOC) are interested in buying ExxonMobil’s entire operating stake in one of the largest oilfields in Iraq, West Qurna 1, Bloomberg reported on Friday, citing sources with knowledge of the matter.

The potential stake sale of Exxon’s 32.7-percent interest in West Qurna 1 could be worth at least US$500 million, but final decisions haven’t been made yet, and a possible deal could be hampered by geopolitical uncertainties in OPEC’s second-largest producer, Bloomberg’s sources said.

ExxonMobil signed in 2010 an agreement with the South Oil Company of the Iraq Ministry of Oil to rehabilitate and redevelop the West Qurna I field in southern Iraq. Exxon is the lead contractor, while a Royal Dutch Shell affiliate was also holding a stake under the 2010 agreement.

In 2018, Shell sold its stake in West Qurna 1 to Japan’s Itochu Corporation. The Japanese firm currently holds 19.6 percent in the oilfield. Apart from Itochu and the lead contractor Exxon, the other shareholders in West Qurna 1 are PetroChina with 32.7 percent, Indonesia’s Pertamina with 10 percent, and Oil Exploration Company with 5 percent.

West Qurna 1 produces just below 500,000 barrels per day (bpd) of crude oil, one of Bloomberg’s sources said.

In the spring of 2019, Exxon evacuated for a few weeks its personnel from West Qurna 1, amid security concerns with the heightened tension in the Middle East with the U.S.-Iran and Saudi-Iran standoffs. The security issues came to light in May 2019 after the United States ordered all non-essential personnel evacuated from the country, citing possible threats from Iran, presumably via the Iraqi Shi’ite militia. Iraq was not happy with Exxon’s hasty evacuation of all foreign personnel from West Qurna 1, with its then oil minister Thamer Ghadhban saying the exit was “unacceptable and unjustified.” According to the Iraqi minister, Exxon’s staff evacuation had nothing to do with security threats, instead arguing that it was politically motivated.

https://oilprice.com/Latest-Energy-News ... field.html

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Attentat sur un champs pétrolier en Irak, deux '' petits'' puits en feu.

Oil Wells On Fire After Attack On Iraqi Oilfield

By Tsvetana Paraskova - Dec 09, 2020

A terrorist attack set ablaze two oil wells at a small oilfield in northern Iraq on Wednesday, but total production at the 25,000-bpd field has not been affected, the oil ministry of OPEC’s second-largest producer said.

According to the Iraqi oil ministry, quoted by Reuters, explosive devices were set off at two wells at the Khabbaz oilfield, which is located 20 kilometers, or 12 miles, southwest of the large northern Iraqi city of Kirkuk. Oil production from the two wells doesn’t exceed 2,000 bpd, the ministry said.

Sources from Iraq’s state-controlled North Oil Company (NOC) told Reuters that technical teams had isolated the two wells that were burning, with no impact on oil production.

There were no immediate details given by the Iraqi oil ministry as to who could be behind the attack.

The incident, while negligible to global oil supply and oil prices, highlights the security concerns that Iraq—OPEC’s second-biggest producer behind Saudi Arabia—continues to face.
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https://oilprice.com/Latest-Energy-News ... field.html

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L'Irak signe un accord avec Total pour quatre projets énergétiques

REUTERS•29/03/2021

L'Irak a signé un protocole d'accord avec le groupe pétrolier français Total portant sur quatre projets dans le domaine du gaz naturel, de l'énergie solaire et du retraitement de l'eau de mer, a annoncé lundi le ministère du Pétrole.

Les investissements de groupe Total s'éleveront à "plusieurs milliards de dollars" et les quatre accords initiaux doivent être soumis au gouvernement pour validation finale, a déclaré le ministre du Pétrole Ihsan Abdoul Jabbar, cité dans un communiqué diffusé par son ministère.

Ce protocole d'accord, au sujet duquel aucun calendrier n'a été fourni, a été signé lors d'une visite du PDG de Total Patrick Pouyanné.

Selon le communiqué du ministère irakien, Total va construire une station de production de gaz naturel dans les cinq gisements méridionaux de West Qurna 2, Majnoun, Artaoui, Tuba and Luhais, dont la production devrait s'établir à 8,5 millions de mètres cubes de gaz par jour avant de doubler à l'issue d'une deuxième phase de développement.

Les projets de développement gazier irakiens se sont longtemps concentrés sur BGC, une coentreprise de 17 milliards de dollars entre Royal Dutch Shell, l'entreprise publique South Gas Company et le japonais Mitsubishi.

Le groupe français va aussi prendre le contrôle d'un projet d'injection d'eau de mer - en suspens depuis une décennie - crucial pour le développement des champs pétroliers du sud du pays, qui concentrent la plus grande partie de la production irakienne.

Ce projet d'injection, d'une capacité initiale de traitement de 2,5 millions de barils d'eau de mer par jour, vise en partie à faire remonter le pétrole à la surface, contribuant ainsi à compenser le déclin de production dans certains champs pétroliers du sud de l'Irak.

Le troisième projet de Total consistera à contribuer au triplement de la production du champ pétrolier d'Artaoui, qui devrait monter à 200.000 barils de pétrole par jour (bpj) contre 60.000 bpj actuellement.

Alors que l'Irak cherche à exploiter davantage son potentiel dans le domaine des énergies renouvelables, le quatrième projet verra le groupe français construire une centrale solaire d'une capacité de 1.000 mégawatts (MW).

https://www.boursorama.com/bourse/actua ... c3234ce800

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Sinopec to develop Iraq's Mansuriya gas field, says ministry

ReutersAhmed Rasheed 20 april 2021

China's Sinopec has won a deal to develop Iraq's Mansuriya gas field near the Iranian border, the oil ministry said on Tuesday.

Last year Iraq cancelled a contract signed with a group led by Turkish Petroleum Corp (TPAO) to develop the field and invited international energy companies to compete to develop it.

Sinopec won the contract in a bidding round held at the oil ministry headquarters in Baghdad on Tuesday, the oil ministry said in a statement.

Iraq's state-run Midland Oil Company will partner Sinopec in development of the Mansuriya field, the statement said.

Under the 25-year contract, Sinopec will hold a 49% stake and Midland Oil Company will hold 51%, the statement added.

Sinopec will help Iraq to capture and process natural gas from the field and boost output to 300 million cubic feet of gas per day (mcf/d) as a targeted production level, the statement quoted Oil Minister Ihsan Abdul Jabbar as saying.

No timeline was provided.

Iraq is planning to sign contracts with foreign energy companies to develop its gas fields and build gas facilities in southern Iraq and Anbar province, the ministry cited Jabbar as saying.

Gas captured from the field will be used to feed power stations in Baghdad and Diyala province near the border with Iran.

https://www.reuters.com/business/energy ... 021-04-20/

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Attaque djihadiste sur des puits de pétrole en Irak, un policier tué

AFP parue le 05 mai 2021
Des djihadistes ont tué tôt mercredi un policier avant d'incendier deux puits d'un champ pétrolier de Kirkouk, province disputée par les Kurdes à Bagdad, a indiqué à l'AFP un responsable de la sécurité.

"Les assaillants du groupe Etat islamique (EI) ont également blessé deux autres policiers", a précisé ce responsable. "Ils ont ensuite fait exploser les puits 177 et 183 du champ de Bay Hassan", ajoute le ministère du Pétrole. Le premier incendie a été "maîtrisé en un temps record", assure le communiqué du ministère, mais "les pompiers s'activent encore face au second", ajoute-t-il, plusieurs heures après l'attaque.

Le champ de Bay Hassan, passé sous contrôle kurde en 2014 dans le chaos de la percée de l'EI, est, comme toutes les réserves pétrolières de la province de Kirkouk - environ 250 000 barils par jour -, disputé par Erbil et Bagdad.

L'Irak, deuxième producteur de pétrole de l'Opep, tire la quasi-totalité de ses revenus de l'or noir. En avril, selon le ministère, il a exporté 88,39 millions de barils pour 5,5 milliards de dollars. L'EI, qui a perdu le territoire qu'il tenait en Irak fin 2017, conserve malgré tout un pouvoir de nuisance dans le pays.

Ses cellules clandestines opèrent généralement de nuit, dans des zones reculées et avec des armes légères, visant presque systématiquement les forces de sécurité. Elles profitent en outre des zones disputées, où forces kurdes et fédérales ont installé de facto des no man's land les séparant, pour trouver des abris.

https://www.connaissancedesenergies.org ... tue-210505

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L'IRAK voudrait plusieurs réacteurs nucléaires civils.

Iraq plans nuclear power plants to tackle electricity shortage
Iraq is planning to build eight nuclear reactors to tackle a crippling power shortage in the oil-rich economy

Iraq is working on a plan to build nuclear reactors as the electricity-starved petrostate seeks to end the widespread blackouts that have sparked social unrest.

OPEC’s No. 2 oil producer – already suffering from power shortages and insufficient investment in aging plants – needs to meet an expected 50% jump in demand by the end of the decade. Building atomic plants could help to close the supply gap, though the country will face significant financial and geopolitical challenges in bringing its plan to fruition.

Iraq seeks to build eight reactors capable of producing about 11 gigawatts, said Kamal Hussain Latif, chairman of the Iraqi Radioactive Sources Regulatory Authority. It would seek funding from prospective partners for the $40 billion plan and pay back the costs over 20 years, he said, adding that the authority had discussed cooperation with Russian and South Korean officials.

Plunging crude prices last year deprived Iraq of funds to maintain and expand its long-neglected electricity system. The resulting outages triggered protests that threatened to topple the government.

“We have several forecasts that show that without nuclear power by 2030, we will be in big trouble,” Latif said in an interview at his office in Baghdad. Not only is there the power shortage and surge in demand to deal with, but Iraq is also trying to cut emissions and produce more water via desalination — “issues that raise the alarm for me.”
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https://www.aljazeera.com/economy/2021/ ... y-shortage

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L'Irak veut construire huit réacteurs nucléaires d'ici 2030

AFP parue le 15 juin 2021

L'Irak, en pénurie chronique d'électricité, veut construire d'ici 2030 huit réacteurs nucléaires d'une capacité de 8.000 mégawatts, de quoi assurer 25% de ses besoins et réduire ainsi sa dépendance énergétique, a indiqué mardi à l'AFP un responsable.

Actuellement, la puissance électrique de l'Irak est d'environ 16.000 mégawatts (MW), loin des 24.000 MW estimés nécessaires pour satisfaire la demande -- évaluée jusqu'à 30.000 MW les mois d'été -- et encore plus loin des besoins futurs dans un pays dont la population de 40 millions d'habitants devrait doubler d'ici 2050, selon l'ONU.

"D'ici 2030-2031, nous souhaitons produire 25% de nos besoins en électricité grâce au nucléaire, moins cher et disponible chaque jour de l'année à la différence par exemple du solaire ou d'autres énergies renouvelables", explique à l'AFP Kamal Latif, patron de l'Autorité des ressources nucléaires.

M. Latif assure que les négociations en cours avec des entreprises "russes, coréennes, chinoises, américaines et françaises" pourraient aboutir à "une signature d'ici la fin de l'année".

Alors que des informations de presse font état d'un projet à 40 milliards de dollars (33 milliards d'euros) -- pour un pays qui traverse sa pire crise économique --, M. Latif s'est refusé à commenter, estimant uniquement que l'Irak négocierait des facilités de paiement "sur vingt ans, avec des possibilités de prêts à intérêts réduits".

La compagnie russe Rosatom, citée par l'agence russe TASS, assure de son côté discuter avec l'Irak "l'ensemble de l'agenda d'une éventuelle coopération sur les applications énergétiques et non énergétiques des technologies nucléaires à des fins pacifiques".

Pour les experts toutefois, l'Irak, plutôt que de se lancer dans le nucléaire, devrait rénover ses infrastructures car il perd 30 à 50% de son énergie pendant son acheminement du fait de la vétusté des circuits.

En outre, l'Irak, deuxième producteur de l'Opep, a déjà annoncé un plan pluriannuel pour capturer son gaz naturel qu'il brûle actuellement dans des torchères extrêmement polluantes qui lui font perdre chaque année, selon la Banque mondiale, 2,5 milliards de dollars.

Ce plan vise à réduire les importations énergétiques d'Iran -- actuellement 28 millions de mètres cubes de gaz par jour et 1.300 mégawatts d'électricité.

Pour réhabiliter ses infrastructures, l'Irak a signé des memorandums d'entente avec l'Allemand Siemens -- pour 10 milliards de dollars -- et l'Américain General Electric (GE) -- pour 15 milliards de dollars. Jusqu'ici, aucun de ces projets n'a vu le jour.

https://www.connaissancedesenergies.org ... 0-210615-0

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Masdar secures deal to build 2 GW of solar in Iraq
The UAE-based developer wants to build several projects at unspecified locations in central and southern Iraq.

JUNE 25, 2021 EMILIANO BELLINI

Abu Dhabi-based renewable energy developer Masdar has signed an agreement with Iraq's government to build PV power generation assets with a combined capacity of 2 GW in the country.

The projects are planned for unspecified locations in central and southern Iraq. Masdar will act as an independent power producer under the framework of Iraq's Investment Law 13/2006.

“The project is one of the largest renewable photovoltaic solar projects in the Middle East, and falls within the vision of Iraq’s sustainable transition plan 2021- 2030,” said Suha Al-Najar, president of the National Investment Commission. The project delivers 2 GW of green energy for Iraq's national network.

More financial or technical details on the scheme were not provided.

According to the International Renewable Energy Agency, Iraq has an installed PV capacity of only 216 MW despite a huge solar potential. No additional solar power has been deployed in the country in the past three years. In 2017, Iraq’s installed, mainly fossil-fuel based power generation capacity stood at around 11.3 GW versus demand estimated at 17 GW.

The Ministry of Electricity began procurement of seven PV power projects with a combined capacity of 755 MW in May 2019. The results of this tender are expected to be announced this year.

https://www.pv-magazine.com/2021/06/25/ ... r-in-iraq/

[energy_isere]

L’Iran, à qui l’Irak doit 6 milliards de dollars d’impayés de gaz et d’électricité, a décidé mardi de couper le robinet.

conséquence :

En Irak, il fait plus de 50 degrés et il n’y a pas un watt d’électricité
www.nouvelobs.com le 2 juillet 2021

lire : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/mon ... hp&pc=U531

[alga]

...conséquence :

En Irak, il fait plus de 50 degrés et il n’y a pas un watt d’électricité
www.nouvelobs.com le 2 juillet 2021

lire : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/mon ... hp&pc=U531

Ben c'est faux car il a bien de l'énergie solaire a foison dans ces pays d’Afrique.

[energy_isere]

Ben c'est faux car il a bien de l'énergie solaire a foison dans ces pays d’Afrique.

Vous pouvez nous poster les images des parcs solaires PV en service en Irak ?

[alga]

Ben c'est faux car il a bien de l'énergie solaire a foison dans ces pays d’Afrique.

Vous pouvez nous poster les images des parcs solaires PV en service en Irak ?

Ben oui c'est bien le problème...
Mais le soleil lui, est bien là pour de l'énergie à foison.