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Poutine plus fort qu’Obama selon « Forbes »

Par Les Echos | 30/10 | 17:10 | mis à jour à 19:41

Le classement 2013 couronne Vladimir Poutine, porté par le dossier syrien. La première femme est Angela Merkel, en 5e place. François Hollande passe de la 14e à la 18e position

Le président russe Vladimir Poutine a évincé son homologue américain Barack Obama de la première place du classement Forbes 2013 des personnes les plus puissantes au monde , publié mercredi par le magazine américain. Le président Obama figure à la deuxième place de cette liste, suivi du président du parti communiste chinois Xi Jinping, et du pape François, qui y fait son apparition pour la première fois.

« Poutine a renforcé son contrôle sur la Russie, et tous ceux qui ont observé le jeu autour de la Syrie ont saisi le glissement de pouvoir vers Poutine sur la scène internationale », écrit Forbes pour expliquer sa première place.

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Pourquoi les États-Unis ont peur du GLONASS

31 Dec 2013 Par La Voix de la Russie

Les États-Unis sont contre l’installation du système russe de positionnement par satellite GLONASS sur leur territoire. Les Américains craignent que le système de navigation russe soit utilisé dans le but d’espionner. Aucune interdiction formelle n’a été imposée, mais les exigences formulées par les États-Unis rendent la mise en place du système impossible. Selon la nouvelle loi, les systèmes de navigation d’autres pays ne doivent pas porter préjudice à l’attrait commercial du système américain GPS et ne peuvent transmettre que des données non chiffrées.
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mahiahi a écrit :Joli montage, mais ce n'est pas un aigle, plutôt une oie

Crise Ukrainienne : La Nasa suspend ses contacts avec la Russie
L'agence spatiale américaine a annoncé son intention de rompre les relations avec la Russie à l'exception des collaborations sur la station spatiale internationale.

Sciences et Avenir avec AFP le 03-04-2014

"Etant donné la violation par la Russie de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de l'Ukraine, jusqu'à nouvel ordre, le gouvernement américain a décidé que tout contact entre la Nasa et des représentants du gouvernement russe devait être suspendu, sauf exception expressément définie", stipule la note interne que s'est procuré mercredi 2 avril le site internet américain The Verge.

La Nasa a donc mis fin aux voyages de ses employés en Russie ainsi qu'à l'accueil de Russes dans ses bâtiments et a également décrété un gel des contacts par emails, téléconférences ou visioconférences. Ces mesures ne s'appliquent pas "aux activités opérationnelles sur la Station spatiale internationale" ou aux rencontres multilatérales organisées hors de Russie et auxquelles des Russes pourraient participer, ajoute la note.

La Nasa compte retrouver son indépendance.

Le 27 mars, le patron de la Nasa Charles Bolden avait réitéré sa confiance devant le Congrès dans le partenariat spatial avec la Russie, dont les Etats-Unis dépendent pour transporter leurs astronautes à la Station spatiale internationale (ISS), malgré les tensions liées à la crise ukrainienne.

Pour le moment, l'agence spatiale russe Roscomos facture à la Nasa 70,7 millions de dollars le siège sur le vaisseau Soyouz, y compris l'entraînement à la Cité des Etoiles près de Moscou pour acheminer les astronautes américains à la Station.

Mais l'agence spatiale américaine entend mettre un terme à ce partenariat. Dans une déclaration officielle survenue quelques heures après la divulgation du mémo, la Nasa affirme que la priorité de l'administration Obama durant les cinq dernières années a été de mettre fin à cette dépendance envers la Russie.

Et la Nasa profite de cette déclaration pour porter quelques estocades au Congrès américain. "Si nos projets avaient été totalement financés, nous aurions pu rapatrier les activités de lancements et les retours de vols habités (et les emplois qui vont avec) sur le sol américain dès l'année prochaine. Mais avec la baisse des budgets votés par le Congrès, nous ne pouvons escompter effectuer nos propres lancements qu'à l'horizon 2017. Le choix est désormais soit de financer ce plan de rapatriement des activités ou de continuer à envoyer des millions de dollars à la Russie" conclut théâtralement l'agence spatiale américaine.

Poutine est autiste, affirme le Pentagone

energy_isere a écrit :

Poutine est autiste, affirme le Pentagone

http://lci.tf1.fr/monde/europe/poutine- ... 59892.html

Mais aussi bien ça fait partie de la propagande.

Réunion du Club International Valdaï : De nouvelles règles ou un jeu sans règles ? - 24 octobre 2014, Sotchi - Russie

Dans cet extrait, qui provient des échanges avec les journalistes lors du Forum de Valdaï tenu le 24 octobre 2014, le Président russe fait un bref mais magistral rappel de l’état des relations internationales de 1945 à nos jours, en mettant l’accent sur les crises récentes qui ont toutes pour origine l’arrogance et l’hybris des Etats-Unis et la soumission de leurs vassaux (Afghanistan, Yougoslavie, Irak, Libye, Syrie…).

A travers l’image de l’Ours de la Taïga, il réaffirme sa détermination à défendre la souveraineté et les intérêts nationaux de la Russie contre toute agression, ainsi que l’attachement de la Russie à un monde multipolaire régi par le droit international, à l’instar de ce qui s’est passé en Crimée.

Remundo a écrit :Pour comprendre la position Russe et notamment l'état d'esprit de Vladimir Poutine :

L'ours de la Taïga russe se dresse face aux Etats-Unis 1/2
L'ours de la Taïga russe se dresse face aux Etats-Unis 2/2

Réunion du Club International Valdaï : De nouvelles règles ou un jeu sans règles ? - 24 octobre 2014, Sotchi - Russie

Remundo a écrit :tu connais beaucoup de Présidents qui ne sont pas avides de pouvoir ?

A bien y réfléchir, peut-être un, oui est venu par hasard à l'Elysée récemment...

Moscou et Washington prêts à lancer le projet d'une nouvelle station spatiale internationale

La Tribune 27 Mars 2015

En dépit de la crise ukrainienne, la Russie a annoncé samedi son intention de construire en partenariat avec la NASA une nouvelle station spatiale orbitale pour remplacer la Station spatiale internationale (ISS), dont l'exploitation est prévue jusqu'en 2024.

L'espace sera-t-il le sanctuaire de la coopération russo-américaine ? En dépit de la crise ukrainienne, la Russie a annoncé samedi son intention de construire en partenariat avec la NASA une nouvelle station spatiale orbitale pour remplacer la Station spatiale internationale (ISS), dont l'exploitation est prévue jusqu'en 2024. "Roscosmos et la NASA vont travailler sur un programme pour une future station orbitale", a indiqué le directeur de l'agence spatiale russe Igor Komarov sur le cosmodrome de Baïkonour (Kazakhstan), aux côtés de l'administrateur de l'agence américaine Charles Bolden.

"Nous nous sommes mis d'accord pour qu'un groupe de pays qui prennent part au projet de l'ISS travaille également sur le futur projet", a précisé Igor Komarov, cité par l'agence Interfax. Selon lui, ce projet d'une nouvelle station spatiale serait "ouvert" et pourrait inclure la participation de pays qui ne sont pas actuellement impliqués dans l'exploitation de l'ISS.

L'espace, un sanctuaire pour la coopération russo-américaine
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