Suivant ce que j'ai compris de ce projet, il y a plusieurs entrées et sorties tout le long de la voie. Par exemple une station tout les 100m sur la voie du bas. Dans ces conditions on arrive vite à la saturation de la voie du haut et le débit max et bien atteint. Cela d'autant que l'on aurait 70 km de rail. On peu donc rapidement saturé la voie du haut en fonction des stations d'embarquement qui sont en amonts.Yves a écrit : La capacité max d'un système ne se mesure pas par le débit théorique maximum en un point, mais par le débit maximum d'entrée (et normalement symétriquement celui de sortie) du système.
...LE DEBIT A CHAQUE STATION EST DONC 40 FOIS PLUS PETIT QUE LE DEBIT MAX. Non pas 1 personne toutes les 0,5 seconde (120 par minutes), mais 1 personnes toutes les 20 secondes. 3 par minute. 180 par heure ...
Tel que présenté, ce sera toujours une des caractéristique de ce genre de projet, tout comme la nécessité de faire éventuellement des déplacements à vide de véhicule. Un fort débit malgré la faible capacité d'embarquement d'une station.
Ce projet ma beaucoup plu car il se rapproche un peu de ma vision. En parallélisant ce réseau on aurait une multitudes de zones d'embarquement dans chaque rues. Et comme il y aurait plusieurs chemins possibles pour aller d'un point A à un point B, en même temps que ce chemin serait personnalisé, on aurait vite des débits important entre différentes zones de la ville. Ici on bat tout les records, et c'est le bon système (je ne parle pas du SkyTran mais de ma vision). Ton métro est mis KO au premier round.
Tout les autres problèmes techniques que tu soulèves ne sont pas insurmontables. Par exemple le nettoyage des cabines peut être automatisé ainsi que la conduite par ordinateur en toute sécurité largement supérieure à l'automobile. Bien entendu, il y aura quand même des accidents et des morts mais c'est une conséquence inévitable de l'implémentation de tout transport.