Bus et Camions électriques

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Minibus électrique de 15 places et autonome.

NAVYA ouvre une nouvelle ère du transport de biens et de personnes

L'urbanisation galopante devrait considérablement augmenter le trafic urbain dans les prochaines années et les solutions actuelles ne répondent pas à l'augmentation des flux. D'ici 2050, 70 % de la population mondiale vivra en ville et sera confrontée à la saturation de la circulation.

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http://www.enerzine.com/1036/18944+navy ... nnes+.html

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Bolloré inaugure sa nouvelle usine pour les bus électriques de 12 mètres de long

Par STANISLAS DU GUERNY - Publié le 14 janvier 2016,

Le groupe Bolloré inaugure vendredi 15 janvier à Ergué-Gabéric (Finistère) sa nouvelle usine dédiée aux bus électriques de 12 mètres de long. Quelque 150 emplois vont être progressivement créés sur ce site ou le groupe aura investi 40 millions d'euros



Nouvelle étape dans le développement de la société Blue Solutions, la filiale de Bolloré dédié aux batteries et véhicules électriques ! Vendredi 15 janvier, Vincent Bolloré, le Pdg du groupe, accompagné par Emmanuel Macron, le ministre de l'Economie, inaugure à Ergué-Gabéric (Finistère) sa nouvelle usine pour le montage de bus électriques Bluebus de 12 mètres de long. Une enceinte de 5 000 mètres carrés complétée par 2 000 mètres carrés de locaux pour la logistique.


Le groupe Bolloré aura engagé quelque 40 millions d'euros en 2015 et 2016 pour réaliser ce site qui démarre avec un effectif de 40 salariés. Celui-ci sera progressivement porté à 150 personnes.

Un premier marché avec la RATP

Les bus de 12 mètres de long représentent 90% du marché des véhicules dédiés aux transports urbains de passagers. Bolloré, qui vient de décrocher une première commande auprès de la RATP, doit livrer 22 bus électriques de 12 mètres en 2016. Le premier le sera mi-février. La RATP entend tester ce type de véhicule et prévoit, à moyen terme, de remplacer 3 600 de ses bus traditionnels par des engins électriques.

Chaque Bluebus dispose d'une autonomie de circulation comprise entre 180 et 250 kilomètres en fonction du nombre de passagers. Les véhicules destinés à la RATP, qui ne comportent que deux portes, peuvent embarquer jusqu'à 101 passagers. Blue Solutions prévoit un autre modèle équipé de trois portes comme le réclament la plupart des gestionnaires de transports urbains de passagers.
Les Bluebus utilisent des batteries au lithium métal polymère qui sont également fabriquées sur le site d'Ergué-Gabéric, berceau du groupe Bolloré. L'arrière de chaque bus accueille quatre batteries, quatre autres sont fixées sur le toit. La capacité annuelle de production des batteries est actuellement de 10 000 packs. Elles sont fabriquées à Ergué-Gabéric et dans une autre même usine que possède le groupe au Canada. Le total passera à 17 000 packs en 2017 puis 30 000 en 2019. Un espace foncier a déjà été réservé à Ergué-Gabéric pour agrandir le site de production de batteries. Les travaux devraient démarrer dans quelques mois.

10 millions d'euros pour les bus de 6 mètres de long

L’an dernier, le groupe a engagé 10 millions d'euros dans une usine de 3 000 mètres carrés également installée à Ergué-Gabéric. L'industriel y produit des petits bus de 6 mètres de long qui sont prévus pour une vingtaine de passagers. Leur autonomie est de 120 kilomètres environ. Ils sont plus particulièrement destinés à la circulation au cœur des villes.

Bolloré fabrique aussi des tramways sur pneus dans son vaste ensemble industriel du Finistère. La version produite actuellement est longue de 6 mètres, un modèle de 12 mètres de long sera développé à court terme. Ces Bluetram se rechargent lors de leur arrêt dans les stations, en seulement quelques secondes. Ils peuvent parcourir une distance de l'ordre de 2 kilomètres.

L'ensemble des activités déployées sur le site d'Ergué-Gabéric de Bolloré emploient un total de 700 salariés.

http://www.usinenouvelle.com/article/bo ... ng.N373688

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E.Macron s'est déplacé pour l' inauguration :

Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, chez Bolloré, à Ergué-Gabéric

15 janv 2016 Ouest France

Le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, inaugure une nouvelle usine Bolloré de bus électriques, ce vendredi 15 janvier 2016, à Ergué-Gabéric, près de Quimper (Finistère).


Le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, inaugure une nouvelle usine Bolloré de bus électriques, ce vendredi 15 janvier 2016, à Ergué-Gabéric, près de Quimper (Finistère). | Béatrice Le Grand / Ouest-France

Après la petite Bluecar, la star d’Autolib’, voici le maxi Bluebus. Depuis 2014, on connaît la version 5,40 m, embarquant 22 personnes, parfaite pour les centres-villes aux rues étroites. Son moteur électrique est alimenté par trois batteries lithium métal polymère, conçues et fabriquées sur le site Blue Solutions (filiale Bolloré) à Ergué-Gabéric, près de Quimper (Finistère). Le petit Bluebus a fait ses preuves. Restait à lui donner un grand frère, destiné à un usage classique, capable d’embarquer une centaine de passagers. Soit 90 % de la demande du marché.



Le grand Bluebus a doublé sa longueur, multiplié les batteries (huit au lieu de trois). Son autonomie varie de 180 à 250 km selon le constructeur. De quoi tenir une journée avant une recharge de nuit. Extérieurement, il ressemble à s’y méprendre au bus classique des grandes villes. Mais ici aucun bruit au démarrage. Et aucun rejet de particules fines dans l’atmosphère. Le rêve pour les métropoles comme Paris qui souhaite rendre propre, d’ici 2025, la flotte de la RATP.

Tout comme la Bluecar s’est fait connaître à Paris avant de séduire d’autres villes (Lyon, Bordeaux, Indianapolis, Rome, Turin), Bluebus va débuter sa carrière commerciale dans la capitale. La Régie autonome des transports parisiens a acheté 20 véhicules de ce type à Blue Solutions. En avril, test grandeur nature, la ligne 341 sera exploitée avec des Bluebus de 12 m.

Le potentiel est énorme, à Paris comme ailleurs. C’est pour cette raison que Bolloré inaugure, vendredi, une usine réservée au grand Bluebus à côté du premier atelier produisant les bus de 5,40 m à Ergué-Gabéric. Les effectifs passeront de 60 à 150 salariés. En décembre, le conseil municipal de la commune a voté une révision du plan local d’urbanisme pour dégager 14 ha de terrains destinés au développement des usines Bolloré. Une procédure qui prévoit une acquisition des terrains « sous un an ».

http://www.ouest-france.fr/bretagne/erg ... ic-3972026

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Montez à bord du bus électrique de Bolloré

Par Olivier Cognasse le 28 janvier 2016| L'Usine Nouvelle


Le mois prochain, le premier Bluebus sera livré à la RATP pour des tests grandeur nature. L’usine d’Ergué-Gabéric (Finistère) a été inaugurée le 15 janvier en grande pompe.


Le patron du groupe Bolloré, le ministre de l’Économie et Élisabeth Borne, la PDG de la RATP, coupent le ruban après les discours.

Tous les ans, Vincent Bolloré inaugure une usine sur son site Blue Solutions d’Ergué-Gabéric, dans le Finistère ! Après le président François Hollande venu il y a deux ans pour l’extension de l’usine de batteries et le Premier ministre, Manuel Valls, présent en janvier pour l’usine Bluetram, c’est au tour d’Emmanuel Macron de venir faire le tour du propriétaire, ce vendredi 15?janvier, à l’occasion de l’inauguration de l’usine Bluebus. Cette dernière produit depuis le 21?décembre des bus électriques de douze mètres de longueur et d’une capacité semblable aux modèles thermiques. Le groupe Bolloré a investi pas moins de 40?millions d’euros dans cette usine de 5 000 mètres carrés, attenante à l’unité de production des minibus de six mètres et du Bluetram, un tramway sur pneus alimenté à chaque arrêt.

Le ministre de l’Économie et de l’Industrie visite au pas de course l’usine de films plastiques, s’arrêtant de temps à autre pour discuter avec un groupe d’ouvriers. Puis, instant privilégié, il découvre le cœur du nouveau business de Bolloré et de sa filiale Blue Solutions : les batteries lithium métal polymère (LMP). Là, les journalistes n’ont pas le droit de pénétrer… « Trois milliards d’euros investis et vingt-deux ­années d’efforts », souligne Vincent Bolloré, le patron du groupe éponyme créé sous Louis XVIII et qui, rappelle-t-il, a connu « un roi, deux empereurs et 25 présidents de la République » ! Et Emmanuel Macron de louer ce patron visionnaire, dont « la première qualité est d’investir, d’innover, de parier sur l’avenir et – ce que certains ont oublié – de prendre des risques. Produire en France est une chose possible et c’est même une vocation d’avenir pour notre territoire ».

Une longueur d’avance sur la concurrence

Le premier des 23 bus commandés pour la ligne 341 à Paris, entre la porte de Clignancourt et la place Charles-de-Gaulle-Étoile, sera livré le 15?février. Ce test grandeur nature précédera l’appel d’offres qui sera lancé en 2017 pour des commandes importantes. Les 4 500 bus du parc RATP doivent être convertis en bus verts en 2025, avec au moins 80 % de bus électriques. Un jackpot en perspective pour les heureux élus. Bolloré semble avoir une longueur d’avance. Le 2?décembre, lors de la présentation des solutions vertes des constructeurs au pied de la tour Eiffel, « les Bluebus étaient convaincants par rapport à la concurrence », estime Élisabeth Borne, la présidente de la RATP. De là à penser que les jeux sont faits…

En attendant, l’unité de production des Bluebus, capables de rouler au moins 180 kilomètres – plutôt 250, selon ­Vincent Bolloré –, est conçue pour 200 véhicules par an. Le grand hall d’assemblage ne ressemble pas aux usines des constructeurs spécialisés. Ici, on ne découpe pas les pièces, on assemble les éléments fournis par les sous-traitants français. La caisse est montée, puis les roues, le plancher est collé, vissé et recouvert d’une moquette. Ensuite, un poste est réservé à l’installation des câbles à haute et basse tension. Les sous-traitants français livrent la cabine de conduite qui est aménagée sur un poste avant d’être fixée sur la caisse comme l’ensemble de la carrosserie. Une fois l’habillage terminé, commence l’étape essentielle, l’installation de la puissance électrique : 240 kilowatts (kW) en huit packs de batteries LMP répartis entre l’arrière et le pavillon du bus. Il ne reste plus alors qu’à personnaliser le bus aux couleurs de la RATP.

Rien ne semble arrêter Vincent Bolloré, qui évoque déjà un nouveau terrain de 15 hectares pour de prochaines extensions avec l’ambition d’atteindre pour ses batteries « une puissance de 40 à 45?kW et une autonomie de 300 kilomètres dans les prochaines années. Cela nous permettra de viser le marché des autocars ».

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Daimler annonce le bus electrrique Citaro pour 2018. Sera disponible en electrique sur batteries et en version pile à combustible.

Daimler quickly electrifies city buses

March 10, 2016

Daimler Buses has announced to start manufacturing electric versions of its widespread Citaro buses as early as 2018. Will there be battery electric or fuel cell? The simple answer: both.



Electric driving is not only for passenger cars. Actually, urban transport with its frequent stops makes electric powertrains appear ideal for this kind of traffic. Zero local emission is welcome bonus feature, and since the buses are in their off-duty periods regularly parked on business premises with charging infrastructure, the charging problem is less relevant than for passenger car owners.

These facts have inspired Daimler Buses to further develop and offer electric versions of its Citaro city bus product line. Both the E-CELL battery electric version and the F-Cell hydrogen fuel cell version are based on a common electromobility platform. Daimler’s roadmap calls for series maturity by 2018. -

With regards of technology development, Daimler Buses benefits from its integration into the Daimler group, because on the way to emission-free driving, all Daimler subsidies collaborate, the company said. The same holds true for the integration of the B2E electronics platform into the Citaro. Besides the Advanced Emergency Brake System AEBS, the buses are equipped with an emergency brake assistant that can perform full emergency braking if necessary. Other innovative electronic features for the Citaro buses are an improved Human-Machine Interface that includes a large colour display.

Daimler already has developed a fuel cell version of is Mercedes B-Series compact passenger car. In a large road test, a small fleet of these cars already have surrounded the world. According to the company, fuel cell drive is basically ready for series production. However the lack of a hydrogen filling infrastructure still signalises red light for series production.

http://www.smart2zero.com/news/daimler- ... city-buses

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Les navettes autonomes Navya transportent les salariés de la centrale de Civaux

Par Marine Protais - Publié le 17 mars 2016,

VIDÉO La centrale nucléaire EDF de Civaux (Vienne) a inauguré sa flotte de minibus automatisés Navya à l'occasion de la visite d'Emmanuel Macron jeudi 17 mars.



Les salariés de la centrale nucléaire EDF de Civaux (Vienne) se déplacent en véhicules autonomes. La visite d'Emmanuel Macron sur le site industriel jeudi 17 mars s'est accompagnée d'un autre petit évènement: le bus thermique du site a été remplacé par une flotte six Navya Arma.

Ces minibus électriques développés par l'entreprise lyonnaise Navya sont capables de rouler sans conducteur. Plutôt déstinés aux circuits fermés (campus, usines, hôpitaux), ils avaient fait un essai sur route ouverte lors du salon des transports intelligents (ITS) à Bordeaux.
Les navettes peuvent transporter 15 passagers et rouler jusque 45km/h. La centrale de Civaux est le premier site industriel à utiliser cette technologie.
"Ces véhicules autonomes ne nécessitent aucune infrastructure spécifique (caténaires, rails etc.) ce qui rend leur utilisation adaptable à toute modification architecturale ou d’organisation", précise Navya dans un communiqué. Les navettes vont permettre au site de réduire ses émissions de CO2 de 40 tonnes.

http://www.usinenouvelle.com/article/le ... ux.N384146

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Le Colibus, ultime représentant des utilitaires électriques urbains

Par Patrice Desmedt Usine Nouvelle le 28 mars 2016

Le Colibus est le dernier représentant des utilitaires électriques spécifiquement conçus pour les livraisons en ville. Présent sur le salon SITL, le salon du transport et de la logistique, il affiche pratiquement le volume d’un utilitaire 3,5 tonnes de base pour à peine la longueur d’une Kangoo.



Le Colibus d’Univers VE Helem est le dernier représentant des véhicules utilitaires électriques spécifiquement conçus pour les livraisons urbaines. Muses, le fabricant du Mooville, a disparu en fin d’année 2015, suivant l’arrêt du Citélec de Brandt Motors. Helem, l’entreprise à l'origine du Colibus, a été rachetée en 2015 par Univers VE, qui possède aussi le fabricant français de batteries E4V. Face aux utilitaires électriques adaptés à partir d’une plate-forme thermique (Renault Kangoo, Ford Transit modifié par Gruau…), le Colibus bénéficie d’une conception spécifique. On pouvait le découvrir sur le SITL, le salon du transport et de la logistique qui s'est déroulé du 22 au 25 mars 2016 à Paris - Nord Villepinte.

Un coût total proche d’un véhicule thermique

Il associe légèreté et compacité. Avec une charge utile de 890 kilogrammes et un volume utile de 8 mètres cubes, il fait presque jeu égal avec un utilitaire de base de 3,5 tonnes, mais avec une longueur de seulement 4 mètres. Ses batteries lithium-ion phosphate de fer assurent jusqu’à 150 kilomètres d’autonomie en version standard, 190 kilomètres avec un pack plus important. "Nos véhicules sont homologués pour les autoroutes françaises, ils sont en voie d’homologation au niveau européen, explique Denys Gounot, président d’Univers VE. Ils peuvent ainsi emprunter les rocades des grandes villes. Et leur coût total d’utilisation est similaire à celui d’un véhicule thermique équivalent pour une utilisation sur cinq ans."



Le Colibus peut arborer le logo « Fabriqué en France ». Les batteries sont assemblées au Mans (Sarthe) et les Colibus à Auch (Gers), et des véhicules ont déjà été achetés par DHL ou La Poste. Sur le SITL, Helem montrait le dernier né de la gamme, le Colifreeze, une version frigorifique offrant un volume de 5 mètres cubes pour 550 kilogrammes de charge utile et une autonomie équivalente au modèle standard.

http://www.usinenouvelle.com/article/le ... ns.N385037

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Namur : ABB alimentera des autobus hybrides électriques "zéro émission" Volvo

05 Avril 2016 enerzine

ABB fournira, en partenariat avec Volvo Bus, un équipement automatisé de recharge rapide aux transports publics de la ville de Namur. Il s'agit du deuxième projet de collaboration entre ABB et Volvo Bus.

Onze nouveaux autobus hybrides électriques Volvo circuleront dans une nouvelle zone « zéro émission » du centre-ville. Ce nouveau système de bus devrait être opérationnel d'ici la fin 2016. Le marché décroché par ABB comprend également la fourniture d'un tableau de commande et un contrat de service.

Au lieu de devoir retourner au dépôt pour être rechargés par le biais d'un chargeur individuel, ces autobus pourront se recharger en quelques minutes aux stations terminus. Un tel dispositif permet d'équiper les autobus d'un pack de batterie plus compact et plus léger, et ainsi d'accroître leur capacité de transport de passagers. Autre avantage : les autobus peuvent emprunter un plus grand nombre d'itinéraires.



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http://www.enerzine.com/15/19181+namur- ... olvo+.html

[Remundo]

en sait-on plus sur la caténaire de ce bus ?

ça a l'air pas mal, un contact direct, on prend sans doute >50 kW pendant l'arrêt de 2-3 minutes. ça peut faire de l'ordre de 1 kWh à chaque arrêt.

[energy_isere]

en sait-on plus sur la caténaire de ce bus ?

ça a l'air pas mal, un contact direct, on prend sans doute >50 kW pendant l'arrêt de 2-3 minutes. ça peut faire de l'ordre de 1 kWh à chaque arrêt.

Je ne sais pas. Faudrait fouiller sur le site de ABB .......

[Troti]

Un nouveau projet de camion hybride :
http://www.autonet.ca/fr/2016/05/12/cam ... s-de-tesla

Six moteurs électriques (un par roue), 18 650 cellules de stockage d’énergie pour 320 kWh, turbine génératrice au gaz naturel comprimé, puissance totale électrique de 2000 ch et 3700 lb-pi de couple instantané pour une consommation d’énergie deux fois meilleure à celle d’un camion diesel similaire (500 ch, 1650 lb-pi). Sans oublier la capacité de récupérer l’énergie cinétique au freinage absente sur les camions conventionnels.

Avec le réservoir de gaz de 150 gallons US du système dHybrid, l’autonomie atteindrait en moyenne 1600 km.

Etonné du choix dune turbine (ça fait high tech, certe). Le rendement n'est pas top, comparé à un bon vieux diesel. Le principal intérêt est la compacité, mais sur une semi, pas sûr que ce soit si critique.

[Remundo]

en effet, ils peuvent remplacer la turbine par un bon diesel stationnaire.

[energy_isere]

La RATP lance sa première ligne de bus 100% électriques

Usine Npuvelle le 30/05/2016

Une étape symbolique vient d’être franchie, lundi 30 mai, avec l’inauguration de la première ligne de bus standard 100% électrique à Paris. Le Bluebus de Bolloré entre en scène, préfigurant l’objectif d’un parc à 80% électrique à l’horizon 2025.

C’est sous une pluie battante, à l’angle des avenues Hoche et Wagram, tout près de l’Arc de triomphe, qu’Elisabeth Borne, PDG de la RATP, Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d’ Ile-de-France et Vincent Bolloré, président du groupe Bolloré, se sont exprimés.

Ils étaient réunis pour l’inauguration de la première ligne de bus de taille standard 100% électrique : la ligne 341 qui relie la place Charles de Gaulle – Etoile à la Porte de Clignancourt à Paris en passant par Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), Clichy et Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). En réalité, cette ligne ne sera 100% électrique qu’en fin d’année, quand les 23 bus auront été livrés. Actuellement, un seul circule.

Le Bluebus est sorti de l’usine d’Ergué-Gabéric (Finistère) mi-février. Cette usine produit depuis le 21 décembre dernier des bus électriques de 12 mètres de long et d’une capacité de 91 à 100 places - comme pour les modèles thermiques classiques - avec une autonomie d’au moins 180 kilomètres. Le groupe Bolloré a investi 40 millions d’euros dans cette usine de 5 000 mètres carrés, concomitante de l’unité de production destinée au minibus de 6 mètres de long et au Bluetram, un bus alimenté à chaque arrêt.

Charge lente de nuit au centre de Belliard

"C’est une joie de porter les couleurs françaises et je suis fier car c’était un pari audacieux", se félicite Vincent Bolloré, qui en profite pour rappeler le succès de l’Autolib "avec ses 500 000 utilisations par mois et le gain d’un nouvel appel d'offres à Singapour".

Elisabeth Borne a rappelé le rôle "des grands industriels français capables de relever le pari" d’un parc d’au moins 3 600 bus électriques dans une dizaine d’années. "La ligne 341 va permettre de faire l’ensemble des tests grandeur nature, d’adapter le dépôt pour faire de la charge lente", a-t-elle ajouté.

La recharge des bus se fera la nuit, au centre bus de Belliard (Paris 18ème), - il alimente déjà des minibus électriques - pour ne pas "tirer" sur le réseau électrique aux heures de pointe. Cette première ligne s’intègre dans le Plan Bus 2025 lancé par le Stif, l’autorité organisatrice des transports de la région, du temps de l’ancienne majorité, et mis en place par la RATP. "C’est une première en Europe avec une flotte de cette taille", s’est réjouie Valérie Pécresse.

D'autres constructeurs en vue de l'appel d'offres

Les 4 500 bus du parc RATP doivent être convertis en bus verts en 2025, avec au moins 80 % de bus électriques. Si Bolloré semble avoir un bus d’avance, la RATP compte bien tester d’autres modèles. "Des tests seront menés sur d’autres modèles sur les lignes 21 et 147, notamment ceux du polonais Solaris, de l’espagnol Irisar, du chinois Yutong associé au français Dietrich Carebus et du français Heuliez Bus", indique Elisabeth Borne.

Un appel d’offres sera lancé en 2017 pour renouveler la flotte francilienne. Dès 2020, la moitié du parc de la RATP sera constitué en Ile-de-France de bus propres. Valérie Pécresse voit déjà au-delà : "J’ai lancé un défi à Vincent Bolloré : travailler sur une plus grande autonomie afin de développer un RER autoroutier électrique en banlieue." Un bus rapide en site propre et roulant propre en quelque sorte.

http://www.usinenouvelle.com/article/la ... es.N394157

[Alturiak]

Six moteurs électriques (un par roue), 18 650 cellules de stockage d’énergie pour 320 kWh, turbine génératrice au gaz naturel comprimé, puissance totale électrique de 2000 ch et 3700 lb-pi de couple instantané pour une consommation d’énergie deux fois meilleure à celle d’un camion diesel similaire (500 ch, 1650 lb-pi). Sans oublier la capacité de récupérer l’énergie cinétique au freinage absente sur les camions conventionnels.

Pourquoi le "camion diesel similaire" est beaucoup moins puissant ?

Etonné du choix dune turbine (ça fait high tech, certe). Le rendement n'est pas top, comparé à un bon vieux diesel. Le principal intérêt est la compacité, mais sur une semi, pas sûr que ce soit si critique.

Peut-être pour le plus faible contenu carbone, et la meilleure image du gaz naturel vs diesel.

[sherpa421]

Etonné du choix dune turbine (ça fait high tech, certe). Le rendement n'est pas top, comparé à un bon vieux diesel. Le principal intérêt est la compacité, mais sur une semi, pas sûr que ce soit si critique.

Peut-être pour le plus faible contenu carbone, et la meilleure image du gaz naturel vs diesel.

C'est peut être judicieux aux US qui ont beaucoup de gaz de schiste ?