Marc touati

Discussions traitant de l'impact du pic pétrolier sur l'économie.

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boubenj
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Marc touati

Message par boubenj » 23 juil. 2009, 12:53

La « green economy » : mode, bulle ou révolution ?

ACDEFI - 06 juillet 2009

Depuis quelques années à travers le monde et surtout depuis quelques semaines dans l'Hexagone, l'économie verte fait un véritable tabac. Mais, au-delà de ce succès marketing, il ne faudrait cependant pas tomber dans le piège de la mode et du mimétisme qui consisterait à penser qu'en dehors du « vert » point de salut, en particulier parce que derrière cette « noble cause » peuvent se cacher des sous-entendus très pernicieux voire dangereux, à commencer par la théorie de la décroissance. Ainsi, la « green economy » constitue à la fois une chance pour l'avenir économique de la planète mais aussi un danger dont il est pour le moment difficile de parler, tant les esprits restent enchantés par la vision d'un monde vert.



Pour mieux comprendre cette problématique, il faut remonter à une question qui n'a cessé de faire réfléchir les économistes depuis des siècles et encore plus aujourd'hui, à savoir : Comment faire de la croissance infinie dans un monde fini ? En effet, dans la mesure où la terre est ronde et où nous vivons dans un monde à l'horizon spatiotemporel limité, la croissance infinie ou durable ne peut a priori pas exister. Cette dernière ne serait donc qu'une illusion qui devient une bulle et qui finit forcément par exploser. Dans ce cadre, la seule solution possible semble résider dans ce que l'on appelle la décroissance. Celle-ci signifie simplement qu'après avoir trop crû (le verbe croire pourrait aussi convenir), nous devons désormais décroître pour éviter l'éclatement de la bulle et in fine sauver la planète.



Si cette théorie apparaît donc à la fois indispensable et séduisante, elle pèche néanmoins par au moins deux voies. D'une part, si, pour des pays riches, il est, à la rigueur, possible de concevoir la décroissance, cette dernière est parfaitement inégalitaire pour des pays en développement, qui n'auraient donc pas le droit de croître et de rattraper leurs grands frères de l'Occident. Sous couvert d'égalitarisme, la théorie de la décroissance et son alliée, celle de l'altermondialisation ne reviendraient donc finalement qu'à maintenir, voire aggraver, l'écart qui sépare les pays riches des moins riches. N'oublions pas qu'il y a trente ans, les pays émergents qu'on appelait à l'époque les PVD (les pays en voie de développement) ne réalisaient qu'environ 10 à 15 % de la croissance mondiale chaque année. Depuis 2002, grâce à la mondialisation des années 1990 et aux transferts de technologies et de capitaux qu'elle a permis, les pays émergents sont devenus les locomotives de la croissance mondiale. Mieux, en 2009, alors que la quasi-totalité des pays dits développés sont en récession, les pays dits émergents continuent de résister, à commencer par la Chine et l'Inde et à l'exclusion des pays d'Europe de l'Est.



D'autre part, le deuxième travers de la décroissance réside dans le fait que sans croissance, il n'y a pas d'emploi. Et sans emploi, les revenus reculent et la grogne sociale monte. L'exemple de la flambée du chômage que subissent depuis un an de nombreux pays à travers la planète montre combien la décroissance peut coûter cher. Or, si la révolution verte doit passer par le chômage et la crise sociale, il y a clairement un problème de durabilité à cause du manque de croissance. D'ailleurs, n'oublions pas que dans l'expression « développement durable », il y a développement…



S'il faut donc bannir la décroissance, le dilemme de la croissance infinie dans un monde fini reste entier et appelle une réponse efficace. Cette dernière est finalement simple et réside justement dans la « green economy ». En effet, le seul moyen de générer une croissance infinie ou durable dans un monde fini passe par l'optimisation de l'existant, principalement au travers du progrès technologique. Ainsi, comme cela s'observe depuis le XVIIème siècle, le développement économique repose sur des cycles de long terme qui naissent avec les révolutions technologiques. Le processus est toujours le même : la révolution technologique génère une forte hausse des investissements dans ces nouveaux secteurs, qui, à son tour, entraîne une croissance vigoureuse et de fortes créations d'emplois, notamment via le processus de destruction créatrice, qui consiste à supprimer des emplois dans les anciens secteurs d'activité pour en créer beaucoup plus dans les nouveaux. Ensuite, une phase de maturité s'installe au travers d'un mouvement de fertilisation de la révolution technologique à l'ensemble de l'économie. Malheureusement, cette phase est directement suivie de la formation d'une bulle spéculative, liée au fait qu'il reste très difficile de valoriser financièrement les nouvelles success story. La bulle finit alors par éclater, entraînant une phase de récession qui prendra fin avec la révolution technologique suivante.



Ainsi, si la dernière révolution a été celle des NTIC, celle qui est en train de s'installer réside bien dans les NTE, les Nouvelles Technologies de l'Energie et de leur corollaire, la « green economy ». Mais attention, cette dernière ne consiste absolument pas à se contenter de créer une éco taxe pour se donner bonne conscience. Car si tel est le cas, la « green economy » prolongera l'actuelle décroissance, avec tous les dangers qu'elle suscitera. Non, cette révolution verte doit au contraire se traduire par une augmentation de l'innovation et des dépenses de Recherche & Développement à bon escient, c'est-à-dire avec des conséquences concrètes en termes de créations de richesses et d'emplois.



C'est là le moyen principal que les pays du globe doivent mettre en place pour augmenter leur croissance structurelle et faire baisser par là même leur chômage structurel. C'est dans ce cadre que s'inscrivent notamment la relance Obama, mais aussi les efforts de la Chine qui est dernièrement devenue le pays qui investit le plus en R&D dans les énergies renouvelables. Quant à l'Europe et à la France, si elles étaient leaders dans les NTE dans les années 80, elles ont largement perdu cette avance au profit d'une augmentation des dépenses publiques principalement utilisées pour colmater les brèches d'une société en mal de renouveau et entretenir le train de vie d'Etats beaucoup trop coûteux et donc trop soucieux, pour que rien ne change, d'augmenter les impôts.



La médaille de la « green economy » a donc bien deux faces : l'une restrictive et contre-productive de l'éco-taxe et l'autre innovante, donc créatrice de richesses et d'emplois, de l'investissement efficace en R&D. Espérons que, pour une fois, les Français et les Européens sauront choisir la bonne…



Marc Touati

















Je voulais mettre cet article de Monsieur TOUATI. Bref, cela me surprend pas qu’il soit « terraplatiste », mais là, à lire son article, je trouve qu’il a un gros problème de logique. En effet, en supposant dès le départ qu’il puisse y avoir des limites à la croissance dans un monde fini, il n’arrive pas à traduire ensuite ces limites dans son argumentation.





Premier argument : « D'une part, si, pour des pays riches, il est, à la rigueur, possible de concevoir la décroissance, cette dernière est parfaitement inégalitaire pour des pays en développement, qui n'auraient donc pas le droit de croître et de rattraper leurs grands frères de l'Occident. »

Bref, le problème n’est pas que les pays en développement (PED) ne rejoignent pas les pays développés, mais que les pays développés diminuent fortement leurs consommations (impact environnemental) à ceux des PED. De toute façon, il n’y a pas assez de ressources pour que le monde occidental continue encore longtemps son modèle alors de là à imaginer que tout le monde ait un mode de vie à « l’occidental » !!!

Il oublie de mettre comme axiome consécutif des limites de la planète, les contraintes des ressources minérales, alimentaires et énergétiques



Le second argument est du même acabit : « D'autre part, le deuxième travers de la décroissance réside dans le fait que sans croissance, il n'y a pas d'emploi. Et sans emploi, les revenus reculent et la grogne sociale monte. » Il oubli juste de mentionner que la croissance est liés très fortement à une croissance de consommation en énergie. Le site de Manicore (J.M. Jancovici) l’explique très bien. Bref, sans croissance d’énergie (bon marché), pas de croissance de PIB, et donc pas d’emplois et risque de crises sociales…



Et je vous épargne la conclusion sur son point de vu sur la taxe carbone… C’est quand même un sacré personnage ce Monsieur Touati. Je ne sais pas son cursus scolaire, mais j’imagine très bien qu’il n’a pas fait d’études scientifiques. Aucune logique d’analyse ne transpire de ces discours. Essentiellement des pamphlets basés sur des dogmes économiques vieux de plusieurs siècles. D’ailleurs, sa rétrospective à la révolution industrielle de la fin du XVIII avec la crise actuelle illustre très bien à elle seule sa difficulté à raisonné dans un monde fini. Même si la technologie peut évoluer, les conditions actuelles ne sont plus les mêmes.

A la fin du XVIII il y avait 2 milliards d’être humain soit plus de trois fois moins qu’aujourd’hui et une consommation d’énergie par individu 100 fois moindre… Il n’arrive pas a intégrer ces données d’espace et à fortiori de ressources/stocks/débits dans sa vision macro-économique.



J’aimerai que ce clownesque personnage soit mis en confrontation avec J.M. Jancovici dans une émission du type « c dans l’air »… J’imagine déjà le « meurtre » en direct… Audience assurée et passages assurés le lendemain sur le zapping de canal +

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Re: Marc touati

Message par kercoz » 23 juil. 2009, 14:25

Ton agressivité est suspecte .Il se plante bien sur (autant que mes faibles moyens peuvent en juger), mais ce qui te gène c'est qu'il plaide pour une moindre décroissance , voire petite croissance pour les pays pauvres . En gros : on va passer de deux bagnoles a une bagnole et les laisser accéder a 1/2 bagnole .Ca parrait equitable sur le papier .
De plus le centre de gravité économique qui suit de tres pres le centre de gravité énergétique se déplaçant vers des régions nouvelles (en tout cas pas "chez nous") on n'aura pas trop notre mot a dire qd aux choix sociétaux ....sauf a considérer que cette main mise est "terroriste" et nuit gravement a l'humanisme occidental.
Faire passer des vessies pour des lanternes ...on sait faire (meme sans se bruler!).
Dernière modification par kercoz le 23 juil. 2009, 14:47, modifié 1 fois.
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Re: Marc touati

Message par mrlargo » 23 juil. 2009, 14:26

La médaille de la « green economy » a donc bien deux faces : l'une restrictive et contre-productive de l'éco-taxe et l'autre innovante, donc créatrice de richesses et d'emplois, de l'investissement efficace en R&D. Espérons que, pour une fois, les Français et les Européens sauront choisir la bonne…
Je suis curieusement bien d'accord, mais j'élargirais un peu :
-La première qui aurait un contre impact économique certain mais une efficacité écologique réelle.
-La deuxième qui permettra (temporairement) une reprise économique certaine mais sans aucune efficacité écologique.

Choix finalement délicat, non ;) ...
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Re: Marc touati

Message par ranikbidik » 24 juil. 2009, 14:08

Touati est un sophiste "soit disant indépendant censé décrypter pour les masses les messages bienveillants de nos dirigeants".
On l'a bien vu avec l'immobilier lorsque conjointement avec l'état et le lobby FNAÏMESQUE il a largement participé au gonflement de la bulle à coup d'intervention dans les très éclairés CAPITAL, L'EXPANSION, MIEUX VIVRE VOTRE ARGENT et j'en passe...

Ce qui est étonnant avec la nouvelle bulle "verte", c'est que personne ne la cache, je trouve ça très étonnant... tout le monde est déjà prêt à se vautrer dedans. Les banques ont déjà commencé à titriser des droits de polluer, qu'elles vont faire gonfler pour les vendre aux pékins moyens en sommet de bulle. Le potentiel de croissance de ces actifs est monstrueux et le gavage programmé par et pour Goldman Sachs va commencer!

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Re: Marc touati

Message par Glycogène » 24 juil. 2009, 15:15

ranikbidik a écrit :Ce qui est étonnant avec la nouvelle bulle "verte", c'est que personne ne la cache, je trouve ça très étonnant... tout le monde est déjà prêt à se vautrer dedans. Les banques ont déjà commencé à titriser des droits de polluer, qu'elles vont faire gonfler pour les vendre aux pékins moyens en sommet de bulle.
Ben si le pékin moye est prêt à acheter des titres en sommet de bulle alors que personne ne cache la bulle, on ne peut plus rien pour lui !
D'un autre côté, ceux qui achèteront des titres de la bulle verte, ce ne seront pas les pauvres : les riches se boufferont donc entre eux.

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Re: Marc touati

Message par kercoz » 24 juil. 2009, 15:39

Glycogène a écrit :D'un autre côté, ceux qui achèteront des titres de la bulle verte, ce ne seront pas les pauvres : les riches se boufferont donc entre eux.
T'as pas tout percuté:
C'est avec tes tunes que seront achetés ces titres , sans ton accord . Je crois qu'on appelle ça titriser : noyer la merde ds des trucs que tu es obligé d'acheter . Comme les 5% de craburant ds ton fuel.
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Re: Marc touati

Message par ranikbidik » 24 juil. 2009, 15:55

kercoz a écrit :
Glycogène a écrit :D'un autre côté, ceux qui achèteront des titres de la bulle verte, ce ne seront pas les pauvres : les riches se boufferont donc entre eux.
T'as pas tout percuté:
C'est avec tes tunes que seront achetés ces titres , sans ton accord . Je crois qu'on appelle ça titriser : noyer la merde ds des trucs que tu es obligé d'acheter . Comme les 5% de craburant ds ton fuel.
exactement...
il ne faut pas préjuger d'une quelconque absence de cynisme chez ces néo-pères noël verts :evil:

je pense aussi aux grosse incitations fiscales vers des équipements rarement justifiés pour des particuliers mais qui ont le mérite d'endetter les gens pour les maintenir "sages"...

Jamais ne sera aidé fiscalement un contribuable qui choisira de ne pas consommer.

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Re: Marc touati

Message par Glycogène » 24 juil. 2009, 19:24

ranikbidik a écrit :Jamais ne sera aidé fiscalement un contribuable qui choisira de ne pas consommer.
Ah si !
Si tu consommes moins, tu as besoin de moins de revenus, donc tu peux réduire tes revenus. Et quand on réduit ses revenus, le taux d'imposition baisse (pas seulement la valeur absolue, mais le taux : par exemple en gagnant 10% moins, tu paye 20% d'impot en moins, ce n'est pas linéaire).
C'est bien une incitation fiscale !
C'est bien pour ça que la flat-tax n'est pas compatible avec la décroissance : elle n'incite pas à réduire ses revenus.

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Re: Marc touati

Message par Glycogène » 24 juil. 2009, 19:28

kercoz a écrit :C'est avec tes tunes que seront achetés ces titres , sans ton accord
OK mais dans ce cas, c'est une institution qui achète malgré moi ? du coup au sommet de la bulle, elle n'achètera plus ? Ou alors il n'y a pas que les pékins moyen qui achètent au sommet de la bulle.
Pourquoi pas, mais faut être cohérent.

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Re: Marc touati

Message par kercoz » 24 juil. 2009, 21:29

Glycogène a écrit : Si tu consommes moins, tu as besoin de moins de revenus, donc tu peux réduire tes revenus.
Sauf que la plus grande partie des impots provient des impots indirects liés aux besoins essentiel peu compressibles .
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Re: Marc touati

Message par loup romain » 24 juil. 2009, 22:00

Kercoz,

avec tes tunes ?
Lesquelles, tu épargnes toi ?
Moi je désepargne en ce moment, je participe à la décollecte du livret A......

Enfin j'espère que le système va pas d'effondrer avant plusieurs mois, après je n'aurais plus rien à perdre..........

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Re: Marc touati

Message par kercoz » 25 juil. 2009, 09:35

loup romain a écrit :avec tes tunes ?
Lesquelles, tu épargnes toi ?
Je suis vraiment nul en économie liberale , mais il me parait évident que c 'est l'état (donc mes tune actuelles , futures et surtout celles de mes enfants/dette) qui a sauvé la finance et les banques . C'est donc mes tunes qui continue a pazyer les 4x4 des financier et l'arrogance de leurs valets . Les "tunes" futurs" ne seront pas visibles directement , simplement un appauvrissement general de certaines couches sociales . Cette misère programmée est la condition du maintient du modèle sociétal actuel : la classe sociale au pouvoir conserve ses prérogatives (pouvoir et conso)contre une accentuation de la pauvreté de 1/ sa population la moins favorisée
2/ de pays anciennement émmergeants.
Ce tour de passe passe se fait grace a l'autisme general et l'absence de réaction des spoliés.
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