[crise] l'économie UK en difficulté

Discussions traitant de l'impact du pic pétrolier sur l'économie.

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Message par MadMax » 04 août 2006, 14:27

Le taux directeur de la Banque d'Angleterre est passé à 4,75% hier. Aïe les taux variables...

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Fin de partie pour le Royaume-Uni?

Message par MadMax » 21 avr. 2007, 11:57

R-Uni: l'inflation atteint un niveau record au mois de mars.
(Cercle Finance) - L'inflation au Royaume-Uni s'est accélérée le mois dernier selon National Statistics, dont l'indice CPI des prix à la consommation a progressé de 3,1 % en rythme annuel en mars, son plus fort taux de croissance historique (Note de MadMax : depuis le début de cette série statistique en 1997).

Le précédent record datait du mois de décembre 2006, quand l'indice avait progressé de 3,0 %. La situation s'était tassée en janvier (+2,7 %), mais l'inflation était repartie de l'avant en février (3,0 %), sous le coup de la hausse des coûts du transport.

En mars, le moteur principal de l'accélération a été la progression des prix des denrées alimentaires et des boissons non alcoolisées.

Les indices RPI (Retail Price Index) et RPIX (hors remboursements des crédits immobiliers), ressortent en hausse de 4,8 et 3,9 % en comparaison annuelle en mars, contre respectivement 4,6 et 3,7 % en février.

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Fin de partie pour le Royaume-Uni?

Message par energy_isere » 17 juil. 2007, 20:00

Le principal contracteur privé du métro de Londres au bord de la faillite

Metronet, principal contracteur privé du métro de Londres est au bord de la faillite, un cas qui soulève au Royaume-Uni des critiques envers les partenariats publics-privés (PPP) chers au Premier ministre Gordon Brown.

lire la suite sur Boursorama : http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=4409912

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Message par energy_isere » 08 août 2007, 07:31

Grande-Bretagne: le coût des inondations de juin et juillet revu à la hausse

Les importantes inondations qui ont touché la Grande-Bretagne en juin et juillet devraient coûter près de trois milliards de livres (4,4 milliards d'euros) aux assureurs, a annoncé mardi l'Association des assureurs britanniques (ABI).

Une précédente évaluation de l'ABI estimait à 2,5 milliards de livres le coût des dégâts provoqués par les inondations qui ont touché fin juillet le centre-ouest de l'Angleterre, les pires depuis 60 ans.

Au total, les membres de l'AIB ont reçu près de 60.000 déclarations de sinistre pour des habitations ou des commerces envahis par les eaux en juin, essentiellement dans le Yorshire (nord), ou en juillet dans le Gloucestershire (centre-ouest).

Quelque 27.500 demandes d'indemnisations pour des habitations endommagées et 7.000 pour des commerces ont été enregistrées en juin. Environ 17.500 demandes pour des habitations et 7.500 pour des commerces s'y sont ajoutées après les inondations de juillet.

Ces inondations risquent de faire de 2007 l'année la plus coûteuse pour les assureurs en matière d'indemnisations liées aux intempéries.

La semaine passée, la plus grosse compagnie d'assurances habitation du pays avait indiqué qu'elle relevait ses primes d'assurances habitation de 10%, notamment en raison des inondations du début de l'été. D'autres assureurs entendaient prendre des mesures similaires.

La Grande-Bretagne a connu la plus importante pluviométrie de son histoire sur le trimestre de mai à juillet avec 387,6 millimètres de pluie, selon le service météorologique britannique. Le précédent record datait de 1789 (349,1 mm d'eau).

Boursorama

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Message par Aerobar » 10 avr. 2008, 10:26

Nous sommes tous voués à devenir ennuyeux.
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Message par AJH » 25 avr. 2008, 18:15


La crise du crédit fait flancher la croissance au Royaume-Uni

Touchée de plein fouet par la crise du crédit et l'essoufflement de l'immobilier, la croissance britannique est tombée au premier trimestre au plus bas niveau depuis trois ans, alimentant des craintes de récession à quelques jours d'élections locales cruciales pour Gordon Brown.
Le produit intérieur brut (PIB) n'a progressé que de 0,4% sur les trois premiers mois de l'année, contre 0,6% au trimestre précédent, ralentissant ainsi à son pire rythme depuis le premier trimestre 2005, a annoncé vendredi l'Office des statistiques nationales.

La croissance est tombée au passage, toujours pour la première fois en trois ans, en dessous de son potentiel qui est évalué par les économistes entre 0,6 et 0,7%.

En glissement annuel, la croissance est tombée à 2,4%, loin des 2,8% enregistrés fin 2007.

Sur l'ensemble de l'année en cours, les choses devraient encore se gâter, et la croissance pourrait être inférieure de moitié à celle de l'an dernier, ressortie à 3%, selon certains experts.

La faute à la crise du crédit, qui pèse sur l'activité du secteur bancaire et financier, très puissant dans un Royaume-Uni où les services réalisent près des trois quarts du PIB, et à un début de retournement du marché immobilier, dont les prix ont essuyé en mars leur plus fort repli depuis plus de 15 ans.

Dans ce contexte, le Chancelier (ministre des Finances) Alistair Darling a déjà été forcé le mois dernier de ramener sa prévision de croissance pour 2008 entre 1,75 et 2,25%, contre 2 à 2,5% auparavant.

Mais cette fourchette semble encore trop optimiste aux yeux du Fonds monétaire international, qui table sur un maigre 1,4%, et de la plupart des économistes de la City. Le fléchissement du premier trimestre a donné du grain à moudre à ces Cassandre, malgré l'annonce lundi par la Banque d'Angleterre d'un plan de choc pour soutenir les banques.

"Nous pensons que cela va marquer le début d'un ralentissement profond et prolongé, qui verra les déséquilibres qui se sont creusés ces dix dernières années éclater", au premier rang desquels "la surévaluation du marché immobilier et le surendettement des ménages", souligne Jonathan Loynes, chef économiste pour l'Europe de Capital Economics.

Il dit prévoir une croissance autour de 1,7% cette année, et de 1% seulement l'année prochaine, avec une chance sur trois que l'économie du Royaume traverse une récession (définie comme deux trimestres consécutifs de baisse du PIB) d'ici la fin de l'année prochaine.

Une analyse partagée par Michael Hume, de la banque Lehman Brothers, qui dit tabler sur une croissance entre 0,2 et 0,3% sur les trois prochains trimestres, et qui évalue à 35% le risque d'une récesssion d'ici la fin 2009.

Ces perspectives économiques moroses, qui ne font que renforcer un climat de sinistrose déjà fortement répandu dans l'opinion depuis l'éclatement de la crise financière l'été dernier et la chute en septembre de la banque Northern Rock, sont de mauvais augure pour le gouvernement travailliste de Gordon Brown.

Selon un sondage paru jeudi dans le Daily Telegraph, la popularité des conservateurs au sein de l'électorat est au plus haut depuis 21 ans, à 44% contre 26% au Labour, qui s'est déchiré ces derniers jours autour d'une mesure fiscale décidée l'an dernier par M. Brown lorsqu'il était encore Chancelier.

Les élections locales prévues jeudi prochain risquent donc de se traduire par la perte de nombreuses collectivités au profit de l'opposition conservatrice, dont la très emblématique capitale Londres, dirigée depuis huit ans par Ken Livingstone.
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Re: Fin de partie pour le Royaume-Uni?

Message par energy_isere » 27 avr. 2008, 14:13

C' est pas la fin de partie pour certains : :cry:
En Grande-Bretagne, les riches se sont enrichis malgré la crise financière

LEMONDE.FR avec Reuters | 27.04.08

Les plus grandes fortunes de Grande-Bretagne se sont encore enrichies au cours de l'année écoulée, malgré la crise financière internationale, rapporte le Sunday Times.

La fortune cumulée des 1 000 premiers noms de la "Rich list" établie annuellement par le journal a augmenté de 53 milliards de livres (67,5 milliards d'euros) pour dépasser 400 milliards, à 412,8 milliards de livres (525 milliards d'euros).

En haut du tableau, pour la quatrième année d'affilée, le magnat de la sidérurgie d'origine indienne Lakshmi Mittal et sa famille ont gagné 8,4 milliards (10,7 milliards d'euros) de plus à 27,7 milliards de livres (35,4 milliards d'euros) grâce à la forte demande d'acier dans le monde.

Le numéro deux est l'oligarque russe Roman Abramovitch, propriétaire du club de football de Chelsea, dont la fortune s'est accrue de 900 millions de livres à 11,7 milliards (14,9 milliards d'euos). S'ils n'ont pas la nationalité britannique, les deux hommes sont résidents au Royaume-Uni.

A la troisième place vient le duc de Westminster dont le portefeuille immobilier est resté inchangé à sept milliards (8,9 milliards d'euros).

Le collectionneur d'art islamique David Khalil a vu, en revanche, sa fortune "chuter" de 3,3 milliards, à 2,5 milliards (3,18 milliards d'euros), et celle du magnat du prêt-à-porter Philip Green a baissé de 570 millions de livres à 4,3 milliards (5,47 milliards d'euros).

La créatrice de la saga Harry Potter, J.K. Rowling, possède 560 millions de livres (712 millions d'euros), contre 545 millions un an auparavant.

La fortune de Paul McCartney est évaluée à 500 millions de livres (636 millions d'euros), soit plus que les 400 millions calculés par la justice dans le cadre de la procédure de divorce de l'ex-Beatle avec Heather Mills, qui estimait quant à elle à 800 millions les biens de son ancien époux.

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Fin de partie pour le Royaume-Uni?

Message par energy_isere » 25 juin 2008, 20:31

Grande-Bretage: une décennie de satisfaction économique évaporée en un an

Gordon Brown, orgueilleux ministre des Finances pendant une décennie, a vu en un an sous sa direction le Royaume-Uni courir au marasme économique, à cause d'événements internationaux mais aussi d'erreurs internes, au point qu'un épisode de récession n'est plus exclu.

Le temps paraît loin en effet où M. Brown, à chaque présentation du Budget, énumérait emphatiquement les "59, 60, 61 trimestres et plus" de croissance continue sous son égide.

En 2006 et 2007, le Royaume-Uni a fait mieux que ses voisins, avec 2,9% et 3% de croissance du produit intérieur brut (PIB). Mais pour 2008, le ministre des Finances Alistair Darling ne prévoit plus que 2%, et 2,5% en 2009. L'OCDE penche plutôt pour 1,8% cette année et 1,6% l'an prochain.

La Banque d'Angleterre (BOE) elle-même n'a pas exclu, "un ou deux trimestres de croissance négative". S'ils sont consécutifs, il s'agira d'une récession. Au groupe d'investissement LGIM, d'ailleurs, "l'indicateur de récession est au rouge", selon l'économiste James Carrick, avec une probabilité de 90%.

Bien sûr, et Gordon Brown ne se lasse pas de le répéter, le ralentissement est mondial, provoqué par la crise des crédits immobiliers américains "subprime" et aggravé par la hausse non maîtrisable du prix des matières premières.

Mais les Britanniques constatent le résultat : touchés au quotidien par la hausse des prix et surtout par le net ralentissement de l'immobilier depuis plusieurs mois, après des années d'excès alimenté notamment par les bonus prodigieux dans la City, ils ont le moral au plus bas et lorgnent vers l'opposition conservatrice. Pendant ce temps, les mouvements sociaux, depuis les années Thatcher très contenus au Royaume-Uni, reprennent ici et là.

Quoique encore bas (5,3% au sens du Bureau international du travail), le chômage a augmenté le mois dernier pour la quatrième fois consécutive, et l'inflation a atteint 3,3%, la BoE ne l'excluant pas à 4% en cours d'année. On dirait un retour aux années 70, peut-on lire partout dans les journaux ces temps-ci, à tel point que M. Darling a explicitement repoussé cette allégation la semaine dernière lors d'un dîner officiel.

M. Brown se donne l'air de prendre les choses en main en multipliant les rencontres avec ses homologues sur les sujets de la finance mondiale et du pétrole.

Mais les gaffes sur le plan intérieur aggravent la mauvaise impression. Ainsi, le traitement par le gouvernement de la quasi-faillite qui a abouti à la nationalisation en février de la banque Northern Rock fait toujours débat. Surtout, il y a eu les revirements désordonnés sur trois projets fiscaux : l'abrogation de la tranche d'imposition la plus faible, l'imposition des plus-values financières, la taxation des non-domiciliés au Royaume-Uni.

A chaque fois le gouvernement avait légiféré très rapidement, ne réalisant visiblement pas que, dans deux cas, il allait pénaliser les contribuables les plus fragiles, et dans le troisième semblant céder à la pression des nantis.

C'est le côté "mauvais Brown", a souligné mardi le Financial Times, notant qu'il y a aussi le "bon Gordon", avec une vraie vision de thèmes comme la mondialisation et le développement des pays pauvres. Les Chinois, affirme le journal, estiment qu'il est parmi les seuls dirigeants au monde à bien comprendre ces sujets, qui préoccupent actuellement moins les Britanniques que leur propre sort.

AFP

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Re: Les Britanniques en difficulté énergétique

Message par energy_isere » 11 juil. 2008, 10:12

Le miracle britannique était un mirage

LE MONDE | 07.07.08

Stop and go. le Royaume-Uni était censé avoir dépassé le concept en termes de croissance. En 2001, le pays est passé au travers de la récession mondiale - comme l'a martelé Gordon Brown, le premier ministre. Mais aujourd'hui, après dix ans de méthode Brown en faveur de la politique fiscale et de l'indépendance de la Banque d'Angleterre, l'économie britannique paraît atteinte et, en tout cas, plus proche de la récession que les Etats-Unis, le Japon ou la zone Euro.

Le succès de 2001-2002 a désormais des allures d'imposture. Le Royaume-Uni se portait mieux que d'autres pays parce qu'il était encore dans la première phase de son cycle fiscal et immobilier. Brown prônait la prudence : il a fait monter l'excédent des finances publiques à presque 4 % du PIB en 2000 et réduit la dette. Malheureusement, ça n'a pas continué.

Les prix des maisons au Royaume-Uni ont été modérés. Ils ont seulement, au cours des années 1990, recouvré le niveau de la fin des années 1980. Le prix moyen des maisons en 2000 était juste supérieur de 24 % à celui de 1990. Il représentait 3,5 fois les revenus moyens des Anglais, un niveau traditionnel.

Aujourd'hui, le paysage a changé : déformé par excès. De 2000 à 2007, le prix moyen des maisons s'est envolé de 132 %, pour représenter six fois le revenu moyen. Une hausse bien plus marquée que dans les années 1980. La Banque d'Angleterre n'a pas mené de politique monétaire suffisamment restrictive, tandis que Brown le prudent a oublié sa devise. Les finances publiques se sont effondrées, passant d'un excédent substantiel à un déficit de 2,8 % du PIB. Et le consommateur britannique dans tout ça ? Surendetté et rincé.


GLACIATION

L'économie britannique semble maintenant plus mal en point que d'autres économies majeures aujourd'hui. La bulle immobilière y est plus grosse qu'aux Etats-Unis ; son déficit budgétaire concurrence celui de la France ou du Japon ; seuls les Etats-Unis font pire en matière de déficit commercial rapporté au PIB.

Les faiblesses cycliques du Royaume-Uni subsistent. Ce qui aiderait, c'est une politique fiscale et monétaire plus stricte. Mais c'est trop tard. Une autre tradition britannique a pris le dessus : une glaciation économique.

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Re: Les Britanniques en difficulté énergétique

Message par osas09 » 12 juil. 2008, 10:30

Si ca continue comme ça vous allez voir que les anglais vont finir par passer à l'euro. :lol:
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Fin de partie pour le Royaume-Uni?

Message par braskc78 » 19 août 2008, 10:02

L'organisme a prédit lundi que le Royaume-Uni connaîtrait une croissance du Produit intérieur brut (PIB) négative au cours des deux à trois prochains trimestres, ce qui signifie que l'économie du pays risque d'entrer en récession d'ici à début 2009.
Le premier ministre a rappelé qu'il avait prédit en début d'année que le deuxième trimestre ne serait pas «bon». Mais le chef du gouvernement refuse de parler de récession, comme d'ailleurs la Banque de France, qui, dans une note de conjoncture publiée lundi, fait état d'une prévision de croissance de 0,1 % du PIB au troisième trimestre.
Le Figaro
Va y avoir pas mal de nouveaux stands au prochain salon de la voyance.
A présent pour diriger un pays, on tapera directement dans Marie-France Pisier et visionnaires en tous genres, sans passer par les intermédiaires qu'on appelait avant : les politiques.
Bref, en haut lieu, on commence à avoir les boules ... de cristal. :lol:

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Fin de partie pour le Royaume-Uni?

Message par energy_isere » 27 nov. 2008, 19:45

:shock:
Grande Bretagne : la chaine de commerce de détail Woolworths devrait fermer en décembre et licencier ses 30 000 salariés (The Times)

jeudi 27 novembre

Woolworths went into administration last night, putting thousands of high street jobs at risk despite last-ditch government efforts to save it.

The retail chain, which opened its first British shop almost 100 years ago, has debts of £385 million. Its 800 outlets will open as usual today, but many are expected to shut for good after Christmas.

The decision to call in the administrators was taken despite the intervention of ministers anxious to save the jobs of almost 30,000 people who work for Woolworths.

(...)

Times
Une chaine de magasin centenaire qui s' écroule !

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Re: Les Britanniques en difficulté énergétique

Message par luciferon » 28 nov. 2008, 06:55

ouch :shock:

2009 restera dans l'histoire comme une année noire ](*,)

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Re: Les Britanniques en difficulté énergétique

Message par energy_isere » 02 déc. 2008, 19:14

:-D
"Shocking !" : Elizabeth II doit se serrer la ceinture
http://www.lemonde.fr/la-crise-financie ... 01386.html

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Angelus68
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Re: Fin de partie pour le Royaume-Uni?

Message par Angelus68 » 25 janv. 2009, 20:59

Les Jeux olympiques de 2012, boulet financier pour Londres
http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.html

Heuresement que Paris a pas été choisi. :-D
<< La décennie 2010-2020, c'est la décennie de tous les dangers. >>

Yves Cochet

http://www.youtube.com/watch?v=Ulxe1ie-vEY

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