L'industrie agricole française.

Discussions traitant de l'impact du pic pétrolier sur l'économie.

Modérateurs : Rod, Modérateurs

Avatar de l’utilisateur
energy_isere
Modérateur
Modérateur
Messages : 89519
Inscription : 24 avr. 2005, 21:26
Localisation : Les JO de 68, c'était la
Contact :

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par energy_isere » 07 août 2021, 11:38

Je suis en vacances entre Bleré et Loches dans le 37, et le paysans d'à coté fait venir des boues séchées d' épuration d'eau.
livré par camion
C'est des tas noir ''secs'' de couleur trés noire, mélangés avec plein de bout de bois. Ca pue d'une odeur qui n' a rien à voir avec le lisier. C'est une odeur acre.
C'est plein de macroplastiques de plusieurs cm2. Au moins 10 par m2 en surface du tas.

En explorant le web je tombe sur cette page : https://www.zoom-nature.fr/epandage-des ... lastiques/
et c'est exactement ça.

Image

Le problème est que c'est bourré de microplastiques.
Quelle cochonnerie. Ca va rester en place des dizaines d'années dans le sol. Et puis aussi retourner dans les cours d'eau par lessivage........

Image
Il est frappant de voir que ces transferts de microplastiques à très grande échelle des eaux usées urbaines vers les terres agricoles n’ont pas été considérés auparavant ni par les législateurs ni même par les scientifiques. On ne dispose de pratiquement aucune étude sur l’échelle de contamination des sols mais d’ores et déjà tout indique que les terres agricoles pourraient être l’un des réservoirs majeurs de microplastiques sur terre.
Pas si loin, à Blois il y a 10 000 tonnes par an de boues
L’étude a été dimensionnée pour valoriser 10.000 tonnes de boues brutes chaulées par an sur des parcelles couvrant 4.700 hectares et appartenant à 38 agriculteurs (34 céréaliers, 4 éleveurs) situées dans un rayon de 45 km. En cas d’indisponibilité des parcelles, des filières alternatives à l’épandage seront mises en œuvre.
https://www.lanouvellerepublique.fr/blo ... griculture

Avatar de l’utilisateur
kercoz
Hydrogène
Hydrogène
Messages : 12951
Inscription : 18 nov. 2007, 21:46
Localisation : SUD GIRONDE GRAVE DE GRAVE

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par kercoz » 07 août 2021, 11:47

energy_isere a écrit :
07 août 2021, 11:31
Et bien que vient faire faire cette assertion sur l' état la dedans ???
Assertion toi même. ( Laisse l'état dans l'endroit ou tu l'a trouvé)
C'est l'état qui a le droit de distillation. Je dis juste qu'ils doivent vider les cuves pour la nouvelle récolte et que la revente à l'état est le dernier recours,( qd on n'a pas pu refourguer ailleurs à meilleur prix pour des mélanges peu autorisés...). Après c'est juste factuelle hein. Je ne dis pas que c'est une aide déguisée racheté plus cher que nécessaire des trucs qui devaient finir au caniveau....

Pour tes boues plastifiées, il y a un net progres: Pas mal d'amis bossaient ds les travaux agri ...(avant le les escouades de l' Est piétinent nos sillons pour moitié prix), ...pour tailler la vigne, on leur refilait des bottes de sécurité, vu qu'une nana s'était l'an passé percé le pied avec une seringue mal enfouie.
L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)

Avatar de l’utilisateur
energy_isere
Modérateur
Modérateur
Messages : 89519
Inscription : 24 avr. 2005, 21:26
Localisation : Les JO de 68, c'était la
Contact :

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par energy_isere » 07 août 2021, 11:50

Et bien relis toi ou corrige ce que tu as écrit :
kercoz a écrit :
07 août 2021, 11:02
Vu qu'il restait trop de liquides invendus ds les cuves, ça ne tombe pas si mal....Certains avaient commencé à revendre à l' état pour distiller !....
Percevoir une taxe de droit de distillation, ca n' a rien à voir avec racheter des tonnes de marchandises agricoles.

Avatar de l’utilisateur
kercoz
Hydrogène
Hydrogène
Messages : 12951
Inscription : 18 nov. 2007, 21:46
Localisation : SUD GIRONDE GRAVE DE GRAVE

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par kercoz » 07 août 2021, 12:00

energy_isere a écrit :
07 août 2021, 11:50
Et bien relis toi ou corrige ce que tu as écrit :
kercoz a écrit :
07 août 2021, 11:02
Vu qu'il restait trop de liquides invendus ds les cuves, ça ne tombe pas si mal....Certains avaient commencé à revendre à l' état pour distiller !....
Percevoir une taxe de droit de distillation, ca n' a rien à voir avec racheter des tonnes de marchandises agricoles.
Je ne comprend pas tes assertions. Si le sujet t'intéresse, il y a pas mal de littérature là dessus:
https://www.vitisphere.com/actualite-93 ... ockage.htm

"""""""""""""""
Avec la rallonge annoncée aujourd’hui de 56 millions € (dont 47 millions € issus de l’OCM vin, voir encadré), la filière vin pourra envoyer à la chaudière 600 000 hectolitres de vins supplémentaires. Ce complément budgétaire permet de renforcer la distillation de crise ouverte pendant le mois de juin dernier. Dont l’enveloppe budgétaire de 155 millions d’euros annoncée fin mai, ne permet de distiller que 58 % des 3 291 000 hectolitres de vins souscrits d’ici la mi-septembre (avec des aides de 58 €/hl pour les vins de France et 78 €/hl pour les vins AOP et IGP). En y ajoutant les 2,1 millions hl déjà financés, « la mesure de distillation est désormais efficiente » salue Jean-Marie Fabre, le président des Vignerons Indépendants de France, qui n’a pas pu être présent à cette visite de terrain de l’exécutif. Rappelant que les prévisions initiales de la filière en matière de distillation avoisinaient justement de 3 millions hl, le vigneron de Fitou se félicite que ce calibrage financier soutienne des marchés déséquilibrés par le confinement et les incertitudes commerciales persistances : « c’est un signal fort avant les vendanges ». Devant se dérouler dans un deuxième temps cette distillation supplémentaire pourrait se tenir en octobre prochain.
"Il fallait des réponses pour gérer le surstock, nous les avons"

Également renforcée, l’aide au stockage privé va bénéficier d’une rallonge de 20 millions €, portant son enveloppe globale à 35 millions € pour retirer du marché les surstocks de vin (en vrac ou conditionnés) sur des périodes de 6, 9 ou 12 mois,
L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)

Avatar de l’utilisateur
energy_isere
Modérateur
Modérateur
Messages : 89519
Inscription : 24 avr. 2005, 21:26
Localisation : Les JO de 68, c'était la
Contact :

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par energy_isere » 07 août 2021, 15:02

Merci pour le détail.
C'est donc une aide de l'état à la filière viticole en difficulté.

Avatar de l’utilisateur
kercoz
Hydrogène
Hydrogène
Messages : 12951
Inscription : 18 nov. 2007, 21:46
Localisation : SUD GIRONDE GRAVE DE GRAVE

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par kercoz » 07 août 2021, 15:42

energy_isere a écrit :
07 août 2021, 15:02
Merci pour le détail.
C'est donc une aide de l'état à la filière viticole en difficulté.
Elle était en difficulté de stockage et de vente ( export et restaus fermés )....mais le pb du stock n'a plus trop lieu d' etre , non ? puisqu' on va vers à peine 30% de récolte....va t on annuler l'aide au stock ?....et de plus c'est quoi l' aide au stock? ...Ca ne peut être que du financement de batiments ou de matos (cuves en extérieur).
L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)

Avatar de l’utilisateur
mobar
Hydrogène
Hydrogène
Messages : 18141
Inscription : 02 mai 2006, 12:10
Localisation : PR des Vosges du Nord

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par mobar » 08 août 2021, 09:38

Ca peut aussi etre des aides au destockage avec des primes versees pour completer des prix brades
par exemple chez LIDL un Saint Emilion Grand Cru 2019 (grand millesime) a 5, 49 € la bouteille
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
« Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes bien informées et impliquées puisse changer le monde, en fait, ce n'est jamais que comme cela que le monde a changé »

Avatar de l’utilisateur
energy_isere
Modérateur
Modérateur
Messages : 89519
Inscription : 24 avr. 2005, 21:26
Localisation : Les JO de 68, c'était la
Contact :

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par energy_isere » 17 août 2021, 13:49

Pour le vin français, une course contre la montre pour s'adapter au changement climatique

AFP•17/08/2021

"Le temps presse!" Face au changement climatique qui se confirme d'année en année, les viticulteurs français veulent passer à l'action pour adapter leurs vignes et leurs pratiques à la nouvelle donne.

"Nous sommes à un moment charnière. Le changement climatique est là, on le voit, on le subit", déclare à l'AFP Jérôme Despey, secrétaire général de la FNSEA, le syndicat agricole majoritaire.

L'avancée de la date des vendanges en est le premier signe: "un mois en 50 ans", selon Christophe Riou, directeur adjoint de l'Institut français de la vigne et du vin (IFV). S'y ajoute la tendance au bourgeonnement précoce de la vigne la rendant plus vulnérable au gel tardif comme cela a été le cas en avril. Mais aussi les chaleurs estivales intenses qui brûlent les feuilles dans le sud, les épisodes de sécheresse...

Après un travail de réflexion mené depuis 2017, la filière viti-vinicole remettra fin août au ministre de l'Agriculture Julien Denormandie un rapport proposant "7 orientations et 40 actions", indique Jérôme Despey, viticulteur de l'Hérault (sud), sans les dévoiler.

"C'est maintenant qu'il faut vraiment apporter des orientations nouvelles dans les pratiques agricoles et viticoles", martèle-t-il alors que les experts de l'ONU sur le climat (Giec) prévoient un réchauffement de la planète plus rapide que prévu.

L'enjeu économique est de taille. La France est le deuxième producteur de vin au monde (46,6 millions d'hectolitres en 2020) juste derrière l'Italie. Et le premier exportateur en valeur avec 8,7 milliards d'euros de ventes en 2020, selon l'Office international de la vigne et du vin.

- Choix de l'innovation -
Pour évoluer, la filière peut s'appuyer sur les travaux de l'institut de recherche Inrae qui pilote depuis près de dix ans (2012-2021) un programme baptisé "Laccave", sur l'adaptation du vignoble au climat de demain.

Quatre scénarios possibles ont été soumis aux professionnels: ne pas faire grand chose, innover pour rester sur les territoires actuels, relocaliser les vignes dans des endroits plus frais, ou encore tout déréguler.

"Nous nous sommes positionnés sur le scénario où l'innovation permettrait de conserver la valeur de la filière viti-vinicole française", déclare Jérôme Despey, qui préside le conseil spécialisé Vin de l'organisme France Agrimer.

Pour la recherche, l'enjeu "est de jouer sur du matériel végétal adapté et notamment plus tardif pour permettre de revenir à des dates de vendanges plus normales et d'avoir des vins plus équilibrés", souligne Christophe Riou.

Car le réchauffement climatique donne des vins plus lourds, plus riches en alcool et moins subtils.

Dans son laboratoire bordelais, Nathalie Ollat, ingénieure de recherche de l'Inrae et copilote du projet Laccave, étudie une cinquantaine de cépages non plantés qui pourraient regagner en intérêt en permettant aux vins de Bordeaux de garder leur profil. Ils proviennent de la région mais aussi d'autres vignobles français et de pays du sud et sud-est de l'Europe, explique-t-elle.

Des expérimentations sont en cours. L'Inao (Institut national de l'origine et de la qualité) a ainsi autorisé les AOC (Appellations d'origine contrôlée) Bordeaux et Bordeaux supérieur à tester six nouveaux cépages, dans des proportions limitées.

- Modifier les pratiques -
Dans le Languedoc, ce sont des cépages grecs et italiens qui sont expérimentés car plus tardifs et résistants à la sécheresse que les cépages locaux, souligne Jean-Marc Touzard, directeur de l'unité Innovation et développement dans l'agriculture et l'alimentation à l'Inrae.

La création de nouveaux cépages plus résistants à la sécheresse est aussi en cours mais cela nécessite du temps, une quinzaine d'années, pour obtenir un résultat, dans la mesure où il faut procéder par croisements successifs.

Autre levier d'adaptation possible, le choix des porte-greffe (plante sur laquelle on vient greffer le cépage) qui peuvent permettre un enracinement plus en profondeur et une meilleure captation de l'eau, note Nathalie Ollat.

L'accès à l'eau constitue un autre enjeu majeur pour la survie du vignoble en cas de températures élevées. "Sans eau, demain on ne fera rien", assène Bernard Angelras, viticulteur dans les Costières de Nîmes et président de l'IFV.

Sans attendre, les viticulteurs peuvent déjà commencer à modifier leurs pratiques: gestion des sols, de l'enherbement, de la taille, replantation d'arbres. Et analyser finement leur terroir pour rechercher les zones plus fraîches.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... f0541ce17a

Avatar de l’utilisateur
kercoz
Hydrogène
Hydrogène
Messages : 12951
Inscription : 18 nov. 2007, 21:46
Localisation : SUD GIRONDE GRAVE DE GRAVE

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par kercoz » 17 août 2021, 14:15

Les vignerons méritent la sanction de la nature. Durant des siècles ils on pratiqué des processus contre-natures. Même les sois disant bio pratique une culture intensive et extensive: pas de haies, pas d'arbres, peu d' entre eux laissent l' herbe ou pratiquent une culture entre rangées.
La plantation de qqs arbres permettrait pourtant (comme l' inra a eu la surprise de le constater ds ses essais d'agro-foresterie), la quasi disparition de certains prédateurs insectes nocturnes. Les chauves souris ont besoin d' obstacles pour se repérer.
L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)

switch
Kérogène
Kérogène
Messages : 60
Inscription : 24 nov. 2007, 13:18

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par switch » 22 août 2021, 21:34

C'est l'arrivée des machines à vendanger, et de la mécanisation à outrance qui sont responsable de la disparition des arbres dans les vignes. J'ai connu le temps où l'on trouvait dans les rangs de vignes, des pruniers, des cerisiers, des pommiers, les cépages étaient aussi très disparates au sein d'une même parcelle. L'herbe était aussi présente, les petits oiseaux aussi. C'était un vrai milieu écologique quand j'y repense. A Noter que les chauves souris ont disparues des régions viticoles à cause des insecticides. Il n'y a strictement plus aucune vie dans ces vignobles
clonés. Un véritable cauchemar.

Avatar de l’utilisateur
Remundo
Hydrogène
Hydrogène
Messages : 10702
Inscription : 16 févr. 2008, 19:26
Localisation : Clermont Ferrand
Contact :

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par Remundo » 22 août 2021, 22:47

certes, certes...

mais les petits Français ont bien plus d'énergie pour polémiquer sur des plateaux TV que pour vendanger à la main des petites parcelles, ils sont plus pour le multiculturalisme que la multiculture locale...

et parler, ça donne soif.

Santé ! si j'ose dire, ça passe ou trépasse ?

Avatar de l’utilisateur
Remundo
Hydrogène
Hydrogène
Messages : 10702
Inscription : 16 févr. 2008, 19:26
Localisation : Clermont Ferrand
Contact :

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par Remundo » 22 août 2021, 22:56

energy_isere a écrit :
07 août 2021, 11:38
Je suis en vacances entre Bleré et Loches dans le 37, et le paysans d'à coté fait venir des boues séchées d' épuration d'eau.
livré par camion
C'est des tas noir ''secs'' de couleur trés noire, mélangés avec plein de bout de bois. Ca pue d'une odeur qui n' a rien à voir avec le lisier. C'est une odeur acre.
C'est plein de macroplastiques de plusieurs cm2. Au moins 10 par m2 en surface du tas.
et oui,

mais certains agriculteurs sont friands de ces déchets organiques car ils ne sont pas chers et les stations ont du mal à s'en débarrasser...

en soi ce n'est pas de la mauvaise matière fertilisante, si l'on met de côté le problème des plastiques.

il est presque impossible de séparer les petits fragments de plastiques de la terre.

La seule manière d'éliminer ces plastiques, c'est de convertir ces boues en carburants par gazéification-syngas-synthèse catalytique.

mais pour ça, faut faire un peu autre chose que contrôler les gens sur les terrasses de café...

Avatar de l’utilisateur
energy_isere
Modérateur
Modérateur
Messages : 89519
Inscription : 24 avr. 2005, 21:26
Localisation : Les JO de 68, c'était la
Contact :

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par energy_isere » 26 août 2021, 23:12

L'Europe marche sur la tète :
Alpes-de-Haute-Provence: la filière lavande menacée par une règlementation européenne?

Gauthier Hartmann 26 aout 2021

Le président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur était à Valensole ce jeudi pour apporter son soutien aux producteurs de lavande menacés par un projet de réglementation européenne.
.............
lire : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... d=msedgdhp

Avatar de l’utilisateur
mobar
Hydrogène
Hydrogène
Messages : 18141
Inscription : 02 mai 2006, 12:10
Localisation : PR des Vosges du Nord

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par mobar » 27 août 2021, 07:53

energy_isere a écrit :
26 août 2021, 23:12
L'Europe marche sur la tète :
C'est le moins qu'on puisse attendre d'une structure dirigée par de fonctionnaires hors sol qui n’ont de compte à rendre a personne!

La bonne question ce serait : qui les paye pour que ce genre de règlementations soit élaborées?
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
« Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes bien informées et impliquées puisse changer le monde, en fait, ce n'est jamais que comme cela que le monde a changé »

alain2908
Hydrogène
Hydrogène
Messages : 2354
Inscription : 13 nov. 2005, 09:58

Re: Le déclin inéluctable de l'industrie agricole française.

Message par alain2908 » 27 août 2021, 08:59

c'est vrai ça, comment imaginer qu'un produit traditionnel et naturel puisse être dangereux.
prenez le pavot...

Répondre