oleocene.org

nemo a écrit : On a déjà depuis longtemps un "ministère de la défense" qui en fait de défense se charge essentiellement d'agresser des gens sous d'autre cieux,

nemo a écrit :un ministère de l'écologie qui passe son temps à repeindre les activités polluante en vert

Remundo a écrit :Quant au sinistre de l'écologie, il s'abrège en NKM.

Rio Tinto Alcan fait le point sur la situation de son aluminerie de Saint-Jean-de-Maurienne en France

le 12 Décembre 2012
VOREPPE, France, December 12, 2012

Depuis de nombreux mois, Rio Tinto Alcan travaille de concert avec le gouvernement français, les représentants des employés et la communauté à rendre pérenne l'aluminerie de Saint-Jean-de-Maurienne.

Rio Tinto Alcan a mis en place un processus rigoureux de recherche d'un repreneur dont le modèle d'affaires conviendra mieux à la réalité de l'aluminerie située en Maurienne. Rio Tinto Alcan a reçu quelques offres conditionnelles, actuellement en cours de précision.

« Le processus avance bien, mais comme pour toutes les alumineries à la fin de leur contrat énergétique, il est crucial pour ces repreneurs potentiels de s'entendre sur un contrat d'approvisionnement électrique suffisamment compétitif pour que l'usine soit rentable sur le long terme », a précisé Arnaud Soirat, directeur des opérations Rio Tinto Alcan Métal primaire Europe , Moyen-Orient et Afrique.

Rio Tinto Alcan apprécie le dialogue constructif actuellement en cours avec le Ministère du redressement productif et s'efforce de trouver la meilleure solution pour le site.

Relocalisation en France réussie pour les skis Rossignol

En 2013, c'est son usine ultra-moderne de Sallanches (Haute-Savoie) qui va prendre en charge la fabrication de 20 000 paires de skis Junior jusqu'alors fabriqués à Taïwan.

Ce rapatriement est la deuxième phase de relocalisation de la production du groupe qui avait amorcé cette nouvelle stratégie en 2010 avec le retour de 75 000 paires de skis alors fabriquées à Taïwan vers Sallanches.

Pour le groupe, ce choix industriel est justifié par des arguments économiques de rentabilité, arguant d'une meilleure compétitivité de la France. Une douce musique aux oreilles d'un gouvernement français qui joue la carte du "Made in France" pour freiner les délocalisations.

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Balika73 a écrit :S'il y a ici un spécialiste en industrie, j'ai une petite question :
On fabrique quoi encore en France ?

Balika73 a écrit :S'il y a ici un spécialiste en industrie, j'ai une petite question :
On fabrique quoi encore en France ?

Remundo a écrit :

Balika73 a écrit :S'il y a ici un spécialiste en industrie, j'ai une petite question :
On fabrique quoi encore en France ?

Des incultes aussi.

Montebourg à Toulouse annonce 300 M€ pour la filière aéronautique

C'est Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, qui a présenté hier dans l'usine de l'Airbus A380, à Toulouse, le plan de marche du nouveau fonds d'investissement Aerofund 3.

Pourtant, c'est bien EADS et sa filiale Airbus qui sont les premiers contributeurs de cet outil financier doté de 150 millions d'euros. Un montant qui grimpera à terme à 300 millions afin d'aider la filière aéronautique à se structurer et à se muscler. Aerofund a pour but d'investir dans des PME et PMI du secteur aéronautique pour les aider à grandir notamment. Les deux premières versions d'Aerofund (1 et 2) ont permis d'investir

105 M€ depuis 2004 dans 22 entreprises. «On estime que ces investissements ont permis de sauvegarder 5 000 emplois» a précisé hier Marc Fontaine, le secrétaire général d'Airbus. Sur les 150 M€ de capital, EADS injectera 60 M€ (dont 40 M€ par Airbus), la Caisse des dépôts 60 M€, suivi de Safran (30 M€). Martin Malvy, a annoncé que la Région y investira 2 M€. Les patrons de PME ont bien accueilli la nouvelle. Christophe Cador, le PDG de STTS spécialisée dans la peinture des Airbus a témoigné : «En 2008, Aerofund a investi 4 M€ dans notre société ce qui a permis de convaincre les banquiers classiques ». Résultat, il a réussi à emprunter au total 14 M€. «L'argent est le nerf de la guerre. Aerofund 3 permettra de résoudre les problèmes de capitalisation de nos PME. Le fonds nous permettra de les faire grandir pour les faire devenir des entreprises de taille intermédiaire» (ETI) a réagi Alain Di Crescenzo, le président de la Chambre de commerce présent lors de la signature.
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Nucléaire: l’État va créer un fonds pour soutenir les PME du secteur

26 Janv Le Figaro

La création d'un fonds destiné à soutenir les PME de la filière nucléaire française va être annoncée mardi, à l'occasion d'un comité stratégique prévu à Montbard en Bourgogne, a indiqué aujourd'hui le ministère du Redressement productif, confirmant une information du Monde.

Ce Fonds de modernisation des entreprises nucléaires (FMEN), doté de 153 millions d'euros, aura vocation à prendre des participations dans les petites et moyennes entreprises du secteur, a précisé cette source.

A l'occasion de ce comité stratégique, une prévision de 110.000 embauches à l'horizon 2020 dans la filière nucléaire sera également annoncée. Le gouvernement souhaiterait ainsi "mettre un coup d'accélérateur sur les questions de sûreté nucléaire".

L'Etat souhaite aussi rassembler les PME de la filière pour les aider à exporter leur savoir-faire, en les fédérant notamment autour d'une marque. Ce regroupement pourra aussi financer des salons à l'étranger pour faire connaître ces entreprises.