Les femmes. le sexe... pff... la tentation du mal se dit l'"homme" devenu religieux... maudit soit le principe féminin..
Et ainsi est la névrose... racine de la crise écologique, racine des maux de l'humanité..
LE DIABLE...
Cachez DIEU au fond des humains eux même... c'est le seul endroit où il ne chercheront pas!!!
http://www.doublecause.net
Avant d'emprunter un quelconque pont entre la science et la spiritualité, encore reste-t-il à franchir (mieux encore: à démolir) le mur qui a été construit il y a plusieurs siècles par la science, juste avant le fleuve qui les sépare, afin d'empécher sa traversée. Ce mur dissocie deux approches fondamentales de la vérité en établissant une frontière supplémentaire artificielle qui interdit les rapports entre science et conscience, mais aussi la communication entre nos deux cerveaux (le gauche: celui de la raison, et le droit: celui de l'intuition): une véritable situation de guerre froide intérieure où l'usage à peine privilégié du cerveau droit est considéré comme irrationnel alors que l'usage exclusif du cerveau gauche est considéré comme parfaitement sain.
Il y a de quoi se demander si dans le conditionnement qui nous fait passer de l'enfance à l'état adulte nous ne devenons pas tous handicapés du cerveau, sachant que l'on peut s'en rendre compte d'ailleurs chaque jour en constatant les désordres du monde dans lequel on vit. Malheureusement, rares sont les scientifiques qui oeuvrent à la tache de rétablissement de la communication et de l'équilibre entre nos deux cerveaux, ou entre science et spiritualité, alors qu'ils sont les mieux placés pour le faire étant donné leur position dominante et respectée.
J'ai cherché... Pa'.. j'ai cherché...
LA TERRE COMME SOIT-MÊME
Michel Maxime Egger
Éditions Labor et fides
page 12
Citation:
Racines de la crise écologique.
Que "révèle" la crise écologique? Pour le saisir il convient de ne pas s'arrêter à ses causes symptomatiques, mais de remonter à ses racines dans un acte de lucidité profonde.
En tant qu'expression d'une rupture de communication entre l'être humain et la nature, la crise écologique dévoile deux réalités.
Premièrement, les dérives ou délires d'un paradigme hérite de la modernité occidentale. À partir de la fin du 15eim siècle, celle ci a consacré une manière de voir et de penser fondée sur l'exaltation de la rationalité logique (rationalisme), la supériorité de l'homme (anthropocentrisme), et la primauté des principes masculins.
Autant d'éléments qui ont érigé l'être humain en "maître et possesseur de la nature" (Descarte). Ce paradigme n'a pas seulement "réduit le monde à un simple objet d'exploration technique et mathématique [...] et exclu de [son] horizon le monde concret de la vie". Il a aussi, par la même, désacralisé la nature en expulsant Dieu vers une transcendance inaccessible. Il a mutilé l'être humain de sa dimension divine en évacuant son intellect spirituel et en le réduisant à un composé psychosomatique. L'occident souffre depuis lors d'une véritable addiction au dualisme qui sépare tout: Dieu et la création, l'humain et la nature, l'esprit et la matière, le masculin et le féminin, la foie et la raison... etc.
LE DIABLE EST LE PRINCIPE SÉPARATEUR...
C'est aussi LE DÉSIR-ATTACHEMENT.
et L'hystérie c'est l'insatisfaction d'Amour.
"Je voulais te dire au fait, en parlant d'amour, que j'ai réussi à le faire "entièrement"...
l'amour "entièrement"... Ce n'est plus un ange... mais un "homme"...
Ça a bel et bien merdé... il reste les " "... et.. c'est... con... (la destination finale... un con... littéralement)
Il a perdu son âme d'enfant...
oh putain!!!
La destination finale de l'âme d'enfant? ... un con..
L'âme d'enfant niée de la conscience et extériorisée dans le sexe... et où va le sexe? au CON..
Toute une partie de notre langage est structuré là dessus.. et aussi la diabolisation de la femme!!!
Ha non... c'est trop con!
Tout part de là...
Nous perdons nos âmes d'enfant dans la Névrose...
La pire peur d'un "adulte"... redevenir enfant (avec ses besoins, ses désirs,son imprévisibilité )
La pire peur de la "société".. redevenir naturelle (avec ses besoins, ses herbes folles, sa fantaisie, son imprévisibilité)