techniques agricoles

Répondre


Cette question vous permet de vous prémunir contre les soumissions automatisées et intensives effectuées par des robots malveillants.
Émoticônes
:D :geek: :ugeek: :ghost: :wtf: :-D :) :-) :-( :-o :shock: :? 8-) :lol: :-x :-P :oops: :cry: :evil: :twisted: :roll: ;) ;-) :!: :?: :idea: :arrow: :-| :mrgreen: =D> #-o =P~ :^o [-X [-o< 8-[ [-( :-k ](*,) :-" O:) =; :-& :-({|= :-$ :-s \:D/ :-#
Plus d’émoticônes

Le BBCode est activé
La balise [img] est activée
La balise [flash] est activée
La balise [url] est activée
Les émoticônes sont activées

Relecture du sujet
   

Agrandir Relecture du sujet : techniques agricoles

par Spiritatus » 01 mai 2007, 00:18

Pour les manches de pioches et tout autres outils en bois

un truc que faisait mon grand père c'était de laisser ces outils dans un bassin histoire que le bois gonfle avant de les utiliser

par Loup Espiègle » 26 avr. 2007, 18:24

J'en ai entendu parlé l'été dernier par une maraîchaire qui a fait un stage chez le bonhomme, et elle paraîssait très convaincu par l'efficacité de la technique :

La méthode KEMINK
Cette méthode de labour en butée a été mise au point par un maraîcher allemand, Hans Kemink. Il utilise un outil proche d’un cultivateur classique avec des attaches du type charrue égyptienne (crochets) et du type butoir romain. Le but de cette technique est de limiter la perturbation du sol et de ses organismes vivants à chaque passage, c’est pourquoi le tracteur suit à chaque fois les mêmes traces et les dents sont décalées progressivement à chaque passage. Cela nécessite beaucoup de temps de tracteur : sur des parcelles longues, il faut compter 5.5 heure par hectare avec un outil de 3,20 m à 6-10 km/h et 10-20 heures par hectare sur des petites parcelles courtes.

Source : http://www.ruralinfos.org/spip.php?article571 , http://www.passerelleco.info/article.ph ... rticle=139 , La charrue de Wenz.

La méthode Kemink pratiqué en agriculture biologique consiste à un travail du sol en billon en trois passages à 10 jours d’intervalle qui permet d’éliminer les vivaces. La pratique du faux semis tout en planissant le sol, détruit les espèces annuelles.
On ne dirait pas comme ça mais c'est de la broderie : il faut retourner les trois premiers centimètres du sol en plusieurs passages pour tuer les adventices et accélerer la production d'humus (si j'ai tout compris !!).

Si ma mémoire ne me fait pas défaut, la société Prommata (site web en reconstruction) commercialise des outils de travail du sol en billon, attelés à un âne ou à un cheval...

par Luc » 18 janv. 2006, 17:38

Précaution préliminaire: faire sécher les éléments avant assemblage (au soleil ou sur le poêle) de façon à "réduire" les cotes au maximum.
Assembler après séchage. Les variations d'hydrométrie ne pourront que travailler pour toi.

par fabinoo » 11 janv. 2006, 09:35

Pour bien réparer un manche.
Couper nettement la partie cassée.
Tailler une petite pièce de bois en forme de coin, de la largeur du manche.
Fendre le haut du manche.
Le remettre dans l'outil.
Enfoncer la pièce de bois dans la fente aver un marteau, aussi loin que possible, couper ce qui dépasse encore. Beaucoup plus efficace qu'un clou, avec ça, il ne bougera plus.

par Jeuf » 11 janv. 2006, 09:26

oui mais le mardi matin je travaille.

Merci pour tout ces bon conseils. en effet, ce doivent être des campagnoles don mon jardin, mon chat atrapé des bestioles que je croyais être des souris, en fait donc, c'est pas ça. Je crois qu'ils ont réussi à prendre l'appat du piège à rat sans se faire piéger...
Et puis, le mois prochain, je masacre la pelouse, j'enlève les blocs, je prépare 15m² en biointensif...

Pour le manche : j'ai déjà réussie à l'enlever. ça a l'air simple à réparer : soit je reprend le même, et j'ai un manche un peu raccourci, soit j'achete un autre manche. Et un clou suffit.

par fabinoo » 10 janv. 2006, 22:45

Jeuf a écrit : J'ai cassé le manche de ma fourche-bêche!
Mort de rire.
Maintenant, tu vas pouvoir expérimenter la réparation de manche cassé.
T'es à Paris la semaine prochaine ? Je cherche des participants pour une rencontre décroissante sur le thème "se nourrir".

par Geispe » 09 janv. 2006, 20:11

si je démarre et que j'ai de l'herbe je l'enlève par mottes au croc à 4 dents et en fais une pile à côté avec le reste de mauvaises herbes et autres déchets. (Je mets du compost sur la terre ainsi découverte, pour qu'elle soit un peu plus riche) Au bout de quelques mois mon tas de mottes s'est transformé en belle terre toute neuve et friable : je fais ainsi un roulement et le tour du jardin avec les tas de compost/mauvaises herbes/mottes/etc : le tas se décompose parfaitement chaque fois mais en prime si on l'enlève on a une belle plate-bande toute neuve prète à l'utilisation.

par Jeuf » 09 janv. 2006, 18:52

:cry: :cry: J'ai cassé le manche de ma fourche-bêche! :cry: :cry:


Sinon, le jardinnage avec Perchou semble beaucoup moins facile qu'avec n.g. Heureusement, j'ai pas de chiendent..ni liseron...mais plein d'autres plantes que je ne sais pas nommer, avec des racines plus ou moins grosses.

Pour les une ou deux dizaines de m² qu'il me reste, de tout façon, je vais tester le biointensif, en enlevant carrément les 10 premiers centimètres de terre plein de racines (je ferai un muret de terre avec les blocs!), en quadru-bêchant desssous, qui semble être de la bonne terre, en paillant le tout au BRF, en plantant serré comme préconisé par Jeavons, j'espère que ça sera efficace.

par Perchou » 09 janv. 2006, 18:19

Le liseron est une adventice d'été. Donc, Jeuf risque d'être embêté par d'autres plantes avant cela. Si ton terrain était cultivé avant, tu n'auras pas trop de difficultés à maîtriser les mauvaises herbes. Par contre, si cet hiver tu es en train de défricher, et en particulier un terrain bien pourvu en graminées, tu vas passer pas mal de temps à désherber. En particulier si il y a beaucoup de vivaces. L'exemple du chiendent est frappant et sa réputation n'est pas surfaite. Le paillage ne l'arrêtera pas. Les rhizomes, pleins de réserves lui confèrent une très forte résistance. L'année dernière, j'ai "retourné" une vieille friche avec en majorité du chiendent (pas de l'agrostis !). J'ai essayé plusieurs méthode pour m"en débarrasser. Il est passé à travers un paillage dense d'herbes sèches de 15 cms d'épaisseur. J'ai laissé une tôle en ferraille par terre pour le couper de la lumière depuis septembre. J'ai regardé ce week-end. Résultat, il a jauni un peu mais n'est pas mort et est prêt à repartir au moindre rayon de soleil. La meilleure solution que j'ai trouvé c'est une rotation très rapide des cultures avec un travail avec des outils à dents plusieurs fois dans des sens différents à chaque interculture. La dernière fois (septembre) j'ai semé un engrais vert derrière. Pour l'instant, l'engrais vert domine et je n'ai pas trop de soucis avec le chiendent. Mais j'y ai paser quelques heures quand même. Et il faut voir ce que ça va donner au printemps (aïe aïe aïe...).
En cas de culture longue (choux, poireaux), le mieux est de sarcler avec un outil à dents pendant la culture. Il est alors difficile de laisser un couvert. Mais presque n'importe quel couvert se fait étouffer par du chiendent. A ce moment là, ça peut être le chiendent le couvert. A condition de le contenir et de le déraciner de temps en temps. Sinon, il va à nouveau accumuler des réserves et balancer des rhizomes et c'est reparti pour un tour d'arrachage !
Pour les cultures type céréales, semées à la volée ou en rangs serrés, il ne reste qu'à espérer que le chiendent ne soit pas trop méchant et à ramasser les quelques épis maigrichons qui auront réussi à pousser.

Bon d'accord, j'envisage le pire ! Car après quelques cultures, le chiendent finit quand même par devenir plus rare. Il faut alors veiller à ne pas le laisser refaire ses réserves et ne pas fractionner ses rhizomes.

Et puis les autres vivaces ne sont pas forcément aussi terribles ! Quant aux annuelles, dans des rotations rapides, quelques faux semis bien éxécutés permettent de diminuer le stock de graines significativement, tout en minéralisant un peu d'humus certes (mais c'est ça qui fait la fertilité d'un sol en bio), mais sans forcément diminuer le taux de matière organique et en tout cas en entretenant une très forte activité biologique dans le sol; ce qui est un des principes de base de l'agriculture biologique.

a propos des annuelles, il faut savoir qu'elles n'apparaîssent pas toutes en même temps. Certaines poussent par temps froid et humide. Leur levée a lieu à partir de février-mars : bourse à Pasteur, cardamine, pâquerettes, trèfle blanc, etc...
D'autres attendent de conditions plus chaudes pour se manifester, vers mai-juin : liseron, mercuriale, renouée, pourprier, etc...
Donc, un faux semis de fin mars (par exemple) ne détruira pas des annuelles plus thermophiles. On risque alors d'avoir des soucis pendant l'été. Par contre, Si on plante des poireaux après les avoir semés en pépinière, on peut faire un faux semis au printemps (suivi de radis ou de petits pois p.ex) et après les petits pois, refaire un faux semis avant de planter les poireaux (juin) en place. De cette façon, on agit sur toutes les catégories d'annuelles. Bon ce n'est q'un exemple, tout dépend de ce qu'on cherche à faire. Mais c'est bon à savoir...

Pour les limaces, j'ai testé la bière en coupelles semi-enterrées. Par temps de pluie, ça marche d'enfer ! :D

par n.g » 09 janv. 2006, 10:37

Pour les limaces, il y a des endroits où elles prolifèrent plus qu'ailleurs : climat doux et humide, paillage, sol argileux, herbe pas souvent tondue, haies. Quand on va les chercher le soir à la lampe torche en août et qu'il y en a 60 par jour, que dès qu'on plante des choux en septembre 90% se font dézinguer, même s'il y a quelques carabes pour bouffer leurs oeufs ils sont largement en sous-nombre, aussi des solutions radicales s'imposent, c'est le cas du purin de limace : on en ramasse plein, on les ébouillante et on laisse faisander ça une semaine au jardin avant d'arroser autour des plantations délicates (haricots et tous les crucifères notamment), ça pue le cadavre donc elles vont voir ailleurs. J'ai trouvé ça dans le bouquin "les limaces sous contrôle", Claudia Graber et Henri Suter, éd Terre Vivante.
La limace est un des seuls (le seul ?) ravageur qui est plus abondant dans un jardin qui a une terre riche en humus, profondément ameublie et couverte, et des haies, que dans un jardin travaillé à la motobineuse et au roundup. Autrement dit plus c'est bio, plus il y en a (en plus des autres facteurs mentionnés plus haut).
Aussi, les gastéropodes sont une bonne source de vitamine b12 dans le cadre d'une autonomie alimentaire sur une petite surface, c'est à dire forcément végétalienne ou quasi.
Pour d'autres parasites comme les pucerons ou les doryphores, un point crucial est ce qui fait qu'une plante attirera plus les parasites qu'une autre, en l'occurence le stress (pour ceux qui savaient pas : les plantes aussi peuvent stresser ;)).
Il a été montré (voir John Jeavons, How to grow more vegetables, éd Ecology Action) que les plantes stressées produisent plus de sucres et moins de protéines (certainement du fait d'une dépense énergétique accrue pour réagir au stress), et que cette forte concentration en sucres attire justement des parasites et ravageurs tels que pucerons, chenilles (les papillons étant attirés par l'odeur sucrée de la plante), doryphores etc. Ceci explique que des plantes poussant dans un sol ameubli et riche en bon humus sont moins sujettes à se faire parasiter, car les racines respirent mieux (sol aéré), elles peuvent pousser plus facilement et plus profondément (sol meuble), les apports en eau sont plus aisés (sol plus perméable donc l'eau pénètre plus profondément et en plus grandes quantités), et il n'y a pas de carence dans les apports en minéraux car l'humus permet le développement de toutes les bactéries nécessaires pour oxyder ou chélater les minéraux que les plantes absorbent.
Alwin Seifert, précurseur de l'agriculture bio et du compostage en Allemagne (voir son bouquin "cultivons notre terre sans poisons, ou l'art du compostage", éd Le courrier du livre) raconte comment des champs entiers de pomme de terre ont été ravagés par les doryphores ou bien par le mildiou (selon les années), et ce juste à côté de son jardin, où il cultivait des pommes de terre sur un sol très ingrat mais avec du compost, et où il n'a trouvé aucun doryphore et un ou deux pieds atteints par le mildiou parmi environ 300.
Jeuf a écrit :Je pensais ausis nécessaire de retourner mes carré, pour décompacter la terre en-dessous (quel formidable outil, la fourche-bêche)
Mieux vaut ameublir sans retourner, c'est à dire une fois planté ta fourche-bêche tu sépares une motte (il suffit de basculer légèrement le fourche-bêche en arrière) et tu l'émiettes, plutôt que de la retourner. C'est mieux pour le sol, et moins crevant et plus rapide pour toi.
Jeuf a écrit :Il faut enlever le paillage, arracher l'herbe, remmetre le paillage?
Non, juste arracher ce qui dépasse du paillage (en faisant attention de bien sortir les racines, notamment pour le liseron), sous le paillage il n'y a plus d'herbe vivante.

par Geispe » 08 janv. 2006, 21:29

J'ai on-ne-sait quel bestiole qui fait plein de petits trous, par endroit, dans la pelouse
c'est pratiquement toujours le campagnol :
sorte de souris brune à queue courte, museau obtu...yeux et oreilles petits qui fait beaucoup de trou et des sentiers (campagnol des champs) - (plus petit que le suivant) ou alors des trous et des buttes comme des taupinières (campagnol terrestre ou rat taupier)
C'est ce dernier qui fait parfois de gros dégatsdans les jardins.
Le piège à rat ne marchera pas bien, il me semble qu'il y a des pièges à campagnols... ou plus souvent du poison.
Mais en remuant la terre ils finissent par s'en aller car ils n'aiment pas trop les dérangements. Sinon chien, chat, chouettes et autres rapaces ou mustélidés (belettes).

par Jeuf » 08 janv. 2006, 21:01

Pour le BRF à ce qu'on dit la meilleure époque d'épandage c'est en plein hiver, pour des plantations de mai (maïs, haricots, cucurbitacées, tomates, etc.).
bon, je m'achete mon broyeur début février, et je paille au BRF, si y'a pas de neige. En espérant pouvoir planter dès le printemps, donc. Il faudra voir si on a des résultat aussi miraculeux que ceux raconté sur http://www.onpeutlefaire.com/forum/inde ... =4293&st=0
Je pensais ausis nécessaire de retourner mes carré, pour décompacter la terre en-dessous (quel formidable outil, la fourche-bêche)
ce qui fait que les touffes récalcitrantes s'arrachent plus facilement après quelques mois de paillage,
Il faut enlever le paillage, arracher l'herbe, remmetre le paillage?
j'ai retourné des carré de terre, juste en espèrant que les racines et l'hebre se décompase...mais ça va faire court.
Solution efficace et gratuite : le purin de limace.
:shock:
écraser des limaces?
Beaucoup de gens confondent aussi mulots et campagnols : les mulots sont roux, les campagnols sont un peu comme des rats en miniature
J'ai on-ne-sait quel bestiole qui fait plein de petits trous, par endroit, dans la pelouse, on en trouve en plein d'endroits diférents assez éloignés...et ces bestioles bouffent les carrote et plein de racines de plantes dans jardin, en laissant des trous (haricots, persil...).Impossible de savoir quoi, et c'est bien ennuyeux Je n'aimerai pas perdre toute ma récolte à cause de ces bestioles.
Je crois bien qu'un jardin qui réussit, c'est une question de chance, qu'on a beau avoir une bonne terre, si on a le malheur d'avoir un champignon, un insecte, un mammifère(je parle pas des maladies, qui sont sensé laisser tranquille les plantes dans une bonne terre), tout est perdu, on meure de faim (s'il n'y a pas le système producitiviste à pétrole, en filet de secours)

Je ne suis pas non-violent comme Geipse, j'ai sans scrupule acheté un piège à rat qui se refermerai sur une de ces bestioles, pour l'identifier pour commencer. Pour l'instant, personne.
En bêchant aussi, je tue les bestioles que je soupçonne être des larve d'hannetons. Faut dire que c'est un spectacle particulièrement traumatisant de voir une petite bête se faire tuer par une grosse, avec un tel écart de rapport de force.

par Geispe » 08 janv. 2006, 18:23

je sens que je vais encore me faire remarquer mais mon agriculture à moi est non-violente : pas de taupe embrochée, pas de purin de limace ni de tue pucerons.
Mais un système qui à la longue permet à chacun d'avoir sa place : la taupe va voir ailleurs, les limaces sont tenues en respect et même collaborent en mangeant les mauvaises herbes et en fabriquant de l'engrais, et les pucerons ce sont les chrysopes et les coccinelles qui se chargent non pas de les exterminer mais de les tenir en respect.
Les campagnols aussi sont invités à aller voir là où ils ont le droit, et en tous cas ne prolifèrent pas.
Mais c'est une question de "menage (pas ménage) du jardin et de la culture et de routine : à la longue tout le monde a ses habitudes et çà marche tout seul. Mais il faut quelques années pour mettre cet équilibre/coopération en place.

par n.g » 08 janv. 2006, 18:02

Jeuf a écrit :Après, je sais pas ce qu'en dirait Bourgignon, je sais pas si j'ai mis à l'air libre des microbes qui supporte pas l'air
Les microbes anaérobies sont bien plus bas, pas de souci.
Jeuf a écrit :Je crains aussi avoir travailler pour rien : peut être qu'il suffit juste de pailler, sans retourner l'hebre
En effet ;). En fait le fait de pailler étouffe pas mal d'herbes en même temps que le sol s'ameublit, ce qui fait que les touffes récalcitrantes s'arrachent plus facilement après quelques mois de paillage, ce qui t'économisera du temps et des forces. Par exemple en terrain argileux un paillage d'automne donne une terre assez facilement travaillable pour planter des patates ou faire des buttes à la mi-mars (observation perso), peut-être que sur un terrain naturellement plus meuble (limoneux, sablo-limoneux...) il faut moins de temps. Pour le BRF à ce qu'on dit la meilleure époque d'épandage c'est en plein hiver, pour des plantations de mai (maïs, haricots, cucurbitacées, tomates, etc.).
kouack a écrit :1 il faut le "tue limaces"
Solution efficace et gratuite : le purin de limace.
kouack a écrit :2 le "tue pucerons"
Infusion d'ail, savon noir, infusion d'absinthe ou de tanaisie (perso j'essaierai cette dernière cette année si jamais j'ai des pucerons).
fabinoo a écrit :quelqu'un peut me trouver un nom français meilleur que serpe à long manche ?
Je crois qu'on dit un croissant, du moins si le fer a effectivement une forme de croissant de Lune.
Blériotte a écrit :Faut pas confondre avec les mulots qui bouffent tout.
Beaucoup de gens confondent aussi mulots et campagnols : les mulots sont roux, les campagnols sont un peu comme des rats en miniature. Les premiers ne pullulent jamais (j'en ai au jardin depuis quelques années, ils aiment bien se planquer dans des ourdis et y stocker des glands), les seconds sont paraît-il redoutables.

Re: retour d'expérience

par Blériotte » 07 janv. 2006, 17:28

J'ai réussi à en avoir une avec une fourche , il faut attendre sans faire de
bruit à coté d'une motte fraiche et dès que ça bouge (on peut attendre des
heures) d'un coup vif et précis embrocher la maudite bestiole.


Les taupes c'est sympa, c'est pas génant au jardin et ça bouffe un maximum de parasite sous la terre, en plus la terre des taupinière fait un merveilleux terreau à semis. Faut pas confondre avec les mulots qui bouffent tout. Les taupes c'est juste embêtant pour l'esthétique des pelouses mais au jardin franchement...
Blériotte

Haut