par phyvette » 21 janv. 2022, 15:01
Durant la crise sanitaire les états ont injectés des milliers de milliards de liquidité., dans le même temps la consommation de loisir était contrainte. La consommation de base limitée par la satisfaction des besoins de base.
Une bonne part de cette épargne en trop est parti dans la Bourse et dans l'immobilier qui sont maintenant en bulle.
Mais voilà que l'économie est libérer, les ressources réattribués à des loisirs et des vacances, il reste moins d'argent pour la spéculation.
Ca c'est pour le grand public des petits porteurs.
Pour les gros actionnaires et les Zinzins , il n'est pas impossible que ces gens étant toujours dans l'anticipation soit maintenant convaincus qu'il soit temps de sortir d'un marché boursier bullesque pour se retourner bientôt sur le marché des nouvelles obligations, boostées par la monté des taux d'intérêts ?
Enfin si j'avais quelque millions en trop, c'est ce que je ferais en basculant sur des émissions obligataires corporates de belles signatures.
Durant la crise sanitaire les états ont injectés des milliers de milliards de liquidité., dans le même temps la consommation de loisir était contrainte. La consommation de base limitée par la satisfaction des besoins de base.
Une bonne part de cette épargne en trop est parti dans la Bourse et dans l'immobilier qui sont maintenant en bulle.
Mais voilà que l'économie est libérer, les ressources réattribués à des loisirs et des vacances, il reste moins d'argent pour la spéculation.
Ca c'est pour le grand public des petits porteurs.
Pour les gros actionnaires et les Zinzins , il n'est pas impossible que ces gens étant toujours dans l'anticipation soit maintenant convaincus qu'il soit temps de sortir d'un marché boursier bullesque pour se retourner bientôt sur le marché des nouvelles obligations, boostées par la monté des taux d'intérêts ?
Enfin si j'avais quelque millions en trop, c'est ce que je ferais en basculant sur des émissions obligataires corporates de belles signatures.