Buzz 4.0

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Re: Buzz 4.0

par energy_isere » 26 mars 2024, 08:27

suite de l'histoire WeWork :
Co-fondateur de WeWork, Adam Neumann fait une offre de rachat sur le groupe (presse)

BOURSORAMA AVEC AFP•26/03/2024

L'ancien dirigeant de WeWork, Adam Neumann, a récemment déposé une offre d'achat de 500 millions de dollars sur le groupe de bureaux partagés qu'il avait co-fondé et dont il avait été débarqué il y a cinq ans.


Une offre a été récemment soumise sur le groupe en difficulté par Adam Neumann pour un minimum de 500 millions de dollars, pouvant aller jusqu'à 900 millions de dollars, selon le Wall Street Journal et CNBC lundi qui citent des sources proches du dossier.

Le mois dernier, l'ancien patron controversé de WeWork avait indiqué s'être associé dans ce projet à d'autres investisseurs, notamment Flow Global Holdings et le directeur général de la société d'investissement alternatif (hedge fund) Third Point, Daniel Loeb.

Actuellement en redressement judiciaire, WeWork a déposé le bilan en novembre dernier.

A son apogée, début 2019, la start-up avait été valorisée jusqu'à 47 milliards de dollars et prévoyait de se lancer en Bourse la même année.

Mais les investisseurs se sont rapidement inquiétés du modèle économique de WeWork et de sa croissance effrénée, mais aussi de la fiabilité d'Adam Neumann comme patron.

Personnage charismatique, M. Neumann était connu pour ses décisions abruptes et parfois non motivées, ses lubies et ses excès.

En septembre 2019, le conseil d'administration l'a débarqué, peu après le report de l'introduction en Bourse.

WeWork a ensuite été bousculé par la pandémie de Covid-19, qui a vidé une partie des bureaux et dont il ne s'est jamais vraiment remis.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... c57604d5a2

Re: Buzz 4.0

par energy_isere » 16 mars 2024, 11:15

Cryptomonnaies: 40 à 50 ans de prison requis contre Sam Bankman-Fried

AFP•15/03/2024

Le procureur fédéral de Manhattan réclame 40 à 50 années de prison contre l'ancien magnat des cryptomonnaies Sam Bankman-Fried, reconnu coupable en novembre de fraudes évaluées à huit milliards de dollars, selon des documents vendredi de la justice américaine.

Jugé en novembre dernier par le tribunal pénal fédéral de New York, le fondateur et ancien patron de la plateforme de cryptomonnaie FTX connaîtra sa peine le 28 mars et encoure jusqu'à 110 années de prison.

"Une peine d'emprisonnement de 40 à 50 ans (...) est nécessaire pour illustrer la gravité des crimes de l'accusé, a écrit le procureur de Damian Williams dans son memorandum de plus de 110 pages, rendu public vendredi.

Les avocats de Sam Bankman-Fried ("SBF") avaient réclamé, il y a quelques jours, une peine allégée de six années de prison.

Mais pour le procureur Williams, le jeune financier a "commis l'une des plus grosses fraudes financières de l'histoire américaine, un montage de plusieurs milliards de dollars censé faire de lui le roi des cryptos".

Fondateur et patron de la plateforme d'échanges de cryptomonnaies FTX, "SBF" avait été déclaré coupable des sept chefs d'accusation retenus contre lui pour avoir détourné plusieurs milliards de dollars de dépôts de clients sans leur autorisation.

Un second procès devait initialement débuter lundi dernier et couvrir cinq autres chefs d'accusation, dont l'association de malfaiteurs en vue de corrompre un agent étranger et effectuer des donations à des hommes politiques.

Ils avaient été écartés du premier procès car ne figurant pas dans l'accord passé avec les autorités bahaméennes pour procéder à l'extradition de Sam Bankman-Fried, en décembre 2022.

Mais M. Williams a fini par renoncer, fin décembre, à un second procès.

Le procureur avait alors indiqué que les Bahamas n'avaient toujours pas donné leur feu vert et que les autorités américaines visaient une "résolution rapide" du dossier "SBF".

Sam Bankman-Fried était accusé d'avoir autorisé le versement d'environ 150 millions de dollars de pots-de-vin à des officiels chinois pour débloquer les avoirs de FTX en Chine.

Il lui était aussi reproché d'avoir utilisé l'argent de clients de FTX pour effectuer des donations à des candidats en politique, notamment Joe Biden.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 4a81b88329

Re: Buzz 4.0

par alain2908 » 07 nov. 2023, 13:33

Impressionnant qu'il ait tenu aussi longtemps.
Ce truc était l'archétype d'un attrape gogo.

Re: Buzz 4.0

par energy_isere » 07 nov. 2023, 09:17

Ca y est WeWork placée sous chapitre 11

https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 3e3169db68
WeWork a été valorisé jusqu'à 47 milliards de dollars mais son action ne valait plus que 80 cents lundi soir à la clôture de la Bourse de New York, pour une capitalisation boursière de 44,49 millions de dollars.

Re: Buzz 4.0

par energy_isere » 04 nov. 2023, 15:47

La start-up WeWork, autrefois valorisée 47 milliards de dollars, va déposer le bilan
Autrefois valorisée à 47 milliards de dollars, WeWork, la start-up emblématique des espaces de travail partagés, est acculée de dettes depuis plusieurs années et serait cette fois sur le point de déposer le bilan. Une dégringolade illustrant une fois de plus le défi des start-ups à transformer des fonds colossaux en succès durables.

Mélicia Poitiers 03 novembre 2023

L’argent appelle l’argent ? Quand on regarde l’histoire de WeWork, on pourrait presque commencer à en douter. Autrefois valorisée à 47 milliards de dollars, le spécialiste des bureaux partagés en est à présent au dépôt de bilan. L’information a été rapportée par des personnes au fait de l’affaire et relayée par le Wall Street Journal le 31 octobre 2023.

Sous la protection du Chapitre 11

La situation est due à des impayés et WeWork serait en discussion avec ses créanciers, ces derniers lui octroyant "sept jours supplémentaires pour négocier avec les parties prenantes avant qu’un défaut de paiement ne soit enclenché", explique l’article.

La start-up new-yorkaise envisagerait alors de se placer sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites dès la semaine prochaine. Cette dernière permet de conserver la propriété de tous ses actifs, de s’opposer aux exigences des créanciers, de différer les échéances de paiement et même de faire diminuer le montant de sa dette. En échange, WeWork devra informer de façon détaillée le juge des faillites du déroulement de la situation.

WeWork a fléchit en même temps que le flex office

Avec 762 espaces de travail répartis dans 38 pays et 150 villes (souvent dans les quartiers très prisés) WeWork est très rapidement devenu le leader du flex office, et par la même le chouchou du capital-risque, soutenu par des géants comme Softbank.

La société a réuni plusieurs milliards de dollars d’investissement basés sur un pari : les espaces partagés, qui permettent de faire des économies de temps et d’argent, seront bientôt la norme dans le monde professionnel. Cette expansion effrénée a entraîné des coûts énormes exacerbés par une gestion interne défaillante et couplée à une concurrence de plus en plus rude.

En parallèle, plus les mois ont passé, plus ce qui paraissait être une révolution inéluctable a fini par se tasser, patrons et salariés comprenant finalement l’importance d’un écosystème de travail collectif.

Un bilan financier désastreux

WeWork a alors accumulé des dettes. Et si l’entreprise avait déjà frôlé la faillite en 2019, et congédié au passage 20% de ses salariés, pas sûr qu’elle y échappe cette fois. En 2023, 700 millions de dollars de dette ont été enregistrés sur les six premiers mois et la valorisation en bourse de la société a chuté de 96%.
https://www.usine-digitale.fr/editorial ... n.N2190633

Re: Buzz 4.0

par supert » 03 nov. 2023, 13:41

Merci pour tout ça c'est trés clair.
Mais donc, pour que les prêts accordés à twitter sentent mauvais, il faut 2 choses (fortement liées): d'une part que le cash que génère la boite soit inférieur à ce qui était nécessaire et prévu, et d'autre part que la valeur de la boite (pour peu que ça ressemble à une hypothèque) soit inférieure aux dettes.
Je comprends que la valeur de twitter soit plus compliqué à évaluer que celle de ma maison, mais il n'empêche que dans le texte qui m'a fait réagir, on ne parle pas d'un effondrement à ce point de la valeur (ou de l'appréciation de la valeur) de twitter. C'est le caillou qui m'empêche de comprendre depuis le début.

Mais c'est pas grave, je vais m'arrêter là et je remercie tous ceux qui ont essayé de m'expliquer ce que je ne comprends pas.


Supert qui aimerait savoir jusqu'où aller trop loin

Re: Buzz 4.0

par tita » 02 nov. 2023, 16:42

supert a écrit :
02 nov. 2023, 15:33
Mais si j'ai une créance sur twitter, que celui-ci ne peut pas me rembourser, ne puis-je pas me servir sur la bête ? Je veux dire que twitter cède des actifs jusqu'à ce qu'il puisse me rembourser.

En gros, un prêt est souvent garanti par un capital non ?

Supert qui aime comprendre
On ne garanti pas un prêt par du cash (sinon, on ne demanderait pas vraiment de prêt). Genre, si tu achètes un immeuble (pour simplifier à 1 mio), on va te demander de fournir des fonds propre (genre 20%), donc 200k et la banque va faire un prêt de 800k. Ce qui va intéresser la banque, c'est ta capacité à soutenir la dette de 800k (payer les intérêt et rembourser). Le cash, il sera déjà passé dans la poche du précédent propriétaire (ou de la main-d'oeuvre qui l'a rénové ou construit). Lui-même l'utilisera pour rembourser ses propres prêts (s'il en a), ou devenir plus riche.

Mais si par la suite les locataires fuient (pour une raison x), et la valeur de l'immeuble chute (personne ne voudrait le racheter), et t'arrives plus à payer la banque, ben elle va saisir l'immeuble, le revendre au prix du marché, et faire une perte. Et tes fonds propres sont aussi perdus. Ce qui est important, c'est le flux d'argent que l'immeuble peut générer (donc le montant des locations). Ou la valeur que peut prendre l'immeuble intrinsèquement sur le marché, lié à l'attractivité pour des locataires ou simplement le marché.

Quels actifs possède Twitter? Ce ne sont pas les locaux ou les serveurs qui peuvent valoir $13 milliards. C'est bien le revenu que peut générer la publicité, et donc l'attractivité que le RS peut générer (càd la base d'utilisateurs) qui donne de la valeur à Twitter. La propriété intellectuelle (les logiciels qui font tourner twitter) ne valent pas grand chose, d'autres entreprises arrivent facilement à les reproduire (cf tous les réseaux sociaux).

Je pense qu'il y a une confusion commune dans cette notion de valeur d'une entreprise ou d'un bien. Ce n'est pas une somme d'argent ou des actifs qui seraient facilement convertibles en argent. Parfois, c'est aussi spéculatif. Quand on cite ces valeurs d'entreprises, il peut il y avoir une grosse différence avec ce qu'elles valent réellement.

J'ai donné plusieurs exemples dans ce fil. Certains frauduleux comme WireCard ou Theranos (estimé à $10 milliards un moment donné). Certains exagérément surévalués (Wework).

J'ai toujours l'exemple d'une connaissance qui avait un magasin d'électronique. Son magasin ne valait rien, mais il avait installé le téléréseau dans la région, et avait une base d'abonnés. Lorsqu'il a prit sa retraite, il a revendu les deux séparément. Le magasin a coulé. Mais il s'est fait un bon pactole avec le téléréseau (genre CHF 2 millions). Des gens qui payaient un abonnement mensuel pour internet/TV, ça valait beaucoup.

Re: Buzz 4.0

par supert » 02 nov. 2023, 16:05

Euh, désolé, je vois qu'il y a déja une partie de la réponse à ma question dans ton message ci-dessus. Mais je ne comprends quand même pas tout. Si twitter a été payé 44 milliards et qu'il perd mettons 50% de sa valeur, il reste 22 milliards.
Ce qui fait que je ne comprends pas en quoi les prêts sont risqués.

Sauf si on estime la valeur de twitteur à moins de 11 milliards, mais ce n'est pas ce qui est dis plus haut.

Supert qui va réussir à comprendre

Re: Buzz 4.0

par supert » 02 nov. 2023, 15:33

Merci Tita, je progresse.

Il me reste un petit truc:
Tu dis qu'il faut distinguer la valeur de Twitter de ses capacités à rembourser en cash. Ca, je comprends.

Mais si j'ai une créance sur twitter, que celui-ci ne peut pas me rembourser, ne puis-je pas me servir sur la bête ? Je veux dire que twitter cède des actifs jusqu'à ce qu'il puisse me rembourser.

En gros, un prêt est souvent garanti par un capital non ?

Supert qui aime comprendre

Re: Buzz 4.0

par energy_isere » 02 nov. 2023, 09:23

En France à une plus petite echelle on a Orpea qui était coté 90-120 euro dans les années 2019 - 2021, et qui s'est effondré à moins de 1 euro l'action.

Re: Buzz 4.0

par tita » 02 nov. 2023, 09:08

energy_isere a écrit :
19 mai 2020, 23:53
Les évaluations de WeWork redescendent sur Terre :

Image
Après être finalement entré en bourse en mars 2021 (via SPAC), la valeur de l'entreprise est désormais évaluée à $64 millions. Une faillite par Chapter 11 est désormais sur la table, l'entreprise ne pouvant plus faire face à ses obligations financières.
WeWork, un temps valorisée à près de 50 milliards de dollars, prévoirait de se mettre en faillite

Selon le «Wall Street Journal», l’entreprise de coworking fondée par le charismatique et erratique Adam Neumann va se déclarer en faillite la semaine prochaine
https://www.letemps.ch/economie/wework- ... n-faillite

Re: Buzz 4.0

par tita » 02 nov. 2023, 08:52

supert a écrit :
01 nov. 2023, 13:32
Si quelqu'un veut bien m'expliquer.

En lisant l'article, on pourrait croire que les banques n'ont pas prété de l'argent mais acheté des parts de twitter.
Moi qui suis simple, je me dis que si la valeur de twitteur baisse, la boite peut quand même valoir 13 milliards sur les 44 du début. Et donc les créanciers peuvent être remboursé. Et si la boite ne vaut pas assez, son propriétaire possède deux ou trois autres trucs qui devraient lui permettre de rembourser.

Mais je sais que les financiers sont trés fort pour inventer des trucs tordus. Aussi, j'ai lu tout l'article en attendant qu'on m'explique. Je suis resté sur ma faim.

Kiki m'explique ?


Supert qui préfère le x que twitteur
Alors déjà, ces prêts sont garantis par l'entreprise (Twitter) et pas personnellement par Musk. Donc ces banques ne peuvent rien réclamer à Musk. C'est mal écrit dans l'article, laissant entendre que les banques ont prêté cet argent à Musk directement.

Ensuite, dire que Twitter "vaut" encore 13 milliards ne veut absolument pas dire que Twitter a le cash pour rembourser cette dette.

Pour les banques, ce sont des actifs, comme le dit energy_isere. Si Twitter n'arrive pas à servir cette dette (intérêt + remboursement), ça pourrait finir en faillite, et restructuration de la dette. Ce qui signifierait que les banques obtiendraient une part de la propriété de Twitter en contrepartie d'une réduction de cette dette.

Re: Buzz 4.0

par energy_isere » 01 nov. 2023, 17:37

Un prét effectué est un actif comme un autre. La banque peut le ''revendre'' à une autre entité. Mais si c'est un prêt risqué le nouvel acquéreur en proposera moins.

J'imagine que maintenant la BNP ou Sté Generale devront attendre les remboursements de X, en espérant que X ne fasse pas faillite ou défaut sur la dette au moment des échéances de remboursement.

Re: Buzz 4.0

par supert » 01 nov. 2023, 17:06

Merci Energie mais cela ne répond pas à ma question. On nous dit la même chose. Perte de valeur de la boite donc les prêts perdent de la valeur aussi. Je n'ai toujours pas compris pourquoi.


Supert

Re: Buzz 4.0

par energy_isere » 01 nov. 2023, 14:06

autre formulation :
Deux banques françaises affectées par l’échec d’Elon Musk avec Twitter (X)
Un an après son rachat, le réseau social a perdu la moitié de sa valeur. Une situation qui n'affecte pas seulement le milliardaire américain.

ROCH ARÈNE le 31/10/2023 cnet

Il y a un an, Elon Musk se voyait contraint par la justice de débourser 44 milliards de dollars pour s’offrir le réseau social Twitter. Une somme astronomique que le milliardaire américain espérerait rentabiliser en procédant à des coupes drastiques dans la masse salariale, puis en donnant un second souffle à la plateforme. Après une importante vague de licenciement, la mise en place de changements controversés, voire impopulaires, tels que le système d’abonnements payants pour la certification des comptes, puis l’introduction d’une nouvelle identité visuelle, les résultats ne sont toujours pas au rendez-vous.

Des indicateurs inquiétants

Outre les innombrables polémiques sur le manque de contrôle des contenus diffusés, la plateforme a vu son nombre d’utilisateurs quotidien baisser de 16 % entre octobre 2022 et novembre 2023. Les données de Similarweb ont également révélé une importante baisse de trafic dans la plupart des pays, y compris en France (-13,4 %) et aux États-Unis (-19 %). De plus, les recettes publicitaires, qui constituent la majeure partie des revenus de Twitter, ont chuté de manière vertigineuse, d’environ 45 % selon les données de MediaMatters. L’organisme d’analyse Statista rapporte justement que le coût de la publicité a chuté de 75 % sur les douze derniers mois. Le résultat, c’est une baisse de la valeur de Twitter estimée à 55 % depuis l’arrivée d’Elon Musk.

Elon Musk entraîne du monde dans sa chute

Il faut savoir toutefois que pour financer cette acquisition, l’homme d’affaires a contracté un emprunt de 13 milliards de dollars auprès de diverses banques, parmi lesquelles la BNP Paribas et la Société Générale. Habituellement, ces prêts sont rapidement cédés à des investisseurs, mais dans ce cas, les banques ont rencontré des difficultés pour les vendre. Un an après l’acquisition, elles risquent ainsi de subir des pertes atteignant 15 % de la valeur totale des prêts, selon des informations du Wall Street Journal.
https://www.cnetfrance.fr/news/deux-ban ... 384192.htm

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