Finances françaises & conjoncture

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Re: Finances françaises & conjoncture

par mobar » 27 juin 2025, 19:32

Le montant de la dette qui est consenti a un état est le reflet du montant des remboursements qui sont attendus par les créanciers!
Si on veut que l'état n'ai plus de dettes, en on se demande bien pourquoi on voudrait ça; il suffit de que l'état n'ai plus de ressources, ni de patrimoine, un état très endetté veut dire que l'état est très riche, de dicton "on ne prête qu'aux riches" est encore une fois vérifié!

L'enfumage du montant de la dette, reste de l'enfumage!

Re: Finances françaises & conjoncture

par kercoz » 27 juin 2025, 15:20

Les infos que tu publies démontre ton implication idéologique. Aucun argument contradictoire sur le creusement de la dette qui selon des économistes non asservis ont été pré-médités par des allègements aux copains- patrons qui transfèrent leurs gains dans des lieux moins imposés.

Puisque tu relaies des infos économiques, il serait équitable de donner les arguments contradictoires .

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 27 juin 2025, 13:47

3 345,8 milliards d'euros de dette publique : la France face au défi budgétaire
La dette publique de la France a atteint un nouveau record historique au premier trimestre 2025, avec une augmentation de 40,5 milliards d’euros en seulement trois mois, propulsant le ratio dette/PIB à 114%. L’État et la Sécurité sociale sont les principaux contributeurs de cette flambée, tandis que l’exécutif peine à maîtriser ses comptes publics.

Publié le 26/06/25 latribune.fr

La France s'enfonce toujours plus dans la dette publique : celle-ci a franchi un nouveau seuil historique, atteignant la somme de 3 345,8 milliards d'euros à la fin du premier trimestre 2025. Cette flambée de 40,5 milliards d'euros en seulement trois mois catapulte le ratio dette/PIB à 114 %, marquant une aggravation notable par rapport aux 113,2 % du trimestre précédent. Ces chiffres alarmants, révélés ce jeudi par l'Insee, surviennent alors que l'exécutif se débat pour redresser des comptes publics en perdition, pris entre les turbulences politiques et l'impératif de réduction d'un déficit chronique.

Cette augmentation s'accompagne d'une diminution de 11,4 milliards d'euros de la trésorerie des administrations publiques, ainsi que, dans une moindre mesure, d'autres actifs. En conséquence, la dette nette a progressé de 52,6 milliards d'euros, s'établissant à 106,1 % du PIB. Cette situation met en lumière la complexité de l'équation budgétaire française, qui cherche à concilier des engagements de dépenses importants avec la nécessité de consolider les finances publiques.

La contribution de l'État et de la sécurité sociale en forte hausse

L'État est le principal contributeur à cette augmentation de la dette publique au premier trimestre 2025, sa contribution ayant progressé de 36,7 milliards d'euros. Cette hausse est principalement due à l'augmentation de 42,6 milliards d'euros des titres négociables de long terme émis par l'État, malgré une diminution des titres de court terme (-3,0 milliards d'euros) et des dépôts (-2,9 milliards d'euros). La trésorerie de l'État a également diminué de 5,8 milliards d'euros, ce qui a entraîné une augmentation de la dette nette de l'État plus marquée que sa dette brute (+43,2 milliards d'euros).

Parallèlement, la contribution des administrations de sécurité sociale (Asso) à la dette publique a augmenté de 3,3 milliards d'euros. Cette hausse est imputable à l'Urssaf Caisse nationale (+1,5 milliard d'euros), l'Unedic (+1,5 milliard d'euros) et la Cades (+0,7 milliard d'euros), tandis que la dette de la Cnaf a légèrement diminué (-0,7 milliard d'euros). L'essentiel de cette progression des Asso provient de l'accroissement de leurs titres négociables à court terme (+2,2 milliards d'euros) et à long terme (+1,4 milliard d'euros). La diminution de la trésorerie des Asso, notamment celle de l'Urssaf Caisse Nationale (-7,1 milliards d'euros), a également contribué à l'augmentation de leur dette nette (+8,9 milliards d'euros).

Les collectivités locales, de manière plus modérée
...........................
https://www.latribune.fr/economie/franc ... 28208.html

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 12 juin 2025, 09:05

La croissance française affaiblie en 2025 par la guerre commerciale américaine

Boursorama avec AFP •11/06/2025

La Banque de France a abaissé mercredi pour la deuxième fois cette année sa prévision de croissance pour la France en 2025, à 0,6% contre 0,7% en mars, en raison de la hausse des droits de douane américains dans un climat très incertain.

Ce net ralentissement surviendrait après une hausse de 1,1% du produit intérieur brut (PIB) en 2024. Le gouvernement table, lui, sur 0,7%.

Un redémarrage graduel s'ensuivrait, mais moins marqué qu'anticipé jusqu'ici: la croissance atteindrait 1% en 2026 (-0,2 point) et 1,2% en 2027 (-0,1 point).

"L'économie française croît (...) désormais moins que [celles de] nos voisins européens, même si elle échappe à la récession", a déclaré le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau, dans le journal Les Échos.

Au total, la hausse des droits de douane (-0,1 point) et surtout l'incertitude qu'elle génère pour les consommateurs et les entreprises (-0,3 point) engendreraient pour l'économie française une perte de 0,4 point de PIB sur la période 2025-2027.

"Cette imprévisibilité amplifie le défi français et européen qu’est la croissance molle, depuis trop longtemps", a souligné le gouverneur. Elle affecte aussi "la stabilité financière".
.......................
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 22b742428c

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 06 juin 2025, 12:41

France: le déficit commercial se creuse en avril à 7,4 milliards d'euros

Boursorama avec AFP •06/06/2025

Le déficit commercial de la France sur les biens s'est creusé en avril à 7,4 milliards d'euros, pénalisé notamment par l'énergie, ont annoncé vendredi les douanes.

Les importations se sont stabilisées par rapport au mois précédent, à 57,8 milliards d'euros, tandis que les exportations ont reculé de 100 millions d'euros en atteignant 50,4 milliards d'euros, précisent les douanes.

Concernant l'énergie, la France a importé moins mais exporté encore moins, ce qui a entraîné une dégradation de la balance commerciale énergétique en avril.

Depuis janvier, le déficit commercial de la France s'est dégradé chaque mois, montrent également les statistiques des douanes.

Le déficit commercial sur les biens s'est élevé à 6,1 milliards d'euros en janvier, 6,8 milliards en février et 7,3 milliards d'euros en mars.

Le solde commercial de la France sur douze mois glissants se stabilise après deux mois de baisse, à 80,4 milliards d'euros.

En 2024, le déficit commercial du pays avait totalisé 81 milliards d'euros. La France n'a pas dégagé d'excédent commercial sur les biens depuis 2002.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... a408223ec6

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 29 mai 2025, 11:33

La croissance française au plus bas au premier trimestre, c’est de mauvais augure pour la suite

Aïe Aïe Aïe Avec une hausse du PIB de 0,1 %, la croissance française a été faible au premier trimestre, a confirmé mercredi l’Insee

20 Minutes avec AFP Publié le 28/05/2025

Ce n’est pas une récession, mais presque. La croissance française a été faible au premier trimestre, a confirmé mercredi l’Insee, avec une hausse du PIB de 0,1 %, après un recul équivalent au dernier trimestre 2024. Ce début 2025, qui pèse arithmétiquement plus fortement que la suite, laisse entrevoir une croissance sans éclat cette année. Le gouvernement mise encore sur 0,7 %, mais la Commission européenne a revu sa propre prévision à 0,6 %.

C’est un nouveau caillou dans la chaussure du gouvernement, qui va s’attaquer à la confection du budget 2026 dans les prochains jours, avec 40 milliards d’euros d’efforts à faire, répartis entre l’État, la Sécurité sociale et les collectivités locales, et des partis politiques à contenter pour éviter une nouvelle censure.

La Commission européenne prévoit désormais que la France sera au dernier rang de la zone euro avec un déficit public de respectivement 5,6 % et 5,7 % du PIB en 2025 et 2026, alors que le gouvernement espère encore réaliser 5,4 % et 4,6 %, et revenir sous 3 % en 2029.

La composition de la croissance du premier trimestre est inquiétante. Elle est en effet marquée par un repli de 0,2 % de la consommation des ménages, après + 0,1 % au trimestre précédent, notamment en raison de la chute des achats d’automobiles.

L’investissement total reste tristement stable, comme au quatrième trimestre 2024. Ainsi, la demande intérieure hors stocks contribue négativement à la croissance du PIB ce trimestre (-0,1 point). De même pour le commerce extérieur (-0,8 point), marqué par un recul de 1,8 % des exportations, notamment celles de matériels de transport, et une nouvelle augmentation des importations (+ 0,5 %) soutenues par les importations d’énergie.

« Dans une phase proche de la stagnation »

Ce sont donc les stocks qui tirent la croissance avec une contribution positive d’un point, constate l’Institut national de la statistique. Les stocks représentent les biens produits mais pas encore vendus à la fin d’une période donnée. Une hausse des stocks peut signifier qu’on fabrique en prévision d’un boum de la demande. Mais plutôt, ici, que les produits fabriqués n’ont pas trouvé preneur.

Charlotte de Montpellier, économiste chez ING, souligne le risque qu’il faille à présent « arrêter de produire pour évacuer ces stocks », et « n’exclut pas un prochain trimestre de croissance négative ».

Pour elle, on est ainsi « dans une phase proche de la stagnation, et qui va durer », et au total « une année 2025 beaucoup plus difficile que 2024 ». Elle anticipe une croissance de 0,4 %.

On pourrait avoir « un vent d’optimisme » avec de bonnes nouvelles du côté de l’Ukraine ou de la guerre des droits de douane avec les États-Unis, concède-t-elle, mais pour l’instant « on est un peu à court de moteur ». Parallèlement, les économistes de BNP Paribas Stéphane Colliac et Guillaume Derrien constatent que « la demande se raffermit petit à petit » en zone euro. Une amélioration qui vient « principalement d’Allemagne », où la croissance du premier trimestre a été révisée à la hausse pour sa part, à 0,4 %.

Les Français prudents

Pourtant, le pouvoir d’achat des ménages augmente. En pouvoir d’achat du revenu disponible brut (RDB) des ménages par unité de consommation, il a augmenté de 0,1 % au premier trimestre et le RDB de 0,8 %. Cela aurait pu se traduire par un regain de consommation, d’autant que le taux d’épargne était très élevé, et que l’inflation a vertigineusement chuté : elle est inférieure à 1 % sur un an depuis le mois de février - après avoir atteint jusqu’à 6,3 % début 2023.

Au contraire, le taux d’épargne est encore remonté, à 18,8 % du revenu disponible au premier trimestre, après 18,5 % au trimestre précédent. « La prudence » règne chez les Français, observe Charlotte de Montpellier.
https://www.20minutes.fr/economie/41558 ... gure-suite

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 01 mai 2025, 01:31

France: L'inflation stable à 0,8% sur un an en avril, selon l'Insee

Reuters •30/04/2025

L'inflation en France est restée stable sur un an en avril à 0,8%, alors que la baisse des prix de l’énergie aurait été en partie compensée par la remontée des prix de l’alimentation, selon les données préliminaires publiées mercredi par l'Insee.

Les analystes interrogés par Reuters tablaient sur un ralentissement de l'indice des prix à la consommation (IPC)à 0,6% après +0,8% le mois précédent.

Sur un mois, les prix à la consommation augmenteraient de 0,5% après une hausse de 0,2% en mars, et alors que les analystes attendaient +0,4%.

"Cette nouvelle hausse des prix s’expliquerait par l’augmentation des prix des services, notamment ceux des transports, et de l’alimentation", indique l'Insee dans un communiqué.

L'indice des prix à la consommation harmonisé selon les normes européennes (IPCH), qui permet les comparaisons avec les autres pays de la zone euro, aurait ralenti moins que prévu sur un an par rapport à mars, à 0,8%, contre une estimation à 0,7% et après une hausse de 0,9% le mois précédent.

Sur un mois, l'indice IPCH aurait accéléré à 0,6% après une hausse de 0,2% en mars et +0,4% attendu par le consensus.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 61d1d99278

Re: Finances françaises & conjoncture

par mobar » 27 avr. 2025, 21:07

D'ou vient la Dette de la France?
Pour y voir plus clair que ce que martèlent les médias des milliardaires! :-"
https://youtu.be/wqVULLqDauQ

Couper des têtes va finir par s'imposer! :lol:

Re: Finances françaises & conjoncture

par mobar » 24 avr. 2025, 07:48

40 milliards pour fabriquer des armes qui ne serviront a rien si ce n’est a detruire de vies
... quand dans le meme temps on est infoutus d’investir quelques centaines de millions pour l’hopital, l’ecole et les services publicS

Ce gouvernement est a gerber :)

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 23 avr. 2025, 23:33

phyvette a écrit :
23 avr. 2025, 23:30
Cette mesure ne s'appliquera que dans un an.
Dans un an Energie tu seras en première ligne. :-D
oui dans un an et demi je monte en première ligne, je fais un peu de rab ........ :-o

Re: Finances françaises & conjoncture

par phyvette » 23 avr. 2025, 23:30

Cette mesure ne s'appliquera que dans un an.
Dans un an Energie tu seras en première ligne. :-D

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 23 avr. 2025, 22:57

Le gouvernement va-t-il oser supprimer l’abattement fiscal des retraités ?

Ecorama •23/04/2025

L’abattement fiscal de 10% dont bénéficient les retraités est dans le collimateur du gouvernement, qui cherche 40 milliards d'euros d'économies pour 2026. Une proposition qui a fait polémique, à juste titre ? Les explications de Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos. Ecorama du 23 avril 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com
vidéo 12 mn : https://www.boursorama.com/patrimoine/a ... f035bcfe25

Kercoz, Phyvette et Mobar en première ligne.

Re: Finances françaises & conjoncture

par mobar » 17 avr. 2025, 15:36

Les 500 familles les plus riches de France on multiplié par 6 leur patrimoine depuis que Macron est aux manettes et par 9.3 en 20 ans, elles possèdent aujourd'hui plus de 1200 milliards, une ponction de 50 milliards par an pendant 10 ans, c'est un peu moins du quart de ce qu'elle ont engrangé suite aux exonérations macroniques

Si Bayrou cherche vraiment du pognon, on peut lui dire ou aller le chercher! :-"
https://www.inegalites.fr/La-croissance ... s-fortunes

https://www.instagram.com/yannickjadot/ ... mYb8XJbJE/
En 10 ans, les 500 plus grandes fortunes de notre pays sont passées de 200 milliards de patrimoine à 1200 milliards.

Les plus grandes fortunes payent environ 2 % d'impôts ou moins alors les mettre à contribution, c'est quand même un peu de justice ! Nos hôpitaux, nos écoles, nos tribunaux, nos services publics, dont tout le monde bénéficie, en ont tant besoin.

Ayons la décence de dire que même les milliardaires peuvent contribuer à la réconciliation nationale.

Re: Finances françaises & conjoncture

par kercoz » 15 avr. 2025, 22:49

En ce moment présent il paraitrait que le français ne bosse pas assez pour reboucher un trou ...trou creusé il n'y a guère ...mais par qui? :
https://www.mediapart.fr/journal/econom ... -tres-cher

Rapport tout frais :
//////////Corédacteur du rapport – rendu public le 15 avril – de la commission d’enquête parlementaire sur le dérapage des comptes publics en 2023 et en 2024, le député macroniste du Val-de-Marne Mathieu Lefèvre s’est donné tout le mal qu’il pouvait pour exempter de toute responsabilité les principaux membres de l’exécutif aux affaires à l’époque : les première et premier ministres Élisabeth Borne et Gabriel Attal, et l’ex-ministre de l’économie et des finances Bruno Le Maire.

Ce qui leur est reproché est pourtant lourd : avoir laissé se creuser un trou béant d’un total de près de 70 milliards d’euros dans les comptes publics, principalement à cause d’un manque de recettes fiscales par rapport à ce qui était prévu dans les lois de finances de 2023 et 2024. Et ce alors qu’ils étaient parfaitement informés de la situation à partir de l’automne 2023 par les services de Bercy.

À titre de comparaison, les montants qui se sont évaporés en seulement quelques mois sont équivalents à ce que le gouvernement Borne comptait économiser grâce à la réforme des retraites reculant l’âge de départ à 64 ans entre 2023 et… 2030 !
Illustration 1
Gabriel Attal et Bruno Le Maire, Élisabeth Borne et Emmanuel Macron lors du Conseil national de la refondation à l’Élysée le 8 septembre 2023. © Photo Stéphane Lemouton / pool / REA

Un tel dérapage a des conséquences concrètes puisqu’il a amené les gouvernements suivants de Michel Barnier et de François Bayrou à élaborer des budgets particulièrement austéritaires, avec des efforts successifs demandés de 50 milliards d’euros dans le budget 2025 voté en février dernier, et de 40 milliards d’euros en 2026, comme annoncé mardi 15 avril par l’actuel premier ministre.

Certes, le corapporteur macroniste de la commission d’enquête ne conteste pas qu’un trou budgétaire s’est creusé en 2023 et en 2024 puisqu’il a admis notamment « une erreur d’évaluation des recettes fiscales qui est majeure, de l’ordre de 60 milliards d’euros : 20 milliards d’euros en 2023 et 40 milliards d’euros en 2024 ».

Dans le détail, selon une note de la Direction générale du Trésor, les recettes provenant de l’impôt sur les sociétés ont notamment été surévaluées de 19 milliards d’euros en cumulé dans les lois de finances 2023 et 2024, la TVA de 15 milliards d’euros, les cotisations sociales de plus de 10 milliards, l’impôt sur le revenu de 8 milliards, et les droits de mutation qui s’appliquent aux transactions immobilières de 5 milliards d’euros................./////////////

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 15 avr. 2025, 09:21

suite de 4 post au dessus.
France: l'inflation à 0,8% sur un an en mars, confirme l'Insee
Boursorama avec AFP •15/04/2025
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... dc07731b47

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