par kercoz » il y a 29 minutes
Et la flotte fantôme française ?
https://multinationales.org/fr/a-chaud/ ... al-sur-les
Les armateurs français friands du offshore
Si le Panama est tristement célèbre pour ces pratiques, l’ITF a aussi établi en 2013 une liste d’une trentaine d’autres pavillons de complaisance, comme le Liberia, les Bahamas, les îles Marshall, Malte... mais aussi la France, à travers un système d’immatriculation particulier : le Registre international français. La France est donc épinglée par les syndicats, mais défendue par les gouvernements successifs qui déplorent, eux, ce classement.
En passant par ces pavillons « bis », des compagnies françaises bénéficient, sur la mer, de conditions particulièrement rentables... A l’instar des prestigieuses croisières du Ponant, qui se targuent sur leur site d’une « french touch » de luxe, d’un équipage français... Et dont l’un de ses navires en Méditerranée accueillera la « croisière de la rédaction » du Figaro en septembre 2017, avec des intervenants comme Ivan Rioufol, Agnès Verdier-Molinié ou Yves Thréard. Cette compagnie confie le recrutement des gens de mer à une agence de manning – l’équivalent d’une société d’intérim – UMS, basée à Wallis et Futuna, deux poussières d’empire perdues dans le Pacifique (15 000 habitants) qui disposent de leur propre pavillon fondé dans les années 70.
« Le niveau zéro de la législation sociale »
Et la flotte fantôme française ?
https://multinationales.org/fr/a-chaud/actualites/pavillons-de-complaisance-comment-la-france-contribue-au-dumping-social-sur-les
Les armateurs français friands du offshore
Si le Panama est tristement célèbre pour ces pratiques, l’ITF a aussi établi en 2013 une liste d’une trentaine d’autres pavillons de complaisance, comme le Liberia, les Bahamas, les îles Marshall, Malte... mais aussi la France, à travers un système d’immatriculation particulier : le Registre international français. La France est donc épinglée par les syndicats, mais défendue par les gouvernements successifs qui déplorent, eux, ce classement.
En passant par ces pavillons « bis », des compagnies françaises bénéficient, sur la mer, de conditions particulièrement rentables... A l’instar des prestigieuses croisières du Ponant, qui se targuent sur leur site d’une « french touch » de luxe, d’un équipage français... Et dont l’un de ses navires en Méditerranée accueillera la « croisière de la rédaction » du Figaro en septembre 2017, avec des intervenants comme Ivan Rioufol, Agnès Verdier-Molinié ou Yves Thréard. Cette compagnie confie le recrutement des gens de mer à une agence de manning – l’équivalent d’une société d’intérim – UMS, basée à Wallis et Futuna, deux poussières d’empire perdues dans le Pacifique (15 000 habitants) qui disposent de leur propre pavillon fondé dans les années 70.
« Le niveau zéro de la législation sociale »