par kercoz » Aujourd’hui, 22:16
Prix décerné à la justice et à l' IGPN:
https://www.mediapart.fr/journal/france ... -d-une-ong
//////////Police
Depuis dix ans, « l’impunité policière s’accroît », selon l’étude d’une ONG
Flagrant déni publie mardi 18 novembre une étude critique sur la « police des polices » à la française (IGPN, IGGN, « cellules déontologie »). L’ONG conclut à une augmentation de la « délinquance policière » et à une dégradation de son traitement judiciaire. //////////
----------------L’immense majorité des affaires impliquant des policiers (environ 90 %, selon l’IGPN elle-même) sont traitées par des services locaux dont l’activité ne fait l’objet d’aucune communication officielle ni d’aucune publication statistique.
Ces « cellules déontologie » portent « des noms très peu standardisés, qui fluctuent selon les départements et les époques », indique Flagrant déni, qui a recensé « une trentaine de variations autour des termes “discipline”, “déontologie”, “soutien aux effectifs”, “audit”, etc. ». Selon les départements, leurs effectifs semblent très variables.
« À Lille, la cellule compte six fonctionnaires et traite un contentieux d’environ 150 dossiers judiciaires par an. À Lyon, elle comptait cinq fonctionnaires en 2017 et traitait 70 enquêtes judiciaires. Désormais, elle compte seulement trois fonctionnaires, et une seule enquêtrice affirme traiter 40 à 45 dossiers annuels. À Clermont-Ferrand, le fonctionnaire en charge de la déontologie s’occupe également de la communication de la police locale. L’effectif total de ces cellules au niveau national demeure inconnu. ».........................
Prix décerné à la justice et à l' IGPN:
https://www.mediapart.fr/journal/france/181125/depuis-dix-ans-l-impunite-policiere-s-accroit-selon-l-etude-d-une-ong
//////////Police
Depuis dix ans, « l’impunité policière s’accroît », selon l’étude d’une ONG
Flagrant déni publie mardi 18 novembre une étude critique sur la « police des polices » à la française (IGPN, IGGN, « cellules déontologie »). L’ONG conclut à une augmentation de la « délinquance policière » et à une dégradation de son traitement judiciaire. //////////
----------------L’immense majorité des affaires impliquant des policiers (environ 90 %, selon l’IGPN elle-même) sont traitées par des services locaux dont l’activité ne fait l’objet d’aucune communication officielle ni d’aucune publication statistique.
Ces « cellules déontologie » portent « des noms très peu standardisés, qui fluctuent selon les départements et les époques », indique Flagrant déni, qui a recensé « une trentaine de variations autour des termes “discipline”, “déontologie”, “soutien aux effectifs”, “audit”, etc. ». Selon les départements, leurs effectifs semblent très variables.
« À Lille, la cellule compte six fonctionnaires et traite un contentieux d’environ 150 dossiers judiciaires par an. À Lyon, elle comptait cinq fonctionnaires en 2017 et traitait 70 enquêtes judiciaires. Désormais, elle compte seulement trois fonctionnaires, et une seule enquêtrice affirme traiter 40 à 45 dossiers annuels. À Clermont-Ferrand, le fonctionnaire en charge de la déontologie s’occupe également de la communication de la police locale. L’effectif total de ces cellules au niveau national demeure inconnu. ».........................