par Pura Vida » 16 oct. 2006, 18:27
Je suis à peu près d'accord avec l'essentiel des réflexion des intervenants sur ce fil en date d'aujourd'hui. Simplement, je pense être un minimum lucide, mais je ne projette rien par rapport à ce que je sais. Ceci dit, je persiste à croire que le progrès, par définition, progressera toujours. Et encore plus sous la pression des événements. Un exemple historique connu: l'aviation, entre 1940 et 1945, a fait un bond extraordinnaire dû à la guerre généralisée. Maintenant pourquoi le progrès serait-il exclu du champ énergétique? Le vrai progrès est celui qui allège les corvées des hommes et qui DEVRA respecter AU MIEUX l'environnement et l'échosystème ces deux derniers sont aussi une partie de nous-mêmes et nous en vivons. Car, justement le "dit" progrès montre ses limites depuis maintenant des années et nous restons dans le raisonnement mercantil qui scie la branche sur laquelle il est assi. Je suis tout à fait d'accord que nombre de pays dits: du "Tiers-monde" (expression qui a presque disparue) pourront, un jour se trouver en "meilleurs situation" (voir par exemple Cuba) que nous, et plus encore, que les nord-Américains, vu que ces pays moyens et pauvres n'auront pas complètement viré comme nous dans l'individualisme quasi total, bousillé tout le savoir faire encestral, savoir faire qui pourra un jour, si nous en sommes capables, réintégrer le vrai progrès d'où nous n'aurions jamais dû l'en chasser.
Gilles 38 a écrit:
----A part ça, le problème du pétrole est très différent de celui de l'électricité, pour qui de toutes façons on peut toujours recourir au charbon eventuellement avec sequestration (c'est cher mais sans commune mesure avec un réacteur à fusion ! ). Dans les pays industrialisés, le pétrole ne sert pratiquement plus à la production électrique, et ce n'est surement pas dans le Tiers Monde que vous allez remplacer les groupes électrogènes au fuel par des Z machines !!----
Je suis entièrement d'accord, mais cela empêche-t-il d'accélérer la recherche nucléaire et electro-magnétique.
----donc oubliez la Z-machine pendant 50 ans , il y a des questions bien plus urgentes !----
Je viens d'interroger Jean-Marc Jancovici au sujet de la Z-Machine, il m'a répondu qu'il voit les délais de réponse trop longs. Dont act.
Si nous n'avions pas le système financier que nous avons (et qui est un vrai coupe-jarret!!), ce ne serait pas 50 ans durant lesquels il faudrait ne pas pousser telle recherche, mais plutôt seulement 20 ans (sinon moins). 20/50, c'est à peu près la proportion de frein et de gabgie, même de vol que représente notre système financier inique et prédateur. Les finances de font même pas pousser un seul épis de blé, ce sont les producteur qui créent quelques chose. La science et la technologie bondiraient si l'on avait des finances normales. Pourquoi croyez vous donc que, tout d'un coup, pour la guerre il y a tout l'argent désiré dans ce but de guerre? (voyez l'exemple banal du développement de l'aviation pendant "la guerre"...). Si le progrès technique est réalisable dans des délais "imposé par les circonstances", c'est bien qu'on "se donne" les moyen d'y arriver. Pourquoi du progrès ne pourrait-il pas être réalisé dans le domaine énergétique dans des délais comparables à ceux d'une guerre? Autrement on risque de faire des raisonements fallacieux... Sans "urgence" de guerre, on est bien arrivé, ainsi que me l'a dit un ingénieur de Citroën, a diminuer en 50 ans: 50% la consommation d'un moteur à essence de 1300 cm3. Il y a 50 ans un 1300 cm3 consommait 10 litres d'essence aux cent, aujourd'hui un 1300 cm3 en consomme 5 litres aux cent. Ceci est sans doute une "bagatelle" technique à côté des hautes énergies. Alors?
Je suis à peu près d'accord avec l'essentiel des réflexion des intervenants sur ce fil en date d'aujourd'hui. Simplement, je pense être un minimum lucide, mais je ne projette rien par rapport à ce que je sais. Ceci dit, je persiste à croire que le progrès, par définition, progressera toujours. Et encore plus sous la pression des événements. Un exemple historique connu: l'aviation, entre 1940 et 1945, a fait un bond extraordinnaire dû à la guerre généralisée. Maintenant pourquoi le progrès serait-il exclu du champ énergétique? Le vrai progrès est celui qui allège les corvées des hommes et qui DEVRA respecter AU MIEUX l'environnement et l'échosystème ces deux derniers sont aussi une partie de nous-mêmes et nous en vivons. Car, justement le "dit" progrès montre ses limites depuis maintenant des années et nous restons dans le raisonnement mercantil qui scie la branche sur laquelle il est assi. Je suis tout à fait d'accord que nombre de pays dits: du "Tiers-monde" (expression qui a presque disparue) pourront, un jour se trouver en "meilleurs situation" (voir par exemple Cuba) que nous, et plus encore, que les nord-Américains, vu que ces pays moyens et pauvres n'auront pas complètement viré comme nous dans l'individualisme quasi total, bousillé tout le savoir faire encestral, savoir faire qui pourra un jour, si nous en sommes capables, réintégrer le vrai progrès d'où nous n'aurions jamais dû l'en chasser.
Gilles 38 a écrit:
----A part ça, le problème du pétrole est très différent de celui de l'électricité, pour qui de toutes façons on peut toujours recourir au charbon eventuellement avec sequestration (c'est cher mais sans commune mesure avec un réacteur à fusion ! ). Dans les pays industrialisés, le pétrole ne sert pratiquement plus à la production électrique, et ce n'est surement pas dans le Tiers Monde que vous allez remplacer les groupes électrogènes au fuel par des Z machines !!----
Je suis entièrement d'accord, mais cela empêche-t-il d'accélérer la recherche nucléaire et electro-magnétique.
----donc oubliez la Z-machine pendant 50 ans , il y a des questions bien plus urgentes !----
Je viens d'interroger Jean-Marc Jancovici au sujet de la Z-Machine, il m'a répondu qu'il voit les délais de réponse trop longs. Dont act.
Si nous n'avions pas le système financier que nous avons (et qui est un vrai coupe-jarret!!), ce ne serait pas 50 ans durant lesquels il faudrait ne pas pousser telle recherche, mais plutôt seulement 20 ans (sinon moins). 20/50, c'est à peu près la proportion de frein et de gabgie, même de vol que représente notre système financier inique et prédateur. Les finances de font même pas pousser un seul épis de blé, ce sont les producteur qui créent quelques chose. La science et la technologie bondiraient si l'on avait des finances normales. Pourquoi croyez vous donc que, tout d'un coup, pour la guerre il y a tout l'argent désiré dans ce but de guerre? (voyez l'exemple banal du développement de l'aviation pendant "la guerre"...). Si le progrès technique est réalisable dans des délais "imposé par les circonstances", c'est bien qu'on "se donne" les moyen d'y arriver. Pourquoi du progrès ne pourrait-il pas être réalisé dans le domaine énergétique dans des délais comparables à ceux d'une guerre? Autrement on risque de faire des raisonements fallacieux... Sans "urgence" de guerre, on est bien arrivé, ainsi que me l'a dit un ingénieur de Citroën, a diminuer en 50 ans: 50% la consommation d'un moteur à essence de 1300 cm3. Il y a 50 ans un 1300 cm3 consommait 10 litres d'essence aux cent, aujourd'hui un 1300 cm3 en consomme 5 litres aux cent. Ceci est sans doute une "bagatelle" technique à côté des hautes énergies. Alors?