oleocene.org

Par ailleurs, je vous annonce (c'est un scoop !) qu'un haut fonctionnaire du ministère de l'intérieur m'a indiqué la chose suivante:
En l'absence de consensus sur la période du pic pétrolier, le délai est estimé à 30 ans et aucune préparation ni gestion de crise n'est envisagée à ce jour.

Alter Egaux a écrit : - Un haut fonctionnaire du ministère de l'intérieur a indiqué la chose suivante : "En l'absence de consensus sur la période du pic pétrolier, le délai est estimé à 30 ans et aucune préparation ni gestion de crise n'est envisagée à ce jour."

• - annonce des blocages : la réaction immédiate des français consiste à faire des réserves.
  - solutions alternatives : diminuer le besoin, prévoir des alternatives et mettre en place un stock individuel.
  - si pénurie durable : diminué au maximum ses besoins, réorganisation progressive du mode de vie, achats de proximité, utilisation du vélo, télétravail, transports en commun, échange de compétences avec les voisins ...
  - "autisme" : le gouvernement a nié jusqu’au bout les difficultés générées par la pénurie.
  - une crise d'approvisionnement serait susceptible de provoquer un mouvement de panique non maîtrisable.
  - Il ne faut pas attendre du gouvernement qu’il informe les citoyens.
  - Un haut fonctionnaire du ministère de l'intérieur a indiqué la chose suivante : "En l'absence de consensus sur la période du pic pétrolier, le délai est estimé à 30 ans et aucune préparation ni gestion de crise n'est envisagée à ce jour."
  - Un système économique très vulnérable.
  - Les transporteurs routiers ont vu leurs réserves se vider en quelques jours à peine.
  - La grande distribution mise à mal (la nourriture : système de logistique en flux tendus implique une quasi absence de stocks).

Par ailleurs, je vous annonce (c'est un scoop !) qu'un haut fonctionnaire du ministère de l'intérieur m'a indiqué la chose suivante:

En l'absence de consensus sur la période du pic pétrolier, le délai est estimé à 30 ans et aucune préparation ni gestion de crise n'est envisagée à ce jour.

Fos : Le dernier des pétroliers bloqués par la grève est à quai

metetmarine 2 Nov 2010

Vendredi, le dernier des 78 navires bloqués par le mouvement de grève sur Fos et Lavéra s'est amarré afin d'être déchargé. Il aura donc fallu trois semaines pour traiter l'ensemble des tankers contraints à l'attente du fait de la paralysie des terminaux pétroliers de Fos et Lavéra. Le conflit, portant sur la création par le port de Marseille-Fos d'une filiale dédiée aux activités pétrolières, aura duré 33 jours. Le travail avait repris le 29 octobre, les premiers navires bloqués rejoignant les quais le soir même.


Le terminal pétrolier de Lavéra
crédits : PORT DE MARSEILLE FOS

Jaguar75 a écrit : Un seul exemple mais il donne à réfléchir: quand Mitterrand (ben oui, encore lui, on a les grands hommes qu'on peut...) a aboli la peine de mort en 1981, deux tiers (2/3, oui) des Français étaient contre. Est-ce que pour autant il ne fallait pas le faire? S'il avait gouverné le nez sur les sondages comme nos dirigeants actuels, jamais il ne l'aurait fait...

Les grèves ont coûté 230 millions d'euros à l'industrie française du raffinage :

Les mouvements sociaux d'octobre ont coûté 230 millions d'euros à l'industrie française du raffinage, a annoncé jeudi l'Union française des industries pétrolières (patronat).

"Le coût des mouvements sociaux d'octobre 2010 s'élève à 230 millions d'euros pour le raffinage français", écrit l'organisation.

Au plus fort des blocages des dépôts, des raffineries, des terminaux de brut et de l'arrêt du port de Marseille, l'Ufip avait estimé à plusieurs centaines de millions le coût global de la crise pour l'ensemble du secteur. Son estimation de jeudi ne porte que sur le seul secteur du raffinage.

L'organisation, qui entend tirer "toutes les leçons" de cette crise, estime que ce coût "ne pourra pas être récupéré".

jml34 a écrit :@energy : C'est une chose de garantir les dépôts des clients ou de renflouer les banques, c'en est une autre de le faire avec aussi peu de contre-parties. (Je parle de la France) Tu ne crois pas qu'un référendum sur la question aurait amené à poser des conditions beaucoup plus avantageuses pour l'Etat ?
.........

energy_isere a écrit :

Alter Egaux a écrit :Un dossier d'arrêt sur image sur les casseurs ... flics

ca n' est pas le cas.

Dans Libération : http://www.liberation.fr/societe/010122 ... -s-eclaire

La vidéo du casseur suspect s'éclaire
La police aurait interpellé l'homme dont le comportement, filmé durant une manifestation, a alimenté les soupçons sur le rôle des policiers. Il s'agirait bien d'un «vrai» casseur.

La police a interpellé ce jeudi un homme «proche des milieux anarchistes», dont des images diffusées sur internet avaient fait naître des soupçons sur la présence de policiers provocateurs dans les manifestations.

Interpellé jeudi dans la matinée dans un squat du XXe arrondissement parisien par la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), il a été placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire à Paris.

Sur la vidéo visible depuis dimanche sur internet, difficilement interprétable, on peut voir un individu cagoulé, armé d’un bâton, donner un coup de pied dans le dos d’une personne qui tente d’empêcher un casseur de briser une vitrine. L’individu interpellé serait celui qui donne le coup de pied, selon la même source.
Cette vidéo avait fait naître des accusations contre les policiers, soupçonnés de provoquer à dessein des incidents
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Jaguar75 a écrit :

zigzag a écrit :Une chronique sur la question de la pénurie et de la question d'un changement de mode de déplacement :
La pénurie comme opportunité de changement

Mouais... sauf que ces cyclistes d'un jour ou d'une semaine, pour les plus courageux, se sont dépéchés une fois le carburant revenu dans les pompes de retrouver le confort, la commodité et la sécurité de leur mode de transport habituel et favori. En étant soulagés de ne plus devoir vivre "ça".

zigzag a écrit :Une chronique sur la question de la pénurie et de la question d'un changement de mode de déplacement :

La pénurie comme opportunité de changement