par kercoz » 13 déc. 2023, 09:37
GillesH38 a écrit : ↑13 déc. 2023, 07:06
ce que ça dit kercoz, c'est qu'une cendre de charbon ou un engrais phosphaté, c' est aussi une particule radioactive qui peut etre concentrée par la chaine alimentaire.
Pour l'instant ça reste "en étude" ou, comme dit Bourdieu, ..on préfère différer les résultats:
Wiki:
""""""""""On parle de « Radioactivité naturelle renforcée » (NORM/TENORM) pour désigner les « Matières premières naturellement riches en radionucléides exploitées pour leurs propriétés non radioactives (naturally occuring radioactive material). Les procédés industriels mis en œuvre peuvent contribuer à augmenter l’activité massique ou volumique des radioéléments jusqu’à atteindre des niveaux qui nécessitent la mise en place de précautions spéciales (Technologically enhanced naturally occuring radioactive material). À titre d’exemple, il s’agit de la production d’engrais phosphatés, de la combustion de charbon en centrale thermique, les établissements thermaux… »2.
Ce sont des enjeux de santé publique et de santé environnementale, et plus largement environnementaux, mais aussi d'information et d'implication des parties prenantes, qui s'évaluent via des diagnostics et évaluations environnementales, quantitatives (des expositions radiologiques et à la toxicité chimique des radionucléides).
Ils concernent à la fois l'évaluation des risques (immédiats et différés, dans l'espace et le temps), ce qui implique de considérer la toxicité chimique et la décroissance radioactive au regard d'éventuels phénomènes de bioconcentration, bioturbation et au regard des voies de transferts existantes ou potentielles dans le futur, dont accidentelles. « L’identification des voies de transfert actives participe à la définition du périmètre sur lequel la démarche de gestion doit être conduite. Il peut être largement supérieur aux limites foncières du lieu sur lequel a été mise en œuvre l’activité à l’origine de la pollution. Il pourra s’affiner dans le temps en fonction des connaissances acquises » rappelle l'IRSN dans son guide2. """"""""""
Pour ceux qui pourraient le retrouver, je conseille le livre d' André Voisin "sol Herbe Cancer" . Sous ce titre débile, se cache un travail épistémologique remarquable possible à l'époque ou tout le monde mangeait local. Année 50, il est considéré comme un précurseur dans plusieurs domaines.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A ... (agronome)
[quote=GillesH38 post_id=2381595 time=1702447612 user_id=261]
ce que ça dit kercoz, c'est qu'une cendre de charbon ou un engrais phosphaté, c' est aussi une particule radioactive qui peut etre concentrée par la chaine alimentaire.
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Pour l'instant ça reste "en étude" ou, comme dit Bourdieu, ..on préfère différer les résultats:
Wiki:
""""""""""On parle de « Radioactivité naturelle renforcée » (NORM/TENORM) pour désigner les « Matières premières naturellement riches en radionucléides exploitées pour leurs propriétés non radioactives (naturally occuring radioactive material). Les procédés industriels mis en œuvre peuvent contribuer à augmenter l’activité massique ou volumique des radioéléments jusqu’à atteindre des niveaux qui nécessitent la mise en place de précautions spéciales (Technologically enhanced naturally occuring radioactive material). À titre d’exemple, il s’agit de la production d’engrais phosphatés, de la combustion de charbon en centrale thermique, les établissements thermaux… »2.
Ce sont des enjeux de santé publique et de santé environnementale, et plus largement environnementaux, mais aussi d'information et d'implication des parties prenantes, qui s'évaluent via des diagnostics et évaluations environnementales, quantitatives (des expositions radiologiques et à la toxicité chimique des radionucléides).
Ils concernent à la fois l'évaluation des risques (immédiats et différés, dans l'espace et le temps), ce qui implique de considérer la toxicité chimique et la décroissance radioactive au regard d'éventuels phénomènes de bioconcentration, bioturbation et au regard des voies de transferts existantes ou potentielles dans le futur, dont accidentelles. « L’identification des voies de transfert actives participe à la définition du périmètre sur lequel la démarche de gestion doit être conduite. Il peut être largement supérieur aux limites foncières du lieu sur lequel a été mise en œuvre l’activité à l’origine de la pollution. Il pourra s’affiner dans le temps en fonction des connaissances acquises » rappelle l'IRSN dans son guide2. """"""""""
Pour ceux qui pourraient le retrouver, je conseille le livre d' André Voisin "sol Herbe Cancer" . Sous ce titre débile, se cache un travail épistémologique remarquable possible à l'époque ou tout le monde mangeait local. Année 50, il est considéré comme un précurseur dans plusieurs domaines.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Voisin_(agronome)