oleocene.org

Il y a une quarantaine de scenarios. Ce sera toujours insuffisant, mais effectivement, le principal problème est la non prise en compte de la déplétion géologique des hydrocarbures.

Quelques infos ici : http://iceblog.over-blog.com/article-13977651.html

Mais le problème avec toutes ces projections c'est qu'aucune ne prend en compte les accidents de parvours, de type : crise économique (PO), guerres etc.
Ce type de projection est plus du domaine du Club de Rome, qui prend en compte, par exemple, des effondrements de population.

[quote="Tovi"]il établi des scenarii et des [i]projections[/i]. Chacun ayant une probabilité plus ou moins élevée de se produire ou non. Et ceux-ci dépendent en grande partie des politiques qui seront menées pour réduire les émissions de GES.[/quote]Ils devraient aussi (et surtout ?) dépendre fortement de la réalité géologique, or ce n'est guère le cas ! C'est ce que je veux remarquer.
[quote="Tovi"]A partir de là, le GIEC ne peut pas se "tromper" puisqu'un large panel de scenario est envisagé.[/quote]Peut-être qu'il n'est pas assez large malgré tout...

OK, mais si ils ont raison pour leur évaluation de probabilités, alors Oléocène a tort, et réciproquement.

Mais pas uniquement les émissions. Ils utilisent l'équation de Kaya (ou un modèle avoisinant), prenant en compte la croissance économique et la croissance démographique. Ces facteurs influent les émissions, certes, mais ils recouvrent des domaines un peu plus large que la seule climatologie.

+1 Tovi , le problème c'est que les journalistes oublient tjrs que les scénarios prennent en entrée des hypothèses sur les émissions de CO2.

ainsi ils disent des trucs du genre "l'étude de l'équipe bidule prévoyait 2 degrès c de réchauffement d'ici 2100 mais une nouvelle étude publiée par une autre équipe prévoie 3 degrès".

Mais sans préciser si c'est une différence de modélisation climatique (prise en compte d'autres paramètres, d'autres rétroactions, différents algorithme) ou sur les hypothèses d'émissions de CO2 ! Ca ne veut rien dire de donner des résultats quantitatifs si on ne précise pas les entrées de la simulation.

J'aimerais qu'on cesse de parler de "prévisions" du GIEC. Le GIEC ne fait pas de météo, contrairement à ce que pense le nain de jardin (Claude Allegre), il établi des scenarii et des [i]projections[/i]. Chacun ayant une probabilité plus ou moins élevée de se produire ou non. Et ceux-ci dépendent en grande partie des politiques qui seront menées pour réduire les émissions de GES.

A partir de là, le GIEC ne peut pas se "tromper" puisqu'un large panel de scenario est envisagé. Sauf peut être la probabilité que le climat se refroidisse, qui n'apparait dans aucun scenario.

Sinon plusieurs coquilles :

"le tendance"

"L’Antarctique ne s’est pas réchauffé
pas mais refroidi."

"mesures t modèles"

Il n'est malheureusement pas fait mention d'un point pourtant capital concernant les prévisions du GIEC : les estimations de la quantité de fossiles brûlés dans les différents modèles d'émissions qui, comme le répète souvent Gilles, semblent bien généreuses.

Cependant, sur l'action de l'homme sur le climat, rien à dire. Tant mieux si ce doc peut permettre d'ouvrir les yeux de certains.

[quote="Alain75"]Dans le document :

[quote]la terre a
connu des épisodes où elle était entièrement englacée : « terre boule de neige » il y a 600 000 ans.[/quote]

C'est 600 millions d'années non ?[/quote]

un peu plus que 600 million d' années ( fin vers -635 million d' années)
C'est ce qu' explique Pascal Acot dans son livre "L' histoire du climat"

et puis la aussi : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/geologie-1/d/la-terre-boule-de-neige-brusquement-deglacee-par-le-methane_15697/

http://fr.wikipedia.org/wiki/Terre_boule_de_neige

http://www2.cnrs.fr/presse/communique/443.htm

Dans le document :

[quote]la terre a
connu des épisodes où elle était entièrement englacée : « terre boule de neige » il y a 600 000 ans.[/quote]

C'est 600 millions d'années non ?

Analyse des principaux arguments de ceux qui mettent en cause le diagnostic du GIEC sur le climat


Le GIEC (Groupe Intergouvernemental d’experts sur l’Evolution du Climat), s'appuyant sur les travaux publiés dans les revues scientifiques, a, dans son dernier rapport :
- confirmé la réalité du réchauffement observé au cours des dernières décennies,
- affirmé qu’avec une quasi-certitude les gaz à effet de serre générés par les activités humaines étaient impliqués dans ce processus,
- alerté sur les impacts potentiels de ce réchauffement pour l'humanité.
Ces affirmations sont contestées par des personnalités diverses, certaines faisant partie du monde scientifique. Leurs contestations, parfois très virulentes, portent :
- sur la réalité du réchauffement
- sur le rôle possible des gaz à effet de serre
- sur la gravité des éventuelles conséquences du réchauffement
- sur les compétences du GIEC et sa dépendance vis-à-vis de gouvernements ou de groupes de pression
Pour y voir plus clair dans ce débat, Sauvons Le Climat a collecté les arguments fréquemment mis en avant par les contestataires, et vous en propose une analyse critique sur son site internet :

http://sauvonsleclimat.org/new/spip/IMG/pdf/Climato-scepticisme-1-1.pdf