Namibie

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Re: Namibie

par energy_isere » 26 oct. 2024, 10:59

Accélération de la prospection de brut en Namibie

Agence Ecofin 24 oct 2024

Alors que d’importantes réserves d’hydrocarbures ont été découvertes en Namibie ces derniers mois, plusieurs compagnies pétrolières tentent de se positionner dans l’exploitation pétrolière émergente du pays.

Selon les informations relayées jeudi 24 octobre, les campagnes de forage de puits d’exploration pétrolière s’accélèrent en Namibie, où des gisements pétroliers de classe mondiale ont été identifiés dans le bassin d’Orange, situé au large des côtes du pays.

Rhino Resources, compagnie active aussi en Afrique du Sud et au Sénégal, prépare pour novembre le forage de deux puits d’exploration dans le PEL 85, qu’elle opère avec 85 % de participation.

La compagnie américaine Chevron s’inscrit dans la même logique avec un plan de forage de puits prévu pour le mois de décembre. Tout comme la major pétrolière française TotalEnergies qui se prépare à relancer d’ici la fin de l’année l’exploration du prospect Tamboti, situé au nord de la découverte Venus réalisée dans le bloc 2913B du bassin offshore d’Orange.

D’après la société publique du pétrole de la Namibie (NAMCOR), les premiers travaux d’exploration ont été lancés dans le pays vers la fin des années 1920, mais il aura fallu attendre près d’un siècle pour rencontrer les premiers succès opérationnels, marqués par une succession de découvertes en 2022 et 2023.

Il s’agit notamment, outre les gisements Venus de TotalEnergies et Mopane de Galp, des découvertes Lesedi, La Rona, Jonker et Graff, toutes réalisées par la multinationale pétrolière anglo-néerlandaise Shell sur le bloc en mer PEL 39, localisé dans le bassin d’Orange.

Depuis ces découvertes, qui ont mis en évidence l’existence d’un potentiel pétrolier offshore d’au moins 10 milliards de barils, l’appétit des investisseurs pour le pétrole namibien, à l’instar de Petrobras, se ravive pour les opportunités économiques qu’elles suggèrent.
https://www.agenceecofin.com/actualites ... en-namibie

Re: Namibie

par energy_isere » 26 oct. 2024, 10:37

suite de ce post du 6 juillet 2024 viewtopic.php?p=2394414#p2394414
Uranium : feu vert prévu fin 2024 pour la quatrième mine de Namibie

Agence Ecofin 22 octobre 2024

Premier producteur d’uranium, la Namibie compte actuellement trois mines en exploitation. Avec la croissance à long terme attendue pour la demande mondiale, des investisseurs se préparent à construire de nouvelles mines. C’est le cas de l’australien Deep Yellow et son projet Tumas.

En Namibie, la décision finale d’investissement pour la mine d’uranium Tumas est finalement attendue d’ici la fin de l’année. Dans une mise à jour publiée le 22 octobre, la compagnie australienne Deep Yellow, active sur le projet, fait le point des initiatives récentes pour respecter ce calendrier et assurer le début rapide des travaux de construction.

Au cours du troisième trimestre 2024, Deep Yellow a réalisé une mise à jour de ressources minérales et son projet Tumas hébergerait désormais 106,2 millions de livres titrant 264 ppm. Cette nouvelle estimation a positionné Tumas comme une mine pouvant être exploitée sur plus de 30 ans. Une estimation révisée des coûts d’investissement et d’exploitation de la mine devrait aussi être achevée ce trimestre, avant la décision finale d’investissement.

Alors que la société indique disposer à fin septembre de 247,3 millions de dollars australiens (165 millions $) pour le développement de Tumas, elle travaille aussi à obtenir un accord de financement par la dette pour soutenir les travaux de construction. L’objectif annoncé est de développer dans les trois prochaines années la prochaine grande mine africaine d’uranium.

Selon l’étude de faisabilité actualisée de décembre 2023, le capital initial nécessaire pour l’entrée en production de Tumas est évalué à 360 millions de dollars. La mine ainsi construite, la quatrième exploitée en Namibie, devrait livrer annuellement 3,6 millions de livres d’uranium sur plus de 22 ans.

Pour rappel, la Namibie est leader africain de la production d’uranium et se classe 3ème producteur à l’échelle mondiale en 2022, selon les chiffres de la World Nuclear Association. Outre Tumas, plusieurs projets d’uranium sont en cours de développement dans le pays, notamment le projet Etango de Bannerman Energy et le projet Koppies d’Elevate Uranium. Les différentes compagnies s’appuient sur des perspectives prometteuses sur le marché de l’uranium, avec une hausse des prix favorisée par la croissance à long terme de la demande mondiale.
https://www.agenceecofin.com/actualites ... de-namibie

Re: Namibie

par energy_isere » 12 oct. 2024, 15:00

Namibie : le gisement Venus de TotalEnergies livrera 160 000 b/j d’huile

Agence Ecofin 07 oct 2024

L’exploitation du gisement pétrolier offshore Venus, découvert en 2022, devrait débuter d’ici 2028 au moins, selon des projections. Mais des défis techniques sont à relever pour y parvenir dans ce délai.

On en sait un peu plus sur les capacités de production attendue du gisement pétrolier offshore Venus de TotalEnergies dont le potentiel a été estimé à 3 milliards de barils de brut récupérables, selon une évaluation réalisée par la société de conseil en énergie Wood Mackenzie (WoodMac).

D’après des informations publiées vendredi 4 octobre, la major pétrolière française qui opère ce projet prévoit une production quotidienne de 160 000 barils de pétrole brut pour quelque 500 millions de pieds cubes de gaz naturel.

Cette production journalière sera assurée via une unité flottante de production, de stockage et de déchargement (FPSO). Pour l’instant aucun détail technique n’a été communiqué concernant les spécificités techniques du bâtiment envisagé, encore moins sur le calendrier de sa construction.

Sur la base des informations précédemment publiées par les parties prenantes du projet, on sait que celle-ci devrait être conçue pour résister, sur le long terme, aux conditions de profondeur du gisement pétrolier Venus et aux difficultés climatiques posées en haute mer.

D’après WoodMac, la future production pétrolière de la Namibie, à travers le bassin d’Orange qui héberge, outre Venus, le gisement Graff de Shell et la découverte Mopane réalisée par Galp, pourrait « dépasser les 500 000 barils par jour d’ici dix ans et continuer à croître par la suite ».

Ceci devrait impliquer d’après les projections du cabinet, un investissement de l’ordre de « 4 milliards de dollars par an au cours de la première moitié de la prochaine décennie ».
https://www.agenceecofin.com/hydrocarbu ... /j-d-huile

Re: Namibie

par energy_isere » 12 oct. 2024, 12:15

Namibie : Galp accélère sur le développement du gisement pétrolier Mopane

Agence Ecofin 11 oct 2024

Découvert sur la licence PEL 83 du bassin namibien d’Orange, le gisement pétrolier en mer Mopane est au cœur d’une concurrence entre multinationales qui souhaitent des parts du bloc dont l’opérateur Galp Energia veut se délester depuis plusieurs mois.

Galp Energia, la multinationale portugaise des hydrocarbures, se prépare à une campagne d’exploration et d’évaluation multipuits centrée sur la découverte de classe mondiale Mopane réalisée dans l’offshore en Namibie.

Selon des informations relayées jeudi 10 octobre, citant des sources proches du secteur pétrolier namibien, la compagnie pétrolière a finalisé le processus de sélection et de mobilisation de la plateforme de forage nécessaire pour mener à bien les opérations.

Ces opérations visent à poser les bases d’un développement réussi et rentable du gisement Mopane qui hébergerait environ 10 milliards de barils équivalents pétrole. Il s’agit de confirmer et de préciser ces estimations en délimitant les contours géographiques et géologiques du champ.

Ce développement autour des activités destinées au développement du gisement intervient alors que Galp mène toujours des négociations avec plusieurs multinationales pétrolières, dont Equinor, Shell et TotalEnergies, pour céder la moitié de sa participation de 80 % sur le PEL 83.

La finalisation de ces pourparlers est importante pour soutenir la monétisation du gisement Mopane, qui, comme les découvertes Venus et Graff, aura un impact majeur pour l’économie de la Namibie, en créant des emplois et en attirant des investissements étrangers.
https://www.agenceecofin.com/exploratio ... ier-mopane

Re: Namibie

par energy_isere » 28 sept. 2024, 12:05

suite de ce post du 23 mars 2024 http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 5#p2388575
Namibie : la mise en service en 2027 de la mine d’uranium Etango compromise

Agence Ecofin 25 sept 2024

Il y a un an, Bannerman a indiqué qu’une décision finale d’investissement devrait être prise pour son projet d’uranium Etango au cours du premier semestre 2024. Alors que ce feu vert est toujours attendu, c’est tout le calendrier de développement de la future mine qui s’en trouve affecté.

Prévue pour fin 2024, la décision finale d’investissement pour la construction de la mine d’uranium Etango en Namibie est reportée à 2025. C’est l’annonce faite le 25 septembre par Bannerman Energy, propriétaire du projet, repoussant ipso facto l’objectif de la compagnie australienne de mettre en service sa première mine d’uranium d’ici 2027.

En septembre 2023, Bannerman avait indiqué viser une décision d’investissement finale pour son projet Etango au premier semestre 2024. Avec ce feu vert et des travaux de construction devant durer 34 mois, l’entrée en production de la mine serait alors intervenue durant l’année 2027.

Si le calendrier initial ne tient plus, il faut souligner que la compagnie poursuit ses efforts en vue de profiter des perspectives favorables sur le marché de l’uranium. Bannerman a récemment attribué les contrats pour les travaux préliminaires sur le site et commandé certains équipements miniers. Dans le même temps, les discussions se poursuivent avec les bailleurs de fonds et des investisseurs disposés à accompagner le projet. Un financement par la dette et/ou une coentreprise sont notamment envisagés.

« Nos partenaires contractuels se sont montrés très performants et ont respecté leur cahier des charges de manière efficace, avec l’achèvement de la construction initiale des installations d’approvisionnement en eau et des routes d’accès au site plus tôt ce trimestre », indique Gavin Chamberlain, DG de Bannerman.

Selon une étude de faisabilité publiée en 2022, un investissement initial de 317 millions $ est nécessaire pour construire la mine Etango. Cette dernière devrait livrer 52,6 millions de livres d’uranium sur 15 ans. Pour la Namibie, ce projet sera non seulement l’occasion d’accroitre les revenus miniers, mais aussi de consolider son statut de premier producteur africain d’uranium. En 2022, le pays d’Afrique australe a produit 5613 tonnes d’uranium, se classant 3ème mondial, d’après la World Nuclear Association.

Notons que la production d’Etango arrivera sur un marché où la demande mondiale devrait être en pleine croissance, tirée par le regain d’intérêt pour le nucléaire. Réunis à la COP28 en décembre 2023, une vingtaine de pays ont ainsi déclaré vouloir tripler la capacité mondiale de production d’énergie nucléaire d’ici 2050. Selon la World Nuclear Association, la demande d’uranium devrait augmenter de 28 % entre 2023 et 2030, puis de 51 % entre 2031 et 2040.
https://www.agenceecofin.com/uranium/25 ... compromise

Re: Namibie

par energy_isere » 14 sept. 2024, 14:53

Namibie : deux entreprises chinoises construiront une centrale solaire de 100 MW

Agence Ecofin 9 sept 2024

Malgré son énorme potentiel en matière d’énergie solaire, 60 % de l’énergie de la Namibie est importée des pays voisins et environ 40 % de la population n’y a pas accès.

La compagnie nationale namibienne d'électricité, NamPower, a annoncé, dans un communiqué transmis aux médias ce lundi 9 septembre 2024, la signature d’un accord avec deux entreprises chinoises pour la construction d’une centrale solaire de 100 mégawatts (MW).

China Jiangxi International Economic and Technical Corporation et Zhejiang CHINT New Energy Development Compagny vont concevoir et construire cette centrale à Rosh Pinah, une province minière située dans le sud du pays près de la frontière avec l’Afrique du Sud, pour un investissement d’environ 89 millions de dollars, a-t-on précisé de même source.

La centrale solaire sera financée à hauteur de 80% par un prêt de la banque de développement allemande KfW.

Le reliquat sera assuré par NamPower, qui s’attend à ce que la nouvelle centrale solaire entre en production au deuxième trimestre 2026.

La Namibie, qui possède l’un des potentiels solaires les plus importants en Afrique, importe environ 60% de ses besoins en énergie des pays voisins.
https://www.agenceecofin.com/solaire/09 ... -de-100-mw

Re: Namibie

par energy_isere » 14 sept. 2024, 14:51

suite de ce post du 22 avril 2024 http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 9#p2389999
Namibie : ExxonMobil se retire de la course au gisement pétrolier Mopane de Galp

Agence Ecofin 10 sept 2024

Après avoir découvert Mopane, un gisement à fort potentiel dans le bassin d’Orange, la compagnie Galp a annoncé sa décision de céder ses intérêts sur place. Plusieurs multinationales, dont ExxonMobil, se sont positionnées pour les acquérir.

La multinationale américaine ExxonMobil s’est retirée des pourparlers en vue de l’acquisition d’une participation de 20 % dans le gisement pétrolier Mopane, découvert il y a quelques mois dans le bassin offshore namibien d’Orange, par la société pétrolière portugaise Galp.

Des sources proches de l’entreprise américaine ont annoncé l’information le lundi 9 septembre, bien que celle-ci n’ait pas encore été confirmée officiellement. Aucun détail précis n’est fourni sur les raisons de ce retrait qui intervient dans un contexte d’engouement soutenu pour cet actif.

Évaluée à au moins 10 milliards de barils équivalents pétrole, la découverte de classe mondiale Mopane, comme les gisements Venus de TotalEnergies et Graff de Shell, a contribué au renforcement de l’attractivité de l’industrie pétrogazière de la Namibie ces derniers mois.

Depuis l’annonce par Galp de sa volonté de se séparer de ce gisement, la société norvégienne Equinor, tout comme la compagnie française TotalEnergies et l’Anglo-Néerlandaise Shell, tentent d’y prendre des participations pour consolider leur présence en Namibie.

Notons qu’ensemble, les gisements Mopane, Venus et Graff cumulent au minimum un potentiel pétrogazier commercial d’au moins 15 milliards de barils équivalents pétrole.
https://www.agenceecofin.com/hydrocarbu ... ne-de-galp

Re: Namibie

par energy_isere » 27 juil. 2024, 10:25

suite de ce post du 7 avril 20245 http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 5#p2389275
Namibie : les expéditions de la mine d’uranium Langer Heinrich ont repris


Agence Ecofin 22 juillet 2024

La Namibie est le premier producteur africain d’uranium, avec trois mines en activité. Après environ 6 ans en régime de maintenance et entretien, la mine Langer Heinrich est de nouveau en production depuis le 30 mars 2024.

Paladin Energy a annoncé le 22 juillet la première expédition d’uranium depuis le redémarrage de sa mine Langer Heinrich en Namibie. Une cargaison de 319 229 livres d’uranium a en effet quitté le port de Walvis Bay le 12 juillet à destination des clients.

Placée en régime de maintenance et entretien en mai 2018 dans un contexte de faiblesse des prix mondiaux de l’uranium, Langer Heinrich est de nouveau en production commerciale depuis le 30 mars 2024. Entre cette date et la fin du deuxième trimestre 2024, la mine a livré 517 597 livres d’uranium, et la compagnie poursuit la montée en puissance pour atteindre ses objectifs sur l’exercice fiscal 2025.

Pour la période allant du 1er juillet 2024 au 30 juin 2025 et comptant pour l’exercice fiscal 2025, Paladin vise ainsi une production d’uranium comprise entre 4 millions et 4,5 millions de livres, soit au maximum 2041 tonnes.

Pour rappel, Langer Heinrich est détenue à 75 % par Paladin et à 25 % par la China National Nuclear Corporation. Il s’agit de la troisième plus grande mine de Namibie, après Rössing et Swakop, ces deux dernières ayant livré respectivement 2 920 tonnes et 5 318 tonnes d’uranium en 2023.
https://www.agenceecofin.com/uranium/22 ... ont-repris

Re: Namibie

par energy_isere » 23 juil. 2024, 08:52

ReconAfrica Spuds Onshore Exploration Well in Northeast Namibia

by Rocky Teodoro|Rigzone Staff | Wednesday, July 10, 2024

Vancouver-based Reconnaissance Energy Africa Ltd. (ReconAfrica) and its joint venture partner NAMCOR, the state oil company of Namibia, have spudded the Naingopo exploration well on Petroleum Exploration License 73 (PEL 73), onshore northeast Namibia.

ReconAfrica said in a news release that it spud the Naingopo exploration well in the Damara Fold Belt onshore PEL 73 on July 7.

The well will be drilled to a planned total depth of approximately 12,500 feet (3,800 meters), and is expected to encounter multiple reservoir intervals targeting both oil and natural gas, according to the release. The Naingopo well is targeting 163 million barrels of unrisked prospective oil resources or 843 billion cubic feet of unrisked prospective natural gas resources, net to ReconAfrica, based on the most recent prospective resources report prepared by Netherland, Sewell & Associates, Inc. (NSAI) dated March 12, 2024.

“We are extremely excited to be drilling this high impact Damara Fold Belt well that our technical and operations teams have been planning over the past 11 months, since I joined ReconAfrica,” company President and CEO Brian Reinsborough said. “The Naingopo well represents the first well in a multi-well exploration drilling campaign on PEL 73”.

Reinsborough noted that the well will take 90 days to drill and that the “significant play opening well” could unlock a total potential resource of over 3.1 billion barrels of oil or 18 trillion cubic feet of natural gas based on the most recent prospective resource report.

"The Naingopo exploration well is the first well to test the Damara Fold Belt play,” Chris Sembritzky, Senior VP of Exploration, said. “In the event of success, the well would unlock significant oil and natural gas potential from our additional three prospects and 20 leads that have been mapped and defined. The Naingopo well is expected to test multiple reservoir intervals of which four are included in our third-party resource report from NSAI”.

Following the drilling of the Naingopo well, ReconAfrica is planning to drill a second Damara Fold Belt well, Prospect P, according to an earlier news release.

It is targeting 278 million barrels of unrisked prospective oil resources, or 1.5 trillion cubic feet of unrisked prospective natural gas resources. Drilling of the second Damara Fold Belt well is expected to begin in the fourth quarter, subject to the results of the Naingopo well, the company stated.

ReconAfrica is a Canadian oil and gas company engaged in the opening of the newly discovered deep Kavango Sedimentary Basin in the Kalahari Desert of northeastern Namibia and northwestern Botswana, where the firm holds petroleum licenses comprising approximately eight million contiguous acres.

According to the company’s website, the firm has been granted licenses by Namibia and Botswana to explore and confirm the presence of hydrocarbon resources.
https://www.rigzone.com/news/reconafric ... 8-article/

Re: Namibie

par energy_isere » 06 juil. 2024, 12:05

suite de ce post du 8 juin 2024 http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 5#p2392395
Namibie: La sud-africaine Nedbank mandatée pour le financement d’une nouvelle mine d’uranium

Agence Ecofin 03 juillet 2024

La Namibie est le premier producteur africain d’uranium. C’est dans ce pays que l’australien Deep Yellow développe le projet Tumas, pour lequel il vient d’engager la banque sud-africaine Nedbank. Cette dernière l’aidera à mobiliser les fonds pour construire sa première mine africaine d’uranium.

En Namibie, Deep Yellow a engagé la sud-africaine Nedbank comme arrangeur principal mandaté pour le financement nécessaire à la construction de sa mine d’uranium Tumas. C’est l’annonce faite le 2 juillet par la compagnie minière australienne qui précise que Nedbank formera un syndicat bancaire et supervisera le processus de due diligence.

« La vaste expérience de Nedbank en Afrique et ses solides antécédents en matière de financement de projets d’uranium, combinés à la robustesse économique et technique de notre projet, constituent une combinaison parfaite », estime John Borshoff (photo), DG de Deep Yellow, ajoutant qu’une décision finale d’investissement devrait être prise avant la fin de l’année.

Le début de la production d’uranium est actuellement prévu à Tumas au troisième trimestre 2026. Pour respecter le calendrier de développement, Deep Yellow doit mobiliser 360 millions de dollars pour les travaux de construction de la mine. Cette dernière peut livrer annuellement 3,6 millions de livres d’uranium sur plus de 22 ans.

Rappelons qu’un permis d’exploitation minière d’une durée de 20 ans a déjà été accordé par les autorités namibiennes qui comptent sur Tumas pour accroitre la production nationale. Premier producteur africain et troisième mondial, la Namibie compte sur la hausse de la demande et des prix pour augmenter les revenus générés par l’exploitation de son uranium.
https://www.agenceecofin.com/investisse ... -d-uranium

Re: Namibie

par energy_isere » 29 juin 2024, 10:23

Namibie : Northern Ocean engagé pour un forage pétrogazier en mer

Agence Ecofin 27 juin 2024 Suite aux nombreuses découvertes pétrogazières qui y ont été réalisées ces deux dernières années, la Namibie s’est positionnée comme un hub des travaux d’exploration pétrogazière en Afrique.

Le fournisseur de services pétrogaziers Northern Ocean Ltd a annoncé, mercredi 26 juin, qu’un marché de forage de puits lui a été octroyé dans le cadre d’activités d’exploration pétrogazière dans les eaux territoriales de la Namibie.

La compagnie n’a pas fourni d’informations précises sur la valeur du contrat ni sur son contractant. Celui-ci est potentiellement une multinationale, si l’on considère le fait que plusieurs sociétés de cette envergure sont actives dans le pays.

Le contrat octroyé à Northern Ocean Ltd concerne spécifiquement le forage d’un puits d’exploration dans le bassin d’Orange, via sa plateforme Deepsea Bollsta. Un marché dont l’exécution devrait débuter en fin d’année 2024 pour une durée contractuelle d’environ 63 jours.

Ce deal offre à la société l’opportunité de contribuer à l’identification potentielle de nouveaux gisements pétrogaziers dans le bassin namibien d’Orange à la suite de ceux découverts ces derniers mois par Shell, Galp ou encore TotalEnergies.
https://www.agenceecofin.com/exploratio ... ier-en-mer

Re: Namibie

par energy_isere » 29 juin 2024, 09:56

Le premier producteur africain d’uranium attire un nouvel investisseur

Agence Ecofin 24 juin 2024

La Namibie est le troisième producteur mondial et le premier producteur africain d’uranium. Dans un contexte de hausse des prix et de la demande du combustible nucléaire, le pays attire de plus en plus d’investissements dans l’exploration et l’exploitation de ses réserves d’uranium.

Gibb River Diamonds élargit son portefeuille de projets à la Namibie. Dans un communiqué publié le 24 juin, la compagnie minière australienne vient d’acquérir deux projets d’uranium dans le pays d’Afrique australe, premier producteur du combustible nucléaire sur le continent.

C’est au cœur d’Erongo, vaste région uranifère de Namibie abritant notamment les mines Husab et Langer Heinrich, que se trouvent les nouveaux projets de Gibb. Il s’agit du projet éponyme Erongo sur 48 km² et de Kunene sur 1780 km², totalisant six licences exclusives de prospection sur 1828 km². La société s’attend à obtenir les autorisations nécessaires pour lancer l’exploration dans un délai de cinq à six mois. En attendant le début des travaux, elle a confié le poste de directeur de l’exploration en Namibie au géologue Nico Scholtz.

L’intérêt pour l’uranium namibien de Gibb River Diamonds, compagnie active actuellement sur l’or et les diamants en Australie, survient à un moment particulier. Après des années de baisse, les prix de l’uranium remontent progressivement depuis 2021, atteignant même en 2024 un pic à plus de 100 dollars la livre. Cette hausse des prix, liée au regain d’intérêt pour l’énergie nucléaire dans le monde, incite les investisseurs à rechercher de nouveaux actifs à mettre en production à moyen et long terme en vue de profiter de la hausse de la demande.

En tant que troisième producteur mondial et premier producteur africain d’uranium, la Namibie est une destination de choix pour ces nouveaux investisseurs. Pour le pays, la ruée des investisseurs miniers est une occasion supplémentaire d’accroitre les revenus générés par l’exploitation minière. Selon la Chambre des Mines, le secteur minier représentait 14,4 % du PIB et 53,1 % des exportations de la Namibie en 2023.
https://www.agenceecofin.com/uranium/24 ... vestisseur

Re: Namibie

par energy_isere » 08 juin 2024, 11:45

suite de ce post du 23 dec 2023 http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 4#p2382104
Deep Yellow et Ausenco s’associent pour la 4ème mine d’uranium de Namibie

Agence Ecofin 04 juin 2024

La Namibie est le premier producteur africain d’uranium et le troisième au monde. Avec la hausse de la demande mondiale, le pays attire de plus en plus d’investissements pour le développement de nouvelles mines ou le redémarrage de projets suspendus auparavant.

Premier producteur africain d’uranium, la Namibie devrait abriter d’ici 2026 une nouvelle mine. Dans un communiqué publié le 4 juin, l’australien Deep Yellow a annoncé le choix d’Ausenco Services comme partenaire privilégié pour un contrat d’ingénierie, d’approvisionnement et de gestion de la construction (EPCM) à son projet namibien Tumas.

Ausenco a déjà participé à l’étude de faisabilité définitive de février 2023, qui a notamment montré que Tumas peut livrer annuellement 3,6 millions de livres sur plus de 22 ans. Deep Yellow devrait signer le contrat EPCM avec Ausenco, une fois la décision finale d’investissement prise au troisième trimestre 2024, en vue de lancer la construction de la quatrième mine d’uranium de Namibie.

« Ausenco est une société d’ingénierie leader sur le marché, très appréciée au sein de l’industrie pour ses compétences techniques et son expérience en matière de réalisation de projets. L’arrivée d’Ausenco complétera l’équipe chargée de la réalisation du projet et apportera une valeur ajoutée significative au projet Tumas », a commenté John Borshoff, DG de Deep Yellow.

Pour rappel, Tumas devrait devenir la quatrième mine de Namibie. Son entrée en service est prévue dans un contexte où la demande mondiale d’uranium devrait augmenter à cause du regain d’intérêt pour l’énergie nucléaire. D’autres projets sont d’ailleurs en développement en Namibie, mais aussi au Niger (deuxième producteur africain) et en Mauritanie, pour profiter de ces perspectives.
https://www.agenceecofin.com/uranium/04 ... de-namibie

Re: Namibie

par GillesH38 » 04 mai 2024, 10:23

je ne dis pas le contraire, je dis juste que si on investit AUSSI dans des gisements pétroliers, c'est qu'on pense que l'hydrogène, ça ne va pas empêcher de continuer à vendre du pétrole. Tout ça peut se superposer sans problème.

Re: Namibie

par energy_isere » 04 mai 2024, 10:17

GillesH38 a écrit :
04 mai 2024, 07:21
encore des qui ne croient pas au pic de la demande on dirait, tu en penses quoi Jeudi ?
ah mais de l'investissement il y en a pour tous les gouts :
Namibie : la Compagnie maritime belge prévoit d’investir 3,5 milliards $ dans l’hydrogène et l’ammoniac décarbonés


Agence Ecofin 2 mai 2024

La Namibie entend profiter de ses abondantes ressources solaires et éoliennes pour produire de l'hydrogène vert à un coût compétitif, et se positionner comme un pôle d'énergies renouvelables en Afrique.

La Compagnie maritime belge (CMB) prévoit d’investir 3,5 milliards de dollars dans un complexe de production d’hydrogène et d’ammoniac décarbonés en Namibie en association avec un partenaire local, a rapporté Bloomberg ce jeudi 2 mai 2024, citant un dirigeant du groupe anversois de transport maritime.

Le roi Philippe de Belgique, qui effectue une visite officielle en Namibie depuis le 29 avril, s’est rendu ce jeudi au port de Walvis Bay, où le groupe contrôlé par la famille belge Saverys a entamé en septembre 2023 la construction d’une première station de production d’hydrogène vert.

La première phase du projet piloté par la société Cleanergy, une coentreprise entre le groupe CMB et le conglomérat namibien Ohlthaver & List, devrait entrer en production durant le quatrième trimestre 2024.

L’usine d’hydrogène aura une capacité de production initiale de 400 kilogrammes d'hydrogène par jour, grâce à une centrale solaire de 5 mégawatts située près de la ville portuaire de Walvis Bay.

« Nos clients nous demandent de faire le ménage et de veiller à ce que nous n'émettions plus de dioxyde de carbone. Nous devons donc trouver une alternative au diesel. Nous voulions être dans un pays où il y a une abondance d'énergies renouvelables bon marché, et la Namibie est ce pays », a déclaré le directeur général du groupe CMB, Alexander Saverys (photo), à Bloomberg.

Selon lui, la station de production d’hydrogène vert « sera agrandie progressivement et suivie de l’implantation d’une usine et d’un terminal d’ammoniac vert, ce qui portera le coût total du projet à environ 3,5 milliards de dollars, au cours des cinq prochaines années ».

La Namibie, un des pays les plus ensoleillés et les moins densément peuplés du monde, souhaite exploiter son vaste potentiel d'énergies solaire et éolienne pour produire de l'hydrogène vert et se positionner comme un pôle d'énergies renouvelables en Afrique.

Le gouvernement namibien avait déjà signé, en juin 2023, un accord avec le consortium franco-allemand Hyphen Hydrogen Energy et d’autres partenaires prévoyant le lancement d’un complexe géant de production d’hydrogène vert dans le pays, pour un investissement estimé à 10 milliards de dollars. Grâce à ce mégaprojet, la Namibie espère devenir la première économie africaine neutre en carbone et un exportateur majeur d’énergie propre.
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La Namibie et la Belgique prêtes à investir 267 millions $ pour l’exportation d’hydrogène vert

Agence Ecofin 3 mai 2024

L’installation devrait permettre de ravitailler les navires qui transitent par le port namibien de Walvis Bay en hydrogène, et d’expédier de l'ammoniac vert vers plusieurs marchés européens où il sera utilisé dans la décarbonation des industries lourdes.

Le port d’Anvers-Bruges en Belgique et l'Autorité portuaire namibienne (Namport) ont annoncé la construction prochaine d’une installation de stockage et d’exportation d’hydrogène et d’ammoniac décarbonés en Namibie pour un investissement de 267 millions de dollars. L’information a été relayée par Bloomberg qui mentionne un communiqué commun des deux partenaires, publié le jeudi 2 mai 2024.

L'installation, qui sera détenue à parts égales par le port d'Anvers-Bruges et Namport, devrait être construite dans un délai de trois à cinq ans sur un site vierge à proximité du port de Walvis Bay, a-t-on ajouté de même source.

Une filiale de l’armateur italo-suisse Mediterranean Shipping Company (MSC) Company SA est déjà en pourparlers avec les deux partenaires pour exploiter l'installation qui permettra de ravitailler les navires qui transitent par le port namibien de Walvis Bay en hydrogène et d’expédier de l'ammoniac vert vers plusieurs marchés européens où il sera utilisé dans la décarbonation des industries lourdes.

« La Namibie peut servir de centre de production de molécules vertes et Anvers de porte d'entrée pour desservir le marché européen », ont souligné Namport et le port d’Anvers-Bruges dans leur communiqué.

La Compagnie maritime belge (CMB) avait entamé, en septembre 2023, la construction d’un complexe de production d’hydrogène et d’ammoniac décarbonés en Namibie en association avec le conglomérat namibien Ohlthaver & List. La première phase de ce projet, dont le coût global est estimé à 3,5 milliards de dollars, devrait entrer en production durant le quatrième trimestre 2024.

Le gouvernement namibien avait également signé, en juin 2023, un accord avec le consortium franco-allemand Hyphen Hydrogen Energy et d’autres partenaires prévoyant le lancement d’un géant complexe de production d’hydrogène vert dans le pays, pour un investissement de 10 milliards de dollars.

La Namibie, un des pays les plus ensoleillés et les moins densément peuplés du monde, espère devenir la première économie africaine neutre en carbone et un exportateur majeur d’énergie propre grâce à ces mégaprojets.
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