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Soudan du Sud : le chinois CNPC envisage de construire un nouvel oléoduc

Agence Ecofin 05 sept 2024

Les exportations de pétrole du Soudan du Sud ont fortement diminué depuis la rupture de l’un des deux pipelines acheminant le brut extrait des gisements situés dans le sud du pays vers Port-Soudan.

La société pétrolière China National Petroleum Corporation (CNPC) envisage de construire un nouvel oléoduc au Soudan du Sud pour remplacer celui endommagé par la guerre civile au Soudan voisin, a annoncé la présidence sud-soudanaise dans un communiqué publié le mercredi 4 septembre 2024.

Le communiqué précise que le président Salva Kiir s'est entretenu, en marge de sa participation au Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC), avec le président de la CNPC, Dai Houliang, qui lui a proposé la construction du nouvel oléoduc « passant par Djibouti et l'Ethiopie pour améliorer les capacités d'exportation du brut extrait des blocs 3 et 7 ».

« Les deux parties ont également discuté des réformes du secteur pétrolier et de la construction d'une raffinerie », a-t-on précisé de même source.

La CNPC détient une participation de 41 % dans le consortium Dar Petroleum Operating, premier producteur de pétrole brut au Soudan du Sud.

La production de pétrole dans ce pays a fortement chuté depuis l’explosion de l’un des deux oléoducs par lesquels transite le brut jusqu’à Port-Soudan, sur la mer Rouge, en raison du conflit qui oppose les généraux soudanais Abdel Fattah Al-Bourhane et Mohammed Hamdan Daglo depuis avril 2023.

En mars dernier, le Soudan du Sud a déclaré la force majeure sur ses exportations de pétrole brut, indiquant que ce conflit empêchait les ingénieurs d'effectuer des réparations sur le pipeline.

Selon Djouba, la fermeture de l’oléoduc représente un manque à gagner quotidien de 4 millions de dollars.

Soudan du Sud : le chinois Sokec envisage d’investir dans le segment aval

Agence Ecofin 26 aout 2024

Malgré la crise majeure que traverse l’industrie pétrolière du Soudan du Sud depuis quelques mois, le gouvernement a promis fin avril qu’il réhabiliterait la raffinerie de Bentiu dans l’État d’Unity, en 6 mois.

Shengli Oilfield Keer Engineering and Construction Company (SOKEC), une compagnie chinoise spécialisée dans l’ingénierie et la construction pétrolière, prévoit des investissements dans le segment aval de l’industrie pétrogazière du Soudan du Sud.

Vendredi 23 août, la compagnie a paraphé un mémorandum d’accord avec Nile Petroleum Corporation (Nilepet), la société publique du pétrole du Soudan du Sud. Un deal axé sur la construction d’une raffinerie ultramoderne et des installations de stockage de pétrole.

Des représentants de Sokec ont notamment visité les gisements pétroliers à Tharjiath, dans l’État d’Unity, où un projet de réhabilitation d’une raffinerie, en l’occurrence celle de Bentiu, la seule dont dispose le pays, est prévu par l’État.

Notons que si ce deal constitue une étape clé vers la modernisation du secteur pétrolier sud-soudanais, ce n’est encore qu’un premier pas vers cette perspective. « Nous espérons que ce protocole d’accord se traduira par des accords et des projets que nous réaliserons ensemble », a déclaré Wu Song, le patron de Sokec, lors de la signature de l’accord.

Celui-ci intervient alors que le Soudan du Sud fait face depuis plusieurs mois à des défis économiques majeurs liés au conflit au Soudan qui empêche le pays d’expédier sa production pétrolière, sa principale ressource d’exportation, vers le marché international.

Soudan du Sud : l’État promet de réhabiliter la raffinerie de Bentiu d’ici 6 mois

Agence Ecofin 23 avril 2024

En juin 2023, les parties prenantes de la raffinerie de Bentiu avaient déjà annoncé pour août de la même année, l’opérationnalisation de l’infrastructure qui est hors service depuis de nombreuses années.

Lors d’une sortie médiatique samedi 20 avril à la suite d’une visite de la raffinerie de Bentiu dans l’Etat d’Unity, Joseph Bakosoro, le ministre des Affaires présidentielles du Soudan du Sud a annoncé que l’infrastructure pétrolière serait réhabilitée en six mois.

« D’ici six à huit mois à partir d’aujourd’hui, la raffinerie sera opérationnelle, les routes seront construites », a déclaré le ministre Bakosoro en appelant l’opinion publique à la patience et en la rassurant quant à la disponibilité du carburant, entre autres, une fois ces travaux achevés.

D’après Bernand Amuor, le directeur général de la Nile Petroleum Corporation (NilePet), la société publique du pétrole du Soudan du Sud, qui a également participé à la visite du site, l’initiative constitue une priorité pour la société d’État en 2024.

Dans un contexte difficile pour le Soudan du Sud marqué par les défis du pays à exporter sa production de brut vers les marchés pétroliers internationaux, ce projet de réhabilitation est perçu comme « l’une des solutions qui permettront d’avoir une économie forte ».

Sur la question de savoir comment ses travaux de réhabilitation seront financés, des analystes évoquent un financement de 35 millions de dollars de La Kenya Commercial Bank (KCB) suivant un mécanisme dont les détails n’ont pas été publiés.

Notons que la raffinerie de Bentiu est la seule raffinerie pétrolière dont dispose actuellement le Soudan du Sud.

Au Soudan, un an de guerre et aucune issue en vue

AFP•12/04/2024

Il y a un an, les deux généraux au pouvoir au Soudan entraient en guerre. Depuis, humanitaires et experts dressent un triste tableau de chasse: famine, déplacement, violences sexuelles, violences ethniques, la liste est longue et aucune issue n'est en vue.
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Guerre au Soudan : l'arrêt d'un oléoduc stratégique menace d'ébranler le fragile Soudan du Sud

AFP le 29 mars 2024

L'arrêt d'un oléoduc stratégique dans le Soudan en guerre menace de déstabiliser son voisin sud-soudanais, privé de revenus pétroliers cruciaux pour la gestion du pays, l'un des plus pauvres au monde en proie à l'instabilité et aux violences politico-ethniques chroniques, estiment des experts.

La nouvelle a filtré avec la révélation d'un courrier daté du 16 mars adressé par le ministre soudanais de l'Énergie et du Pétrole à ses partenaires chinois et malaisien, annonçant qu'"une rupture majeure" avait été constatée dans l'oléoduc transportant du pétrole brut depuis le Soudan du Sud jusqu'à la ville soudanaise de Port-Soudan.

Cette "rupture", qui remonte à février, a eu lieu dans une "zone d'opérations militaires" du conflit qui oppose depuis le 15 avril 2023 l'armée du général Abdel Fattah al-Burhane aux Forces de soutien rapide (FSR, paramilitaires) du général Mohammed Hamdane Daglo, précise la lettre consultée par l'AFP.

90% des revenus

"La résolution de ces problèmes est compliquée par les conditions de guerre actuelles" et "en tant que tel, le gouvernement du Soudan déclare un cas de force majeure qui nous empêche de remplir notre obligation de livrer du pétrole brut dans et via" l'oléoduc, concluait le ministre.

La "force majeure" consiste en une circonstance exceptionnelle, étrangère à la personne touchée, qui l'empêche d'honorer un contrat.

Le gouvernement sud-soudanais est jusqu'à présent resté silencieux sur cet épisode, qui vient pourtant ébranler le fragile équilibre du pays. Le secteur pétrolier contribue à 90% de ses revenus et représente quasiment l'intégralité de ses exportations, selon la Banque mondiale.

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Les bombardements de civils, destruction d'infrastructures, viols, pillages, déplacements forcés et villages incendiés sont devenus le quotidien des 48 millions de Soudanais.

Si ces violences ne cessent pas, "la guerre au Soudan pourrait créer la plus grande crise de la faim au monde", assure Mme McCain

Le Soudan au bord de "la pire crise de la faim au monde", selon le PAM

AFP•06/03/2024

Conflit au Soudan : l’armée et les FSR s’accusent mutuellement d’avoir bombardé la raffinerie de brut de Khartoum


Agence Ecofin 6 dec 2023

Une frappe aérienne a récemment touché la raffinerie de Khartoum causant d’importants dégâts. Les forces de soutien rapide (FSR), déjà accusées d’avoir ciblé et touché ces installations précédemment, ont décliné toute responsabilité dans l’attaque.

Selon des informations relayées par la presse soudanaise, des bombardements aériens ont touché tôt ce mercredi 6 décembre, la raffinerie de pétrole localisée à Al-Jaili, au nord de Khartoum, la capitale du Soudan. Le premier bilan qui reste à préciser, fait état d’importants dégâts matériels. Aucun détail n’a filtré quant à des victimes potentielles.

Selon les médias locaux, c’est la quatrième fois, depuis le début du conflit, au Soudan qu’une infrastructure pétrolière est touchée par des bombardements. Les forces de soutien rapide (FSR) qui, début octobre, avaient pris le contrôle d’une plateforme de production de brut dans la région d’al-Aylafoun, ont nié toute implication dans l’attaque de l’installation.

À leur tour, elles accusent l’armée régulière soudanaise d’être responsable de cet « acte barbare » qui viole, selon eux, les normes du droit international. L’état-major soudanais n’a pas encore réagi aux allégations des FSR, mais avec une capacité de raffinage de 100 000 b/j, l’infrastructure fournit l’essentiel de la consommation du pays en carburant.

La question de la sécurisation des infrastructures pétrolières du Soudan dans la situation conflictuelle actuelle semble constituer un important défi. Début novembre, les autorités du Soudan du Sud ont exhorté les belligérants à protéger l’intégrité des installations pétrolières, vitales pour les deux pays.

Soudan du Sud : le gouvernement étudie d’autres solutions pour exporter son brut, sans passer par le Soudan

Agence Ecofin 31 aout 2023

Le Soudan du Sud dépend fortement de son voisin soudanais pour expédier les quantités de pétrole qu’il produit. Une opération devenue particulièrement délicate depuis qu’un conflit armé a éclaté au Soudan.

Baak Barnaba Chol, le ministre des Finances du Soudan du Sud a révélé, lors d’une interview, lundi 28 août, que le gouvernement explorait des pistes pour garantir l’exportation de sa production pétrolière compromise par le conflit au Soudan voisin, pays dont il dépend pour ses expéditions pétrolières.

À cet effet, le gouvernement aurait relancé des pourparlers avec les autorités kényanes, concernant le projet de construction d’un oléoduc reliant la ville de Lamu au Kenya à celle de Juba au Soudan du Sud. Une initiative en lien avec le mégaprojet d’infrastructures LAPSSET (Lamu Port, South Sudan, Ethiopia Transport Corridor).

Dans la même logique, explique le ministre, le Soudan du Sud collabore « avec des partenaires régionaux et des pays voisins », en l’occurrence Djibouti et l’Éthiopie, en vue de faciliter le transport du pétrole par camions.

Par ailleurs, le gouvernement sud-soudanais envisagerait d’utiliser une route reliant la ville de Pagak, à celle de Malakal, toutes deux situées dans l’État du Nil supérieur, en vue d’accéder aux régions pétrolifères du pays. Cette solution devrait permettre au Soudan du Sud de transporter l’or noir produit dans l’Etat du Nil supérieur, mais, également, celui du Nil inférieur, vers le port de Djibouti, en passant par l’Éthiopie.

Si le Soudan du Sud semble activement rechercher des alternatives fiables pour l’exportation de sa production pétrolière, c’est essentiellement parce que la crise au Soudan semble s’éterniser. Une menace significative pour la rente pétrolière à moyen et long termes, vitale pour financer le fonctionnement de l’État.

Soudan du Sud : les autorités repoussent, de deux ans, leur objectif de hausse de la production de brut

Agence Ecofin 17 juillet 2023

Le gouvernement du Soudan du Sud avait annoncé son ambition de relever le plateau de la production de brut d’ici 2024. Un objectif dont l’atteinte est compromis par certains défis opérationnels.

Au Soudan du Sud, une source proche du gouvernement a indiqué, vendredi 14 juillet, que l’État attendra 2026 pour tenter de rehausser substantiellement le plateau de sa production de brut qui est actuellement de l’ordre de 170 000 b/j.

Initialement, les autorités sud-soudanaises envisageaient de porter la production d’or noir à 230 000 b/j d’ici fin 2024. Cet objectif semble désormais inaccessible pour deux raisons fondamentales.

La première, c’est que le Soudan du Sud subit des difficultés opérationnelles engendrées par une vague d’inondations, sources de défis logistiques importants. Récemment, les autorités avaient d’ailleurs signalé une baisse de la production pétrolière du fait des inondations. La seconde est liée à un manque d’investissement dans le secteur pétrolier.

C’est donc face à cette situation que les autorités ont décidé de repenser leur stratégie. Leur ambition à long terme est de porter la production pétrolière à 450 000 b/j, en attirant des investisseurs pour soutenir la politique pétrolière de l’État.

À court terme, l’objectif du gouvernement est de maintenir la production d’or noir à un niveau stable. Un objectif difficile à atteindre compte tenu de l’instabilité politique chez le voisin soudanais dont elle dépend pour expédier son brut.

Les évacuations d'étrangers se poursuivent au Soudan, où aucune issue n'est en vue

Plusieurs pays mènent des opérations de rapatriement de leurs ressortissants du Soudan, où la guerre entre armée et paramilitaires fait rage depuis plus d'une semaine. Les violences, principalement à Khartoum et au Darfour, ont fait des centaines de morts, sans aucune issue en vue.

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Les violences, principalement à Khartoum et au Darfour, dans l'ouest du pays, ont fait selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) plus de 420 morts et 3700 blessés.

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Mais si de nombreux étrangers sont partis, qu'adviendra-t-il des Soudanais, se demandent experts et humanitaires. "J'ai peur pour leur avenir", admet sur Twitter l'ambassadeur norvégien Endre Stiansen. "Maintenant, les armes et les intérêts personnels pèsent plus que les valeurs et les mots: tous les scénarios sont mauvais", poursuit-il. Les cinq millions d'habitants de Khartoum, eux, n'ont qu'une idée en tête: quitter la ville en proie au chaos.

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Cette région de l'ouest, la plus pauvre du pays, a été ravagée dans les années 2000 par une guerre ordonnée par le dictateur Omar el-Béchir, déchu en 2019, et menée notamment par les miliciens Janjawids, le gros des troupes du général Daglo. Aujourd'hui inaccessible, elle est de nouveau en proie aux pillages, attaques et exactions.

Le Programme alimentaire mondial (PAM) rapporte que "10 véhicules et six camions de nourriture ont été volés", soit "4000 mètres cube d'aliments" qui n'iront pas aux 45 millions de Soudanais, dont plus d'un sur trois souffrait de la faim avant le confit.

Celui-ci a dégénéré en guerre samedi. Mais il couvait en réalité depuis des semaines entre les deux généraux. Alliés pour le putsch de 2021, ils ne sont pas parvenus à s'entendre sur l'intégration des FSR aux troupes régulières.

Avec les deux camps engagés dans une guerre de l'information, il est impossible de savoir qui contrôle les institutions du pays ou les aéroports et dans quel état se trouvent les infrastructures.

Des combats opposent dimanche pour la deuxième journée consécutive l'armée soudanaise à une puissante force paramilitaire, sur fond de lutte de pouvoir entre les deux généraux aux commandes depuis le putsch de 2021, faisant au moins 56 morts parmi les civils en 24 heures.
16 avril 2023

Soudan du Sud : Aptech Africa construit une centrale solaire de 12 MW pour Ezra Construction à Juba

Agence Ecofin 28 oct 2022

Le manque d’infrastructures de production, de transmission et de distribution électrique ainsi que de ressources financières sont les principales raisons de la pauvreté énergétique du Soudan du Sud.

La société spécialisée dans l’énergie solaire et le pompage de l’eau en Afrique, Aptech Africa, a annoncé le mardi 25 octobre qu’elle a érigé 12 MW de panneaux solaires à Juba, au Soudan du Sud, pour Ezra Construction, une société spécialisée dans le forage et la construction.

Ezra a autofinancé le projet dans le cadre de son initiative visant à accroître la contribution des énergies renouvelables au réseau de Juba. Le système mis en place fournira de l’électricité à plus de 525 000 personnes avec 9 600 kg d’émissions de CO2 par jour qui seront évités.

Tous ces avantages répondent aux objectifs de développement durable 7 et 13 des Nations unies qui promeuvent l’accès abordable à l’énergie propre et l’action climatique, en d’autres termes, une certaine amélioration de l’accès à l’électricité à Juba.

Le Soudan du Sud affiche en effet l’un des taux d’électrification les plus faibles au monde. En 2020, seuls 7 % de la population avaient accès à l’électricité selon la banque mondiale.

Soudan : Searcher livre des données sismiques 2D retraitées sur 18 000 km

Agence Ecofin 4 oct 2022

Depuis que le Soudan ne contrôle plus de gisement pétrolifère, Khartoum met en œuvre des plans destinés à terme, à permettre au pays de jouer un rôle plus significatif sur l’échiquier énergétique régional.

Les autorités du Soudan ont reçu, lundi 3 octobre, un ensemble de données sismiques 2D retraitées par le fournisseur de données australien Searcher. Les travaux couvrent un périmètre de 18 000 km situé au large des côtes soudanaises et s’inscrivent dans le cadre d’un partenariat avec le ministère soudanais de l’Energie et du Pétrole.

Le retraitement des données précédemment acquises sur la région met en évidence plusieurs prospects situés sous des couches de sel. Ces potentiels gisements pétroliers et gaziers offrent des perspectives d’exploration intéressantes. Ceci, dans un contexte où la région soudanaise de la mer Rouge reste globalement un périmètre sous-exploré.

D’après Searcher, le résultat de ces activités de retraitement est déterminant pour dynamiser l’exploration des eaux territoriales soudanaises à la recherche d’hydrocarbures. « Nous sommes très heureux de publier les données sismiques 2D rectifiées du Soudan pour permettre à l’industrie de cartographier de multiples prospects dans la région sous-explorée de la mer Rouge », a déclaré Neil Hodgson, vice-président chargé des géosciences chez Searcher.

Par ailleurs, le fournisseur a annoncé qu’il projette d’exécuter une campagne de relevés sismiques 3D couvrant l’offshore soudanais. Aucun détail opérationnel n’a été divulgué sur le projet annoncé pour 2023.