par Pura Vida » 16 juin 2009, 15:09
Et puis désormais le progrès ne peut signifier: progrès, QUE si, chaque jour, chaque année, chaque génération, etc, il perturbe de moins en moins l'environnement et l'écosytème. Le progrès ne peut l'être QUE s'il s'insère dans l'environement et l'écosystème et ses éléments: eau, feu, terre, air, qui sont le substrat de nous mêmes, hommes et animaux, éléments avec lesquels nous avons des liens indissociables étant - mariés - avec.
Alors si l'impact humain diminue sur l'environnement, diminue sur le temps et l'espace, etc, c'est un vrai progrès auquel il faut rajouter les choix qui seront peut-être dictés, cette fois la tête sur le billot, sous peine de disparaître, bien compris par ailleurs les cycles naturels sur lesquels nous ne pouvons rien et qui n'ont pas attendu l'homme et son industrie comme les cycles climatiques, spatiaux-temporels, etc.
Le fait de trouver des procédés technologiques qui gardent le même rendement pour moins de prédation sur l'environnement et l'écosystème est en soi une bonne chose dans la stricte mesure ou nous suiverons cette voie jusqu'à une proportion d'entropie la plus proche de l'entropie naturelle connue et qui est infiniment moindre que celle générée par les hommes. Mais ne rêvons pas, nous en sommes très loin. Ou alors, comme dans les anciens siècles, il faudrait revenir directement à la force humaine et animale un peu aidée où c'était possible, par la force éolienne et hydraulique.
Peut-être que nous nous apercevrons un jour s'il y a dans l'univers un processus actif de néguentropie, ce qui serait un saut qualitatif inimaginable et un changement de civilisation non moins inimaginable.
Et puis désormais le progrès ne peut signifier: progrès, QUE si, chaque jour, chaque année, chaque génération, etc, il perturbe de moins en moins l'environnement et l'écosytème. Le progrès ne peut l'être QUE s'il s'insère dans l'environement et l'écosystème et ses éléments: eau, feu, terre, air, qui sont le substrat de nous mêmes, hommes et animaux, éléments avec lesquels nous avons des liens indissociables étant - mariés - avec.
Alors si l'impact humain diminue sur l'environnement, diminue sur le temps et l'espace, etc, c'est un vrai progrès auquel il faut rajouter les choix qui seront peut-être dictés, cette fois la tête sur le billot, sous peine de disparaître, bien compris par ailleurs les cycles naturels sur lesquels nous ne pouvons rien et qui n'ont pas attendu l'homme et son industrie comme les cycles climatiques, spatiaux-temporels, etc.
Le fait de trouver des procédés technologiques qui gardent le même rendement pour moins de prédation sur l'environnement et l'écosystème est en soi une bonne chose dans la stricte mesure ou nous suiverons cette voie jusqu'à une proportion d'entropie la plus proche de l'entropie naturelle connue et qui est infiniment moindre que celle générée par les hommes. Mais ne rêvons pas, nous en sommes très loin. Ou alors, comme dans les anciens siècles, il faudrait revenir directement à la force humaine et animale un peu aidée où c'était possible, par la force éolienne et hydraulique.
Peut-être que nous nous apercevrons un jour s'il y a dans l'univers un processus actif de néguentropie, ce qui serait un saut qualitatif inimaginable et un changement de civilisation non moins inimaginable.