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par mobar » 03 juin 2025, 09:42
par alain2908 » 02 juin 2025, 07:22
par energy_isere » 01 juin 2025, 13:41
Nouvelle dégringolade pour les ventes de voitures neuves en mai Le marché des voitures neuves « s'enfonce dans la crise » en France, avec un repli des immatriculations de voitures neuves de 12% en mai, par rapport au mois de mai 2024, selon les chiffres publiés dimanche par la Plateforme automobile (PFA). latribune.fr le 01/06/25 Un coup d'accélérateur sur la pédale de marche arrière. En mai 2025, 123.919 voitures particulières ont été immatriculées en France, un repli de 12,3%, plus important que celui constaté le mois dernier (-5,64%). Selon les chiffres publiés dimanche par la Plateforme automobile (PFA), aucun constructeur n'échappe à la vague, qui touche aussi bien les voitures essence que les modèles électriques, tandis que le marché de l'occasion reste stable. « Chaque mois qui passe depuis le début de l'année, le marché s'enfonce un peu plus dans la crise. C'est le cinquième mois consécutif de baisse (...). Sur les cinq premiers mois de l'année, le marché est lui-même en baisse de 8% par rapport à 2024 et de quasiment 30% par rapport à 2019, en période pré-Covid », a commenté auprès de l'AFP Nicolas Le Bigot, directeur général par intérim de la PFA. La part des voitures électriques stagne Ce repli continue d'affecter Stellantis (-10,1%) avec 34.441 voitures particulières immatriculées, freiné par Fiat et Opel. Renault affiche les mêmes volumes et limite son recul (-7%), alors que Toyota est en net repli (-25%). Le numéro trois, Volkswagen, creuse son recul à près de 12%. Les immatriculations de Tesla poursuivent leur chute en France, avec une baisse de 67% en mai (avec 721 véhicules) par rapport au même mois de 2024. En pleine modernisation de sa gamme mais potentiellement freiné aussi par l'image de son patron Elon Musk, le constructeur américain de voitures électriques accuse un repli de près de 50% depuis le début de l'année 2025. D'une manière générale, la part des voitures électriques « stagne autour de 18% sur les cinq premiers mois de l'année » : dans un marché restreint, cela signifie que « les ventes de véhicules électriques sont en baisse, d'environ 7% en 2025 par rapport à 2024 », a relevé Nicolas Le Bigot. Un désintérêt des Français notamment à mettre sur le compte « d'une accumulation des malus pour les véhicules anciens et polluants, associée à un manque de soutien du gouvernement »qui a cette année « divisé par trois les enveloppes budgétaires pour accorder des bonus pour les véhicules électriques. » Et ce alors même que les constructeurs « font le job », en proposant de nouveaux modèles, comme la nouvelle version électrique de la R5 chez Renault ou de l'ë-C3 chez Citroën. Mais ces mauvais chiffres sont d'abord liés à « un marasme économique général », dans le contexte incertain de « la guerre commerciale menée par les Etats-Unis », ajoute Nicolas Le Bigot soulignant également la morosité économique en France, avec une confiance des ménages « à un niveau historiquement bas » en mai.
par Silenius » 04 janv. 2025, 10:29
mobar a écrit : ↑03 janv. 2025, 03:23 Ne t inquiète pas, il y en a qui croient des conneries encore pires que celle la
par energy_isere » 03 janv. 2025, 12:24
par mobar » 03 janv. 2025, 03:44
par mobar » 03 janv. 2025, 03:23
par Silenius » 03 janv. 2025, 03:03
par mobar » 03 janv. 2025, 02:31
par Silenius » 03 janv. 2025, 01:03
par mobar » 03 janv. 2025, 00:08
Silenius a écrit : ↑02 janv. 2025, 23:36 une part croissante est syphonnee par le social. tout s explique simplement
tout s explique simplement
par Silenius » 02 janv. 2025, 23:36
mobar a écrit : ↑02 janv. 2025, 23:13 Henri Ford payait bien ses ouvriers pour qu ils puissent se payer les voitures qu ils fabriquaient,...
les salaries sont de moins en moins payes,...
par mobar » 02 janv. 2025, 23:13
par energy_isere » 02 janv. 2025, 23:02
Pourquoi les ventes de voitures neuves ont encore baissé en 2024 Boursorama avec Newsgene •02/01/2025 En France, les ventes de voitures neuves ont dégringolé de plus de 3% en 2024. Un phénomène qui serait lié à la hausse des prix et à la mise en place de nouvelles normes environnementales. La situation ne s’annonce guère plus encourageante pour 2025. Le marché de l'automobile peine à se relancer en France. Selon les chiffres publiés par la Plateforme automobile ce mardi 31 décembre et relayés par RMC et BFM TV , les ventes de véhicules neufs ont chuté de 3,17 % par rapport à 2023. Les constructeurs ont réalisé 1,7 million de ventes contre 2 millions avant la crise du Covid. Cette tendance affecte particulièrement des acteurs comme Stellantis, qui constate une baisse de 7 % de ses ventes, et Renault, dont les ventes ont reculé de 2,7 %. Ce phénomène serait lié à « une perte de repères » chez les consommateurs, selon plusieurs professionnels interrogés par nos confrères. Les clients peineraient à choisir entre l’essence, le diesel, l’hybride et l’électrique, tout en étant freinés par la mise en place des zones à faibles émissions (ZFE). « Quand on ne sait pas jusqu’à quand on pourra circuler, on repousse son acte d’achat » , estime ainsi un concessionnaire. Une année 2025 qui inquiète Les perspectives pour 2025 ne sont guère plus favorables, notamment en raison du climat d’instabilité politique. Flavien Neuvy, directeur de l’Observatoire Cetelem de l’automobile, estime que l’année 2025 pourrait rester marquée par des niveaux de ventes très faibles. « Il y a beaucoup d'incertitudes politiques qui commencent à inquiéter les ménages qui gardent leur épargne » , affirme-t-il. Selon lui, la reprise pourrait venir de l'offre de véhicules plus petits ou d’une baisse des prix. Athina Argyriou, présidente déléguée de la CSIAM (Chambre syndicale internationale de l’automobile et du motocycle), reste plus optimiste. Elle estime que cette baisse de 3 % n'est pas forcément dramatique : « C'était une très bonne année vu les contextes politique, géopolitique, social et économique en Europe » .
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