par Balika73 » 04 sept. 2013, 19:50
Ouais et c'est malheureux à dire parce que
nous avions tout ce qu'il faut pour vivre tous ensembles, pas trop mal, même à 7 milliards d'individus. C'est ce que montrent mes petits calculs de coin de table sur l'énergie, l'agriculture et le reste (en mode "bisounours communiste" bien sûr).
J'insiste donc fortement sur le fait que les gens (les classes moyennes chez nous) ne veulent pas partager, l'injustice est voulue. Même si demain on fermait les frontières, nous pourrions vivre avec un niveau de vie matériellement bas, ça demanderait des efforts titanesques (abandon de la voiture, partage des terres agricoles, régime alimentaire moins carné, abandon de l'électronique superflu, etc) mais ça serait techniquement possible. Ca impliquerait de vrais citoyens "adultes", autonomes et engagés dans l'organisation de la vie en commun.
Mais quand on y regarde de près, le pourquoi du "comment nous dégradons l'environnement et suicidons notre propre espèce" est simple : un comportement infantile chez la plupart des gens.
Dans le détail :
- le manque de confiance en sa propre capacité à vivre
- la croyance en la nécessité d'un "chef" (un père ...) qui mène la barque (qui entraine la pyramide d'injustices et de soumission que l'on connait)
- un goût énorme pour le confort et la facilité (apparente), comme les bébés (qui nous amène les supermarchés, la voiture individuelle, etc)
- les addictions physiologiques diverses (sucre, sel, viande, café, thé, tabac, etc) et psychologiques (télévision, téléphone, réseaux sociaux, etc)
- un égocentrisme surdimensionné
- l'incapacité à respecter les limites
Et bien évidemment, ce comportement d'enfant (d'homme faible, en définitive) est savamment entretenu par la religion, les discours politiques, les médias (ils y ont tout intérêt puisque ça engendre du pognon).
Je généralise un peu, la tendance est là pourtant.
C'est malheureux.
Ouais et c'est malheureux à dire parce que [u]nous avions tout ce qu'il faut pour vivre tous ensembles, pas trop mal[/u], même à 7 milliards d'individus. C'est ce que montrent mes petits calculs de coin de table sur l'énergie, l'agriculture et le reste (en mode "bisounours communiste" bien sûr). :-D
J'insiste donc fortement sur le fait que les gens (les classes moyennes chez nous) ne veulent pas partager, l'injustice est voulue. Même si demain on fermait les frontières, nous pourrions vivre avec un niveau de vie matériellement bas, ça demanderait des efforts titanesques (abandon de la voiture, partage des terres agricoles, régime alimentaire moins carné, abandon de l'électronique superflu, etc) mais ça serait techniquement possible. Ca impliquerait de vrais citoyens "adultes", autonomes et engagés dans l'organisation de la vie en commun.
Mais quand on y regarde de près, le pourquoi du "comment nous dégradons l'environnement et suicidons notre propre espèce" est simple : un comportement infantile chez la plupart des gens.
Dans le détail :
- le manque de confiance en sa propre capacité à vivre
- la croyance en la nécessité d'un "chef" (un père ...) qui mène la barque (qui entraine la pyramide d'injustices et de soumission que l'on connait)
- un goût énorme pour le confort et la facilité (apparente), comme les bébés (qui nous amène les supermarchés, la voiture individuelle, etc)
- les addictions physiologiques diverses (sucre, sel, viande, café, thé, tabac, etc) et psychologiques (télévision, téléphone, réseaux sociaux, etc)
- un égocentrisme surdimensionné
- l'incapacité à respecter les limites
Et bien évidemment, ce comportement d'enfant (d'homme faible, en définitive) est savamment entretenu par la religion, les discours politiques, les médias (ils y ont tout intérêt puisque ça engendre du pognon).
Je généralise un peu, la tendance est là pourtant.
C'est malheureux.